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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Le poète reprit enfin le chemin de sa cabane.
- Stop, j'ai une précision à faire.
- Pépère, qu'est-ce qui se passe ?
- Il se passe que dans l'épisode d'hier, tu as envoyé Petitmimi m'aider à te faire tomber.
- Oui, où est le problème, c'est moi la victime dans l'histoire, non, à ce que je sache.
- Tais-toi, tu ne sais rien, tu n'as pas besoin de nous, autres pour tomber. À dix-heures du matin, tu es bien assez cramé pour tomber tout seul. Simplement, c'était plus facile de dire que c'était Pépère. En tout cas merci pour Patoche la brioche, miam miam, elle est excellente, bref.
- Oui, c'est ce que j'ai écrit hier, c'est Petitmimi qui est venu t'aider.
- Tu mens, tu mens, cet homme ment, il est tombé tout seul. Je vous donne la preuve qu'il avait bien picolé.
Dans l'histoire d'avant hier, à la fin, il fait partir Petitmimi au fond du terrain. Comme par hasard, hier, Lolo n'était plus devant la cabane et Petitmimi y était de nouveau. Hé bien, ça ne s'arrange pas la mémoire.
Les effets de l'alcool commencent à se faire ressentir. Quoi qu'il en soit, aujourd'hui, j'aimerais me reposer ce matin.
- Pourquoi, tu ne veux pas sauver Fripouillet.
- Tais-toi, laisse moi savourer la paix et mon succès.
- Quel succès, et pourquoi la paix, je ne comprends pas.
- Pour comprendre, il faut avoir l'esprit clair, combien tu vois de pattes devant toi.
- Hein, je ne suis plus.
- Une patte, oui, tu es ivre, c'est bien ce que je pensais. Tu ne suis plus, oui, tu n'es plus à-jeun je m'en doute.
Donc mon succès, c'est un poème que j'ai écrit hier et qui est sur le point de devenir, poème de platine d'ici très peu de temps.
- Un poème, toi, ha ha ha.
- Bon, peux-tu arrêter de me rire au nez, je tiens à mes yeux, je n'ai pas envie de finir avec une brûlure de la rétine au vingtième degré.
Oui, parfaitement un poème en hommage à Clarisse la saucisse.
Écoute ce chef d'œuvre et n'essaie pas de faire pareil, nous savons bien nous autres que tes poèmes ne sont pas de toi.
- N'importe quoi, ce sont mes écrits.
- Tais-toi, ivrognard, c'est des plagiats du grand Guillaume Pépère.
Amis lecteurs, lisez ce chef-d'œuvre. Avant asseyez-vous et tenez vous pour ne pas tomber à la renverse d'administration.
Ne cherchez pas ailleurs, c'est ce qui se fait de mieux dans le genre. Je suis l'un des plus grands, qu'est-ce que je dis comme mensonge pas vrai, je suis, le meilleur.
Attention, j'envoie le poème.
Allez ma belle, vas-y, Clarisse.


Clarisse la saucisse.

De derrière le bois, j'imaginais la belle,
Vêtue encor de lin attendre l'amoureux
D'un sourire d'émail étant aussi heureux,
Mais seul je demeurais m'en allant voir Adèle,

Mais de chez le voisin par un air infidèle
La chatte me laissait pour dire malheureux
Et je partis chez moi n'espérant que des yeux
Enfin, ainsi pouvoir, admirer Annabelle,

De sur le pan d'un mur, douce fleur tu m'attendais
Mais à mon drame hélas par un vilain dadais
Mon amoureuse fut de mes dents prisonnière.

Hourra, n'était pas l'huis, ce soir-là toujours clos,
Alors ce fut la teuf, je la mangeais entière
Cette belle saucisse au visage si beau...

Guillaume Pépère
05 avril 2021
Inknotpad
Google Chrome
16:14

- Voilà, alors, ça va amis lecteurs, oui, j'attends un peu que vous vous en remettiez.
Donc, la paix, pour information, c'est en rapport à la nuit abominable que je viens de passer pour avoir été secourir, love cerise, à la résidence d'été de Lourdes, j'ai volé toute la nuit.
- Ha ha, Pépère à chassé une panthère.
-Tais-toi, laisse parler ton chat.
Donc, hier soir, j'étais en train de siroter un verre de lait de poulet en regardant, comment ça cuit avec Jean Pierre Fourneau.
Je reçois alors un appel du maire monsieur Tival de Lourdes pour me dire qu'il y a un problème chez love messe. Apparemment, un tremblement terrible qui faisait vibrer les murs de la basilique. Très vite, j'appelle love Renée et j'entendais des bruits de marteau-piqueur.
Je me suis dit mince, elle est tombée dans une bouteille de champagne et se bat avec les bulles pour sa survie.
C'est alors que je me précipite vers mon hélicoptère et je me rends compte qu'il n'y a plus de batteries. Et pour cause, mon moine Sibérien du Nicaragua désherbe en ce moment. Le rapport me direz-vous. L'alambic, oui cet engin fume beaucoup et madame le maire lui a interdit de s'en servir. Oui, il fait de l'alcool avec l'herbe qu'il arrache, enfin qu'il me fait arracher. Donc, les vapeurs alcoolisent les nuages qui se font la guerre et après se battent et ça créé des orages terribles. Donc mon Pygmée coréen avait eu l'idée de mettre une résistance électrique pour ne pas avoir de fumée. N'ayant rien comme alimentation, il prit les batteries de mon engin.
Donc, je prends les airs après avoir remonté les batteries et à pleine puissance, j'ai été jusqu'à Lourdes.
J'arrive chez love Henri et je la retrouvais dans son canapé claquant des dents.
Je lui demandais ce qui se passait et elle me répondait d'avoir vu une araignée. Je lui demandais la description et elle me dit comme ça.
Petites pattes, un sac à dos rouge et un veston en angora.
Ce fut alors que je m'écriais, mais c'est Amédée l'araignée, c'est une amie. Elle était passée là en croyant que j'y étais.
Du coup, j'ai volé toute la nuit, comprenez-vous...
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GABY73

Maître Poète
#2
Le poète reprit enfin le chemin de sa cabane.
- Stop, j'ai une précision à faire.
- Pépère, qu'est-ce qui se passe ?
- Il se passe que dans l'épisode d'hier, tu as envoyé Petitmimi m'aider à te faire tomber.
- Oui, où est le problème, c'est moi la victime dans l'histoire, non, à ce que je sache.
- Tais-toi, tu ne sais rien, tu n'as pas besoin de nous, autres pour tomber. À dix-heures du matin, tu es bien assez cramé pour tomber tout seul. Simplement, c'était plus facile de dire que c'était Pépère. En tout cas merci pour Patoche la brioche, miam miam, elle est excellente, bref.
- Oui, c'est ce que j'ai écrit hier, c'est Petitmimi qui est venu t'aider.
- Tu mens, tu mens, cet homme ment, il est tombé tout seul. Je vous donne la preuve qu'il avait bien picolé.
Dans l'histoire d'avant hier, à la fin, il fait partir Petitmimi au fond du terrain. Comme par hasard, hier, Lolo n'était plus devant la cabane et Petitmimi y était de nouveau. Hé bien, ça ne s'arrange pas la mémoire.
Les effets de l'alcool commencent à se faire ressentir. Quoi qu'il en soit, aujourd'hui, j'aimerais me reposer ce matin.
- Pourquoi, tu ne veux pas sauver Fripouillet.
- Tais-toi, laisse moi savourer la paix et mon succès.
- Quel succès, et pourquoi la paix, je ne comprends pas.
- Pour comprendre, il faut avoir l'esprit clair, combien tu vois de pattes devant toi.
- Hein, je ne suis plus.
- Une patte, oui, tu es ivre, c'est bien ce que je pensais. Tu ne suis plus, oui, tu n'es plus à-jeun je m'en doute.
Donc mon succès, c'est un poème que j'ai écrit hier et qui est sur le point de devenir, poème de platine d'ici très peu de temps.
- Un poème, toi, ha ha ha.
- Bon, peux-tu arrêter de me rire au nez, je tiens à mes yeux, je n'ai pas envie de finir avec une brûlure de la rétine au vingtième degré.
Oui, parfaitement un poème en hommage à Clarisse la saucisse.
Écoute ce chef d'œuvre et n'essaie pas de faire pareil, nous savons bien nous autres que tes poèmes ne sont pas de toi.
- N'importe quoi, ce sont mes écrits.
- Tais-toi, ivrognard, c'est des plagiats du grand Guillaume Pépère.
Amis lecteurs, lisez ce chef-d'œuvre. Avant asseyez-vous et tenez vous pour ne pas tomber à la renverse d'administration.
Ne cherchez pas ailleurs, c'est ce qui se fait de mieux dans le genre. Je suis l'un des plus grands, qu'est-ce que je dis comme mensonge pas vrai, je suis, le meilleur.
Attention, j'envoie le poème.
Allez ma belle, vas-y, Clarisse.


Clarisse la saucisse.

De derrière le bois, j'imaginais la belle,
Vêtue encor de lin attendre l'amoureux
D'un sourire d'émail étant aussi heureux,
Mais seul je demeurais m'en allant voir Adèle,

Mais de chez le voisin par un air infidèle
La chatte me laissait pour dire malheureux
Et je partis chez moi n'espérant que des yeux
Enfin, ainsi pouvoir, admirer Annabelle,

De sur le pan d'un mur, douce fleur tu m'attendais
Mais à mon drame hélas par un vilain dadais
Mon amoureuse fut de mes dents prisonnière.

Hourra, n'était pas l'huis, ce soir-là toujours clos,
Alors ce fut la teuf, je la mangeais entière
Cette belle saucisse au visage si beau...

Guillaume Pépère
05 avril 2021
Inknotpad
Google Chrome
16:14

- Voilà, alors, ça va amis lecteurs, oui, j'attends un peu que vous vous en remettiez.
Donc, la paix, pour information, c'est en rapport à la nuit abominable que je viens de passer pour avoir été secourir, love cerise, à la résidence d'été de Lourdes, j'ai volé toute la nuit.
- Ha ha, Pépère à chassé une panthère.
-Tais-toi, laisse parler ton chat.
Donc, hier soir, j'étais en train de siroter un verre de lait de poulet en regardant, comment ça cuit avec Jean Pierre Fourneau.
Je reçois alors un appel du maire monsieur Tival de Lourdes pour me dire qu'il y a un problème chez love messe. Apparemment, un tremblement terrible qui faisait vibrer les murs de la basilique. Très vite, j'appelle love Renée et j'entendais des bruits de marteau-piqueur.
Je me suis dit mince, elle est tombée dans une bouteille de champagne et se bat avec les bulles pour sa survie.
C'est alors que je me précipite vers mon hélicoptère et je me rends compte qu'il n'y a plus de batteries. Et pour cause, mon moine Sibérien du Nicaragua désherbe en ce moment. Le rapport me direz-vous. L'alambic, oui cet engin fume beaucoup et madame le maire lui a interdit de s'en servir. Oui, il fait de l'alcool avec l'herbe qu'il arrache, enfin qu'il me fait arracher. Donc, les vapeurs alcoolisent les nuages qui se font la guerre et après se battent et ça créé des orages terribles. Donc mon Pygmée coréen avait eu l'idée de mettre une résistance électrique pour ne pas avoir de fumée. N'ayant rien comme alimentation, il prit les batteries de mon engin.
Donc, je prends les airs après avoir remonté les batteries et à pleine puissance, j'ai été jusqu'à Lourdes.
J'arrive chez love Henri et je la retrouvais dans son canapé claquant des dents.
Je lui demandais ce qui se passait et elle me répondait d'avoir vu une araignée. Je lui demandais la description et elle me dit comme ça.
Petites pattes, un sac à dos rouge et un veston en angora.
Ce fut alors que je m'écriais, mais c'est Amédée l'araignée, c'est une amie. Elle était passée là en croyant que j'y étais.
Du coup, j'ai volé toute la nuit, comprenez-vous...
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Je me suis régalée avec le poème de Guillaume Pepere
Merci à lui
Amicalement
Gaby