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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Suite d'hier
- Alors Pépère, c'est bon, je peux continuer mon histoire ?
- Non, je n'ai pas fini de dire tout ce que j'avais à dire.
Va donc te brosser la langue à grands coups de râpe à fromage suisse fait en Uruguay, soûlard, et fous la paix à ton chat.
Amis lecteurs, je vous ai parlé de l'alcool dans le caoutchouc, hier.
Hé bien, écoutez cette histoire vraie réelle pas fausse et vous saurez de quoi il en retourne.
Et ne croyez pas ce faux mensonge dont on fit le rêve stupide que l'on veut m'imposer.
Voilà un jour, ma lampe de poche pour visiteur de cave à vin, était partie en Espagne chercher du whisky de contrebande.
Il était parti avec ma pauvre chatlauréane complètement mise en guenilles.
Il traversa toute la France avec au passage un cadeau pour chaque contrôle de gendarmerie.
Oui, love cerise lui avait conseillé d'emmener avec lui deux caisses de vin nucléaire pour soudoyer les agents éventuels qui le contrôleraient en route.
Elle lui téléphonait régulièrement avec l'un de ses trois téléphones pour l'avertir des futurs contrôles.
Évidemment, vous l'aurez compris, c'est moi pauvre miséreux qui était là comme copilote avec dans le chat-ventre mon ami le harnais.
Je répondais aux messages de love téléphone et lui indiquait la route.
Il était heureux, il chantait la messe en roulant et moi, je mangeais du chant grégorien en veux-tu en voilà.
Ce fut dans les Pyrénées que j'eus la peur de ma vie à cause d'un accident de la route.
Ma pauvre chatlauréane s'en tirait avec une double fracture de l'essieu et une fracture ouverte du pot d'échappement. Ce fut moi bien sûr qui fit le méchatnicien.
Que je vous raconte comment cela s'était passé et vous verrez de quoi il est capable.
Nous roulions tranquillement et il priait en conduisant.
Je devais régulièrement tenir le volant de la queue pour ne pas que l'on finisse dans un ravin. Oui, nous étions sur des routes sinueuses qui traversent les Pyrénées.
Oui, avec la queue, je maintenais le volant. Je n'avais malheureusement pas le choix. J'avais dans chaque patte avant un téléphone, le chatmsung et l'ipomme puis dans une des pattes arrières celui de mon apache scandinave scalper de l'oreille du pied par des moines irakiens.
Avec la patte restante, je me tenais après la poignée de la porte pour ma sécurité.
Oui, dès qu'il reprenait le volant la voiture allait en tous sens. Quoi qu'elle avait du mal à rouler droit sans que je ne sache pourquoi.
Je me demandais d'ailleurs quel genre de bizarreries, il avait pu faire à ma pauvre chatlauréane. D'un seul coup, il se mit en tête d'ouvrir la boîte à gants pour se saisir d'une fiole de rhum. Ce fut en refermant celle-ci que le drame arrivait. Il me coinçait la queue dedans et je dus lâcher le volant.
La voiture dévalait un ravin et par chance, nous avons fini sur un arbre. Un pin sylvestre de quarante-cinq mètres de hauteur qui nous empêchât donc une mort certaine.
Le problème fut qu'il n'avait pas de réseau et puis il ne tenait pas à ce que la gendarmerie s'intéresse sur ce qu'il transportait.
Grâce à mon extraordinaire agilité et à mon intelligence, je le sauvais du désastre.
Je descendis de l'arbre et arrivé en bas, j'appelais love gendarme pour lui demander le poste de gendarmerie le plus proche où je pourrais trouver un hélicoptère.
Ensuite, je lui demandais de les appeler pour qu'elle simule une fausse attaque terroriste sur le même commissariat.
C'est ainsi que je pus y aller tranquillement pour dérober l'hélicoptère et avec l'aide de mon copain le harnais remettre ma pauvre chatlauréane sur la route.
Donc comme je vous le disais plus haut, ma pauvre chatlauréane s'en tirait avec une double fracture de l'essieu et une fracture ouverte du pot d'échappement. Ce fut moi bien sûr qui fit le méchatnicien.
Nous repartîmes en suite en direct de la douane.
C'est alors qu'il arrivait vers la frontière qu'il a été signalée en train de faire des slaloms sur la route par un automobiliste.
Oui, je m'étais légèrement assoupi, voyez-vous.
Arrivé à la douane, on le fit souffler dans l'éthylomètre. Malheureusement, l'appareil prit feu et on ne pouvait pas savoir son taux d'alcoolémie. Puis les douaniers s'aperçurent que ma pauvre chatlauréane faisait des sauts sur place.
Ce fut l'un d'eux qui en s'approchant de la voiture vit que les pneus avaient le hoquet. Ce fut comme ça qu'ils comprirent pourquoi il n'avait pas d'alcool dans la voiture.
Il avait gonflé les pneus au rhum et les pauvres étaient ivres.
Ils trouvèrent donc dix grammes d'alcool par gramme de caoutchouc.
Alors salopard, on rigole moins, oui, j'étais témoin de tes agissements ce jour-là.
Bon Pépère, je reprends l'histoire.
Ettesion était en face de son père qui n'en revenait pas de son rêve avec son petit Fripouillet.
- Hé bien, mon papa, c'était un drôle de cauchemar, car tu es très agité.
- Oui ma fille à cause de mon soûlard, je viens de subir en rêve les pires avanies. En plus de la part de ma love maîtresse que j'aime. Ça m'apprendra à lui avoir sauvé la mise de son histoire d'assurance.
- Qu'est-ce que c'est que cette histoire d'assurance mon papounet ?
- Hé bien, laisse-moi te l'expliquer ma fille.
Voilà sache que love colis a pris une assurance pour les verres cassés chez la Matbut, groupe SGAM ( Secours en Geste des Alcooliques Modérés).
Il n'y a pas longtemps de ça elle n'avait plus de verres. Elle les avait tous cassés et se dit, appelons la Matbut pour faire un dossier. C'est alors qu'elle regarde l'heure sur son portable.
Quatre-vingt-deux heures soixante-dix-huit, ils sont ouverts à cette heure-là.
C'est alors qu'elle commence d'essayer de les appeler alors qu'il était deux heures du matin.
C'est alors qu'elle s'énerva, car ça ne répondait pas. Étant donné qu'elle a trois téléphones, elle essaya jusqu'à ce que ça réponde. Après six cent soixante-treize appels le standard téléphonique a pris feu.
C'est ainsi que le lendemain elle reçut la visite de son assureur au commissariat. Il venait porter plainte pour l'incendie de son standard téléphonique.
Ayant peur d'être découverte au cas où ses collègues qui auraient enquêté à sa place, elle me demandait de contacter ma copine de la poste. Son frère travaille à France Télécom et il a effacé toutes les données de ses appels. Et pour me remercier, on me traite de gros dégoûtant, je suis scandalisé.


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GABY73

Maître Poète
#2
Suite d'hier
- Alors Pépère, c'est bon, je peux continuer mon histoire ?
- Non, je n'ai pas fini de dire tout ce que j'avais à dire.
Va donc te brosser la langue à grands coups de râpe à fromage suisse fait en Uruguay, soûlard, et fous la paix à ton chat.
Amis lecteurs, je vous ai parlé de l'alcool dans le caoutchouc, hier.
Hé bien, écoutez cette histoire vraie réelle pas fausse et vous saurez de quoi il en retourne.
Et ne croyez pas ce faux mensonge dont on fit le rêve stupide que l'on veut m'imposer.
Voilà un jour, ma lampe de poche pour visiteur de cave à vin, était partie en Espagne chercher du whisky de contrebande.
Il était parti avec ma pauvre chatlauréane complètement mise en guenilles.
Il traversa toute la France avec au passage un cadeau pour chaque contrôle de gendarmerie.
Oui, love cerise lui avait conseillé d'emmener avec lui deux caisses de vin nucléaire pour soudoyer les agents éventuels qui le contrôleraient en route.
Elle lui téléphonait régulièrement avec l'un de ses trois téléphones pour l'avertir des futurs contrôles.
Évidemment, vous l'aurez compris, c'est moi pauvre miséreux qui était là comme copilote avec dans le chat-ventre mon ami le harnais.
Je répondais aux messages de love téléphone et lui indiquait la route.
Il était heureux, il chantait la messe en roulant et moi, je mangeais du chant grégorien en veux-tu en voilà.
Ce fut dans les Pyrénées que j'eus la peur de ma vie à cause d'un accident de la route.
Ma pauvre chatlauréane s'en tirait avec une double fracture de l'essieu et une fracture ouverte du pot d'échappement. Ce fut moi bien sûr qui fit le méchatnicien.
Que je vous raconte comment cela s'était passé et vous verrez de quoi il est capable.
Nous roulions tranquillement et il priait en conduisant.
Je devais régulièrement tenir le volant de la queue pour ne pas que l'on finisse dans un ravin. Oui, nous étions sur des routes sinueuses qui traversent les Pyrénées.
Oui, avec la queue, je maintenais le volant. Je n'avais malheureusement pas le choix. J'avais dans chaque patte avant un téléphone, le chatmsung et l'ipomme puis dans une des pattes arrières celui de mon apache scandinave scalper de l'oreille du pied par des moines irakiens.
Avec la patte restante, je me tenais après la poignée de la porte pour ma sécurité.
Oui, dès qu'il reprenait le volant la voiture allait en tous sens. Quoi qu'elle avait du mal à rouler droit sans que je ne sache pourquoi.
Je me demandais d'ailleurs quel genre de bizarreries, il avait pu faire à ma pauvre chatlauréane. D'un seul coup, il se mit en tête d'ouvrir la boîte à gants pour se saisir d'une fiole de rhum. Ce fut en refermant celle-ci que le drame arrivait. Il me coinçait la queue dedans et je dus lâcher le volant.
La voiture dévalait un ravin et par chance, nous avons fini sur un arbre. Un pin sylvestre de quarante-cinq mètres de hauteur qui nous empêchât donc une mort certaine.
Le problème fut qu'il n'avait pas de réseau et puis il ne tenait pas à ce que la gendarmerie s'intéresse sur ce qu'il transportait.
Grâce à mon extraordinaire agilité et à mon intelligence, je le sauvais du désastre.
Je descendis de l'arbre et arrivé en bas, j'appelais love gendarme pour lui demander le poste de gendarmerie le plus proche où je pourrais trouver un hélicoptère.
Ensuite, je lui demandais de les appeler pour qu'elle simule une fausse attaque terroriste sur le même commissariat.
C'est ainsi que je pus y aller tranquillement pour dérober l'hélicoptère et avec l'aide de mon copain le harnais remettre ma pauvre chatlauréane sur la route.
Donc comme je vous le disais plus haut, ma pauvre chatlauréane s'en tirait avec une double fracture de l'essieu et une fracture ouverte du pot d'échappement. Ce fut moi bien sûr qui fit le méchatnicien.
Nous repartîmes en suite en direct de la douane.
C'est alors qu'il arrivait vers la frontière qu'il a été signalée en train de faire des slaloms sur la route par un automobiliste.
Oui, je m'étais légèrement assoupi, voyez-vous.
Arrivé à la douane, on le fit souffler dans l'éthylomètre. Malheureusement, l'appareil prit feu et on ne pouvait pas savoir son taux d'alcoolémie. Puis les douaniers s'aperçurent que ma pauvre chatlauréane faisait des sauts sur place.
Ce fut l'un d'eux qui en s'approchant de la voiture vit que les pneus avaient le hoquet. Ce fut comme ça qu'ils comprirent pourquoi il n'avait pas d'alcool dans la voiture.
Il avait gonflé les pneus au rhum et les pauvres étaient ivres.
Ils trouvèrent donc dix grammes d'alcool par gramme de caoutchouc.
Alors salopard, on rigole moins, oui, j'étais témoin de tes agissements ce jour-là.
Bon Pépère, je reprends l'histoire.
Ettesion était en face de son père qui n'en revenait pas de son rêve avec son petit Fripouillet.
- Hé bien, mon papa, c'était un drôle de cauchemar, car tu es très agité.
- Oui ma fille à cause de mon soûlard, je viens de subir en rêve les pires avanies. En plus de la part de ma love maîtresse que j'aime. Ça m'apprendra à lui avoir sauvé la mise de son histoire d'assurance.
- Qu'est-ce que c'est que cette histoire d'assurance mon papounet ?
- Hé bien, laisse-moi te l'expliquer ma fille.
Voilà sache que love colis a pris une assurance pour les verres cassés chez la Matbut, groupe SGAM ( Secours en Geste des Alcooliques Modérés).
Il n'y a pas longtemps de ça elle n'avait plus de verres. Elle les avait tous cassés et se dit, appelons la Matbut pour faire un dossier. C'est alors qu'elle regarde l'heure sur son portable.
Quatre-vingt-deux heures soixante-dix-huit, ils sont ouverts à cette heure-là.
C'est alors qu'elle commence d'essayer de les appeler alors qu'il était deux heures du matin.
C'est alors qu'elle s'énerva, car ça ne répondait pas. Étant donné qu'elle a trois téléphones, elle essaya jusqu'à ce que ça réponde. Après six cent soixante-treize appels le standard téléphonique a pris feu.
C'est ainsi que le lendemain elle reçut la visite de son assureur au commissariat. Il venait porter plainte pour l'incendie de son standard téléphonique.
Ayant peur d'être découverte au cas où ses collègues qui auraient enquêté à sa place, elle me demandait de contacter ma copine de la poste. Son frère travaille à France Télécom et il a effacé toutes les données de ses appels. Et pour me remercier, on me traite de gros dégoûtant, je suis scandalisé.


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Toujours des aventures extraordinaires avec pepere
Bien amicalement
Gaby