Le Plutonien était très étonné, car comme par hasard il avait lui-même comme animal de compagnie une dindonne.
Mais lui disait-il, sur Pluton les dindons ont des poils et des dents de cheval.
Ha oui, lui répondait le menuisier norvégien, c'est très étonnant.
Donc la discussion en restait là, car le Plutonien était appelé en urgence sur sa planète.
En effet, le chat de sa sœur était en procès avec son coiffeur et celui-ci était devant chez elle, armé d'un désintégrateur.
Étant un ancien ami du coiffeur en question, les autorités locales le rappelaient pour servir de négociateur.
De son côté, le menuisier norvégien était dans l'indécision de partir en vacances sur Pluton avec son nouvel ami.
En fait, il avait un peu le trac, car il se demandait s'il n'aurait pas le mal de l'air.
Il s'était renseigné auprès de monsieur Google qui lui avait donné une réponse qui n'était pas réjouissante.
Hé bien, lui disait monsieur Google, nous sommes en mille six cent trente-deux et les transports aériens n'existent pas encore.
Donc, je ne peux pas vous conseiller un médicament pour ce type de pathologie, car le mal de l'air n'existe pas non plus.
Bon se disait-il, tant pis, nous verrons bien, je vais y aller quand même.
Nous verrons bien si je suis malade je m'en remettrais de toutes façons.
Quinze jours plus tard, le Plutonien revint sur Terre.
Il raconta à son ami dans les détails la négociation avec le coiffeur qui avait pris sa sœur en otage.
Bon lui répondait le norvégien, je suis décidé, mais puis-je emmener comme convenu mon ami Gaston le dindon.
Pas de soucis lui répondit son ami.
Comme ça, je lui présenterais Simone la dindonne.
Ni une ni deux, encore moins que quatre et pas cinq, les deux amis embarquaient en soucoupe en direction de Pluton.
En route, ils firent escale sur Mars pour manger.
Le Plutonien rencontra dans le restaurant une Uranisienne qu'il se mit à draguer.
Il était subjugué par sa peau en écaille ses cheveux bleus et son œil unique sur le menton.
Ce fut ainsi qu'il prenait du retard.
Puis ils repartirent en direction de Pluton.
Le bougre était terriblement en retard pour récupérer son petit neveu à la sortie de l'école.
Du coup il volait deux fois plus vite que la limitation.
Ce fut le lendemain qu'il reçut un appel des autorités lui informant que son permis allait être suspendu durant trois mois.
Le menuisier norvégien était un peu embêté, car il devait rester sur Pluton loin de sa famille.
Il était inquiet de savoir comment ils réagiraient. Certainement, qu'ils allaient contacter Jaques Legras de perdu de vue au coin de ma rue, pour le retrouver.
Ne t'inquiète pas lui répondait son ami il y a un service postier pour la Terre tous les jours.
Malheureusement, ils ne peuvent emmener que le courrier, mais tu pourras prévenir ta famille.
Du coup, il était rassuré et il écrivait une lettre pour sa mère qu'elle prévienne le reste de la famille.
Le jour suivant, on présentait Gaston le dindon à Simone la dindonne.
Tous les deux étaient de la même race se trouvaient néanmoins très différents sur le plan anatomique.
Mais trois jours plus tard, en regardant les cinq lunes de Pluton au bord d'une forêt où poussaient des arbres en bois, Gaston le Dindon, draguait Simone la dindonne.
Bon, lui disait elle, partons de cette allée où passent des passants qui passent et allons à la maison.
Les trois mois s'étaient écoulés et le Plutonien récupérait son permis de soucoupe.
Entre temps, Simone la dindonne avait mis au monde six œufs qui semblaient porter le fruit de leurs amours.
Bon, disait le Plutonien, au Norvégien, tu n'as qu'à les prendre.
Oui, renchérissait Gaston le dindon, je pourrais les couver.
Et voilà comment six jours plus tard sur terre sortaient des œufs six petits dindosaurus qui firent des petits.
Et voilà comment le menuisier devint éleveur officiel de dindosaurus.
Il fit breveter le dindosaurus qu'il disait être son invention suite à des manipulations génétiques avec de l'ADN de comète plutonienne.
- Hé bien, c'est une drôle d'histoire mon frérot.
- Oui, Saturne, mais tu nous retardes à parler comme ça.
Oui, mon petit est en danger allons-y nous autres.
La suite demain...
Mais lui disait-il, sur Pluton les dindons ont des poils et des dents de cheval.
Ha oui, lui répondait le menuisier norvégien, c'est très étonnant.
Donc la discussion en restait là, car le Plutonien était appelé en urgence sur sa planète.
En effet, le chat de sa sœur était en procès avec son coiffeur et celui-ci était devant chez elle, armé d'un désintégrateur.
Étant un ancien ami du coiffeur en question, les autorités locales le rappelaient pour servir de négociateur.
De son côté, le menuisier norvégien était dans l'indécision de partir en vacances sur Pluton avec son nouvel ami.
En fait, il avait un peu le trac, car il se demandait s'il n'aurait pas le mal de l'air.
Il s'était renseigné auprès de monsieur Google qui lui avait donné une réponse qui n'était pas réjouissante.
Hé bien, lui disait monsieur Google, nous sommes en mille six cent trente-deux et les transports aériens n'existent pas encore.
Donc, je ne peux pas vous conseiller un médicament pour ce type de pathologie, car le mal de l'air n'existe pas non plus.
Bon se disait-il, tant pis, nous verrons bien, je vais y aller quand même.
Nous verrons bien si je suis malade je m'en remettrais de toutes façons.
Quinze jours plus tard, le Plutonien revint sur Terre.
Il raconta à son ami dans les détails la négociation avec le coiffeur qui avait pris sa sœur en otage.
Bon lui répondait le norvégien, je suis décidé, mais puis-je emmener comme convenu mon ami Gaston le dindon.
Pas de soucis lui répondit son ami.
Comme ça, je lui présenterais Simone la dindonne.
Ni une ni deux, encore moins que quatre et pas cinq, les deux amis embarquaient en soucoupe en direction de Pluton.
En route, ils firent escale sur Mars pour manger.
Le Plutonien rencontra dans le restaurant une Uranisienne qu'il se mit à draguer.
Il était subjugué par sa peau en écaille ses cheveux bleus et son œil unique sur le menton.
Ce fut ainsi qu'il prenait du retard.
Puis ils repartirent en direction de Pluton.
Le bougre était terriblement en retard pour récupérer son petit neveu à la sortie de l'école.
Du coup il volait deux fois plus vite que la limitation.
Ce fut le lendemain qu'il reçut un appel des autorités lui informant que son permis allait être suspendu durant trois mois.
Le menuisier norvégien était un peu embêté, car il devait rester sur Pluton loin de sa famille.
Il était inquiet de savoir comment ils réagiraient. Certainement, qu'ils allaient contacter Jaques Legras de perdu de vue au coin de ma rue, pour le retrouver.
Ne t'inquiète pas lui répondait son ami il y a un service postier pour la Terre tous les jours.
Malheureusement, ils ne peuvent emmener que le courrier, mais tu pourras prévenir ta famille.
Du coup, il était rassuré et il écrivait une lettre pour sa mère qu'elle prévienne le reste de la famille.
Le jour suivant, on présentait Gaston le dindon à Simone la dindonne.
Tous les deux étaient de la même race se trouvaient néanmoins très différents sur le plan anatomique.
Mais trois jours plus tard, en regardant les cinq lunes de Pluton au bord d'une forêt où poussaient des arbres en bois, Gaston le Dindon, draguait Simone la dindonne.
Bon, lui disait elle, partons de cette allée où passent des passants qui passent et allons à la maison.
Les trois mois s'étaient écoulés et le Plutonien récupérait son permis de soucoupe.
Entre temps, Simone la dindonne avait mis au monde six œufs qui semblaient porter le fruit de leurs amours.
Bon, disait le Plutonien, au Norvégien, tu n'as qu'à les prendre.
Oui, renchérissait Gaston le dindon, je pourrais les couver.
Et voilà comment six jours plus tard sur terre sortaient des œufs six petits dindosaurus qui firent des petits.
Et voilà comment le menuisier devint éleveur officiel de dindosaurus.
Il fit breveter le dindosaurus qu'il disait être son invention suite à des manipulations génétiques avec de l'ADN de comète plutonienne.
- Hé bien, c'est une drôle d'histoire mon frérot.
- Oui, Saturne, mais tu nous retardes à parler comme ça.
Oui, mon petit est en danger allons-y nous autres.
La suite demain...