Le poète qui était parti à Sancoins à la boulangerie quand il reçut un appel de ses voisins. Ceux-ci pensaient qu'il était en train de faire des essais radio, car toutes les télés du coin ne marchaient plus.
Il fit demi-tour pour aller voir ce qui se passait là-bas, car son voisin voyait le soleil clignoter.
- Bon, sois douze degrés à frappé ou il se passe quelque chose.
En fait, c'était une formation du puissant Aketok qui venait assister Annahoj qu'il pensait toujours en bon état de marche.
D'un seul coup sur l'ensemble de la zone où étaient en stationnaire les extraterrestres, le temps se mit à varier dans tous les sens et l'heure changeait avec les mouvements du soleil qui semblait être un yo-yo géant tenu par un funambule invisible courant l'univers. Les Américains stoppèrent leurs manœuvres et retournèrent à leur campement. Le réseau téléphonique semblait marché par épisode. Ils contactèrent la maison blanche et le pentagone. L'ordre fut de consulter Pépère qui d'ailleurs aurait dû aller les voir précédemment pour savoir s'il n'avait pas eu à combattre des envahisseurs dans le secteur. Ils avaient aussi ordre de stopper cette invasion.
Pépère de son côté après avoir raconté mille histoires à son petit Fripouillet arriva à Sancoins juste derrière sa voiture.
Le président plutôt que de prendre la direction du canal était parti vers la brasserie du cul roux.
Il s'arrêta devant et descendit de l'auto. Fripouille avait été appelé par le président et il était déjà là.
Il devait prévenir la brasserie de leur arrivée. Petitmimi et Grisou étaient invités à manger une cuisse de poulet.
En fait, c'est sœur Mathilde qui avait eu l'idée, car elle avait grande soif.
Le Pépère descendit avec Fripouillet et rentra avec ses amis, le président et sœur Mathilde.
D'un seul coup, les cloches de l'église se mirent à sonner sans s'arrêter. Puis le courant se coupa. Fripouille, sachant où était le transformateur qui alimentait la commune partit sans prévenir les autres. Il pensait au puissant Aketok et avait peur que les Énarpilodiens soient déjà là.
Le Pépère reçut un message au même moment. Les Américains désiraient le voir, un ordre du pentagone disaient-ils.
- Je dois aller d'urgence à Mornay, je dois rencontrer le chef du pentagone en personne. Déjà pour une médaille, celle du onze septembre qui ne m'a jamais été remise. Deuxièmement, je dois intervenir auprès d'extraterrestres pour les neutraliser avec ma super force.
- Vous êtes sûr que ça va bien se passer Pépère. Mais ici comment allons, nous faire sans vous ?
Lui répondit le président ?
Et le barbecue, et vos distinctions ?
- Je vous délègue mes pouvoirs monsieur le président, je n'en ai pas pour longtemps, le barbecue aura bien lieu ne vous en inquiétez pas.
Faites offrir de la bière du cul roux à sœur Mathilde et du poulet à mon petit Fripouillet et à Petitmimi et Grisou.
Je vais peut-être rencontrer mon ivrogne en route, ne sait-on jamais.
Le Pépère sauta dans sa voiture devant la brasserie et partit à toute vitesse.
Il partit comme un fou à travers les rues de Sancoins.
- Poussez-vous les asticots du volant, c'est Chatmareur qui est sur la piste. Allez, que les minettes viennent voir le beau gosse et ses belles baskets. Où qu'elle est la Siamoise, j'ai peut-être un peu de temps pour épater la galerie chat chat chat.
Il n'avait pas si bien dit les choses. Arriver dans la rue de la Siamoise bien que ce ne fût pas sa route, il croisa Fripouille qui remontait vers la brasserie en courant.
Il se cacha pour ne pas avoir à l'amener et aller voir la Siamoise. Arrivé vers la grille, il vit la chatte, elle semblait apeurée et il s'arrêta près d'elle.
- Alors ma toute belle, nous cherchons un sauveur, un dieu, un guerrier, un chat qui a de la classe avec ses NIKE.
La minette lui dit qu'elle était loin de chez elle et pressée de retrouver ses maîtres. Elle accepta de monter avec lui plus pas peur du ciel qu'autre chose. Le Pépère pour l'épater roulait très vite et zigzaguait tant qu'il le pouvait. Arrivé dans un virage, il perdit le contrôle de sa voiture et se renversa dans le fossé. La minette plus prudente que lui et sûrement à cause de sa façon propre de conduire avait mis sa ceinture. Elle fut la seule à ne pas être éjectée. Lui tomba dans la ruelle du fossé où il y avait de l'eau croupie et très nauséabonde. Il se releva et s'essuya sommairement avec de l'herbe et dit à la minette.
- Pas d'inquiétude ma toute belle, je suis aussi propre qu'avant et je vais remettre la voiture sur la route grâce à ma force extrême.
Il remit la voiture sur la route avec sa magie et remonta dans l'auto. Il repartit comme un fou. La minette s'écria.
- Stop, tu sens mauvais, tu conduis mal et tes NIKE sont sales. Je vais finir à pattes, je suis presque arrivé, espèce de crasseux.
Le Pépère était outré qu'on lui parle ainsi et il reprit la route de Mornay en disant.
- Un chat de mon standing se faire traiter de crasseux quand on a remporté des centaines de prix de beauté, mon Dieu.
- Attends soûlard, tu ne perds rien pour attendre.
Il reprit la nationale et fut à Mornay en peu de temps, car il fit des pointes à cent quatre-vingts kilomètres heure. Arrivé dans l'allée du poète, il le vit en train d'observer les Américains. Il se gara et le regardant méchamment lui dit. Alors poivrot encore cramé, où qu'elle est ma love maîtresse pour laver l'affront du crasseux. D'abord, que fais-tu espèce de fil de fer déshydraté d'URSS.
Il fit demi-tour pour aller voir ce qui se passait là-bas, car son voisin voyait le soleil clignoter.
- Bon, sois douze degrés à frappé ou il se passe quelque chose.
En fait, c'était une formation du puissant Aketok qui venait assister Annahoj qu'il pensait toujours en bon état de marche.
D'un seul coup sur l'ensemble de la zone où étaient en stationnaire les extraterrestres, le temps se mit à varier dans tous les sens et l'heure changeait avec les mouvements du soleil qui semblait être un yo-yo géant tenu par un funambule invisible courant l'univers. Les Américains stoppèrent leurs manœuvres et retournèrent à leur campement. Le réseau téléphonique semblait marché par épisode. Ils contactèrent la maison blanche et le pentagone. L'ordre fut de consulter Pépère qui d'ailleurs aurait dû aller les voir précédemment pour savoir s'il n'avait pas eu à combattre des envahisseurs dans le secteur. Ils avaient aussi ordre de stopper cette invasion.
Pépère de son côté après avoir raconté mille histoires à son petit Fripouillet arriva à Sancoins juste derrière sa voiture.
Le président plutôt que de prendre la direction du canal était parti vers la brasserie du cul roux.
Il s'arrêta devant et descendit de l'auto. Fripouille avait été appelé par le président et il était déjà là.
Il devait prévenir la brasserie de leur arrivée. Petitmimi et Grisou étaient invités à manger une cuisse de poulet.
En fait, c'est sœur Mathilde qui avait eu l'idée, car elle avait grande soif.
Le Pépère descendit avec Fripouillet et rentra avec ses amis, le président et sœur Mathilde.
D'un seul coup, les cloches de l'église se mirent à sonner sans s'arrêter. Puis le courant se coupa. Fripouille, sachant où était le transformateur qui alimentait la commune partit sans prévenir les autres. Il pensait au puissant Aketok et avait peur que les Énarpilodiens soient déjà là.
Le Pépère reçut un message au même moment. Les Américains désiraient le voir, un ordre du pentagone disaient-ils.
- Je dois aller d'urgence à Mornay, je dois rencontrer le chef du pentagone en personne. Déjà pour une médaille, celle du onze septembre qui ne m'a jamais été remise. Deuxièmement, je dois intervenir auprès d'extraterrestres pour les neutraliser avec ma super force.
- Vous êtes sûr que ça va bien se passer Pépère. Mais ici comment allons, nous faire sans vous ?
Lui répondit le président ?
Et le barbecue, et vos distinctions ?
- Je vous délègue mes pouvoirs monsieur le président, je n'en ai pas pour longtemps, le barbecue aura bien lieu ne vous en inquiétez pas.
Faites offrir de la bière du cul roux à sœur Mathilde et du poulet à mon petit Fripouillet et à Petitmimi et Grisou.
Je vais peut-être rencontrer mon ivrogne en route, ne sait-on jamais.
Le Pépère sauta dans sa voiture devant la brasserie et partit à toute vitesse.
Il partit comme un fou à travers les rues de Sancoins.
- Poussez-vous les asticots du volant, c'est Chatmareur qui est sur la piste. Allez, que les minettes viennent voir le beau gosse et ses belles baskets. Où qu'elle est la Siamoise, j'ai peut-être un peu de temps pour épater la galerie chat chat chat.
Il n'avait pas si bien dit les choses. Arriver dans la rue de la Siamoise bien que ce ne fût pas sa route, il croisa Fripouille qui remontait vers la brasserie en courant.
Il se cacha pour ne pas avoir à l'amener et aller voir la Siamoise. Arrivé vers la grille, il vit la chatte, elle semblait apeurée et il s'arrêta près d'elle.
- Alors ma toute belle, nous cherchons un sauveur, un dieu, un guerrier, un chat qui a de la classe avec ses NIKE.
La minette lui dit qu'elle était loin de chez elle et pressée de retrouver ses maîtres. Elle accepta de monter avec lui plus pas peur du ciel qu'autre chose. Le Pépère pour l'épater roulait très vite et zigzaguait tant qu'il le pouvait. Arrivé dans un virage, il perdit le contrôle de sa voiture et se renversa dans le fossé. La minette plus prudente que lui et sûrement à cause de sa façon propre de conduire avait mis sa ceinture. Elle fut la seule à ne pas être éjectée. Lui tomba dans la ruelle du fossé où il y avait de l'eau croupie et très nauséabonde. Il se releva et s'essuya sommairement avec de l'herbe et dit à la minette.
- Pas d'inquiétude ma toute belle, je suis aussi propre qu'avant et je vais remettre la voiture sur la route grâce à ma force extrême.
Il remit la voiture sur la route avec sa magie et remonta dans l'auto. Il repartit comme un fou. La minette s'écria.
- Stop, tu sens mauvais, tu conduis mal et tes NIKE sont sales. Je vais finir à pattes, je suis presque arrivé, espèce de crasseux.
Le Pépère était outré qu'on lui parle ainsi et il reprit la route de Mornay en disant.
- Un chat de mon standing se faire traiter de crasseux quand on a remporté des centaines de prix de beauté, mon Dieu.
- Attends soûlard, tu ne perds rien pour attendre.
Il reprit la nationale et fut à Mornay en peu de temps, car il fit des pointes à cent quatre-vingts kilomètres heure. Arrivé dans l'allée du poète, il le vit en train d'observer les Américains. Il se gara et le regardant méchamment lui dit. Alors poivrot encore cramé, où qu'elle est ma love maîtresse pour laver l'affront du crasseux. D'abord, que fais-tu espèce de fil de fer déshydraté d'URSS.
