Tu étais mon cousin, ma lumière
Je t'aimais comme un frère
Mais un démon appelé malin
Tu rencontras un triste matin
Nous aurions pu faire de grandes choses
Avec toi la vie aurait pu être faite de rose
Mais dans ta folle inconscience
Tu faillis nous mener à la potence
Aujourd'hui je t'ai pardonné
Bien que tu ne l'aies pas mérité
La mort t'a ravi un matin d'hiver
Et malgré tout, ta perte me fut amère
Je sais que nous nous retrouverons
Que nos projets nous reprendrons
Dans un monde plein d'espoir
Et pour nous, enfin, ce sera la gloire