C’est un feu dévorant la douceur de son âme
Et sous cette chaleur souffle la passion,
Qui démesurément ravit l’obsession,
Une fleur vient éclore au reflet d’une femme.
Et sous cette chaleur souffle la passion,
Qui démesurément ravit l’obsession,
Une fleur vient éclore au reflet d’une femme.
Dans l’ombre de la nuit s’étend la volupté
Dès que l’aube se lève en abîme d’oubli,
Le murmure au matin laisse un air qui faiblit
Sous la voûte céleste un désir indompté.
Dès que l’aube se lève en abîme d’oubli,
Le murmure au matin laisse un air qui faiblit
Sous la voûte céleste un désir indompté.
C’est un feu dévorant la douceur de son âme
Et sous cette chaleur souffle la passion,
Qui démesurément ravit l’obsession,
Une fleur vient éclore au reflet d’une femme.
Et sous cette chaleur souffle la passion,
Qui démesurément ravit l’obsession,
Une fleur vient éclore au reflet d’une femme.
L’étreinte sur sa peau la caresse l’enflamme,
Elle garde l’espoir refusant la pression
De son vœu désarmant toute discussion,
Dans son regard troublé tout son être l’acclame.
Elle garde l’espoir refusant la pression
De son vœu désarmant toute discussion,
Dans son regard troublé tout son être l’acclame.
C’est un feu dévorant la douceur de son âme
Et sous cette chaleur souffle la passion,
Qui démesurément ravit l’obsession,
Une fleur vient éclore au reflet d’une femme…
Et sous cette chaleur souffle la passion,
Qui démesurément ravit l’obsession,
Une fleur vient éclore au reflet d’une femme…
Maria-Dolores