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Pépère le chat du poète, suite.

#1
À Mornay à force d'assistance, l'épicière était arrivée à convaincre son cousin de rejoindre ses collègues à Sancoins.
Elle était ainsi débarrassée de ce foutu général Picolle, qui se prenant pour un poète lui donnait la nausée.
Le long de la nationale à Sancoins, les gendarmes faisaient le constat de l'accident.
Le camion était enfin sur ses roues, mais dans un très mauvais état. La grue de levage était repartie. La sœur n'attendait plus que le feu vert des gendarmes pour rejoindre l'équipe d'agents à Mornay. Cela faisait déjà une heure de perdue, mais elle était en liaison avec Pépère et savait qu'elle avait un peu de temps.
Le président était avec la sœur et le pape quand le brigadier et le général arrivèrent ensemble.
Le général resta dans le véhicule, car il s'était endormi durant le transport.
Le président partit à la rencontre du brigadier Tatouvu.
-Ha, enfin, vous arrivez, brigadier, ça, c'est une bonne nouvelle, vous aller aider vos collègues à faire les constatations.
-Comment est le camion qu'à accidenter sœur, je bois et je conduis comme une buse.
- Ha Oui, Brigadier vous me demandez dans quel état est, le camion vu que c'est la sœur qui conduisait.
Hé bien mon bon Brigadier premier, la cabine est rayée de partout, les feux avants sont détruits et une porte est enfoncée.
L'un des gendarmes vient de donner un sermon foudroyant à sœur Mathilde pour dégradation et elle se sent penaude.
- Oui, ils ont eu raison de faire la morale à cette bougresse qui malgré son âge avancé n'est pas du tout raisonnable.
Le pape écoutait la conversation en silence. Une fois celle-ci terminée, il ne put s'empêcher de faire une remarque au brigadier.
- Écoutez, Tatouvu premier, ne le prenez pas la mouche, mais si cette vieille bique du grattez moi là a fait des dégradations sur ce véhicule en étant imprudente, elle aura mérité sa sentence.
Mais je connais sœur Mathilde et elle est très prudente quand elle a bu, alors c'est un abus d'autorité de la part des gendarmes. Cela peut arriver d'abîmer un camion sans le vouloir non.
- Oui, sans témoin, assurément, ils auront interprété les événements comme ils les pensent.
C'est drôle, votre histoire de mouche, cela me rappelle une histoire.
- Ha, bon, vous avez tué une mouche avec votre cheveu, ou reçu une dans le pare-brise comme boit tout première.
- Oui et non, mais j'ai eu un ennui à cause d'une mouche effectivement et d'ailleurs un sérieux problème.
- Ha bon mon bon président premier, je suis curieux de connaître cette anecdote.
- Malheureusement, c'est bien plus qu'une anecdote, mon pauvre brigadier.
Voilà, que je vous explique le tableau et vous allez comprendre. Voilà, c'était quelque temps avant de passer mon permis de conduire. Je faisais régulièrement des stages de conduite avec mon père sur un circuit privé. Un soir, il m'annonce être fier de mes résultats. Pour fêter ma progression, il décide de m'emmener à une exposition de voitures de prestige, Ferrari, Lamborghini, Maserati, porche, Mercedes, Bugatti, enfin la voiture de monsieur tout le monde.
Nous arrivons sur la manifestation et malgré mes lunettes de plongée, j'en prenais plein les yeux. Mon père m'avait prévenu de ne pas trop m'approcher de ces bolides pour ne pas rayer une carrosserie avec mon cheveu. C'est d'ailleurs ce que je faisais et ils n'y eurent aucun incident. Arrivés vers les midis, nous avions été vers un buffet pour nous restaurer. C'était très rustique mais néanmoins convivial. C'est alors que nous arrivions et que nous constations que ce fut la panique. Après renseignement, il s'était avéré que les organisateurs qui eurent pensé à tout eurent oublié les piques pour les brochettes. Du coup, les barbecues furent devenus superfétatoires et ce fut la désolation. C'est alors que mon père avait proposé mes services. Il leur avait assuré qu'avec mon cheveu frontal, je pouvais faire griller les brochettes. J'acceptais la tâche même si ce fut pénible et que je pris un coup de soleil à cause du barbecue. Nous avions ensuite mangé, puis il était proposé un baptême de circuit pour les personnes qui avaient le permis de conduire. Mon père demandait aux organisateurs si je pouvais le faire. Étant donné le service que j'avais rendu, ils acceptèrent à condition que je porte un casque. Mon père leur avait assuré que j'avais déjà beaucoup roulé sur circuit pour mes cours privés. C'est ainsi que l'on me prêtait un casque. Mais il fallut une heure pour trouver une perceuse pour faire un trou dedans pour que mon cheveu y passe. Ce fut ainsi que j'ai pris le volant d'une Bugatti de plus de mille chevaux et de quelques millions de francs à l'époque. J'avais déjà fait deux tours de circuit quand tout à coup une grosse mouche vint me perturber. À cause d'elle, je commençais par avoir une crise de bigloucherie. Puis, elle avait disparu et mon co-pilote me dit, ce n'est pas grave, elle est au-dessus de votre tête.
Je levais alors la tête et ce fut le drame, mon cheveu se plantait dans le toit. Ce fut à cause de ça que mon pied enfonçait l'accélérateur à fond.
Oui, en faisant des efforts pour dégager mon cheveu, j'avais fortement accéléré et la voiture s'était retrouvée à trois cent à l'heure en quelques secondes et que nous avions fini perché sur les gradins.
C'est comme ça que mon père s'était retrouvé à faire un prêt de quelques millions de francs pour rembourser la voiture, voilà monsieur le brigadier.
- Hé bien, vous étiez Gaston Lagaffe, mon bon bleu Premier.
À Mornay, le Pépère était enfin content, il vit arrivé Coin-coin non loin du fourgon, derrière le suivaient, Ettesion, Pêcheur, et Turbo.
- Ha enfin, voilà une partie de la troupe.
- Oui, Divine, mais je ne vois pas Lolo, où est-il encore, c'est incroyable.
À peine eut-il fini sa phase que Coin-coin était devant lui.
- Fle fle fle, nous arrivons nous autres et je ne suis pas content de toi. Fle fle fle, tes horribles dessins de mon copain et de ma love gendarme que j'aime ne m'ont pas amusés.
- Mais de quoi parles-tu ?
Coin-coin lui expliqua l'histoire du carnet que Lolo avait utilisé pour ses histoires.
- Oui, mais ce n'est pas ce que tu crois, ces dessins ont été faits par love colis à cause de l'onglologue.


La suite demain.

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GABY73

Maître Poète
#2
À Mornay à force d'assistance, l'épicière était arrivée à convaincre son cousin de rejoindre ses collègues à Sancoins.
Elle était ainsi débarrassée de ce foutu général Picolle, qui se prenant pour un poète lui donnait la nausée.
Le long de la nationale à Sancoins, les gendarmes faisaient le constat de l'accident.
Le camion était enfin sur ses roues, mais dans un très mauvais état. La grue de levage était repartie. La sœur n'attendait plus que le feu vert des gendarmes pour rejoindre l'équipe d'agents à Mornay. Cela faisait déjà une heure de perdue, mais elle était en liaison avec Pépère et savait qu'elle avait un peu de temps.
Le président était avec la sœur et le pape quand le brigadier et le général arrivèrent ensemble.
Le général resta dans le véhicule, car il s'était endormi durant le transport.
Le président partit à la rencontre du brigadier Tatouvu.
-Ha, enfin, vous arrivez, brigadier, ça, c'est une bonne nouvelle, vous aller aider vos collègues à faire les constatations.
-Comment est le camion qu'à accidenter sœur, je bois et je conduis comme une buse.
- Ha Oui, Brigadier vous me demandez dans quel état est, le camion vu que c'est la sœur qui conduisait.
Hé bien mon bon Brigadier premier, la cabine est rayée de partout, les feux avants sont détruits et une porte est enfoncée.
L'un des gendarmes vient de donner un sermon foudroyant à sœur Mathilde pour dégradation et elle se sent penaude.
- Oui, ils ont eu raison de faire la morale à cette bougresse qui malgré son âge avancé n'est pas du tout raisonnable.
Le pape écoutait la conversation en silence. Une fois celle-ci terminée, il ne put s'empêcher de faire une remarque au brigadier.
- Écoutez, Tatouvu premier, ne le prenez pas la mouche, mais si cette vieille bique du grattez moi là a fait des dégradations sur ce véhicule en étant imprudente, elle aura mérité sa sentence.
Mais je connais sœur Mathilde et elle est très prudente quand elle a bu, alors c'est un abus d'autorité de la part des gendarmes. Cela peut arriver d'abîmer un camion sans le vouloir non.
- Oui, sans témoin, assurément, ils auront interprété les événements comme ils les pensent.
C'est drôle, votre histoire de mouche, cela me rappelle une histoire.
- Ha, bon, vous avez tué une mouche avec votre cheveu, ou reçu une dans le pare-brise comme boit tout première.
- Oui et non, mais j'ai eu un ennui à cause d'une mouche effectivement et d'ailleurs un sérieux problème.
- Ha bon mon bon président premier, je suis curieux de connaître cette anecdote.
- Malheureusement, c'est bien plus qu'une anecdote, mon pauvre brigadier.
Voilà, que je vous explique le tableau et vous allez comprendre. Voilà, c'était quelque temps avant de passer mon permis de conduire. Je faisais régulièrement des stages de conduite avec mon père sur un circuit privé. Un soir, il m'annonce être fier de mes résultats. Pour fêter ma progression, il décide de m'emmener à une exposition de voitures de prestige, Ferrari, Lamborghini, Maserati, porche, Mercedes, Bugatti, enfin la voiture de monsieur tout le monde.
Nous arrivons sur la manifestation et malgré mes lunettes de plongée, j'en prenais plein les yeux. Mon père m'avait prévenu de ne pas trop m'approcher de ces bolides pour ne pas rayer une carrosserie avec mon cheveu. C'est d'ailleurs ce que je faisais et ils n'y eurent aucun incident. Arrivés vers les midis, nous avions été vers un buffet pour nous restaurer. C'était très rustique mais néanmoins convivial. C'est alors que nous arrivions et que nous constations que ce fut la panique. Après renseignement, il s'était avéré que les organisateurs qui eurent pensé à tout eurent oublié les piques pour les brochettes. Du coup, les barbecues furent devenus superfétatoires et ce fut la désolation. C'est alors que mon père avait proposé mes services. Il leur avait assuré qu'avec mon cheveu frontal, je pouvais faire griller les brochettes. J'acceptais la tâche même si ce fut pénible et que je pris un coup de soleil à cause du barbecue. Nous avions ensuite mangé, puis il était proposé un baptême de circuit pour les personnes qui avaient le permis de conduire. Mon père demandait aux organisateurs si je pouvais le faire. Étant donné le service que j'avais rendu, ils acceptèrent à condition que je porte un casque. Mon père leur avait assuré que j'avais déjà beaucoup roulé sur circuit pour mes cours privés. C'est ainsi que l'on me prêtait un casque. Mais il fallut une heure pour trouver une perceuse pour faire un trou dedans pour que mon cheveu y passe. Ce fut ainsi que j'ai pris le volant d'une Bugatti de plus de mille chevaux et de quelques millions de francs à l'époque. J'avais déjà fait deux tours de circuit quand tout à coup une grosse mouche vint me perturber. À cause d'elle, je commençais par avoir une crise de bigloucherie. Puis, elle avait disparu et mon co-pilote me dit, ce n'est pas grave, elle est au-dessus de votre tête.
Je levais alors la tête et ce fut le drame, mon cheveu se plantait dans le toit. Ce fut à cause de ça que mon pied enfonçait l'accélérateur à fond.
Oui, en faisant des efforts pour dégager mon cheveu, j'avais fortement accéléré et la voiture s'était retrouvée à trois cent à l'heure en quelques secondes et que nous avions fini perché sur les gradins.
C'est comme ça que mon père s'était retrouvé à faire un prêt de quelques millions de francs pour rembourser la voiture, voilà monsieur le brigadier.
- Hé bien, vous étiez Gaston Lagaffe, mon bon bleu Premier.
À Mornay, le Pépère était enfin content, il vit arrivé Coin-coin non loin du fourgon, derrière le suivaient, Ettesion, Pêcheur, et Turbo.
- Ha enfin, voilà une partie de la troupe.
- Oui, Divine, mais je ne vois pas Lolo, où est-il encore, c'est incroyable.
À peine eut-il fini sa phase que Coin-coin était devant lui.
- Fle fle fle, nous arrivons nous autres et je ne suis pas content de toi. Fle fle fle, tes horribles dessins de mon copain et de ma love gendarme que j'aime ne m'ont pas amusés.
- Mais de quoi parles-tu ?
Coin-coin lui expliqua l'histoire du carnet que Lolo avait utilisé pour ses histoires.
- Oui, mais ce n'est pas ce que tu crois, ces dessins ont été faits par love colis à cause de l'onglologue.


La suite demain.

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Merci Daniel pour ce nouvel épisode
Amicalement
Gaby