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Pépère le chat du poète, suite.

#1
J'arrivais à Sancoins vers deux heures dix minutes deux secondes dix centièmes vingt millièmes cinq terras, oups, pardon, je vous donnais l'heure en moyenne compensée, désolé mes amis, déformation professionnelle.
Donc j'arrivais à Sancoins et posais mon hélicoptère au sol que dans l'air, on ne peut pas.
Une fois au sol, je tombais sur toute la brigade qui venait à moi.
J'appris par love contrôle que la brigade était envahie de frecerf-volanton.
Vous me direz, qu'est-ce que c'est que cette bestiole. Et moi de vous répondre comment elle née dans un premier temps.
Voilà comment c'est arrivé, un jour, un Plutonien est venu sur terre en vacances chez quelqu'un de sa famille.
Pour situer l'histoire, cet individu était le frère de la femme du couple qu'il était venu visiter.
Il n'était jamais venu sur Terre, car la femme en question n'en avait jamais parlé de ses origines Plutonienne.
En fait, c'était sur sa planète une indigène selon les normes de leur société.
Oui, elle avait l'apparence d'une Terrienne contrairement à ses compatriotes Plutoniens.
Oui, ceux-ci ont un œil au milieu de front.
Elle fut donc bannie et envoyée sur Terre.
Le croisement avec un Terrien fut assez spécial et c'est comme ça que la supercherie fut découverte.
Oui, la femme était tombée enceinte d'un bébé et partait à la clinique accouchée. Déjà chose curieuse pour les médecins, elle était enceinte depuis vingt-et-un mois.
Après, le médecin avait mis ça sur le compte du stress de la femme.
Et l'enfant naquit un soir et les médecins furent stupéfaits.
Oui, il avait les oreilles au niveau du cou. Bon, lui disaient ils, pas d'inquiétude, nous ferons une chirurgie esthétique et il sera comme tout le monde.
Le lendemain, le père vint à la clinique visiter son rejeton.
En voyant l'enfant, il s'écriait, mais qu'est-ce que c'est que cette horreur. Ce ne peut pas être mon fils, ce n'est pas possible.
Si, je te l'assure lui répondait la femme, c'est bien ton fils.
Bon lui disait-il, deux choses sont possibles, peut-être que tu as des extraterrestres dans ta famille, ce qui ne me dérange absolument pas.
Deuxième chose possible, un Martien est passé un soir sur terre et il s'est posé dans notre jardin.
Tu as été le rejoindre et vous avez fait ensemble cette aberration.
Après, peut-être que tu l'as connu sur face de bouc ce Martien. Oui, aujourd'hui, avec Internet, tout est possible.
Non, lui disait-elle, je t'assure, je n'ai pas d'amant, mais...
- Mais quoi, tu as une maîtresse.
Non répondait la femme, en fait, je suis Plutonienne de père plutonien et de Mère Lunaire.
Ha, tu me rassures, lui disait-il.
Par la suite, le mari en question voulut rencontrer sa famille. Ce fut donc son frère qui vint un soir en soucoupe les visiter.
Évidemment, ils avaient prévenu les voisins de ne pas s'inquiéter si une soucoupe était devant leur fenêtre.
Le voisin leur répondait, pas de soucis, du moment que nous le sachions.
Mais, qui est ce soucoupaire ?
Hé bien, le frère de ma femme leur disait l'homme, il vient de Pluton.
Le soir, même le mari fit connaissance avec son beau-frère qui ne lui semblait pas si beau que ça avec son œil sur le front.
L'individu en question était avec son animal de compagnie, un frelon.
Oui, un frelon, sur Pluton, c'est un animal de compagnie, comme chez nous les chiens ou les chats.
Le frelon en question donc tout heureux de visiter la terre partait le soir même en vadrouille.
C'est baguenaudant proche d'un chêne qu'il rencontrait une tribu de cerfs-volants.
L'une des femelles lui plaisait et ils finirent en couple.
Ce fut quelques mois plus tard que naissait cinq frecerf-volanton.
Moitié frelon et moitié cerfs-volant, voilà donc ce qui attaquait ainsi la brigade.
Et ce fut, Pépère ce héros, c'est-à-dire moi qui vins à bout de ces monstres à coup de moustaches.
Voilà mes amis ce que j'ai fait ce matin.
C'est bon soûlard j'ai rétabli une vérité vraie.

La suite demain
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