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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Bonjour, c'est encore moi, Pépère, votre héros national qui revient.
Je vais finir de vous relater ce qui me fut arrivé il y a deux jours.
Ne vous inquiétez pas pour mon corsaire japonais estropié de l'œil du genou de l'oreille droite. Actuellement, il dort encore, hé oui, il digère sa ratatouille d'avant-hier, oui, je vous en ai parlé hier.
Donc, après avoir combattu la tempête solaire, j'ai regagné l'Angleterre avec mon petit hélicoptère.
Cette terrible bataille pour le commun des mortels ne fut qu'un jeu de chaton pour Pépère.
Oui, mais un héros ne vit pas que d'amour et d'eau fraîche en se faisant salir dans Voichat par un certain Loulou Lecurieux renseigné par Lolo.
J'avais terriblement faim et je me suis dit, nous irons au COP26 quand nous serons restaurés nous autres.
Je me posais donc à Londres pour aller dans un restaurant.
Je commandais un poulet et j'attendais d'être servi.
La télévision qui était dans la salle ne parlait que de mes exploits récents concernant la tempête.
Même Casimir Rustine était invité pour parler de moi et de ma remise de médaille par la grande Russie.
Pour ne pas être reconnu, j'avais mis une perruque rousse et des lunettes de soleil.
Oui, je voulais manger tranquillement. Imaginez si je fus reconnu, j'aurai brûlé sous les flashs sans pouvoir manger et mon repas aurait été carbonisé dans l'assiette. Puis j'aurais fini par passé des heures pour signer des autographes.
Je sortais de mes réflexions en voyant arrivé René. J'avais terriblement faim et ne prêtais pas trop attention sur la manière dont il était cuisiné.
Le pauvre René avait été barbouillé de confiture d'oranges avec de la moutarde et farci de chantilly pimenté avec des fraise écrasée.
Le chef m'assurait que sa préparation faisait fureur.
Fureur était bien le mot, car elle paraissait aussi effrayante qu'un célèbre dictateur du même nom.
Cette fureur restera gravé dans ma mémoire ça, c'est sûr vu les misères que j'ai eues après.
Mon pauvre estomac qui est habitué aux cailloux, croquettes pourries ou la purée d'ozone au chlorate de soude ne put supporter le pauvre René. L'intelligence qu'il contient fit une dépression violente qui me dérangeait les intestins.
Je fus obligé de partir en courant aux toilettes.
Malheureusement, comme j'avais un déguisement de chat roux sur ma tenue en Kevlar, le temps de me déshabiller fut trop long.
Je ne vous raconte pas la suite, le WC fut crépis du sol au plafond.
Discrètement, je fermais la porte, mine de rien et sortis. Mais j'avais été vu par le chef marmiton y entrer et il y allait derrière moi.
Le patron appelait la police et je fus menacé d'une amende pour dégradation cacateuse.
Discrètement, j'envoyais un message au chef de chatlandyard et l'homme arrivait dix minutes plus tôt. Je m'isolais dans un coin et enlevais mon déguisement.
Pépère, s'écriait-il, nous vous attendons au COP26, que faites vous là ?
Je lui expliquais la situation et l'homme arrangeait l'affaire avec le bistrotier.
Enfin, je pus repartir libre vers Glasgow avec mon petit hélicoptère.
J'arrive donc là-bas et retrouve toute la salle de conférence endormie.
Impossible de les réveiller.
Ce fut comme ça que je visionnais la conférence avant l'incident sur les enregistrements fait avant.
Jonathan Bidonne en pleine conférence s'était arrêté de parler et avait émis un pet qui dura plus de quarante minutes. Celui-ci comme une musique soporifique endormait toute la salle.
Ce fut à ce moment-là que love renard m'appelait et me demandait ce qui se passait au COP26 à Glasgow.
Je compris que le trifouillage du téléphone préhistoire qu'elle m'avait demandé plus tôt était en rapport avec cet incident.
Effectivement, elle devait empêcher Jonathan Bidonne de boire du Coco-Cola à distance.
Une application qu'il avait sur son téléphone detectait l'odeur, et le bruit des bulles du Coco-Cola. Love rhum ayant la même application que Jonathan Bidonne écoutait en un millième de seconde ce qu'il faisait. Elle envoyait en retour un message qui déclenchait une décharge électrique de dix mille volts dans la poche de Bidonne.
Malheureusement, l'Android était trop vieux et elle n'avait pas les messages à temps. Le résultat fut que Jonathan Bidonne but sept litres de Coco-Cola et cela lui provoquait des flatulences.
En fait des activistes écolos, s'étaient mêlés à la cérémonie et lui avait fait boire du Coco-Cola avec des bulles soporifiques.
Le but était qu'ils endorment tout le monde. Ensuite, les brigands devaient venir les soigner en se faisant passer pour des médecins. Le but était de leur injecter une puce électronique pour en faire des hommes à l'intelligence artificielle pour les contrôler. Ces activistes comptaient ainsi prendre le contrôle de la planète en dirigeant à la place des plus grands chefs d'états du monde.
Grâce à mes trente-huit licences obtenues dans trente-deux universités différentes, je trouvais le poison bulleux et fis un antidote.
Voilà mes amis, je ne vous raconte pas la pluie de médailles qui m'attend, à présent...


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