La pluie inonde les cœurs meurtris, ils fondent en épaisses larmes rouges puisant dans les regards le dégoût, elle grille les âmes presque éteintes qui crient leur désespoir, frappées par l’assommoir aux multiples à coups qui fait rompre la digue puis endigue l’espoir.
La sagesse des plumes doit gouverner la dérive des mots ivres qui font tanguer les âmes fragiles avant qu’elles ne sombrent.
La fluidité des mots, image en souplesse les phrases harmonieuses sans fausses notes, le poète comme le musicien doit composer avec majesté et rigueur, au diapason des sons associés à la écho de la rime.
Virtuellement on peut pratiquement faire jeu égal avec Jésus en évitant le supplice de la croix.
Le vers casse pied n’a ni la finesse ni la transparence du cristal il n’a pas sa résonance.
Fondre dans une phrase trois arts est l’ alchimie réservée aux plus grands poètes lyriques dans leurs vers.
La composition de l’œuvre poétique doit se résoudre en un tableau de maître, on doit en saisir la couleur le relief et l’harmonie. L’art du poète est alors à la fois, l’art du peintre, l’art du sculpteur et l’art du compositeur, dans un concert d’arts.
Être ou paraître est l’ultime question, avant de disparaître.
La poésie est l’océan d’images couleurs du ciel où flottent brillantes mille pensées musicales réfléchies, cadencées, par la vague à l’âme tranchante qui sculpte avec amour finement sur le récif les lignes d’une vie harmonieuse ou dissonante dans un incessant bourdonnement de mots aux résonances choisies, elle s’exalte où la côte sauvage victime du sac et du ressac, semble perdre pied près de l’abîme aux ultimes nuées.
Je raisonne, donc je suis une cloche.
Elle résonne donc c’est une clôche.
Cette clôche a un beau timbre.
Cette cloche de Momo est bien timbré.
C’est ce que l’on appelle deux sons deux clôches ?...deux cloches ?.
Je ne sais plus je ne sais pas !.
L’art ne peut pas vivre sans élément subjectif, sans pitié et tranchons le mot sans humanité.
Mes commentaires peuvent vous paraître déroutants ne vous en inquiétez pas, mon humour n’a pas de frontière, je ne retiens de vos écrits que le côté marrant, aussi lugubres soient -ils, ainsi je puise dans chacune de vos phrases le coté positif sans m’épuiser moralement, je m’en désaltère comme la bière, qui conduira un jour mon corps au cimetière, j’ai une âme.
La sagesse des plumes doit gouverner la dérive des mots ivres qui font tanguer les âmes fragiles avant qu’elles ne sombrent.
La fluidité des mots, image en souplesse les phrases harmonieuses sans fausses notes, le poète comme le musicien doit composer avec majesté et rigueur, au diapason des sons associés à la écho de la rime.
Virtuellement on peut pratiquement faire jeu égal avec Jésus en évitant le supplice de la croix.
Le vers casse pied n’a ni la finesse ni la transparence du cristal il n’a pas sa résonance.
Fondre dans une phrase trois arts est l’ alchimie réservée aux plus grands poètes lyriques dans leurs vers.
La composition de l’œuvre poétique doit se résoudre en un tableau de maître, on doit en saisir la couleur le relief et l’harmonie. L’art du poète est alors à la fois, l’art du peintre, l’art du sculpteur et l’art du compositeur, dans un concert d’arts.
Être ou paraître est l’ultime question, avant de disparaître.
La poésie est l’océan d’images couleurs du ciel où flottent brillantes mille pensées musicales réfléchies, cadencées, par la vague à l’âme tranchante qui sculpte avec amour finement sur le récif les lignes d’une vie harmonieuse ou dissonante dans un incessant bourdonnement de mots aux résonances choisies, elle s’exalte où la côte sauvage victime du sac et du ressac, semble perdre pied près de l’abîme aux ultimes nuées.
Je raisonne, donc je suis une cloche.
Elle résonne donc c’est une clôche.
Cette clôche a un beau timbre.
Cette cloche de Momo est bien timbré.
C’est ce que l’on appelle deux sons deux clôches ?...deux cloches ?.
Je ne sais plus je ne sais pas !.
L’art ne peut pas vivre sans élément subjectif, sans pitié et tranchons le mot sans humanité.
Mes commentaires peuvent vous paraître déroutants ne vous en inquiétez pas, mon humour n’a pas de frontière, je ne retiens de vos écrits que le côté marrant, aussi lugubres soient -ils, ainsi je puise dans chacune de vos phrases le coté positif sans m’épuiser moralement, je m’en désaltère comme la bière, qui conduira un jour mon corps au cimetière, j’ai une âme.
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