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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Dans sa soucoupe, Choûanne était pensive. La bataille qu'elle allait mener contre les Énarpilodiens ne lui faisait pas peur, mais elle avait une légère tristesse en elle.
Pour la première fois, depuis qu'elle était fée sur Mercure, elle était triste. Elle aurait aimé être sur terre avec son Tigrou qu'elle venait de laisser.
Elle craignait qu'après la bataille mercure ne là rappelle et qu'elle rate la cérémonie de son Tigrou.
Non qu'une maison ou un appartement lui manqua, elle avait le spleen d'être loin de la terre.
Elle revoyait sa vie d'avant quand elle était enfant où elle vivait à la campagne. En cette époque reculée, tous les progrès actuels n'avaient pas pris le pas sur la conscience humaine. L'odeur des champs après la pluie, ses chats courant à travers la campagne, les forêts de chênes proches de sa maison, l'école avec les marronniers, les mains dans la neige qui brûle les doigts après, toutes ces choses lui manquaient. Son départ pour la ville avait été aussi très dur et son compagnon ne le sut jamais. Puis elle se retrouva seule et récupéra des chats errants pour lui tenir compagnie et puis la naissance de Tigrou. La catastrophe et enfin le déclin qui lui permit de devenir la fée Chouânne, alors qu'elle s'appelait Anne. Sa rencontre avec une planète qui l'avait accueillie comme si, elle y était née, puis ses voyages dans l'espace et tous ces animaux secourus. Malgré ses trente-cinq ans, elle avait déjà vu pas mal de choses. Elle continua de fendre l'espace l'esprit occupé par toutes ces interrogations, mais elle était rassurée, car elle savait qu'elle allait revoir Pépère.
Sur terre, le Pépère n'en revenait pas, Lolo avait encore appelé ce...
- Stop, ça ne va pas là, il y a un problème...
- Oui, qui est là, que se passe-t-il ?
- Hé bien, c'est moi le magnifique, le sublime, le plus grand, le meilleur des poète, Dieu, pour rester modeste.
Et pas le cucul sale pour qui l'on veut me faire passer, bref.
- Ha, Pépère, mais que veux-tu ?
- Ce que je veux, tu ne manques pas d'air toi, dis-moi est-ce que tu penses consulter le médecin aujourd'hui ?
- Pourquoi tu me dis ça ?
- Hé bien, je ne sais pas si ce sont les effets de l'alcool où le fait que tu as besoin de prendre un Prozac, mais ça ne vas pas.
C'est l'article de Loulou Lecurieux, tu as des remords par rapport à ton chat ?
- Mais qu'est-ce qu'il y a à la fin ?
Je ne comprends rien et puis c'est Lolo qui a téléphoner à Loulou, non !
- Bon, passons ce sujet brûlant.
Hé bien, Gargantua, tu as faim, j'ai compris, c'est ça qui te rend dépressif.
- Moi, mais pas du tout, tu te fais des idées mon Pépère.
- Ha bon, des idées, heureusement que je suis là pour égayer cette histoire. Tu as vu comme tu commences l'histoire aujourd'hui.
- Quel est le problème au début de mon histoire ?
- Le problème ! Mais tu es en train de faire pleurer tout le monde, il est là le souci. Si je n'étais pas intervenu, demain, tu n'avais plus de lecteurs.
- Ha bon, et pourquoi donc ?
- Il se serait tous suicidé, voilà ce que tu aurais gagné. Au moins que tu cherches à les rendre dépressifs pour qu'ils se mettent à l'alcool et que tu organises la fête des vendanges.
Oui, c'est l'automne et tu penses aux vendanges pour l'anniversaire de love cerise.
- Pourquoi une fête des vendanges, allons Pépère, il n'y a pas d'alcool ici, tu t'imagines des...
- tais-toi bras d'acier, tu mens. La preuve, tu as des bouteilles vides qui traînent partout. Oui, je sais de la limonade. Nous ne sommes pas dupes nous autres, nous savons bien que c'est du vin dedans. Avec tes connaissances en chimie, tu le rends transparent pour que tout le monde pense que c'est de la limonade.
Heureusement que je suis là pour rétablir la vérité. C'est comme cette histoire que tu me fais écrire depuis trois ans en disant que c'est toi qui l'as inventé.
Chat chat chat, alors que depuis le début, c'est moi et Isidore qui faisons les scripts pour le lendemain chaque soir. C'est une honte ce que tu fais. Je veux bien continuer de te laisser finir, mais pas de pleurnicheries, s'il te plaît.
Pose ce verre et fais de Pépère le vrai héros de ce conte qui est mon histoire vraie réelle pas fausse.
Et plus de crasseux ou autres, merci.
- Bon, je continue, il n'y a pas plus de verre de vin qu'autre chose.
- Ha, bon, c'est pour ça que toi et love Quentin avez reçu en avant-première et dix jours avant tout le monde le dépliant publicitaire de la foire aux vins, d'Intermarcher, chat chat chat.
Hé bien oui, amis lecteurs, ils sont toujours informés en premier de publicité en liquide.
Aussi bien sûr internet que par courrier.
D'ailleurs cette étiquette sur la boîte aux lettres de love tarte le prouve. Stop pub, en réalité, il faut comprendre que c'est un code pour le facteur. Stop pub, il faut comprendre un Pub un débit de boisson. En clair, ça veut dire, stop facteur, balance le dépliant du pub où l'on peut boire sans pass. Éventuellement, ça dit aussi toutes les exclusivités doivent arriver ici en priorité.
Oui, chacun ses priorités, moi, je reçois toujours en exclusivité le catalogue du musée de la viande.
-Bon, j'ai compris Pépère, je peux...
- Tais-toi manant, comme dirait Momo, je n'ai pas fini.
Tu n'y connais rien, au musée de la viande.
En parlant de ça, quand est-ce que j'aurais à disposition mes cartons de René et de Quentin. C'est bien joli cette histoire, mais ça fait un an que tu en parles et je n'ai toujours rien senti. Je comprends bien que ton hypoglycémie te pousse à manger tout le temps, mais il faudrait peut-être penser un peu à ton chat, soûlard.
Heureusement que de temps en temps entre deux, monsieur, je plane attention, love tarte me prépare de succulents menus. Je t'aime ma love maîtresse, je t'aime, je t'aime. Et avec le masque obligatoire je n'ai plus le risque de brûlure de la rétine, chat chat chat.
C'est bon soûlard, tu peux continuer, j'ai dit ce que j'avais à dire.

IMG_20210912_092440.jpg
 

GABY73

Maître Poète
#2
Dans sa soucoupe, Choûanne était pensive. La bataille qu'elle allait mener contre les Énarpilodiens ne lui faisait pas peur, mais elle avait une légère tristesse en elle.
Pour la première fois, depuis qu'elle était fée sur Mercure, elle était triste. Elle aurait aimé être sur terre avec son Tigrou qu'elle venait de laisser.
Elle craignait qu'après la bataille mercure ne là rappelle et qu'elle rate la cérémonie de son Tigrou.
Non qu'une maison ou un appartement lui manqua, elle avait le spleen d'être loin de la terre.
Elle revoyait sa vie d'avant quand elle était enfant où elle vivait à la campagne. En cette époque reculée, tous les progrès actuels n'avaient pas pris le pas sur la conscience humaine. L'odeur des champs après la pluie, ses chats courant à travers la campagne, les forêts de chênes proches de sa maison, l'école avec les marronniers, les mains dans la neige qui brûle les doigts après, toutes ces choses lui manquaient. Son départ pour la ville avait été aussi très dur et son compagnon ne le sut jamais. Puis elle se retrouva seule et récupéra des chats errants pour lui tenir compagnie et puis la naissance de Tigrou. La catastrophe et enfin le déclin qui lui permit de devenir la fée Chouânne, alors qu'elle s'appelait Anne. Sa rencontre avec une planète qui l'avait accueillie comme si, elle y était née, puis ses voyages dans l'espace et tous ces animaux secourus. Malgré ses trente-cinq ans, elle avait déjà vu pas mal de choses. Elle continua de fendre l'espace l'esprit occupé par toutes ces interrogations, mais elle était rassurée, car elle savait qu'elle allait revoir Pépère.
Sur terre, le Pépère n'en revenait pas, Lolo avait encore appelé ce...
- Stop, ça ne va pas là, il y a un problème...
- Oui, qui est là, que se passe-t-il ?
- Hé bien, c'est moi le magnifique, le sublime, le plus grand, le meilleur des poète, Dieu, pour rester modeste.
Et pas le cucul sale pour qui l'on veut me faire passer, bref.
- Ha, Pépère, mais que veux-tu ?
- Ce que je veux, tu ne manques pas d'air toi, dis-moi est-ce que tu penses consulter le médecin aujourd'hui ?
- Pourquoi tu me dis ça ?
- Hé bien, je ne sais pas si ce sont les effets de l'alcool où le fait que tu as besoin de prendre un Prozac, mais ça ne vas pas.
C'est l'article de Loulou Lecurieux, tu as des remords par rapport à ton chat ?
- Mais qu'est-ce qu'il y a à la fin ?
Je ne comprends rien et puis c'est Lolo qui a téléphoner à Loulou, non !
- Bon, passons ce sujet brûlant.
Hé bien, Gargantua, tu as faim, j'ai compris, c'est ça qui te rend dépressif.
- Moi, mais pas du tout, tu te fais des idées mon Pépère.
- Ha bon, des idées, heureusement que je suis là pour égayer cette histoire. Tu as vu comme tu commences l'histoire aujourd'hui.
- Quel est le problème au début de mon histoire ?
- Le problème ! Mais tu es en train de faire pleurer tout le monde, il est là le souci. Si je n'étais pas intervenu, demain, tu n'avais plus de lecteurs.
- Ha bon, et pourquoi donc ?
- Il se serait tous suicidé, voilà ce que tu aurais gagné. Au moins que tu cherches à les rendre dépressifs pour qu'ils se mettent à l'alcool et que tu organises la fête des vendanges.
Oui, c'est l'automne et tu penses aux vendanges pour l'anniversaire de love cerise.
- Pourquoi une fête des vendanges, allons Pépère, il n'y a pas d'alcool ici, tu t'imagines des...
- tais-toi bras d'acier, tu mens. La preuve, tu as des bouteilles vides qui traînent partout. Oui, je sais de la limonade. Nous ne sommes pas dupes nous autres, nous savons bien que c'est du vin dedans. Avec tes connaissances en chimie, tu le rends transparent pour que tout le monde pense que c'est de la limonade.
Heureusement que je suis là pour rétablir la vérité. C'est comme cette histoire que tu me fais écrire depuis trois ans en disant que c'est toi qui l'as inventé.
Chat chat chat, alors que depuis le début, c'est moi et Isidore qui faisons les scripts pour le lendemain chaque soir. C'est une honte ce que tu fais. Je veux bien continuer de te laisser finir, mais pas de pleurnicheries, s'il te plaît.
Pose ce verre et fais de Pépère le vrai héros de ce conte qui est mon histoire vraie réelle pas fausse.
Et plus de crasseux ou autres, merci.
- Bon, je continue, il n'y a pas plus de verre de vin qu'autre chose.
- Ha, bon, c'est pour ça que toi et love Quentin avez reçu en avant-première et dix jours avant tout le monde le dépliant publicitaire de la foire aux vins, d'Intermarcher, chat chat chat.
Hé bien oui, amis lecteurs, ils sont toujours informés en premier de publicité en liquide.
Aussi bien sûr internet que par courrier.
D'ailleurs cette étiquette sur la boîte aux lettres de love tarte le prouve. Stop pub, en réalité, il faut comprendre que c'est un code pour le facteur. Stop pub, il faut comprendre un Pub un débit de boisson. En clair, ça veut dire, stop facteur, balance le dépliant du pub où l'on peut boire sans pass. Éventuellement, ça dit aussi toutes les exclusivités doivent arriver ici en priorité.
Oui, chacun ses priorités, moi, je reçois toujours en exclusivité le catalogue du musée de la viande.
-Bon, j'ai compris Pépère, je peux...
- Tais-toi manant, comme dirait Momo, je n'ai pas fini.
Tu n'y connais rien, au musée de la viande.
En parlant de ça, quand est-ce que j'aurais à disposition mes cartons de René et de Quentin. C'est bien joli cette histoire, mais ça fait un an que tu en parles et je n'ai toujours rien senti. Je comprends bien que ton hypoglycémie te pousse à manger tout le temps, mais il faudrait peut-être penser un peu à ton chat, soûlard.
Heureusement que de temps en temps entre deux, monsieur, je plane attention, love tarte me prépare de succulents menus. Je t'aime ma love maîtresse, je t'aime, je t'aime. Et avec le masque obligatoire je n'ai plus le risque de brûlure de la rétine, chat chat chat.
C'est bon soûlard, tu peux continuer, j'ai dit ce que j'avais à dire.

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Un bon petit moment de lecture
Merci Daniel pour votre plume prolixte
Amicalement
Gaby