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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Bonjour, c'est Pépère qui vient vous entretenir de sa journée d'hier.
Oui, je me doute bien que ma serpe de bûcheron de l'opéra de Tel-Aviv ne va pas vous en parler.
Actuellement, il digère ses deux kilos de ratatouille qu'il a ingurgitée devant moi tout en me jetant des miettes de pain.
Attends soûlard, tu rigoleras moins quand j'aurais prévenu la spchat de tes agissements à l'égard de ton chat.
Textuellement, il m'a lancé, dégage ce n'est pas pour toi, va t'en !
Ne reste pas là où je te mets un coup de pied au cul.
J'étais outré après le service rendu au monde que j'ai accompli hier.
Voilà, que je vous raconte ça, vous n'allez pas en revenir.
Tout commençait l'après-midi avec la visite de love jambon qui vint me voir.
Voilà, m'expliquait-elle, j'ai une mission à faire et j'ai un problème technique que tu pourrais résoudre sur mon téléphone, me lançait-elle.
Ce à quoi je lui répondis, d'accord, mais le masque s'il te plaît, c'est sur le nez, pas dans la poche.
Je n'ai pas le cacao minus me lançait-elle.
C'est pour les vapeurs, que je répondis, j'ai encore besoin de mes yeux figure toi !
Voilà me disait-elle, j'ai une mission de surveillance à réaliser et je dois la faire à distance avec une application.
Le problème, c'est que je n'arrive pas à la mettre à jour, peux-tu y jeter un coup d'œil.
Ce fut l'étonnement le plus total quand j'eus l'engin en patte.
Je me suis écrié, mais tu l'as eu où ce téléphone, tu l'as acheté sur le bon coin des mauvaises affaires, ce n'est pas possible.
Non me répondit-elle, c'est un cadeau.
Oui, vous l'aurez compris, c'est le même genre que l'autoradio à galène qui a été installé dans ma pauvre chatlauréane mise en guenilles par mon verre à bière africaine pour lait de scarabée du Zimbabwe.
En fait, il avait toute une collection de téléphones de la préhistoire et il lui en fit un avec.
Malheureusement, le système Android était le moins six cents. Autant vous dire qu'elle aurait été à la dernière mode à la préhistoire, bref.
Je fis donc ce que je pus sur l'engin et lui rendais de patte propre.
Mais quelle est cette mission que je lui demandais ?
- C'est top secret, me répondit-elle, je peux juste te dire que c'est pour ne pas froisser le prestige d'un chef d'état.
J'étais très étonné et je n'en sus pas plus malgré mes relances.
Puis elle repartit vers la brigade.
Dans la soirée, je fus appelé par Manu en personne.
Tout un congrès du COP 26 était paralysé et je devais me rendre sur place.
Je pensais prendre le train pour aller au Havre, car le congrès était situé à Glasgow.
Je téléphonais à la gare et l'on me demandait si j'avais un pass chatnitaire.
Je répondis d'avoir reçu deux piqûres par Olivier Variant en personne.
Non, qu'on me fit, vous n'avez pas reçu la trentième injection sur le cucul ça ne sera pas possible.
Furax, je me décidais à prendre mon hélicoptère.
Je partis de Mornay, non sans avoir au préalable jeté un regard par le carreau du gourbi.
Mon moinion australien imbibé d'absinthe polonaise était en ligne avec love croissant.
Je compris que ça concernait le fameux téléphone préhistorique et son système Android totalement obsolète.
Deux minutes plus tard, je vis la Dacia arriver.
Je me cachais derrière l'horrible fauteuil que l'on m'a alloué.
J'écoutais la conversation, ils se disputaient ensemble en parlant, de téléphone, de Jonathan Bidonne et d'Android.
Puis ils ont ouvert une bouteille, puis un livreur de pizza est arrivé.
Je les ai laissé se turbiner les oreilles à grand coup d'olives irakiennes cueillies par des chameaux bretons.
Je pris donc les airs avec mon hélicoptère en direction de Glasgow.
Oui, mais voilà, à peine parti, monsieur Google m'appelait pour m'annoncer une tempête de vents solaires qui allaient balayer la terre.
J'étais entre deux extrêmes, sauver le monde d'une tempête solaire ou arranger les affaires diplomatiques de Jonathan Bidonne.
Oui, vous comprendrez pourquoi.
Très vite, les chefs d'états du monde entier furent avisés de la menace de tempête solaire.
Des vents de plus de six cents kilomètres à l'heure étaient annoncés.
Ce fut ainsi que je reçus un message de Casimir Rustine, le chef suprême de la grande Russie qui me disait que j'étais dans la trajectoire du vent et des tempêtes qui arrivaient.
Il me disait ainsi, Pépère, toi l'inventeur du repas qui nourrit en le regardant, toi le créateur du linge qui sèche dans l'eau en se lavant, que pouvons nous faire ?
N'écoutant que mon courage, je fonçais avec mon hélicoptère sur la tempête.
Mon engin fut pris dans un tourbillon de vent de six cents kilomètres heures.
Je fus éjecté de l'hélicoptère et ce fut grâce à ma queue que je me transformais en hélicoptère en m'en servant comme hélice. Grâce à ma force légendaire, j'arrivais à découper les vents à coups de moustaches. Ceux-ci tombèrent et la tempête cessa.
Ensuite j'ai foncé en piquet dans le vide et grâce à mes griffes je me freinais alors qu'elles agrippèrent l'air et je m'arrêtais face à la porte et sautais dedans reprenant les commandes.
Casimir Rustine, m'appelait et me félicitait me promettant une récompense de la part de la grande Russie.
Je repris les airs en direction de Glasgow après ce qui n'est qu'un détail pour Pépère et qui pourrait vous paraître un geste héroïque.
La suite demain.



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GABY73

Maître Poète
#2
Bonjour, c'est Pépère qui vient vous entretenir de sa journée d'hier.
Oui, je me doute bien que ma serpe de bûcheron de l'opéra de Tel-Aviv ne va pas vous en parler.
Actuellement, il digère ses deux kilos de ratatouille qu'il a ingurgitée devant moi tout en me jetant des miettes de pain.
Attends soûlard, tu rigoleras moins quand j'aurais prévenu la spchat de tes agissements à l'égard de ton chat.
Textuellement, il m'a lancé, dégage ce n'est pas pour toi, va t'en !
Ne reste pas là où je te mets un coup de pied au cul.
J'étais outré après le service rendu au monde que j'ai accompli hier.
Voilà, que je vous raconte ça, vous n'allez pas en revenir.
Tout commençait l'après-midi avec la visite de love jambon qui vint me voir.
Voilà, m'expliquait-elle, j'ai une mission à faire et j'ai un problème technique que tu pourrais résoudre sur mon téléphone, me lançait-elle.
Ce à quoi je lui répondis, d'accord, mais le masque s'il te plaît, c'est sur le nez, pas dans la poche.
Je n'ai pas le cacao minus me lançait-elle.
C'est pour les vapeurs, que je répondis, j'ai encore besoin de mes yeux figure toi !
Voilà me disait-elle, j'ai une mission de surveillance à réaliser et je dois la faire à distance avec une application.
Le problème, c'est que je n'arrive pas à la mettre à jour, peux-tu y jeter un coup d'œil.
Ce fut l'étonnement le plus total quand j'eus l'engin en patte.
Je me suis écrié, mais tu l'as eu où ce téléphone, tu l'as acheté sur le bon coin des mauvaises affaires, ce n'est pas possible.
Non me répondit-elle, c'est un cadeau.
Oui, vous l'aurez compris, c'est le même genre que l'autoradio à galène qui a été installé dans ma pauvre chatlauréane mise en guenilles par mon verre à bière africaine pour lait de scarabée du Zimbabwe.
En fait, il avait toute une collection de téléphones de la préhistoire et il lui en fit un avec.
Malheureusement, le système Android était le moins six cents. Autant vous dire qu'elle aurait été à la dernière mode à la préhistoire, bref.
Je fis donc ce que je pus sur l'engin et lui rendais de patte propre.
Mais quelle est cette mission que je lui demandais ?
- C'est top secret, me répondit-elle, je peux juste te dire que c'est pour ne pas froisser le prestige d'un chef d'état.
J'étais très étonné et je n'en sus pas plus malgré mes relances.
Puis elle repartit vers la brigade.
Dans la soirée, je fus appelé par Manu en personne.
Tout un congrès du COP 26 était paralysé et je devais me rendre sur place.
Je pensais prendre le train pour aller au Havre, car le congrès était situé à Glasgow.
Je téléphonais à la gare et l'on me demandait si j'avais un pass chatnitaire.
Je répondis d'avoir reçu deux piqûres par Olivier Variant en personne.
Non, qu'on me fit, vous n'avez pas reçu la trentième injection sur le cucul ça ne sera pas possible.
Furax, je me décidais à prendre mon hélicoptère.
Je partis de Mornay, non sans avoir au préalable jeté un regard par le carreau du gourbi.
Mon moinion australien imbibé d'absinthe polonaise était en ligne avec love croissant.
Je compris que ça concernait le fameux téléphone préhistorique et son système Android totalement obsolète.
Deux minutes plus tard, je vis la Dacia arriver.
Je me cachais derrière l'horrible fauteuil que l'on m'a alloué.
J'écoutais la conversation, ils se disputaient ensemble en parlant, de téléphone, de Jonathan Bidonne et d'Android.
Puis ils ont ouvert une bouteille, puis un livreur de pizza est arrivé.
Je les ai laissé se turbiner les oreilles à grand coup d'olives irakiennes cueillies par des chameaux bretons.
Je pris donc les airs avec mon hélicoptère en direction de Glasgow.
Oui, mais voilà, à peine parti, monsieur Google m'appelait pour m'annoncer une tempête de vents solaires qui allaient balayer la terre.
J'étais entre deux extrêmes, sauver le monde d'une tempête solaire ou arranger les affaires diplomatiques de Jonathan Bidonne.
Oui, vous comprendrez pourquoi.
Très vite, les chefs d'états du monde entier furent avisés de la menace de tempête solaire.
Des vents de plus de six cents kilomètres à l'heure étaient annoncés.
Ce fut ainsi que je reçus un message de Casimir Rustine, le chef suprême de la grande Russie qui me disait que j'étais dans la trajectoire du vent et des tempêtes qui arrivaient.
Il me disait ainsi, Pépère, toi l'inventeur du repas qui nourrit en le regardant, toi le créateur du linge qui sèche dans l'eau en se lavant, que pouvons nous faire ?
N'écoutant que mon courage, je fonçais avec mon hélicoptère sur la tempête.
Mon engin fut pris dans un tourbillon de vent de six cents kilomètres heures.
Je fus éjecté de l'hélicoptère et ce fut grâce à ma queue que je me transformais en hélicoptère en m'en servant comme hélice. Grâce à ma force légendaire, j'arrivais à découper les vents à coups de moustaches. Ceux-ci tombèrent et la tempête cessa.
Ensuite j'ai foncé en piquet dans le vide et grâce à mes griffes je me freinais alors qu'elles agrippèrent l'air et je m'arrêtais face à la porte et sautais dedans reprenant les commandes.
Casimir Rustine, m'appelait et me félicitait me promettant une récompense de la part de la grande Russie.
Je repris les airs en direction de Glasgow après ce qui n'est qu'un détail pour Pépère et qui pourrait vous paraître un geste héroïque.
La suite demain.



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A mourir de rire avec cette histoire abracadabrentesque...
Merci pour ce partage
Amicalement
Gaby