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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Bonjour mes amis, c'est encore l'un des plus grands poètes de tous les temps qui vient vous raconter sa mésaventure du jour.
Oui, mon jardinier iranien pour culture de vigne Indonésienne est en train de désherber, selon ses dires.
En fait il teste sécrètent des greffes de vignes qui fait du vin sans raisins.
Je m'explique, car j'ai été témoin de ces greffes diaboliques par mon comanche Népalais producteur de xérès Coréen.
En fait, il m'a fait bricoler des pieds de vignes, génétiquement grâce à mes compétences.
Après, lui, il a mis en œuvre ses relations pour avoir du thorium du plutonium, de l'uranium et j'en passe pour trafiquer ces ceps. Le raisin se forme en rond comme un goulot de bouteille et par le trou coule le vin qui proviens du grain dont l'intérieur est une véritable usine chimique.
Laissons le faire ses drôleries si ça l'amuse, pendant ce temps j'ai le temps de vous raconter ce qui m'est arrivé se matin.
Donc, l'histoire d'aujourd'hui commence cinq jour en arrière par love aspirine qui était partie à l'hôpital pour un problème de santé. Je ne suis pas sûr mais à force de manger les ADN de mon légumier portugais je pense qu'elle est un peu détraquée.
Donc, ce jour là elle se fit emmener à l'hôpital car le stress l'empêchait de conduire.
En effet, elle fit un essai mais ses nerfs n'arrêtaient pas de freiner, klaxonner, hurler sur les autres conducteurs.
Du coup, elle se disait, bon je vois ce qui se passe, je dois aller voir le nervologue car ils sont tout détraqué.
Donc, elle part à l'hôpital avec un certain Pierre. Comme par hasard, il y a toujours une histoire de cailloux ou de silex dans cette histoire.
Le type roulait tranquille et d'un seul coup, love sérum lui dit, mais quelle chaleur dans cette voiture, je ne vous jette pas un galet Pierre, mais ne connaissez-vous pas la climatisation.
Ma pauvre qu'il lui répond, elle est en panne.
En même temps, moi de mon côté je smessais avec elle et elle m'apprend ce problème de climatisation. Je lui dis comme ça en rigolant tu n'a qu'à demander à mon curé de réparer ça.
Elle était vexée car elle pensait que je ne voulait pas lui rendre service.
Donc, elle ne répondait plus et appelait mon déshydraté de la langue du pied de l'oreille et je n'entendais plus parler de climatisation.
Le lendemain, elle me demandait d'aller à la pharmacie lui chercher ses médicaments.
J'arrivais là-bas et vis un monde fou à l'intérieur et une interdiction de plus de dix personnes dedans.
La bougresse qui était devant moi m'affirmait être là depuis deux heures. Je smessais cette information à love croix verte et elle me disait de me dépharmacier de la file infernale me disant tu iras demain.
Donc, j'y retournais le lendemain et c'était toujours pareil.
Trois jours durant, impossible de trouver un moyen de rentrer dans cette pharmacie.
Écoute me dit-elle, c'est peut-être une pénurie de médicaments à cause de la guerre en Eniarku, force le passage et va demander au gérant.
Puis, arrivé dans la rue elle me rappelait, je n'étais pas très content, mais sans le savoir elle allait me sauver.
Elle me donnait un flacon de gel hydrhumalcoolique, me disant tien, pour désinfection de tes pattes toutes sales.
Je ne vous raconte pas comme j'étais humilié de cette réflexion.
Donc, je retournais à la pharmacie et là, je coupais la file pour rentrer.
Une vilaine me disait, hé toi, le sale chat, tu ne peux pas attendre ton tour.
Va te faire cuire une crotte de nez de tricératops, laideron que je lui répondais, et pour le ketchup, tu n'as qu'as aller voir mon rabougri transalpin buveur de liqueur d'ananas chinois, il aura sûrement les bons produits du père, je trafique tout à l'uranium. Tu ferrais mieux de te dépêcher, car le Dracula que tu as sans les bras va péter sa couche.
Furieuse, la vilaine repartait et moi, j'arrivais à la porte.
L'ouverture automatique était bloquée et j'en étais étonné.
Les gens qui étaient à l'intérieur étaient figés comme des statues et cela m'étonnait autant.
Encombré par le flacon de gel hydrhumalcoolique je ne pouvais pas m'aider des pattes avantes pour forcer cette porte.
Je prenais le flacon entre mes dents et forçais la porte à pleines pattes.
Je rentrais d'un mètre et je fus comme les autres figés sur place.
La stupéfaction et le choc me firent serrer les dents et involontairement, je bus le flacon entier de gel hydrhumalcoolique. Ceci me sauvait de l'immobilité à vie.
Le gel m'avait décongelé. Oui, en effet, les gens étaient congelés sur place comme des statues de cire.
Je regardais la température et je vis moins cent vingt degrés en dessous de zéro.
Ma mission était de décongeler les gens sans qu'ils ne périssent. Ce fut encore là que je comprenais l'utilité et la puissance de chauffage du rhum.
En effet, souvenez-vous, j'étais rempli de gel hydrhumalcoolique qui contient pour celui-ci quatre-vingt-dix-neuf pour cent de rhum. Oui, c'est du spécial fabriqué par mon moine pour love remède.
Je m'écriais, mais que se passe-t-il et vis la vilaine près à rentrer.
Je lui criais dessus, va-t-en vilaine, va surveiller la cuisson de ta crotte de nez de tricératops.
Les vapeurs qui sortaient de ma gueule décongelèrent les gens en un centième de seconde.
Je fis évacuer les personnes et je reparais la climatisation de pattes de maîtres.
En fait, le fameux Pierre avait vanté au pharmacien les talents de réparateur de climatisation de mon curé suédois qui lit la messe en Espagnol.
Leur système était en panne et le bougre y était allé après avoir vidé la cave de l'auberge des moines. Voilà, encore une fois Pépère qui répare les erreurs des ivrognes.

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