Pépère avait besoin de se reposer un peu.
- Écoute ma fille, je vais me reposer un peu dans la voiture. Tu n'as qu'à aller avec monsieur Variant à la brasserie.
Vous ferez en sorte que la rôtissoire tienne, René bien au chaud, qu'il n'aille pas attraper le H1N1.
Oui, il ne manquerait plus que je sois malade, à présent.
Le ministre comprit la situation et partit avec Ettesion dans la brasserie.
Pépère avec cette nouvelle information de Loulou était plus que furax. Malgré ce qu'il disait de ne plus y penser, il n'arrêtait pas de ruminer cette histoire dans sa tête.
Il restait deux à quatre bonnes heures avant le barbecue, donc il avait un peu de temps pour se reposer.
Il se mit bien au fond du siège comme s'il était sur une couchette et envoya un message à Fripouille pour lui demander s'il n'y avait plus de danger avec cette histoire de bombe.
Il n'eut aucune réponse.
Le pauvre Fripouille était en train de finir de démonter l'engin explosif et il n'avait pas le temps de lire ses messages, bien qu'il eut entendu les notifications.
Du coup, Pépère envoya un message à Ainos lui demandant si elle avait des nouvelles.
La minette qui était avec Avéame et Sybage lui répondit qu'elle avait vu Fripouille et qu'il était arrivé à désamorcer la bombe avec un franc succès.
Pépère était rassuré et ceci lui avait un peu retiré la contrariété qui le tenait de voir Lolo toujours raconter des choses insensées à Loulou.
Il commençait à avoir des doutes sur le fait que cet article, publié sur Voichat, soit totalement un coup de Lolo. Sûrement que Loulou avait un espion, autre, parmi ses chatgents.
Il se disait que Lolo lui avait peut-être dit certaines choses et que ce fameux papier avait peut-être été largement modifié pour la gloire de Voichat et la fierté de Loulou Lecurieux.
Après tout cela n'était qu'un vulgaire torchon d'inepties inventé de toutes parts par Lolou Lecurieux et Lolo avait sûrement dis quelques mots.
Comment aurait-il pu oser dire que Pépère était en retraite et qu'il était autant diminué que l'article le décrivait.
Si Lolo avait menti, c'est sûrement qu'il y était pour quelque chose comme dans l'affaire d'Ettesion sa fille dans le passé, mais pas à ce point-là.
À force de réfléchir, il finit par s'endormir. Il fut réveillé aussitôt par sa maîtresse.
- Hé, gros, c'est l'heure du poulet de Fripouillet.
- Mais que se passe-t-il, que fais-tu ici ?
- Je suis gendarme et un gendarme ça enquête, bouboule. Je venais contrôler ton pass chatnitaire et si tu avais bien reçu les deux piqûres sur ton cucul tout sale.
Attention, je demanderai confirmation à Olivier Variant.
- Mais je suis en règle et en plus, j'arrive du musée de la viande et il était avec moi.
Sa maîtresse tenait Fripouillet dans les bras.
- Oui, je sais que tu viens du musée de la viande gros dégoûtant, je viens d'enregistrer une plainte pour pollution cacateuse de ta part devant la boutique par son propriétaire.
Oui, ton compte est bon mon gaillard, une amende de deux mois sans poulets.
Tiens prends Fripouillet et donne lui du poulet, ton enfant meurt de faim.
- Mais c'est mon enfant, mon petit Fripouillet qui est là, hein que ton papa te nourrit suffisamment.
- Hé bien, oui, c'est ton enfant, ça, on le sait, salopard.
C'est même d'ailleurs le chat illégitime que tu as eu avec Avéame, dans le dos d'Ainos.
Le soûlard est en prison pour raison de conduite d'un véhicule avec les pneus alcoolisés à dix grammes d'alcool par gramme de caoutchouc. Alors j'ai récupéré ton enfant illégitime pour que tu t'en occupes.
Le pauvre mourrait de faim le long du canal, c'est une honte la fifille.
Regarde, mon Fripouillet, tu vois le gros devant toi, avec ses lunettes et son déambulateur et ses appareils auditifs.
Dis-lui bonjour, fifilles, ça va bouboule, où as-tu mis ton savon, j'ai une fourmi en cadeau pour toi, chat chat chat.
Oui, vas-y Fripouillet, dis lui bonjour, c'est ton papa.
Fripouillet tendait les bras, mon papa, mon papa, c'est mon papa, papa, papa...
Il se réveilla en sursaut et vis Ettesion à côté de lui qui le secouait.
- Ça va mon Papa, tu es drôlement agité dans ton sommeil, papa, papounet.
- Oui, ma fille, j'ai fait un mauvais rêve.
Attends, j'ai deux mots à dire à jambe bionique.
Hé soûlard, qu'est-ce que c'est que ce flot d'insultes. Fifille, gros dégoûtant, bouboule, hé gros, tu peux m'expliquer.
- Mais c'est une histoire et c'est un rêve en plus.
- Mais oui bien sûr et la tasse que tu as devant toi, c'est un rêve. Moitié café moitié rhum. Je te connais le soûlard, tu profites d'écrire pour insulter un pauvre chat dans la misère.
Le faire passer pour un zozo tout rabougris aveugle sourd et maladif auprès de mon enfant.
- Quand même pas à ce point-là Pépère, tu exagères.
- Moi, j'exagère, Fripouillet est mon enfant, comme l'article de Loulou était faux.
Qui s'est qui va être obligé de mener l'enquête à présent, c'est encore Pépère pour te faire inculper d'avoir appelé Loulou en te faisant passer pour Lolo.
Et le gros dégoûtant qui aurait soit disant pollué le musée de la viande avec son caca.
Sache que Pépère fait caca de l'intelligence et que son caca sent une odeur de génie. D'ailleurs là où je fais mes besoins, ils poussent des fleurs de l'intelligence.
Tu vas voir qui va portez plainte pour outrage de l'agent le plus connu au monde, c'est moi, parfaitement.
Je vais porter plainte pour maltraitance.
- Tu exagères, Pépère enfin calme toi.
- Me calmer sûrement pas, j'ai un témoin, oui un témoin, le harnais peut témoigner de toutes les atrocités dont j'ai été victime. Du fait de me nourrir avec des cailloux jusqu'à tirer un char en panne en plein désert par soixante-dix degrés à l'ombre sans une goutte d'eau.
Par contre ma love maîtresse, je te remercie d'avoir cité l'histoire des dix grammes d'alcool par gramme de caoutchouc. Ça, c'est la vérité vraie amie lecteurs.
- Écoute ma fille, je vais me reposer un peu dans la voiture. Tu n'as qu'à aller avec monsieur Variant à la brasserie.
Vous ferez en sorte que la rôtissoire tienne, René bien au chaud, qu'il n'aille pas attraper le H1N1.
Oui, il ne manquerait plus que je sois malade, à présent.
Le ministre comprit la situation et partit avec Ettesion dans la brasserie.
Pépère avec cette nouvelle information de Loulou était plus que furax. Malgré ce qu'il disait de ne plus y penser, il n'arrêtait pas de ruminer cette histoire dans sa tête.
Il restait deux à quatre bonnes heures avant le barbecue, donc il avait un peu de temps pour se reposer.
Il se mit bien au fond du siège comme s'il était sur une couchette et envoya un message à Fripouille pour lui demander s'il n'y avait plus de danger avec cette histoire de bombe.
Il n'eut aucune réponse.
Le pauvre Fripouille était en train de finir de démonter l'engin explosif et il n'avait pas le temps de lire ses messages, bien qu'il eut entendu les notifications.
Du coup, Pépère envoya un message à Ainos lui demandant si elle avait des nouvelles.
La minette qui était avec Avéame et Sybage lui répondit qu'elle avait vu Fripouille et qu'il était arrivé à désamorcer la bombe avec un franc succès.
Pépère était rassuré et ceci lui avait un peu retiré la contrariété qui le tenait de voir Lolo toujours raconter des choses insensées à Loulou.
Il commençait à avoir des doutes sur le fait que cet article, publié sur Voichat, soit totalement un coup de Lolo. Sûrement que Loulou avait un espion, autre, parmi ses chatgents.
Il se disait que Lolo lui avait peut-être dit certaines choses et que ce fameux papier avait peut-être été largement modifié pour la gloire de Voichat et la fierté de Loulou Lecurieux.
Après tout cela n'était qu'un vulgaire torchon d'inepties inventé de toutes parts par Lolou Lecurieux et Lolo avait sûrement dis quelques mots.
Comment aurait-il pu oser dire que Pépère était en retraite et qu'il était autant diminué que l'article le décrivait.
Si Lolo avait menti, c'est sûrement qu'il y était pour quelque chose comme dans l'affaire d'Ettesion sa fille dans le passé, mais pas à ce point-là.
À force de réfléchir, il finit par s'endormir. Il fut réveillé aussitôt par sa maîtresse.
- Hé, gros, c'est l'heure du poulet de Fripouillet.
- Mais que se passe-t-il, que fais-tu ici ?
- Je suis gendarme et un gendarme ça enquête, bouboule. Je venais contrôler ton pass chatnitaire et si tu avais bien reçu les deux piqûres sur ton cucul tout sale.
Attention, je demanderai confirmation à Olivier Variant.
- Mais je suis en règle et en plus, j'arrive du musée de la viande et il était avec moi.
Sa maîtresse tenait Fripouillet dans les bras.
- Oui, je sais que tu viens du musée de la viande gros dégoûtant, je viens d'enregistrer une plainte pour pollution cacateuse de ta part devant la boutique par son propriétaire.
Oui, ton compte est bon mon gaillard, une amende de deux mois sans poulets.
Tiens prends Fripouillet et donne lui du poulet, ton enfant meurt de faim.
- Mais c'est mon enfant, mon petit Fripouillet qui est là, hein que ton papa te nourrit suffisamment.
- Hé bien, oui, c'est ton enfant, ça, on le sait, salopard.
C'est même d'ailleurs le chat illégitime que tu as eu avec Avéame, dans le dos d'Ainos.
Le soûlard est en prison pour raison de conduite d'un véhicule avec les pneus alcoolisés à dix grammes d'alcool par gramme de caoutchouc. Alors j'ai récupéré ton enfant illégitime pour que tu t'en occupes.
Le pauvre mourrait de faim le long du canal, c'est une honte la fifille.
Regarde, mon Fripouillet, tu vois le gros devant toi, avec ses lunettes et son déambulateur et ses appareils auditifs.
Dis-lui bonjour, fifilles, ça va bouboule, où as-tu mis ton savon, j'ai une fourmi en cadeau pour toi, chat chat chat.
Oui, vas-y Fripouillet, dis lui bonjour, c'est ton papa.
Fripouillet tendait les bras, mon papa, mon papa, c'est mon papa, papa, papa...
Il se réveilla en sursaut et vis Ettesion à côté de lui qui le secouait.
- Ça va mon Papa, tu es drôlement agité dans ton sommeil, papa, papounet.
- Oui, ma fille, j'ai fait un mauvais rêve.
Attends, j'ai deux mots à dire à jambe bionique.
Hé soûlard, qu'est-ce que c'est que ce flot d'insultes. Fifille, gros dégoûtant, bouboule, hé gros, tu peux m'expliquer.
- Mais c'est une histoire et c'est un rêve en plus.
- Mais oui bien sûr et la tasse que tu as devant toi, c'est un rêve. Moitié café moitié rhum. Je te connais le soûlard, tu profites d'écrire pour insulter un pauvre chat dans la misère.
Le faire passer pour un zozo tout rabougris aveugle sourd et maladif auprès de mon enfant.
- Quand même pas à ce point-là Pépère, tu exagères.
- Moi, j'exagère, Fripouillet est mon enfant, comme l'article de Loulou était faux.
Qui s'est qui va être obligé de mener l'enquête à présent, c'est encore Pépère pour te faire inculper d'avoir appelé Loulou en te faisant passer pour Lolo.
Et le gros dégoûtant qui aurait soit disant pollué le musée de la viande avec son caca.
Sache que Pépère fait caca de l'intelligence et que son caca sent une odeur de génie. D'ailleurs là où je fais mes besoins, ils poussent des fleurs de l'intelligence.
Tu vas voir qui va portez plainte pour outrage de l'agent le plus connu au monde, c'est moi, parfaitement.
Je vais porter plainte pour maltraitance.
- Tu exagères, Pépère enfin calme toi.
- Me calmer sûrement pas, j'ai un témoin, oui un témoin, le harnais peut témoigner de toutes les atrocités dont j'ai été victime. Du fait de me nourrir avec des cailloux jusqu'à tirer un char en panne en plein désert par soixante-dix degrés à l'ombre sans une goutte d'eau.
Par contre ma love maîtresse, je te remercie d'avoir cité l'histoire des dix grammes d'alcool par gramme de caoutchouc. Ça, c'est la vérité vraie amie lecteurs.
