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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Suite d'hier.


Autant te dire que je passais de sales journées tronçonneuse en pattes et que cela me déclencha de violents rhumatismes à ma pauvre hanche malade.
Ce fut à cette même période qu'arrivait dans le bois Hector le castor. Mon soûlard le rencontra un jour derrière son capharnaüm. Ce fut ainsi qu'ils sympathisèrent. Puis ce fut la bête qui me remplaçait à la corvée de bois. Il sciait les bûches avec ses grandes dents. Il s'en servait aussi pour lui faire déboucher ses bouteilles et décapsuler ses canettes.
Mon soûlard en profitait pour lui venter ses grandes dents et ensemble ils faisaient des concours de sciage de bûche.
Autant te dire que l'on me foutait une paix royale.
Hervé, le harnais était même tombé en dépression à force d'inactivité.
Ensemble, ils mangeaient des tartes aux écorces de pin et à la sciure de bois. La bête était ravie malgré ses tâches journalières.
Autant, te dire, qu'enfin, j'avais la paix. Oui, j'en avais un peu ma claque de la tronçonneuse en patte tous les jours.
Sans compter que je devais en plus faire les planches pour réparer l'ancêtre.
À la même période, j'étais tombé en panne de Chatmsung et au pire moment.
J'étais chez love Armand et je faisais une mise à jour sur l'Android de mon hélicoptère dans la cour derrière la gendarmerie.
Heureusement que j'avais un double de mes photos sur mon Ipommme.
Mon hélicoptère dû rester au sol et love képi devait recevoir un nouveau Chatmsung à son adresse.
Oui, c'est moi qui avais demandé ainsi pour avoir le téléphone en patte dès réception directement dans mon hélicoptère qui me faisait défaut.
Un jour, je me dis profitons de ma convalescence et allons nous promener dans le bois. Je pensais retrouver ma love maîtresse qui avait décidé d'aller y ramasser des champignons nucléaires.
Ce fut alors que je me promenais que je fus attaqué par surprise par un variant du kimono.
Attention, Fripouillet, à ne pas confondre avec notre bon Olivier Variant pour qui je me suis sacrifié pour tester les vaccins.
- Ha bon, mon papa, tu n'étais pas obligé de faire le vaccin.
- Non, mon petit-enfant, simplement je me suis sacrifié et j'ai reçu quatre piqûres au cucul pour prouver à tout le monde que c'était sans danger.
Donc, le variant en kimono est une espèce de crocodile géant qui crache un gaz paralysant avec ses oreilles.
Je fus pris par surprise et je me retrouvais paralysé par le monstre.
En me ramassant, il arrachait la sangle du chatventre.
De celui-ci tombait mon Ipommme qui en tombant se mit en appel visio.
Love contrôle reçut l'appel et vit toute la scène.
Au même moment, un livreur amenait le Chatmsung réparé et love messe prit l'initiative de finir la mise à jour de l'hélicoptère.
Tout ça dans l'intention de venir me sauver.
Love képi était juste à porté de moustaches et j'étais sur le point de périr.
Suite d'hier, Pépère raconte son histoire à Fripouillet.
N'écoutant que son amour pour son crapouillot elle prit son courage à deux bouteilles.
Elle décollait vingt minutes plus tard en s'écriant, tient bon ma crapouille, j'arrive.
Elle arriva à Mornay en quelques minutes et grâce au scanner de la gendarmerie elle avait les points GPS de l'Ipomme pour me localiser.
Elle mit l'hélicoptère en stationnaire et descendait en rappel à l'aide d'une corde. Elle avait revêtit la tenue de combat.
Armée d'un bazooka et d'un lance-flammes, elle partait à ma recherche lunette de vision infrarouge sur le nez.
Elle arriva à une vitesse hallucinante et je craignais pour elle, je ne pouvais plus bouger.
La bête arrivait à lui arracher le lance-flammes des mains et le bazooka s'enrayait.
Je me disais, Pépère, nous sommes foutus nous autres.
Face à la bête, d'une main dans chaque poche, elle saisit une fiole de rhum. Puis elle s'écria, tient bon ma crapouille et elle terrassait la bête en lui crachant au visage un nuage de vapeur de rhum. Dans l'autre téléphone en main, elle appelait la NASA pour mettre la bête en partance pour Neptune dans une fusée.
Elle me ramenait ensuite à l'hélicoptère en grimpant d'une main me tenant de l'autre.
Arrivé à la brigade, je fus soigné par un spécialiste des attaques de variants en kimono.

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