Le ciel me jugera, je pleurs du fond de mon cœur.
Je m’afflige de mes fautes, mes égarements, mes malheurs.
En ce moment critique, obscur inspiré par la tristesse,
Ma vie est portée à l’humeur sombre, et pleine de détresse.
Je m’explore rétrospectivement, je vois un défaut de soin
Je colore à l’iodé, ma préparation se détaille dans tous les points.
J’implore que la douceur de l’amour me blanchisse le verdict.
Je déplore le malheur de ce parcours, c’est une parole véridique.
Ce texte, je vous assure, est loin d’une expression soporifique,
A la place d’une tonalité qui met en avant mes sentiments dramatiques.
Je déniche les mots qui conviennent pour étayer mon exposé
Je dénie ne pas vouloir lui accorder une douceur mérité.
Je reconnais toutes les fois que j’étais absent,
Toutes les secondes qui s’amorçaient sans que je sois présent.
Je déconnais parfois, alors que l’on prônait la pureté.
La droiture, l’innocence, l’exemption, ou même l’intégrité.
J’ai été retenu prisonnier d’une furtive nonchalance,
Un germe virulent qui, lorsqu’il attaque, arrive difficilement à échéance.
Mon immunité à médiation humorale me semblait dévastée,
Ma moelle osseuse perdait le moral devant cette invasion démasquée.
Tout ce mal de cœur s’imprègne de mon âme.
Tels des opinions, des principes, s’inculquent dans nos flammes.
Je fronce les sourcils, je me remarque seul dans la piste,
Je découvre que cette histoire m’a rendu plus qu’un autiste.
Et voilà que je me retrouve seul dans un monde des paranos.
Extrêmement méchant, je me referme que dans ma peau.
J’ai compris que la douleur de mon histoire me rendait fou.
J’ai comme pris la couleur de cette histoire comme un mauvais coup.
Que le ciel me pardonne, je pleurs du fond de mon cœur.
Je m’afflige de mes fautes, mes égarements, mes malheurs.
En ce moment critique, obscur inspiré par la tristesse,
Ma vie est portée à l’humeur sombre, et pleine de détresse.
Je m’explore rétrospectivement, je vois un défaut de soin
Je colore à l’iodé, ma préparation se détaille dans tous les points.
J’implore que la douceur de l’amour me blanchisse le verdict.
Je déplore le malheur de ce parcours, c’est une parole véridique.
Je m’afflige de mes fautes, mes égarements, mes malheurs.
En ce moment critique, obscur inspiré par la tristesse,
Ma vie est portée à l’humeur sombre, et pleine de détresse.
Je m’explore rétrospectivement, je vois un défaut de soin
Je colore à l’iodé, ma préparation se détaille dans tous les points.
J’implore que la douceur de l’amour me blanchisse le verdict.
Je déplore le malheur de ce parcours, c’est une parole véridique.
Ce texte, je vous assure, est loin d’une expression soporifique,
A la place d’une tonalité qui met en avant mes sentiments dramatiques.
Je déniche les mots qui conviennent pour étayer mon exposé
Je dénie ne pas vouloir lui accorder une douceur mérité.
Je reconnais toutes les fois que j’étais absent,
Toutes les secondes qui s’amorçaient sans que je sois présent.
Je déconnais parfois, alors que l’on prônait la pureté.
La droiture, l’innocence, l’exemption, ou même l’intégrité.
J’ai été retenu prisonnier d’une furtive nonchalance,
Un germe virulent qui, lorsqu’il attaque, arrive difficilement à échéance.
Mon immunité à médiation humorale me semblait dévastée,
Ma moelle osseuse perdait le moral devant cette invasion démasquée.
Tout ce mal de cœur s’imprègne de mon âme.
Tels des opinions, des principes, s’inculquent dans nos flammes.
Je fronce les sourcils, je me remarque seul dans la piste,
Je découvre que cette histoire m’a rendu plus qu’un autiste.
Et voilà que je me retrouve seul dans un monde des paranos.
Extrêmement méchant, je me referme que dans ma peau.
J’ai compris que la douleur de mon histoire me rendait fou.
J’ai comme pris la couleur de cette histoire comme un mauvais coup.
Que le ciel me pardonne, je pleurs du fond de mon cœur.
Je m’afflige de mes fautes, mes égarements, mes malheurs.
En ce moment critique, obscur inspiré par la tristesse,
Ma vie est portée à l’humeur sombre, et pleine de détresse.
Je m’explore rétrospectivement, je vois un défaut de soin
Je colore à l’iodé, ma préparation se détaille dans tous les points.
J’implore que la douceur de l’amour me blanchisse le verdict.
Je déplore le malheur de ce parcours, c’est une parole véridique.
