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Pépère le chat du poète.

#1
Au commissariat, le ministre qui avait été prévenu de l'arrivée du président attendait toujours. Cela faisait déjà une heure qu'il était parti de Mornay et on lui avait assuré qu'il en avait pour une demie heure.
Il essayait de se reposer, mais un coq n'arrêtait pas de chanter à côté de lui.
Il finit par appeler un gardien qui vint en râlant.
- Qu'est qu'il y a encore, vous voulez quoi ? Un jeu de carte pour jouer au poker avec coco.
- Je voudrais savoir ce que ce coq fait en cellule. C'est insensé cette histoire, un animal pareil en prison.
- Il a été arrêté, car il n'a pas payé son ADCLJ, et nous l'avons incarcéré en attente de décision du maire.
- Qu'est-ce que c'est que ça l'ADCLJ, je ne connais pas cet acronyme.
- C'est l'autorisation de chanter le jour, tous les coq de Nevers la paye sauf lui, alors le juge décidera de son sort.
L'homme reparti et le ministre n'en revenait pas. Pendant ce temps, le Président n'arrivait toujours pas.
- Alors, coco, comme ça, on ne veut pas payer ses impôts, ce n'est pas bien. Qu'est-ce que tu sens mauvais mon salaud.
- Hé, ministre, comme ça, on insulte les serveurs dans les bars. Tu ferais mieux de t'occuper de tes oignons. Pour information mon parfum, c'est, brise de cochon de chez Chartier le célèbre parfumeur de la basse-cour.
Le ministre n'en revenait pas, le coq lui avait parlé, mais comment cela était-il possible.
- Mais vous parlez monsieur coco, comment, c'est possible ça ?
- Hé alors, vous réfléchissez sans gilet et vous êtes ministre, comment, c'est possible ça ?
Et vous avez déjà vu un coq payer des impôts, alors tu ferais mieux de te taire si mon parfum te dérange. C'est un musc puissant et haut de gamme qui a été créé par Chartier qui travaille à Chadior et Nichatricci.
- Oui, c'est vrai, c'est une drôle de situation, restons amis et s'il vous plaît chanter un peu moins souvent.
- Yes man, cocorico, je suis ton coq et quand je bloque devant une poule, je fais toc toc coco, cocorico.
Le ministre finit par se résoudre et le laissa pousser la chansonnette.
Non loin de là, le président était en train d'essayer d'arrêter le klaxon de la voiture qui s'était mis à hurler et qui ne semblait pas vouloir s'arrêter.
- Hé bien, Monsieur le Président vous n'y avez pas été doucement, c'est la voiture de Pépère et vous l'avez entièrement démolie. Comment allons-nous faire pour rentrer. Si seulement nous avions laisser la vieille bique au volant ça ne serait pas arrivé.
- Hé moine d'opéra, tu me dis que je ne suis pas polie avec cordon-bleu et tu lui fais la morale, tu peux bien parler. Regarde qui est là, le soûlard de la brigade, le brigadier Tatouvu avec le général Picolle. Ça va être la fête des Gaulois cordon-bleu. J'espère que les salopards ont de quoi boire, car tu as bu la dernière bouteille vieux Mohican des tavernes italiennes.
Le général Picolle descendit de la voiture du brigadier et se dirigea vers le président et ouvrit la porte de l'automobile.
- Alors mon gaillard comme ça l'on commet des incivilités en ville. Alors président ou pas, je vous colle six cent ans de chaise électrique à perpétuité et arrêté de faire le coq, c'est agaçant.
En fait, le président était sans le savoir juste derrière le commissariat de police et son ministre était en pleine discussion avec coco.
Devant la voiture une intervenante était là.
Chouânne en personne qui n'était pas contente pour la voiture à Pépère.
Visiblement, c'était le jour de la Saint Emanuel.
Le Belge qui était répartit vers sancoins, roulait tranquillement. Il passa devant une maison quand soudain sa caravane fut comme absorbé par le ciel et retomba trente mètres plus loin.
- Ça alors, mon épouse, nous avons été victime d'une vengeance des Soubirous, comment c'est possible non d'une frite, que la caravane qui n'a pas bronché tantôt se décroche de l'auto. Je vais porter plainte contre les Soubirous, c'est une honte n'est pas.
- Tu as raison mon époux, ce n'est pas normal, nous sommes victimes de représailles. Déjà qu'ils t'ont volé ton portefeuille à l'église, c'est un monde n'est-ce pas.
Au même moment, c'est la toiture du supermarché devant lequel s'était arrêté le Pépère qui s'envola avant d'aller s'écraser dans un champ.
Elle passa juste au-dessus de la voiture à Pépère.
Au canal, Chouânne était absente et ne put constater un phénomène. Le canal s'était rempli d'un coup jusqu'à déborder et s'était vidé aussitôt. Les maisons et l'estrade étaient inondées.
C'est du ciel que Leïlanne qui était là première des deux soucoupes vit cette chose étrange.
Turbo reçu l'ordre de prévenir Isidore et le fit pendant que Leïlanne était en train d'enregistrer la scène mentalement et la restituer sur un écran.
- Allô ici Turbo, nous avons constaté une chose bizarre, allô ici turbo. Isidore, donne l'ordre à Liettuje de mettre sa soucoupe en stationnaire. Allô, ici, Turbo, me reçois tu Isidore.
- Allô, ici Isidore, mayday mayday, notre soucoupe s'est retournée nous n'avons plus de contrôle. Ici Isidore, mayday mayday. Allô ici Isidore, nous sommes tombés sur une forêt proche, mayday mayday.
Visiblement, quelque chose de surnaturelle se passait sur la commune de sancoins.
Pendant que le brigadier essayait de calmer le général Picolle qui ne voulait pas en découdre avec le président, la radio de sa voiture n'arrêtait pas de l'appeler.
De l'autre côté dans la cellule, le ministre lui entendait la radio.
La vitre de la voiture était restée ouverte et communiquait avec le vasistas de la cellule. La circulation empêchait le brigadier d'écouter, mais c'était parfaitement audible de l'autre côté.
- Monsieur le Ministre, vous avez entendu, nous sommes en communication avec la gendarmerie de Sancoins, ce n'est pas étrange ça ? Cocorico.
- Si Coco, c'est assez bizarre, que se passe-t-il donc.
Devant la cabane du poète, Chatdore était toujours avec Bibou et un nuage violet se forma et tomba sur la pinède devant leurs yeux.
- Tu as vu mon copain, whouaf, qu'est-ce que c'est mon copain ?
- Ça, c'est un phénomène courant mon copain, c'est que les sangliruniums ont dû s'échapper de leur enclos, et vu le nuage, il doit y en avoir une sacrée troupe.
- Whouaf, mais de quoi tu parles mon copain quel rapport avec les sangliruniums ?
- Hé bien, je vais te l'expliquer mon copain et tu vas comprendre.
Tu sais que les sangliruniums sont des sangliers nucléaires avec des dents de lièvre et des pattes de lapin. C'est un croisement entre le lièvre et les sangliers de la forêt et ils sont ainsi à cause du tas de plutonium qui est enterré dans le bois, bref.
Tu sais que la maîtresse à Pépère est partie à Lourdes avec un fromage de quarante-sept kilos qu'elle a mangé avec son ami portugais. Hé bien, ce fromage a été fait avec le lait de raisin nucléaire de Josiane. Comme, les deux alcooliques n'avaient plus de raisin, ils ont donné à la vache des abricots qui ont poussé dans l'uranium. Le problème de ces abricots, c'est qu'ils ont une peau aussi épaisse qu'une noix de coco.
- Cocorico, oui, c'est moi.
- Non, coco, tu interviens plus tard.
- Ha d'accord, cocorico.
- donc, le problème de ces abricots, c'est qu'ils ont une peau aussi épaisse qu'une noix de coco. Ils en ont épluché, enfin, Pépère en a épluché deux tonnes. Ils ont jeté les peaux dans le bois et celles-ci donnent des gaz aux sangliruniums. Ce que tu as vu est un pet collectif de sanglirunium.
- Whouaf, quelle histoire.
Sur la route, Lolo s'était arrêté en voyant passé le toit du magasin au-dessus de l'automobile.
- Toc toc toc, qu'est ce que c'est que cette chose, toc toc toc, c'est un canal volant, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est une mare volante pilotée par ma gendarme poète qui va donner à manger aux petits oiseaux, fle fle fle.
- C'est quoi ce grand panneau pépère, tu as une idée ?
- Hé bien, c'est ce que je craignais et la preuve de mon histoire. Le scorpion dans le magasin a dû arracher le toit de colère et l'aura jeté, c'est la seule explication possible, il a du tombé dans le rayon du lait maternelle qui fait des gozilas.
- Toc toc toc, qu'est que c'est que ce lait, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est à n'y rien comprendre fle fle fle.
- Oui, Pépère quel rapport avec le scorpion.
- Je vais, vous l'expliquer et vous allez comprendre, c'est tout bête et vous me direz, pourquoi je n'y ai pas pensé.
Voilà un jour mon soûlard à décidé de faire un élevage de hamsters pour produire des œufs. Vous allez me dire, pourquoi pas des poules. Hé bien, c'est que la nourriture étant trafiqué ça ne donne pas le résultat escompté. Il a déjà essayé de faire des poules et le blé enrichi au toluène et au palladium leur faisait pousser les dents. Elles rongeaient le poulailler et s'échappaient. En plus, elles faisaient des œufs triangulaires en nickel incassables. Il a donc abandonné et c'est lancé dans l'œuf de hamster. Le problème, c'est que les carottes nucléaires leur ont fait pousser des pis sur les oreilles. C'est ainsi que Pépère pauvre miséreux, pour un bol de croquettes pourries du commissariat remplies de cocaïne faisait la traite des hamsters tous les jours. Puis, il s'est rendu compte que le lait était vert fluorescent et invendable. Du coup, il l'a lyophilisé et blanchis avec du silicium. Il a signé un contrat avec Chatlia en disant que j'en étais le concepteur. Ce lait fait pousser les dents des nourrissons et les parents sont obligés de limer deux fois par jour. Par contre, il fait des surdoués alors ils continuent le business. Voilà, le scorpion a dû mangé de ce lait.



























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Cortisone

Maître Poète
#2
Au commissariat, le ministre qui avait été prévenu de l'arrivée du président attendait toujours. Cela faisait déjà une heure qu'il était parti de Mornay et on lui avait assuré qu'il en avait pour une demie heure.
Il essayait de se reposer, mais un coq n'arrêtait pas de chanter à côté de lui.
Il finit par appeler un gardien qui vint en râlant.
- Qu'est qu'il y a encore, vous voulez quoi ? Un jeu de carte pour jouer au poker avec coco.
- Je voudrais savoir ce que ce coq fait en cellule. C'est insensé cette histoire, un animal pareil en prison.
- Il a été arrêté, car il n'a pas payé son ADCLJ, et nous l'avons incarcéré en attente de décision du maire.
- Qu'est-ce que c'est que ça l'ADCLJ, je ne connais pas cet acronyme.
- C'est l'autorisation de chanter le jour, tous les coq de Nevers la paye sauf lui, alors le juge décidera de son sort.
L'homme reparti et le ministre n'en revenait pas. Pendant ce temps, le Président n'arrivait toujours pas.
- Alors, coco, comme ça, on ne veut pas payer ses impôts, ce n'est pas bien. Qu'est-ce que tu sens mauvais mon salaud.
- Hé, ministre, comme ça, on insulte les serveurs dans les bars. Tu ferais mieux de t'occuper de tes oignons. Pour information mon parfum, c'est, brise de cochon de chez Chartier le célèbre parfumeur de la basse-cour.
Le ministre n'en revenait pas, le coq lui avait parlé, mais comment cela était-il possible.
- Mais vous parlez monsieur coco, comment, c'est possible ça ?
- Hé alors, vous réfléchissez sans gilet et vous êtes ministre, comment, c'est possible ça ?
Et vous avez déjà vu un coq payer des impôts, alors tu ferais mieux de te taire si mon parfum te dérange. C'est un musc puissant et haut de gamme qui a été créé par Chartier qui travaille à Chadior et Nichatricci.
- Oui, c'est vrai, c'est une drôle de situation, restons amis et s'il vous plaît chanter un peu moins souvent.
- Yes man, cocorico, je suis ton coq et quand je bloque devant une poule, je fais toc toc coco, cocorico.
Le ministre finit par se résoudre et le laissa pousser la chansonnette.
Non loin de là, le président était en train d'essayer d'arrêter le klaxon de la voiture qui s'était mis à hurler et qui ne semblait pas vouloir s'arrêter.
- Hé bien, Monsieur le Président vous n'y avez pas été doucement, c'est la voiture de Pépère et vous l'avez entièrement démolie. Comment allons-nous faire pour rentrer. Si seulement nous avions laisser la vieille bique au volant ça ne serait pas arrivé.
- Hé moine d'opéra, tu me dis que je ne suis pas polie avec cordon-bleu et tu lui fais la morale, tu peux bien parler. Regarde qui est là, le soûlard de la brigade, le brigadier Tatouvu avec le général Picolle. Ça va être la fête des Gaulois cordon-bleu. J'espère que les salopards ont de quoi boire, car tu as bu la dernière bouteille vieux Mohican des tavernes italiennes.
Le général Picolle descendit de la voiture du brigadier et se dirigea vers le président et ouvrit la porte de l'automobile.
- Alors mon gaillard comme ça l'on commet des incivilités en ville. Alors président ou pas, je vous colle six cent ans de chaise électrique à perpétuité et arrêté de faire le coq, c'est agaçant.
En fait, le président était sans le savoir juste derrière le commissariat de police et son ministre était en pleine discussion avec coco.
Devant la voiture une intervenante était là.
Chouânne en personne qui n'était pas contente pour la voiture à Pépère.
Visiblement, c'était le jour de la Saint Emanuel.
Le Belge qui était répartit vers sancoins, roulait tranquillement. Il passa devant une maison quand soudain sa caravane fut comme absorbé par le ciel et retomba trente mètres plus loin.
- Ça alors, mon épouse, nous avons été victime d'une vengeance des Soubirous, comment c'est possible non d'une frite, que la caravane qui n'a pas bronché tantôt se décroche de l'auto. Je vais porter plainte contre les Soubirous, c'est une honte n'est pas.
- Tu as raison mon époux, ce n'est pas normal, nous sommes victimes de représailles. Déjà qu'ils t'ont volé ton portefeuille à l'église, c'est un monde n'est-ce pas.
Au même moment, c'est la toiture du supermarché devant lequel s'était arrêté le Pépère qui s'envola avant d'aller s'écraser dans un champ.
Elle passa juste au-dessus de la voiture à Pépère.
Au canal, Chouânne était absente et ne put constater un phénomène. Le canal s'était rempli d'un coup jusqu'à déborder et s'était vidé aussitôt. Les maisons et l'estrade étaient inondées.
C'est du ciel que Leïlanne qui était là première des deux soucoupes vit cette chose étrange.
Turbo reçu l'ordre de prévenir Isidore et le fit pendant que Leïlanne était en train d'enregistrer la scène mentalement et la restituer sur un écran.
- Allô ici Turbo, nous avons constaté une chose bizarre, allô ici turbo. Isidore, donne l'ordre à Liettuje de mettre sa soucoupe en stationnaire. Allô, ici, Turbo, me reçois tu Isidore.
- Allô, ici Isidore, mayday mayday, notre soucoupe s'est retournée nous n'avons plus de contrôle. Ici Isidore, mayday mayday. Allô ici Isidore, nous sommes tombés sur une forêt proche, mayday mayday.
Visiblement, quelque chose de surnaturelle se passait sur la commune de sancoins.
Pendant que le brigadier essayait de calmer le général Picolle qui ne voulait pas en découdre avec le président, la radio de sa voiture n'arrêtait pas de l'appeler.
De l'autre côté dans la cellule, le ministre lui entendait la radio.
La vitre de la voiture était restée ouverte et communiquait avec le vasistas de la cellule. La circulation empêchait le brigadier d'écouter, mais c'était parfaitement audible de l'autre côté.
- Monsieur le Ministre, vous avez entendu, nous sommes en communication avec la gendarmerie de Sancoins, ce n'est pas étrange ça ? Cocorico.
- Si Coco, c'est assez bizarre, que se passe-t-il donc.
Devant la cabane du poète, Chatdore était toujours avec Bibou et un nuage violet se forma et tomba sur la pinède devant leurs yeux.
- Tu as vu mon copain, whouaf, qu'est-ce que c'est mon copain ?
- Ça, c'est un phénomène courant mon copain, c'est que les sangliruniums ont dû s'échapper de leur enclos, et vu le nuage, il doit y en avoir une sacrée troupe.
- Whouaf, mais de quoi tu parles mon copain quel rapport avec les sangliruniums ?
- Hé bien, je vais te l'expliquer mon copain et tu vas comprendre.
Tu sais que les sangliruniums sont des sangliers nucléaires avec des dents de lièvre et des pattes de lapin. C'est un croisement entre le lièvre et les sangliers de la forêt et ils sont ainsi à cause du tas de plutonium qui est enterré dans le bois, bref.
Tu sais que la maîtresse à Pépère est partie à Lourdes avec un fromage de quarante-sept kilos qu'elle a mangé avec son ami portugais. Hé bien, ce fromage a été fait avec le lait de raisin nucléaire de Josiane. Comme, les deux alcooliques n'avaient plus de raisin, ils ont donné à la vache des abricots qui ont poussé dans l'uranium. Le problème de ces abricots, c'est qu'ils ont une peau aussi épaisse qu'une noix de coco.
- Cocorico, oui, c'est moi.
- Non, coco, tu interviens plus tard.
- Ha d'accord, cocorico.
- donc, le problème de ces abricots, c'est qu'ils ont une peau aussi épaisse qu'une noix de coco. Ils en ont épluché, enfin, Pépère en a épluché deux tonnes. Ils ont jeté les peaux dans le bois et celles-ci donnent des gaz aux sangliruniums. Ce que tu as vu est un pet collectif de sanglirunium.
- Whouaf, quelle histoire.
Sur la route, Lolo s'était arrêté en voyant passé le toit du magasin au-dessus de l'automobile.
- Toc toc toc, qu'est ce que c'est que cette chose, toc toc toc, c'est un canal volant, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est une mare volante pilotée par ma gendarme poète qui va donner à manger aux petits oiseaux, fle fle fle.
- C'est quoi ce grand panneau pépère, tu as une idée ?
- Hé bien, c'est ce que je craignais et la preuve de mon histoire. Le scorpion dans le magasin a dû arracher le toit de colère et l'aura jeté, c'est la seule explication possible, il a du tombé dans le rayon du lait maternelle qui fait des gozilas.
- Toc toc toc, qu'est que c'est que ce lait, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est à n'y rien comprendre fle fle fle.
- Oui, Pépère quel rapport avec le scorpion.
- Je vais, vous l'expliquer et vous allez comprendre, c'est tout bête et vous me direz, pourquoi je n'y ai pas pensé.
Voilà un jour mon soûlard à décidé de faire un élevage de hamsters pour produire des œufs. Vous allez me dire, pourquoi pas des poules. Hé bien, c'est que la nourriture étant trafiqué ça ne donne pas le résultat escompté. Il a déjà essayé de faire des poules et le blé enrichi au toluène et au palladium leur faisait pousser les dents. Elles rongeaient le poulailler et s'échappaient. En plus, elles faisaient des œufs triangulaires en nickel incassables. Il a donc abandonné et c'est lancé dans l'œuf de hamster. Le problème, c'est que les carottes nucléaires leur ont fait pousser des pis sur les oreilles. C'est ainsi que Pépère pauvre miséreux, pour un bol de croquettes pourries du commissariat remplies de cocaïne faisait la traite des hamsters tous les jours. Puis, il s'est rendu compte que le lait était vert fluorescent et invendable. Du coup, il l'a lyophilisé et blanchis avec du silicium. Il a signé un contrat avec Chatlia en disant que j'en étais le concepteur. Ce lait fait pousser les dents des nourrissons et les parents sont obligés de limer deux fois par jour. Par contre, il fait des surdoués alors ils continuent le business. Voilà, le scorpion a dû mangé de ce lait.



























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Hi hi Pépère police.
La saint Emmanuel est le 25 décembre. ...
J'ai bien aimé cet épisode.
A demain pour la suite
Amicalement
Gaby