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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Oui, il venait porter plainte pour le vol de son casque.
Donc, dans la cellule, François était embêté, car il lisait oui-oui va à l'école. Le bougre me disait, incroyable il est écrit derrière le livre de quatre à six ans et je suis sur ce livre depuis sept ans, qu'est-ce que c'est dur à lire quelle philosophe ce oui-oui.
Ce fut alors que je lui donnais des cours de moyenne compensée pour lire plus vite.
Pour me remercier, durant le repas François eu la surprise de trouver dans son avocat selon ses dires, un noyau de diamant.
Oui, disait-il, comme dans les huîtres l'on trouve des perles dans l'avocat des noyaux de diamant.
- Bon dépêchons nous, nous autres, car mon petit est en danger chez ce torturien de malheur.
- Hé bien, mon papa, tu racontes des histoires et ça nous retardes, aussi, chat chat chat.
- Stop, soûlard, tu raconteras ta vie un autre jour, j'ai des choses à raconter.
- Tu n'es pas pressé de récupérer ton petit Fripouillet ?
- Bien sûr que si, mais si nous en sommes là, c'est de ta faute, je te signale.
- Pourquoi de ma faute, je ne comprends pas.
- Hé bien, tu as dû en vider des bouteilles depuis ce matin.
Tu ne comprends pas pourquoi tu es gonflé, moine. Oui, qui c'est qui l'a fait aller manger des immondices dans des poubelles.
En plus, tu fais passer mon enfant pour un crado, c'est grave tout de même.
Remarque, j'ai l'habitude, car tu fais pareil avec moi, je suis d'une propreté exemplaire et tu me fais passer pour un crado, enfin bref, va donc voir à la taverne des moines si j'y suis.
- Je peux reprendre mon histoire Pépère, tu as fini ?
- Oui, c'est bien ce qu'il me semblait, ça ne va pas mieux avec ta copine chopine.
Non, tu ne reprends rien, je n'ai pas fini, car je n'ai même pas commencé.
J'attends un peu qu'il s'en aille, car j'ai des choses à dire.
Bon, visiblement, il n'est plus dans les parages, c'est bon.
Donc mes amis, que je vous raconte la nuit et la matinée affreuse que j'ai eu.
Tout a commencé hier soir, enfin, pour être précis dans la précision de l'exactitude en fait, c'était à une heure du matin.
Je dormais tranquillement devant la cabane sur la chaise sous la fenêtre.
J'étais un peu dérangé par l'odeur du lit de mon frère juste dessous, mais à part ça, tout allait pour le mieux de ne pas mal aller au pire.
Oui, mon frangin n'arrête pas de stocker des sachets vides d'alimentation sous la mousse qui est dans son lit. Je ne sais pas pourquoi il fait ça, après, ce sont peut-être ses amours.
Donc, à une heure du matin, le Chatmsung se mit à sonner. Hé, c'est love gendarme qui t'appelle et c'est love gendarme qui t'appelle.
Je décroche et là, je l'entends me dire, vite au secours, ils sont à Sancoins.
Puis la communication se coupait sans que je n'en sache plus sur cette affaire.
J'essaie de la rappeler et là, je tombe sur le répondeur qui répond que je suis sur le répondeur, logique en fait.
Donc, ni une ni deux, ni quarante douze virgules treize, je prenais l'hélicoptère qui vole dans les airs et je partais en direction de Sancoins.
La veille avait été orageuse et il y avait beaucoup de nuages alors je ne pouvais pas voler trop vite.
Oui, j'aurais pu faire des gros morceaux de nuages qui auraient pu blesser quelqu'un au sol.
J'arrivais à Sancoins vers deux heures dix minutes deux secondes dix centièmes vingt millièmes cinq terras, oups, pardon, je vous donnais l'heure en moyenne compensée, désolé mes amis, déformation professionnelle.
Donc j'arrivais à Sancoins et posais mon hélicoptère au sol que dans l'air, on ne peut pas.
Une fois au sol, je tombais sur toute la brigade qui venait à moi.
J'appris par love contrôle que la brigade était envahie de frecerf-volanton


La suite demain ...



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