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Les pensées célèbres, celles de la Vagabonde de la Poésie, les pensées Momoriciennes et les vôtres si le coeur vous en dit

Quand on parle de nuit des temps en évoquant le lointain passé on manque totalement de clarté!.
L’univers dans un premier temps est concentré donc très lumineux, (clarté des temps!) comme il est en expansion les masses lumineuses formées par les galaxies s’éloignent les unes des autres et nous dirigent inévitablement vers la nuit des temps!.
J’espère que j’ai été suffisamment clair!.,,sourires
 
Histoires anciennes vécues dans ma région.

« Misère misère, c’est toujours sur les pauvres gens que tu t’acharnes obstinément! ».

Je me dois de n’oublier personne ce brave Anselme le fossoyeur qui avait disait-il bien connu mon oncle le professeur de lettres, il ne manquait pas de nous le rappeler lorsqu’on le rencontrait, les occasions n’étaient pas rares à cette époque, les enterrements se succédaient,la vaccination anti grippe n’existait pas encore!.

Ce brave Anselme se plaisait de nous dire : « J’ai bien connu Roger, je suis été à l’école avec lui!.»

Il ne manquait pas une occasion pour discuter un moment avec le curé du village en le harcelant de : « putain de moine monsieur le curé!».

Il était très maigre et aussi blanc de visage que les clients qu’il transportait gratuitement à leur dernière demeure!.

Un soir d’été, alors qu’il s’était rendu à Capdenac récupérer un cercueil sur mesure chez le menuisier, en prévision de la mort de la pauvre mère Couderc qui avait "perdu la tête!" sûrement à cause d’un coup de vent, il fut confronté à un violent orage, qui le plongeât en un instant dans un lieu sombre et lugubre!.

Sa vieille jument grise, connaissait le chemin sur le bout de ses sabots, elle en avait essuyé bien d’autres et sûrement des pires!.

Aussi notre brave Anselme, décida sous une pluie bâtante éclairée seulement par les flèches du diable, de profiter d’un abri bienvenu et providentiel en se glissant dans le cercueil.

Ce convoi exceptionnel s’il en est, continua sa route dans la côte de Roquefort quand soudain une salve de coups de claxons à réveiller un mort couvrît le grondement du tonnerre!.

Notre homme endormi sursautât dans la boîte, se cognant au couvercle il le soulevait d’une main en se frottant la tête de l’autre, hurlant sa douleur au grand air, blanc comme un linceul!.

Nos automobilistes voyant ce cadavre fantomatique ébloui par les phares de leur voiture se ranimer sous leurs yeux, furent pris d’une frayeur soudaine et après un demi-tour digne des meilleurs films d’action hollywoodiens prirent la fuite!.

Anselme lui, n’a jamais su nous expliquer ce comportement indigne de ces personnes étrangères à la région en manque total d’éducation.

Il est mort au cimetière du Mas du Noyer occupé à creuser une fosse pour son prochain client!.

Un deuxième pauvre gravitait dans la région il connaissait les lieux comme sa poche trouée, couvert de haillons je ne lui ai jamais connu une autre tenue, il l’a portait pour les obsèques de sa pauvre femme Virgile et très certainement pour le sien!.

Il vivait de misère avec son amour dans une vielle bâtisse au fond d’une mansarde , où seul un morceau de toit qu’il entretenait les abritait des intempéries.

Cyprien passait régulièrement nous proposer des escargots, des châtaignes, et un tubercule prisé par les riches aujourd’hui, que l’on nomme truffes!.

Il n’avait pas son pareil pour trouver l’or noir du Quercy ce pauvre hère!.

Nous étoins ses amis il venait à la maison pour troquer sa marchandise, et il repartait avec quelques sous après avoir partagé une bonne soupe campagnarde.

Ma grand mère qui était une excellente cuisinière l’invitait à déguster des mets dont elle avait le secret, escargots à l’oseille. truffes fraîchement cueillies et voici une de ses recettes très simple que je vous recommande!.

Vous achetez un kilogramme d’or noir du Quercy, vous le coupez en très fines tranches vous assaisonnez légement et vous dégustez, c’est excellent.

Ainsi les pauvres avant pouvaient se régaler avec des assiettes aujourd’hui réservées aux riches. Un kilogramme de truffes se négocie actuellement entre huit cent et mille deux cents euros!.

Revenons à notre brave homme, un jour les pompiers sont venus le prévenir d’un drame qui venait de se produire au passage à niveau de la Madeleine.

Sa pauvre aimée Virgile sourde comme un pot avait été la malheureuse victime d’une satanée locomotive à vapeur, en apercevant les restes éparpillés, il a eu cette phrase mémorable qui en dit long sur leur vie amoureuse.... en patois traduit....

Milla Diou…Aqueste cop ela comprès !.

" Ce coup ci elle a compris!".
 
Premier acrostiche à Isabelle.

Acrostiche à Isabelle.

I ris aux verts reflets ton air entre-deux airs,
S ouligne tes pensées aux rayonnants revers.
A rc-en-ciel sous l’arche brillante des éclairs,
B énie par le poète saint musicien des vers,
É levés en concerts radieux, où les notes
L impides riment, encensant en louanges
L’ âme claire ailée, qui par instant pianote,
E t tinte l’amour, pour l’oraison d’un ange.
 
Le deuxième.

Acrostiche à Isabelle.

I mage de l’amour, ton fleuve atemporel
S erpente lentement la terre infiniment !.
A noblis par l’instinct du fluide corporel
B attent les cœurs épris sur l’astre des amants.
E closent alors les fleurs des idylliques unions,
L’ instant est solennel ; encensés les prêcheurs
L yriques baptisent en saintes communions,
E t bénissent Belle, l’archange du bonheur.
 
Joyeux anniversaire Paule!.

Acrostiches à ma chère Paule...


P armi tant de lueurs tu voyages sereine,
A phrodite beauté, éblouissante reine!.
U niques sont tes traits aux captivants revers
L umineuse fusion au sein de l'univers,
E tends tes rayons chauds sur mon corps froid d’hiver.

Ou

Parmi tant de lueurs tu voyages sirène,
Aphrodite beauté, éblouissante reine!.
Uniques sont tes traits aux captivants revers
Lumineuse femme au cœur de l'univers,
Étends tes rayons verts sur mon corps froid d’hiver.

Ou

Parmi tant de lueurs tu scintilles sereine,
Adorable beauté, éblouissante reine,
Unique sœur du temps flirtant au firmament,
L’étoile en cœur d’amour fait rêver les amants
Enlacés près du lac aux reflets de diamants.

Ou :

Parmi tant de trésors tu rayonnes sereine,
Angélique douceur, éblouissante reine,
Unique sœur du temps flottant au firmament,
L’étoile en cœur d’amour fait rêver les amants
Embarqués pour toujours, sur le lac aux diamants.

Ou

Parmi tous ces trésors tu scintilles sirène,
Admirable beauté, enivrante reine,
Unique sœur du temps noyée au firmament,
L’étoile au cœur du jour fait planer les amants
Entrainés par l’amour près du lac aux diamants.

Je t’embrasse affectueusement, excellente journée!.

Maurice
 
Histoire ancienne vécue.

Le passage à niveau et la guérite de mon enfance.

Mon père a exercé un temps le métier de veilleur de nuit qu’il jumelait avec le travail à la ferme.
Je l’accompagnais parfois et j’ai connu les différentes barrières et guérites entre la Madeleine et Cajarc.
Le métier n’était pas reposant même si à la fin des années cinquante les voitures ne provoquaient pas de bouchon dans le secteur rocailleux où il exerçait sa fonction.
Muni de sa gamelle bien remplie pour l’occasion réveillon oblige, on passait donc la nuit, dans ce petit abris très sobre, équipé d’un simple bureau d’une chaise et d’un petit poêle à bois, qui n’avait aucun mal à réchauffer l’atmosphère instantanément et à rendre la cabane très agréable pour ne pas dire confortable!.
Il faut savoir que le froid dans notre région prenait des proportions parfois très inquiétantes.
En février 1956 la température moyenne a oscillé entre moins quinze et moins vingt huit degrés et cela tout le mois.
Parfois quelques bêtes sauvages affamées dérangeaient notre quiétude, et venaient nous tenir compagnie des sangliers entre-autres, la nuit ne manquait pas de piquant!.
Était-ce la compagnie des chemins de fer français ?...sourires
Mais, revenons à notre petite guérite et parlons du travail de nuit du veilleur.
Les horaires des trains de marchandises étaient inscrits sur un petit carnet, et la barrière n’était levée manuellement que lorsqu’une voiture se présentait en klaxonnant brièvement le plus souvent.
La nuit était relativement calme côté route, cependant le trafic marchandises et ses convois avec des rames de soixante wagons pouvant atteindre mille huit cent tonnes se succédaient dans un rythme infernal !.
Mon père était muni de gros pétards qu’il pouvait fixer sur un rail et qui étaient censés arrêter le train en cas de problème majeur, il n’était pas rare en effet que dans le secteur de Toirac à Montbrun qu’un énorme rocher dans un bruit d’enfer stoppe le calme serein de la nuit et tombe sur la voie, par un système ingénieux téléphonique les veilleurs se prévenaient et installaient le dispositif d’arrêt avant que la locomotive ne se présente toute vapeur dehors.
Quelquefois les essieux chauffaient au point de devenir rouge écarlates, le gardien téléphonait alors à la gare de Cajarc pour signaler le grave problème.
Cela lui permettait au passage si je puis dire, d’arrondir un peu sa fin de mois, car une prime était versée pour récompenser cet acte de conscience hautement professionnelle.
La nuit était longue et chaque passage du monstre noir dans un grondement sourd provoquait un tremblement de terre de magnitude huit à neuf qui me réveillait, Ripette ajoutait à l’ambiance sombre un harmonieux coup de sifflet à l’entrée et à la sortie du tunnel, heureusement je n’avais aucun mal à me rendormir bercé par le calme qui revenait tranquillement et qui contrastait avec le grincement sinistre de ce tas de ferraille emballé, j’étais installé j’ai oublié de vous dire sur le bureau qui faisait office pour la circonstance de couche particulièrement douillette !.
Je me souviens d’avoir aidé mon père à relever les immenses bras des barrières avec les manivelles qui me paraissaient tout simplement démesurées, fier de cet exploit !.
Ainsi passait la nuit, je me suis par contre toujours demandé, si le garde barrière de Capdenac Gare avait le même salaire que celui de la vallée de la Diège après la mine sur le chemin empierré qui mène à Lieucamp ?.
Un avait un travail très important par rapport au trafic intense du rail et de la route et l’autre ne voyait passer qu’un tombereau tiré par des bœufs une fois par jour!....sourires
 
Joyeux anniversaire Paule!.

Acrostiches à ma chère Paule...


P armi tant de lueurs tu voyages sereine,
A phrodite beauté, éblouissante reine!.
U niques sont tes traits aux captivants revers
L umineuse fusion au sein de l'univers,
E tends tes rayons chauds sur mon corps froid d’hiver.

Ou

Parmi tant de lueurs tu voyages sirène,
Aphrodite beauté, éblouissante reine!.
Uniques sont tes traits aux captivants revers
Lumineuse femme au cœur de l'univers,
Étends tes rayons verts sur mon corps froid d’hiver.

Ou

Parmi tant de lueurs tu scintilles sereine,
Adorable beauté, éblouissante reine,
Unique sœur du temps flirtant au firmament,
L’étoile en cœur d’amour fait rêver les amants
Enlacés près du lac aux reflets de diamants.

Ou :

Parmi tant de trésors tu rayonnes sereine,
Angélique douceur, éblouissante reine,
Unique sœur du temps flottant au firmament,
L’étoile en cœur d’amour fait rêver les amants
Embarqués pour toujours, sur le lac aux diamants.

Ou

Parmi tous ces trésors tu scintilles sirène,
Admirable beauté, enivrante reine,
Unique sœur du temps noyée au firmament,
L’étoile au cœur du jour fait planer les amants
Entrainés par l’amour près du lac aux diamants.

Je t’embrasse affectueusement, excellente journée!.

Maurice

Je te remercie Cher Momo, de tes vers , personne ne peut rivaliser avec toi d'esprit et de Plume , la forêt et chaque cour d'eau, murmurent ce matin, que c'est aujourd'hui la Fête de l'enfant terrible de la Poésie,, Bonne Fête mon Arthur de Figeac, créa nous a donné la chance de nous croiser , et pourquoi pas, lorsque tu verras Hugues lui dire, que la Vagabonde de la Poésie dit, qu'il a bien construit son site, je t'embrasse d'amitié, Belle journée
. Paule
 
Histoire ancienne vécue.

Le passage à niveau et la guérite de mon enfance.

Mon père a exercé un temps le métier de veilleur de nuit qu’il jumelait avec le travail à la ferme.
Je l’accompagnais parfois et j’ai connu les différentes barrières et guérites entre la Madeleine et Cajarc.
Le métier n’était pas reposant même si à la fin des années cinquante les voitures ne provoquaient pas de bouchon dans le secteur rocailleux où il exerçait sa fonction.
Muni de sa gamelle bien remplie pour l’occasion réveillon oblige, on passait donc la nuit, dans ce petit abris très sobre, équipé d’un simple bureau d’une chaise et d’un petit poêle à bois, qui n’avait aucun mal à réchauffer l’atmosphère instantanément et à rendre la cabane très agréable pour ne pas dire confortable!.
Il faut savoir que le froid dans notre région prenait des proportions parfois très inquiétantes.
En février 1956 la température moyenne a oscillé entre moins quinze et moins vingt huit degrés et cela tout le mois.
Parfois quelques bêtes sauvages affamées dérangeaient notre quiétude, et venaient nous tenir compagnie des sangliers entre-autres, la nuit ne manquait pas de piquant!.
Était-ce la compagnie des chemins de fer français ?...sourires
Mais, revenons à notre petite guérite et parlons du travail de nuit du veilleur.
Les horaires des trains de marchandises étaient inscrits sur un petit carnet, et la barrière n’était levée manuellement que lorsqu’une voiture se présentait en klaxonnant brièvement le plus souvent.
La nuit était relativement calme côté route, cependant le trafic marchandises et ses convois avec des rames de soixante wagons pouvant atteindre mille huit cent tonnes se succédaient dans un rythme infernal !.
Mon père était muni de gros pétards qu’il pouvait fixer sur un rail et qui étaient censés arrêter le train en cas de problème majeur, il n’était pas rare en effet que dans le secteur de Toirac à Montbrun qu’un énorme rocher dans un bruit d’enfer stoppe le calme serein de la nuit et tombe sur la voie, par un système ingénieux téléphonique les veilleurs se prévenaient et installaient le dispositif d’arrêt avant que la locomotive ne se présente toute vapeur dehors.
Quelquefois les essieux chauffaient au point de devenir rouge écarlates, le gardien téléphonait alors à la gare de Cajarc pour signaler le grave problème.
Cela lui permettait au passage si je puis dire, d’arrondir un peu sa fin de mois, car une prime était versée pour récompenser cet acte de conscience hautement professionnelle.
La nuit était longue et chaque passage du monstre noir dans un grondement sourd provoquait un tremblement de terre de magnitude huit à neuf qui me réveillait, Ripette ajoutait à l’ambiance sombre un harmonieux coup de sifflet à l’entrée et à la sortie du tunnel, heureusement je n’avais aucun mal à me rendormir bercé par le calme qui revenait tranquillement et qui contrastait avec le grincement sinistre de ce tas de ferraille emballé, j’étais installé j’ai oublié de vous dire sur le bureau qui faisait office pour la circonstance de couche particulièrement douillette !.
Je me souviens d’avoir aidé mon père à relever les immenses bras des barrières avec les manivelles qui me paraissaient tout simplement démesurées, fier de cet exploit !.
Ainsi passait la nuit, je me suis par contre toujours demandé, si le garde barrière de Capdenac Gare avait le même salaire que celui de la vallée de la Diège après la mine sur le chemin empierré qui mène à Lieucamp ?.
Un avait un travail très important par rapport au trafic intense du rail et de la route et l’autre ne voyait passer qu’un tombereau tiré par des bœufs une fois par jour!....sourires

Histoire vraie bien sûr, qui en douterait, c'est de nos vies que nous écrivons, aussi vrai , que la Poésie doit se vivre chaque jour, c'est ce que nous faisons, j'ai aimé te lire aux dernières heures de la nuit, d'une journée d'anniversaire étourdissante émotionnellement, merci pour ta Prose et toutes tes Poésies , un jour j'ai réveillonné avec le gardien d'une gare, jusqu'au petit matin, ce fou d'humour nous a fait rire toute la nuit de la Saint Sylvestre, la gare de Draveil a ouvert ses portes en retard le 1er janvier de cette année la, combien de voyageurs ont vu passer le train derrière la porte qui ne s'ouvrait pas à l'heure attendue, je ne le saurai jamais, c'était il y a bien des années je te souhaite une belle journée, et qu'on te fête, car c'est ta Fête, tout le murmure ce matin, dans les parfums de la forêt et le chant des cours d'eau, c'est la Fête de l'Enfant terrible de la Poésie, qu'on se le dise en terre figeacienne , et dans les symphonies du vent, c'est la Fête d'un Poète aux yeux d'émaux, si tu croises Rimbaud, dis lui , qu'il y a un deuxième Rimbaud, et que j'ai eu la chance de le rencontrer sur créa, qu'il ne vienne pas pisser sur les copies des concours, il y a si peu de participants, je te souris Cher Momo, je t'embrasse fidèle d'amitié, aussi vrai que derrière l'écran c'est un coeur qui bat. La Vagabonde de la Poésie
 

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
Je te remercie Cher Momo, de tes vers , personne ne peut rivaliser avec toi d'esprit et de Plume , la forêt et chaque cour d'eau, murmurent ce matin, que c'est aujourd'hui la Fête de l'enfant terrible de la Poésie,, Bonne Fête mon Arthur de Figeac, créa nous a donné la chance de nous croiser , et pourquoi pas, lorsque tu verras Hugues lui dire, que la Vagabonde de la Poésie dit, qu'il a bien construit son site, je t'embrasse d'amitié, Belle journée
. Paule
Joyeux anniversaire Paule!.

Acrostiches à ma chère Paule...


P armi tant de lueurs tu voyages sereine,
A phrodite beauté, éblouissante reine!.
U niques sont tes traits aux captivants revers
L umineuse fusion au sein de l'univers,
E tends tes rayons chauds sur mon corps froid d’hiver.

Ou

Parmi tant de lueurs tu voyages sirène,
Aphrodite beauté, éblouissante reine!.
Uniques sont tes traits aux captivants revers
Lumineuse femme au cœur de l'univers,
Étends tes rayons verts sur mon corps froid d’hiver.

Ou

Parmi tant de lueurs tu scintilles sereine,
Adorable beauté, éblouissante reine,
Unique sœur du temps flirtant au firmament,
L’étoile en cœur d’amour fait rêver les amants
Enlacés près du lac aux reflets de diamants.

Ou :

Parmi tant de trésors tu rayonnes sereine,
Angélique douceur, éblouissante reine,
Unique sœur du temps flottant au firmament,
L’étoile en cœur d’amour fait rêver les amants
Embarqués pour toujours, sur le lac aux diamants.

Ou

Parmi tous ces trésors tu scintilles sirène,
Admirable beauté, enivrante reine,
Unique sœur du temps noyée au firmament,
L’étoile au cœur du jour fait planer les amants
Entrainés par l’amour près du lac aux diamants.

Je t’embrasse affectueusement, excellente journée!.

Maurice
Eden de Samsara
je me joins à Maurice avec un p'tit jour de retard