Sur Charnïa, Turbo était sur un petit nuage et n'en pouvait plus de ses vantardises. Les fées le regardaient avec étonnement. Il avait pris une assurance incroyable et s'adressa au maître d'hôtel qui le recevait pour le repas des dieux en ces termes.
- Écoutez, pensez-vous que Dieu, puisse se satisfaire d'un simple siège comme vous m'avez alloué ?
Je veux et j'exige un trône en or serti de diamant avec la gravure de Pépère dans le dos. Vous possédez dessus un dais moelleux revêtu de soie de Palmyre avec que je puisse dîner avec mes assistants et mes serviteurs.
Il fut amené le trône royal de la pyramide et Turbo s'installa dessus. Il renifla les poulets et posa la pattes dessus et s'écria.
- Obscurantisme, ignorance, bêtise profonde, qu'on me réchauffe ces poulets qui sont à peine tièdes. Un Dieu à besoin d'un repas à sa décence ne le savez-vous pas !
Les poulets furent réchauffés et Turbo commença à manger. Isidore n'en revenait pas et se disait dans sa tête, mais c'est qu'il ferait peur l'animal, il se prend réellement pour Pépère. Il finit par lui dire une fois que les serveurs furent sortis.
- Hé bien, Turbo, tu te prends pour Pépère, chat chat chat, tu as vraiment tout dirigé ?
- Écoute, Isidore, j'ai suivi les ordres de turbo dans la soucoupe et il a été grandiose.
- Tu vois Un-œil, tu as l'air étonné, même Leïlanne qui était avec lui le dit, répondit Liettuje.
Turbo regarda l'assemblée et Isidore en particulier.
- Écoute mon copain, j'ai déjà été chef de vaisseaux dans une super production.
- Ha bon mon copain comment ça ?
- Que je t'explique et tu vas comprendre. Tu as déjà entendu parler du film, le retour du jeudi.
- Oui mon copain, c'était la guerre des chats à voile.
- Oui, Isidore, et les producteurs cherchait une suite pour les épisodes. Il était en manque d'inspiration et me demande lors d'un dîner où jetais invité avec Pépère qui avait eu un rôle dans le retour du jeudi.
Il me dit comme ça, Turbo, vous le chat qui a deux Turbos par pattes, vous le chat le plus rapide de l'univers, vous n'auriez pas une idée. C'est alors que j'ai eu l'idée, comme toi, Isidore avec toutes griffes dehors, d'une suite exceptionnelle que j'ai intitulé le départ du vendredi. Oui, nous devions partir la veille du week-end pour combattre le terrible Charkvadord sur la planète Kripton où habite l'homme araignée. Donc la série fut appelée la guerre des chatpoils et le premier opus fut le départ du vendredi. Les épisodes étaient grandioses, car les faits filmés étaient réellement vrais qu'il était vrai. C'est donc avec courage que j'ai combattu le puissant Charkvadord et délivré l'homme araignée des griffe du tyran, durant l'épisode, on peut admirer avec quelle classe, je pilote une soucoupe volante. Alors vous comprenez maintenant pourquoi j'ai été aussi bon pour vous diriger.
Pendant que Turbo était en train de crâner sur Charnïa, sa cousine, était repartie vers le champ des juments, car elle n'avait plus de nouvelles de lui depuis ses derniers messages où il lui disait combattre les chats Énarpilodiens. Arrivée sur le terrain du poète, elle vit au loin Chatdore et Lucie et de l'autre côté Ainos qui venait vers la cabane. Comme Sybage elle était inquiète, car elle n'avait plus de nouvelles de son chatmoureux Pépère.
Les deux minettes arrivèrent ensemble vers Lucie. Chatdore était toujours dans son délire et se disait, encore du monde pour briller en société.
- Chatlut, Lucie, tu n'aurais pas des nouvelles de mon chamoureux par hasard ?
- Hii, non, Sybage, Turbo est toujours dans l'espace.
- Hé bien, que fait mon Pépère aussi ?
- Hii, il est toujours à la brasserie, Chatdore l'a vu sur sa chaîne Chattube.
- Il est bavard, on dirait, chat chat chat, mon chamoureux, ou il fait le ménage pour le pape ce n'est pas possible.
- Chat chat chat, comme la soûlarde pour le curé d'en face.
- Hii, comment ça mon méga love Chatdore ?
- Que, je t'explique l'histoire. Voilà comme tu le sais, l'homme en face de ton champ est un alcoolique et un pseudo-poète qui écrit des messes sataniques. Il picole toute la journée, mais jamais deux fois dans le même verre. Du coup, il y a des bols et des verres plein de vinasse dans son capharnaüm. C'est d'ailleurs pour ça qu'il y a des guêpes l'été. Après ça ne le dérange pas, il les capture et sa soûlarde fait des tartes avec ou bien des amuses-gueules pour l'apéritif. Ce qui leur est d'ailleurs bien pratique puisqu'ils gardent les dards comme cures dents. Le soûlard s'en sert aussi comme clous à tapisserie.
Donc, un jour est passée dans la région une chanteuse et elle est tombé en panne sur la route avec sa voiture. Elle s'arrête au bistrot téléphoné. Oui, à cette époque, le portable était réservé aux grands de la cour, bref. Et dans le bar sur qui elle tombe, je vous le donne en mille, le décapeur thermique pour étiquette de vin. Il lui propose de réparer sa voiture. Du coup Pépère qui se reposait d'une mission dans laquelle il avait risqué sa vie contre des mygales bleues de six mètres de haut en Indonésie, fut réveillé pour SOS harnais. Il a dû réparer la voiture et la chanteuse fut invitée pour boire un verre dans le gourbi. La soûlarde faisait la vaisselle où il n'y avait que des verres. Elle chantait en lavant les bols et la chanteuse lui dit, mais votre soûlard est curé ? Oui qu'elle lui dit et l'autre lui dit la bonne du curé. Le, déshydraté de la bouteille, s'écrie, la bonne du curé, excellent titre et il écrit la chanson à la femme qui était en réalité, Annie Jordy la mère de Jordy pour qui le soûlard a écrit des années plus tard, dur, dur, d'être imbibé. Voilà pourquoi je dis ça.
Le président écoutait toujours Pépère et lui dit.
- Votre maître a quand même raison sur un point vous avez quand même une grosse tête.
Le Pépère le regarda et lui répondit.
- Écoutez, vous avez une petite tête et moi, j'ai deux grosses têtes. Mais ce que vous ignorez, c'est que malgré la taille considérable de ma tête, toute mon intelligence ne peut y tenir. Donc dans mon ventre que chacun pense être de la graisse n'est en fait que de la matière grise. J'ai comme qui dirait un double cerveau et c'est pour cette raison que l'on me demande de partout pour des missions impossibles à d'autres.
Dans sa tête, il pensait..
Alors, Emmanuel, tu te brosses moins le cordon-bleu à présent prétentieux.
- Et comme ces deux attributs ne peuvent pas contenir toutes mes facultés raison pour laquelle j'ai aussi des grosses pattes qui sont une réserve de neurones au cas où.
- Oui, je comprends, mais il ne l'a peut-être pas dit de façon insultante, votre maître.
- Attendez, par la suite nous sommes repartis vers chez le torturien des animaux et le comble de l'indécence, il voit dans la rue un chat ordinaire et s'écrie, hé bien gamin, tu es un joli minet, ta robe est très jolie. Alors je lui ai répondu. Hé Côte du Rhône, un joli poil, et Pépère alors. Quand je pense que j'aie attendu une heure dans la xm sans musique à cause d'un poste à galène de mille neuf cent, subi l'assaut d'une alcoolique, écouté la messe en boucle sur dix kilomètres et jamais tu ne m'as dit que j'étais le plus beau des chats franchement, je suis dégoûté. Dès que je peux m'échapper de chez le tortionnaire, je vais à la cabane et je défonce la porte, je mange la saucisse ensuite, je fais un caca et je pends un boudin létale à la place, tu ne l'auras pas volé. Et attendez la suite, c'est de la folie. J'arrive chez le faux vétérinaire qui avait un vrai accent yougoslave et une haleine à neutraliser un scorpion a deux cent mètres qui me dit.
- Alorzz mon zoli gamin ça va, regarde, c'est une piqûre pour te zérir, viens me zoir mon pépère. Je lui ai donné un bon coup de queue en lui répondant.
- Hé barrique de rhum, tu sais où tu peux te le mettre ton suppositoire contre les coliques nuageuses d'ozone. Le pépère n'a besoin d'aucun médicament, j'ai suffisamment de connaissances en médecine pour le savoir. Le salopard m'a empoigné de force par l'encolure et m'a maintenu la tête en arrière en m'ouvrant la bouche et à jeté la pilule au fond de ma gorge. Malgré mes essais de régurgitations aucun moyen de la recracher. J'étais furax et regardais les autres chats qui étaient en face dans des cafés avec mépris. Je ne me suis pas dégonflé et lui ai répondu. Hé sac à vin, ça t'amuse de faire des expériences sur moi. Je ne suis qu'un pauvre chat sans défense, c'est ce que tu crois le faux médecin, je vais me venger. Ta pilule, je vais la vomir dans tes poches quand tu m'emmèneras vers la cage, après avoir pissé dedans espèce de chatxorciste décoloré à l'ammoniaque extraterrestre. Communiste bandit pirate, sac à vinasse va au diable.
- Ha oui quand même, ça a été terrible à ce que je vois.
- Écoutez, pensez-vous que Dieu, puisse se satisfaire d'un simple siège comme vous m'avez alloué ?
Je veux et j'exige un trône en or serti de diamant avec la gravure de Pépère dans le dos. Vous possédez dessus un dais moelleux revêtu de soie de Palmyre avec que je puisse dîner avec mes assistants et mes serviteurs.
Il fut amené le trône royal de la pyramide et Turbo s'installa dessus. Il renifla les poulets et posa la pattes dessus et s'écria.
- Obscurantisme, ignorance, bêtise profonde, qu'on me réchauffe ces poulets qui sont à peine tièdes. Un Dieu à besoin d'un repas à sa décence ne le savez-vous pas !
Les poulets furent réchauffés et Turbo commença à manger. Isidore n'en revenait pas et se disait dans sa tête, mais c'est qu'il ferait peur l'animal, il se prend réellement pour Pépère. Il finit par lui dire une fois que les serveurs furent sortis.
- Hé bien, Turbo, tu te prends pour Pépère, chat chat chat, tu as vraiment tout dirigé ?
- Écoute, Isidore, j'ai suivi les ordres de turbo dans la soucoupe et il a été grandiose.
- Tu vois Un-œil, tu as l'air étonné, même Leïlanne qui était avec lui le dit, répondit Liettuje.
Turbo regarda l'assemblée et Isidore en particulier.
- Écoute mon copain, j'ai déjà été chef de vaisseaux dans une super production.
- Ha bon mon copain comment ça ?
- Que je t'explique et tu vas comprendre. Tu as déjà entendu parler du film, le retour du jeudi.
- Oui mon copain, c'était la guerre des chats à voile.
- Oui, Isidore, et les producteurs cherchait une suite pour les épisodes. Il était en manque d'inspiration et me demande lors d'un dîner où jetais invité avec Pépère qui avait eu un rôle dans le retour du jeudi.
Il me dit comme ça, Turbo, vous le chat qui a deux Turbos par pattes, vous le chat le plus rapide de l'univers, vous n'auriez pas une idée. C'est alors que j'ai eu l'idée, comme toi, Isidore avec toutes griffes dehors, d'une suite exceptionnelle que j'ai intitulé le départ du vendredi. Oui, nous devions partir la veille du week-end pour combattre le terrible Charkvadord sur la planète Kripton où habite l'homme araignée. Donc la série fut appelée la guerre des chatpoils et le premier opus fut le départ du vendredi. Les épisodes étaient grandioses, car les faits filmés étaient réellement vrais qu'il était vrai. C'est donc avec courage que j'ai combattu le puissant Charkvadord et délivré l'homme araignée des griffe du tyran, durant l'épisode, on peut admirer avec quelle classe, je pilote une soucoupe volante. Alors vous comprenez maintenant pourquoi j'ai été aussi bon pour vous diriger.
Pendant que Turbo était en train de crâner sur Charnïa, sa cousine, était repartie vers le champ des juments, car elle n'avait plus de nouvelles de lui depuis ses derniers messages où il lui disait combattre les chats Énarpilodiens. Arrivée sur le terrain du poète, elle vit au loin Chatdore et Lucie et de l'autre côté Ainos qui venait vers la cabane. Comme Sybage elle était inquiète, car elle n'avait plus de nouvelles de son chatmoureux Pépère.
Les deux minettes arrivèrent ensemble vers Lucie. Chatdore était toujours dans son délire et se disait, encore du monde pour briller en société.
- Chatlut, Lucie, tu n'aurais pas des nouvelles de mon chamoureux par hasard ?
- Hii, non, Sybage, Turbo est toujours dans l'espace.
- Hé bien, que fait mon Pépère aussi ?
- Hii, il est toujours à la brasserie, Chatdore l'a vu sur sa chaîne Chattube.
- Il est bavard, on dirait, chat chat chat, mon chamoureux, ou il fait le ménage pour le pape ce n'est pas possible.
- Chat chat chat, comme la soûlarde pour le curé d'en face.
- Hii, comment ça mon méga love Chatdore ?
- Que, je t'explique l'histoire. Voilà comme tu le sais, l'homme en face de ton champ est un alcoolique et un pseudo-poète qui écrit des messes sataniques. Il picole toute la journée, mais jamais deux fois dans le même verre. Du coup, il y a des bols et des verres plein de vinasse dans son capharnaüm. C'est d'ailleurs pour ça qu'il y a des guêpes l'été. Après ça ne le dérange pas, il les capture et sa soûlarde fait des tartes avec ou bien des amuses-gueules pour l'apéritif. Ce qui leur est d'ailleurs bien pratique puisqu'ils gardent les dards comme cures dents. Le soûlard s'en sert aussi comme clous à tapisserie.
Donc, un jour est passée dans la région une chanteuse et elle est tombé en panne sur la route avec sa voiture. Elle s'arrête au bistrot téléphoné. Oui, à cette époque, le portable était réservé aux grands de la cour, bref. Et dans le bar sur qui elle tombe, je vous le donne en mille, le décapeur thermique pour étiquette de vin. Il lui propose de réparer sa voiture. Du coup Pépère qui se reposait d'une mission dans laquelle il avait risqué sa vie contre des mygales bleues de six mètres de haut en Indonésie, fut réveillé pour SOS harnais. Il a dû réparer la voiture et la chanteuse fut invitée pour boire un verre dans le gourbi. La soûlarde faisait la vaisselle où il n'y avait que des verres. Elle chantait en lavant les bols et la chanteuse lui dit, mais votre soûlard est curé ? Oui qu'elle lui dit et l'autre lui dit la bonne du curé. Le, déshydraté de la bouteille, s'écrie, la bonne du curé, excellent titre et il écrit la chanson à la femme qui était en réalité, Annie Jordy la mère de Jordy pour qui le soûlard a écrit des années plus tard, dur, dur, d'être imbibé. Voilà pourquoi je dis ça.
Le président écoutait toujours Pépère et lui dit.
- Votre maître a quand même raison sur un point vous avez quand même une grosse tête.
Le Pépère le regarda et lui répondit.
- Écoutez, vous avez une petite tête et moi, j'ai deux grosses têtes. Mais ce que vous ignorez, c'est que malgré la taille considérable de ma tête, toute mon intelligence ne peut y tenir. Donc dans mon ventre que chacun pense être de la graisse n'est en fait que de la matière grise. J'ai comme qui dirait un double cerveau et c'est pour cette raison que l'on me demande de partout pour des missions impossibles à d'autres.
Dans sa tête, il pensait..
Alors, Emmanuel, tu te brosses moins le cordon-bleu à présent prétentieux.
- Et comme ces deux attributs ne peuvent pas contenir toutes mes facultés raison pour laquelle j'ai aussi des grosses pattes qui sont une réserve de neurones au cas où.
- Oui, je comprends, mais il ne l'a peut-être pas dit de façon insultante, votre maître.
- Attendez, par la suite nous sommes repartis vers chez le torturien des animaux et le comble de l'indécence, il voit dans la rue un chat ordinaire et s'écrie, hé bien gamin, tu es un joli minet, ta robe est très jolie. Alors je lui ai répondu. Hé Côte du Rhône, un joli poil, et Pépère alors. Quand je pense que j'aie attendu une heure dans la xm sans musique à cause d'un poste à galène de mille neuf cent, subi l'assaut d'une alcoolique, écouté la messe en boucle sur dix kilomètres et jamais tu ne m'as dit que j'étais le plus beau des chats franchement, je suis dégoûté. Dès que je peux m'échapper de chez le tortionnaire, je vais à la cabane et je défonce la porte, je mange la saucisse ensuite, je fais un caca et je pends un boudin létale à la place, tu ne l'auras pas volé. Et attendez la suite, c'est de la folie. J'arrive chez le faux vétérinaire qui avait un vrai accent yougoslave et une haleine à neutraliser un scorpion a deux cent mètres qui me dit.
- Alorzz mon zoli gamin ça va, regarde, c'est une piqûre pour te zérir, viens me zoir mon pépère. Je lui ai donné un bon coup de queue en lui répondant.
- Hé barrique de rhum, tu sais où tu peux te le mettre ton suppositoire contre les coliques nuageuses d'ozone. Le pépère n'a besoin d'aucun médicament, j'ai suffisamment de connaissances en médecine pour le savoir. Le salopard m'a empoigné de force par l'encolure et m'a maintenu la tête en arrière en m'ouvrant la bouche et à jeté la pilule au fond de ma gorge. Malgré mes essais de régurgitations aucun moyen de la recracher. J'étais furax et regardais les autres chats qui étaient en face dans des cafés avec mépris. Je ne me suis pas dégonflé et lui ai répondu. Hé sac à vin, ça t'amuse de faire des expériences sur moi. Je ne suis qu'un pauvre chat sans défense, c'est ce que tu crois le faux médecin, je vais me venger. Ta pilule, je vais la vomir dans tes poches quand tu m'emmèneras vers la cage, après avoir pissé dedans espèce de chatxorciste décoloré à l'ammoniaque extraterrestre. Communiste bandit pirate, sac à vinasse va au diable.
- Ha oui quand même, ça a été terrible à ce que je vois.
