Pensées folles (suite…)
Un piéton vient de glisser sur une peau de banane dans ma rue.
Le préfet a ouvert une cellule psychologique et mit en place un numéro vert.
Les religieux ne savent pas où placer le «i».
Dans le doute, Ils violent et ils voilent.
Mon problème est d’avoir été poursuivi par mes études.
Ma femme veut une maison avec belle cuisine et un magnifique salon.
Je ne parle pas de sa salle de bains et de la piscine dans le jardin.
En m’épousant je pense qu’elle a dû se tromper.
Je ne suis pas banquier…
Je me suis fait jeter de la fête des voisins pour antisémitisme.
On m’a présenté un gars répondant au doux prénom de David.
Aimablement je l’ai salué
Bonjour David ! Ça gaz !
Mazette ! Triple Zut ! Je ne pouvais pas savoir qu’il est Juif !
Heureusement qu’il ne fut point noir, en sus !
Je brule toujours les fourmis avec ma loupe.
J’ai croisé un chien avec un gilet jaune. Ce con m’a mordu.
J’aime bien lire tout de suite la fin d’un roman.
J’ai mis du temps à comprendre que l’on pouvait se servir d’un clou à autre chose que crucifier
Un type.
La tolérance est intolérable.
J’adore l’album « Tintin au pays de l’or noir », surtout la page 22, troisième ligne d’images, la seconde…« Et Hop… »
Quand je serai chauve, les poules auront des dents.
Je me souviens que lorsque l’on était petits, mes frères et moi nous rigolions bien car Mémé pétait beaucoup.
Elle moins…avec son cancer du pancréas.
Adolphe est un prénom en voie de disparition.
Martine, c’est le prénom de ma femme…Elle ne va pas qu’à la Ferme…
Mon fils va se marier.
Je me demande comment lui gâcher la fête.
C’est dingue, mais je me suis plus souvent amusé à un enterrement qu’à un mariage.
Ma femme demande le divorce. Je pense qu’elle a surement mal pris le dernier coup de batte.
Il est cool l’article 213 du Code Civil de 1804. Il devrait inspirer.
Et Dieu créa la femme. On ne peut que le remercier d’avoir aussi, après, créer la vigne.
Les entreprises Françaises estiment que le coût du travail est trop élevé dans notre pays.
Je leur propose une solution radicale qu’elles devraient sans démesure apprécier.
L’abrogation de la loi de Victor Schœlcher du 27 avril 1848.
Loïc ROUSSELOT
Un piéton vient de glisser sur une peau de banane dans ma rue.
Le préfet a ouvert une cellule psychologique et mit en place un numéro vert.
Les religieux ne savent pas où placer le «i».
Dans le doute, Ils violent et ils voilent.
Mon problème est d’avoir été poursuivi par mes études.
Ma femme veut une maison avec belle cuisine et un magnifique salon.
Je ne parle pas de sa salle de bains et de la piscine dans le jardin.
En m’épousant je pense qu’elle a dû se tromper.
Je ne suis pas banquier…
Je me suis fait jeter de la fête des voisins pour antisémitisme.
On m’a présenté un gars répondant au doux prénom de David.
Aimablement je l’ai salué
Bonjour David ! Ça gaz !
Mazette ! Triple Zut ! Je ne pouvais pas savoir qu’il est Juif !
Heureusement qu’il ne fut point noir, en sus !
Je brule toujours les fourmis avec ma loupe.
J’ai croisé un chien avec un gilet jaune. Ce con m’a mordu.
J’aime bien lire tout de suite la fin d’un roman.
J’ai mis du temps à comprendre que l’on pouvait se servir d’un clou à autre chose que crucifier
Un type.
La tolérance est intolérable.
J’adore l’album « Tintin au pays de l’or noir », surtout la page 22, troisième ligne d’images, la seconde…« Et Hop… »
Quand je serai chauve, les poules auront des dents.
Je me souviens que lorsque l’on était petits, mes frères et moi nous rigolions bien car Mémé pétait beaucoup.
Elle moins…avec son cancer du pancréas.
Adolphe est un prénom en voie de disparition.
Martine, c’est le prénom de ma femme…Elle ne va pas qu’à la Ferme…
Mon fils va se marier.
Je me demande comment lui gâcher la fête.
C’est dingue, mais je me suis plus souvent amusé à un enterrement qu’à un mariage.
Ma femme demande le divorce. Je pense qu’elle a surement mal pris le dernier coup de batte.
Il est cool l’article 213 du Code Civil de 1804. Il devrait inspirer.
Et Dieu créa la femme. On ne peut que le remercier d’avoir aussi, après, créer la vigne.
Les entreprises Françaises estiment que le coût du travail est trop élevé dans notre pays.
Je leur propose une solution radicale qu’elles devraient sans démesure apprécier.
L’abrogation de la loi de Victor Schœlcher du 27 avril 1848.
Loïc ROUSSELOT