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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Le Pépère n'en pouvait plus, entre les articles de Loulou Lecurieux et ses histoires, la faim se faisait sentir, mais pas que ça.
Cela l'ennuyait d'aller à la brasserie du cul roux. Pourtant l'envie d'un poulet le tenait et il ne savait plus comment faire.
Pour la première fois depuis son arrivée, il était à court d'idées il...
- Stop, ça ne va pas, là je ne me reconnais plus soûlard.
- Pépère que se passe-t-il ?
Ça ne va pas, tu as faim ?
- Ivrogne, ça ne va pas ?
Tu as soif, jambe bionique ?
Non, mais sérieusement, tu as cru cet article de Loulou Lecurieux, ce n'est pas possible.
- De quel article parles-tu ?
- De celui où il cite mon état.
Tu te souviens non...
Sa fille fut aperçue quelque temps plus tard achetant pour lui une teinture grise et de la patte dentaire spécial vieux chat.
Non je ne suis pas en géchatrie comme tu le penses.
- Mais, je sais c'est moi qui écris cette histoire tous les jours.
- Ha c'est donc toi qui a téléphoné à Loulou Lecurieux en te déguisant en Lolo. Hé bien, si tu es passé près du barbecue, nous n'aurons plus rien à manger nous autres.
Pourquoi écris tu que la première fois depuis mon arrivée, je suis à court d'idées.
Tu voulais me faire disparaître de cette histoire pour me remplacer par mon frère saturne.
Tu en profites pendant que ton chat n'est pas là pour écrire sa propre histoire pour me faire disparaître.
Oui, amis lecteurs, en ce moment, le matin je suis un peu éreinté avec toutes mes missions. J'avais donc confié l'écriture de mon histoire à cet ivrogne. Mais figurez-vous qu'il se sert de Cookie, sa pauvre mère, son frère, la noiraude, un passant, enfin ce qu'il lui tombe sous le verre pour s'en servir de nègre.
- Tu racontes n'importe quoi Pépère.
- Tu ne manques pas d'air soûlard, tu as lu l'article de Loulou Lecurieux que tu as fait écrire à ton nègre.
- C'est l'article de Loulou Lecurieux, c'est l'histoire qui est ainsi.
- Oui, merci, je les ai lu ces horreurs. Tu veux que je te rafraîchisse la mémoire.
Les infirmiers qui l'ont reçu, ont été surpris par un Pépère diminué et rabougri. Ils le récurent en disant textuellement de lui, hé bien, le zozo, il est dans un drôle d'état.
Étant donné que la pile de ses appareils auditifs était déchargé, il n'entendait pas la sonnerie.
Mais son déambulateur l'empêchait de le saisir dans son chat-ventre.
Celui-ci lui envoyait une photo, mais malgré ses lunettes surpuissantes, il ne voyait pas la bombe en photo.
Le pauvre Pépère totalement diminué à supplié qu'ont le même de suite en géchatrie pour que ses petits-enfants ne le voient pas ainsi.
Honnêtement, c'est honteux, et ça ce n'est qu'un extrait de l'immonde article qui me salit tout le long.
Garde-toi bien de ne pas finir au tribunal, soûlard, oui ton chat a des preuves et un témoin. Tu risques cinquante ans de prison au minimum si je porte chatplainte contre toi.
- Comment ça un témoin ?
- Love choux est témoin de cet article qu'elle a lu avec horreur comme moi.
Le jour même, elle me téléphonait pour m'avertir de ton dessein.
Heureusement qu'elle m'est fidèle, je l'aime, je l'aime ma love gendarme.
Elle m'a téléphoné pour me dire qu'elle avait surpris Cookie en train de taper mon histoire à la machine à écrire.
Oui, parfaitement, une antiquité des années mille neuf cents que tu as achetée sur le bon coin des mauvaises affaires.
Ça t'en bouche un coin que je le sache. Ma love maîtresse que j'aime à enquêté et à trouvé d'où venait cette machine à écrire. Ceci faisait suite à une plainte pour tapage de champ en cabane par un cheval. Oui, la pauvre en tapant faisait tant de bruit qu'elle était écoutée jusqu'à Saint-Pierre.
Grâce à la fidélité de ma love maîtresse que j'aime, je sais toute la vérité. Ça t'en bouche la bouteille hein, soûlard !
Puis elle m'a aussi appris que tu appelles mon frère, Pépère ou crapouillot.
Donc tu as l'intention de me remplacer. Gare à toi, j'ai les preuves de ces articles de Loulou Lecurieux, n'oublie pas que tu risques cinquante ans de prison.
Merci ma love gendarme poète, je t'aime, je t'aime.
- Tu racontes n'importe quoi Pépère !
- J'ai la preuve de son appel.
- Ha, bon, j'aimerais bien voir ça.
- Voilà, mon bel ipomme tout cintré, tu sais pourquoi les vapeurs sont sorties par l'appareil et il a failli fondre et moi finir avec une brûlure de la rétine au vingtième degré.
Oui, elle avait oublié de m'appeler avec son masque, mais je l'aime, je l'aime.
Quand je pense au travail que j'ai fait pour toi. Si j'avais su, ta maison bouteille, tu l'aurais construite toi-même.
Que je vous raconte, amis lecteurs.
Il y a quelques jours de ça, a été livré chez mon soûlard, deux camions remplis de bouteilles vides.
Puis des planches de bois.
Je me demandais ce que c'était et là, il me chope par une patte et me dit comme ça.
Pépère, mon gentil Pépère, j'ai un service à te demander.
Puis il me sortit les plans d'une maison bouteille faits par un architecte alcoolique.
Tu vois ce verre qu'il me disait, tu vas l'écraser en morceaux. Ensuite, tu le feras fondre avec l'alambic. Avec les planches, tu feras un coffrage pour la réalisation de cette maison bouteille.
Voilà comment je me suis rôti pour lui rendre service.
Moi, je pensais qu'il écrivait mon histoire.
Non, pas du tout, il se burinait l'œsophage à grands coups de pelles à frites pendant que Cookie tapait le texte et que le pauvre Pépère faisait la maison bouteille.
Une honte, soûlard, continue l'histoire autrement, je te préviens, je t'ai à l'œil.

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GABY73

Maître Poète
#2
Le Pépère n'en pouvait plus, entre les articles de Loulou Lecurieux et ses histoires, la faim se faisait sentir, mais pas que ça.
Cela l'ennuyait d'aller à la brasserie du cul roux. Pourtant l'envie d'un poulet le tenait et il ne savait plus comment faire.
Pour la première fois depuis son arrivée, il était à court d'idées il...
- Stop, ça ne va pas, là je ne me reconnais plus soûlard.
- Pépère que se passe-t-il ?
Ça ne va pas, tu as faim ?
- Ivrogne, ça ne va pas ?
Tu as soif, jambe bionique ?
Non, mais sérieusement, tu as cru cet article de Loulou Lecurieux, ce n'est pas possible.
- De quel article parles-tu ?
- De celui où il cite mon état.
Tu te souviens non...
Sa fille fut aperçue quelque temps plus tard achetant pour lui une teinture grise et de la patte dentaire spécial vieux chat.
Non je ne suis pas en géchatrie comme tu le penses.
- Mais, je sais c'est moi qui écris cette histoire tous les jours.
- Ha c'est donc toi qui a téléphoné à Loulou Lecurieux en te déguisant en Lolo. Hé bien, si tu es passé près du barbecue, nous n'aurons plus rien à manger nous autres.
Pourquoi écris tu que la première fois depuis mon arrivée, je suis à court d'idées.
Tu voulais me faire disparaître de cette histoire pour me remplacer par mon frère saturne.
Tu en profites pendant que ton chat n'est pas là pour écrire sa propre histoire pour me faire disparaître.
Oui, amis lecteurs, en ce moment, le matin je suis un peu éreinté avec toutes mes missions. J'avais donc confié l'écriture de mon histoire à cet ivrogne. Mais figurez-vous qu'il se sert de Cookie, sa pauvre mère, son frère, la noiraude, un passant, enfin ce qu'il lui tombe sous le verre pour s'en servir de nègre.
- Tu racontes n'importe quoi Pépère.
- Tu ne manques pas d'air soûlard, tu as lu l'article de Loulou Lecurieux que tu as fait écrire à ton nègre.
- C'est l'article de Loulou Lecurieux, c'est l'histoire qui est ainsi.
- Oui, merci, je les ai lu ces horreurs. Tu veux que je te rafraîchisse la mémoire.
Les infirmiers qui l'ont reçu, ont été surpris par un Pépère diminué et rabougri. Ils le récurent en disant textuellement de lui, hé bien, le zozo, il est dans un drôle d'état.
Étant donné que la pile de ses appareils auditifs était déchargé, il n'entendait pas la sonnerie.
Mais son déambulateur l'empêchait de le saisir dans son chat-ventre.
Celui-ci lui envoyait une photo, mais malgré ses lunettes surpuissantes, il ne voyait pas la bombe en photo.
Le pauvre Pépère totalement diminué à supplié qu'ont le même de suite en géchatrie pour que ses petits-enfants ne le voient pas ainsi.
Honnêtement, c'est honteux, et ça ce n'est qu'un extrait de l'immonde article qui me salit tout le long.
Garde-toi bien de ne pas finir au tribunal, soûlard, oui ton chat a des preuves et un témoin. Tu risques cinquante ans de prison au minimum si je porte chatplainte contre toi.
- Comment ça un témoin ?
- Love choux est témoin de cet article qu'elle a lu avec horreur comme moi.
Le jour même, elle me téléphonait pour m'avertir de ton dessein.
Heureusement qu'elle m'est fidèle, je l'aime, je l'aime ma love gendarme.
Elle m'a téléphoné pour me dire qu'elle avait surpris Cookie en train de taper mon histoire à la machine à écrire.
Oui, parfaitement, une antiquité des années mille neuf cents que tu as achetée sur le bon coin des mauvaises affaires.
Ça t'en bouche un coin que je le sache. Ma love maîtresse que j'aime à enquêté et à trouvé d'où venait cette machine à écrire. Ceci faisait suite à une plainte pour tapage de champ en cabane par un cheval. Oui, la pauvre en tapant faisait tant de bruit qu'elle était écoutée jusqu'à Saint-Pierre.
Grâce à la fidélité de ma love maîtresse que j'aime, je sais toute la vérité. Ça t'en bouche la bouteille hein, soûlard !
Puis elle m'a aussi appris que tu appelles mon frère, Pépère ou crapouillot.
Donc tu as l'intention de me remplacer. Gare à toi, j'ai les preuves de ces articles de Loulou Lecurieux, n'oublie pas que tu risques cinquante ans de prison.
Merci ma love gendarme poète, je t'aime, je t'aime.
- Tu racontes n'importe quoi Pépère !
- J'ai la preuve de son appel.
- Ha, bon, j'aimerais bien voir ça.
- Voilà, mon bel ipomme tout cintré, tu sais pourquoi les vapeurs sont sorties par l'appareil et il a failli fondre et moi finir avec une brûlure de la rétine au vingtième degré.
Oui, elle avait oublié de m'appeler avec son masque, mais je l'aime, je l'aime.
Quand je pense au travail que j'ai fait pour toi. Si j'avais su, ta maison bouteille, tu l'aurais construite toi-même.
Que je vous raconte, amis lecteurs.
Il y a quelques jours de ça, a été livré chez mon soûlard, deux camions remplis de bouteilles vides.
Puis des planches de bois.
Je me demandais ce que c'était et là, il me chope par une patte et me dit comme ça.
Pépère, mon gentil Pépère, j'ai un service à te demander.
Puis il me sortit les plans d'une maison bouteille faits par un architecte alcoolique.
Tu vois ce verre qu'il me disait, tu vas l'écraser en morceaux. Ensuite, tu le feras fondre avec l'alambic. Avec les planches, tu feras un coffrage pour la réalisation de cette maison bouteille.
Voilà comment je me suis rôti pour lui rendre service.
Moi, je pensais qu'il écrivait mon histoire.
Non, pas du tout, il se burinait l'œsophage à grands coups de pelles à frites pendant que Cookie tapait le texte et que le pauvre Pépère faisait la maison bouteille.
Une honte, soûlard, continue l'histoire autrement, je te préviens, je t'ai à l'œil.

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Lecture très appréciée
Merci Daniel pour votre immense imagination
Amicalement
Gaby