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Pépère le chat du poète, suite.

#1
À l'épicerie, pendant ce temps-là, c'était un désastre. Les poulets étaient au sol avec la rôtissoire.
La pauvre épicière n'arrivait pas à là relevé, car elle était extrêmement lourde.
Elle râlait toute seule et n'avait pas apprécié que le poète parte sans même lui proposer un coup de main.
-Quand je pense que tout ça est à cause d'un sal chat qui est entré dans la rôtissoire.
Je sais bien que c'est le chat du poète, Pépère qui a disparu comme par miracle devant mes yeux juste en face de moi, là dans le champ en face de la boutique.
C'est marrant maintenant que j'y pense, le chat est aussi gros que le maître en épais comme une feuille de papier.
J'aurais bien pu en parler à mon cousin pour ce sale chat qui est au poète.
Oui, mais non, finalement, il fait vivre mon commerce. Il me prend quatre pains par jour et un rayonnage entier de gâteaux.
Oui, quand on y pense, c'est un bon client, un rayonnage d'au moins vingt kilos de gâteaux tous les jours.
Laissons faire, mais qu'il revienne, ce sacré, bouboule.
S'il m'a derrière lui un jour, je vais lui faire perdre sa graisse au gros lardon. Il me regardait bizarrement, j'ai eu comme l'impression que son cerveau est dans son ventre. Il s'est enfui en courant le salopard, une vraie fifille, il a eu peur de moi. En plus, je l'entendais souffler comme un hippopotame, ça lui aura fait perdre sa graisse, ha ha ha.
- Stop ! Jambe bionique, il y a un souci, aie, mal au ventre...
- Qui est là ?
Bon personne continuons, c'est bizarre, j'ai eu l'impression que c'était Pépère, écrivons.
Pendant ce temps dans le champ, le Pépère revenait derrière un fourré juste en face du champ où il avait laissé, Lucie, deux minutes auparavant.
Il y avait été précipitamment en disant aie...
- Stop, lâche ce stylo, ce gâteau et cette tasse de vin.
- Pépère, il me semblait bien, j'écris vois tu.
- Tu me prends pour une quiche soûlard.
- Que se passe-t-il ?
- Ce qu'il se passe, tu ne manques pas d'air, qu'as-tu écrit plus haut.
Quant à ce sacré, bouboule s'il m'a derrière lui un jour, je vais lui faire perdre sa graisse au gros lardon. Il me regardait bizarrement, j'ai eu comme l'impression que son cerveau est dans son ventre. Il s'est enfui en courant le salopard, une vraie fifille, il a eu peur de moi. En plus, je l'entendais souffler comme un hippopotame, ça lui aura fait perdre sa graisse, ha ha ha.
Tu as encore osé m'insulter, moi le chat le plus connu de France. Comme par hasard, la vilaine ne s'est pas mouillé le barbelé dentaire. Oui, elle n'a pas dit que tu faisais vivre ce commerce en achetant tout le stock de vin. Attends que je la croise, fil de couture pour tricot de soûlard. Tu n'as pas honte de dire de telles horreurs sur mon compte. Et puis de me remettre en place sous prétexte que tu écris alors que tu es en train de t'empiffrer de ces succulents gâteaux de chez Thauvin. Oui, ces jolies merveilles que tu achètes dans des pots en verre, le parfait, oui, c'est parfait aussi pour y mettre ta vinasse.
Je te préviens, je veux des excuses demain...
La suite demain...
Non pas la suite demain, je veux un rôti ce midi sinon j'enverrai ma fille en prospection, elle sait où en trouver.
À bon entendeur, Pépère furax, ne vous salue pas...

1200px-Kira_schwarze_katze.jpg petits-chats-20284533.jpg Épicerie_Izrael_en_2012.jpg
 

GABY73

Maître Poète
#2
À l'épicerie, pendant ce temps-là, c'était un désastre. Les poulets étaient au sol avec la rôtissoire.
La pauvre épicière n'arrivait pas à là relevé, car elle était extrêmement lourde.
Elle râlait toute seule et n'avait pas apprécié que le poète parte sans même lui proposer un coup de main.
-Quand je pense que tout ça est à cause d'un sal chat qui est entré dans la rôtissoire.
Je sais bien que c'est le chat du poète, Pépère qui a disparu comme par miracle devant mes yeux juste en face de moi, là dans le champ en face de la boutique.
C'est marrant maintenant que j'y pense, le chat est aussi gros que le maître en épais comme une feuille de papier.
J'aurais bien pu en parler à mon cousin pour ce sale chat qui est au poète.
Oui, mais non, finalement, il fait vivre mon commerce. Il me prend quatre pains par jour et un rayonnage entier de gâteaux.
Oui, quand on y pense, c'est un bon client, un rayonnage d'au moins vingt kilos de gâteaux tous les jours.
Laissons faire, mais qu'il revienne, ce sacré, bouboule.
S'il m'a derrière lui un jour, je vais lui faire perdre sa graisse au gros lardon. Il me regardait bizarrement, j'ai eu comme l'impression que son cerveau est dans son ventre. Il s'est enfui en courant le salopard, une vraie fifille, il a eu peur de moi. En plus, je l'entendais souffler comme un hippopotame, ça lui aura fait perdre sa graisse, ha ha ha.
- Stop ! Jambe bionique, il y a un souci, aie, mal au ventre...
- Qui est là ?
Bon personne continuons, c'est bizarre, j'ai eu l'impression que c'était Pépère, écrivons.
Pendant ce temps dans le champ, le Pépère revenait derrière un fourré juste en face du champ où il avait laissé, Lucie, deux minutes auparavant.
Il y avait été précipitamment en disant aie...
- Stop, lâche ce stylo, ce gâteau et cette tasse de vin.
- Pépère, il me semblait bien, j'écris vois tu.
- Tu me prends pour une quiche soûlard.
- Que se passe-t-il ?
- Ce qu'il se passe, tu ne manques pas d'air, qu'as-tu écrit plus haut.
Quant à ce sacré, bouboule s'il m'a derrière lui un jour, je vais lui faire perdre sa graisse au gros lardon. Il me regardait bizarrement, j'ai eu comme l'impression que son cerveau est dans son ventre. Il s'est enfui en courant le salopard, une vraie fifille, il a eu peur de moi. En plus, je l'entendais souffler comme un hippopotame, ça lui aura fait perdre sa graisse, ha ha ha.
Tu as encore osé m'insulter, moi le chat le plus connu de France. Comme par hasard, la vilaine ne s'est pas mouillé le barbelé dentaire. Oui, elle n'a pas dit que tu faisais vivre ce commerce en achetant tout le stock de vin. Attends que je la croise, fil de couture pour tricot de soûlard. Tu n'as pas honte de dire de telles horreurs sur mon compte. Et puis de me remettre en place sous prétexte que tu écris alors que tu es en train de t'empiffrer de ces succulents gâteaux de chez Thauvin. Oui, ces jolies merveilles que tu achètes dans des pots en verre, le parfait, oui, c'est parfait aussi pour y mettre ta vinasse.
Je te préviens, je veux des excuses demain...
La suite demain...
Non pas la suite demain, je veux un rôti ce midi sinon j'enverrai ma fille en prospection, elle sait où en trouver.
À bon entendeur, Pépère furax, ne vous salue pas...

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Hihi vous me faites rire avec pépère
Amicalement
Gaby