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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Petitmimi était très étonné des histoires de Lolo. Il lui semblait les avoir déjà entendu relater par Pépère lors de ses passages chez sa maîtresse.
- Tu as donc déjà été en mission avec Pépère si je comprends bien Lolo ; lui répondit Petitmimi.
Lolo n'en pouvais plus il crânait autant que Pépère et continua ses racontars.
- Oui Petitmimi, j'ai fait l'Irak avec lui et je lui ai même sauvé la vie en le transportant sur mon dos dans le désert par une soixantaine de degrés en plein soleil et sans boire en plus.
- Tu sembles aussi fort que lui alors ?
- Oui il m'a tout appris et aujourd'hui l'élève dépasse le maître. Je suis en passe d'être décoré par Macron, tu sais.
Je l'ai même assisté pour le sauvetage des victimes lors du onze septembre et j'ai même sauvé Michael Jackson qui était dans l'une des tours pendant que Pépère la soutenait de la seule force de son dos. J'ai même un éclat d'obus dans le cerveau, car j'ai héroïquement sauvé au Koweït des enfants qui jouaient proche d'une mine, et pour ce faire, je l'ai prise dans mes pattes et elle m'a explosé au visage, mais les enfants étaient saufs.
Petitmimi n'était pas dupe et il se souvenait que Pépère avait raconté les mêmes histoires à Mimine un jour devant lui.
Il pensa dans sa tête impressionner Lolo d'une aventure imaginaire.
- Tu sais moi aussi je suis extrêmement fort, une fois, j'ai fait une prouesse avec mon maître à Sancoins.
- Toi Petitmimi, pourtant, tu n'as pas l'air très costaud.
- Hé bien, détrompe-toi, mon surnom, c'est patte d'acier.
- Patte d'acier, tu es donc si fort que ça ?
- Oui, je peux tordre du fer, et même faire des nœuds de cravate avec des barres à mine.
Donc, un jour, mon maître était parti à Sancoins chercher du sable. La veille, il s'était retourné la main et cherchait quelqu'un de fort pour l'aider. Étant donné que Pépère était parti en mission, il me dit comme ça Petitmimi, tu vas m'aider.
Déjà, nous arrivons au magasin et une brave femme était en panne sur le parking. Mon maître se propose de la dépanner. La femme lui dit qu'elle vient d'acheter une cuisinière à bois et qu'elle est embêtée, car elle n'a personne pour l'aider à là décharger.
C'est ainsi que nous sommes partis chez la bougresse pour emmener l'engin.
Arrivé là-bas, j'ai pris la cuisinière à bout de pattes du garage à la maison.
C'est alors que dans la rue, je vis passer un ami d'école. Il s'arrête et me chatlut et nous commençons à parler. Au bout de trente minutes, il me dit.
Dit moi Petitmimi, tu ne peines pas à tenir cet engin d'au moins deux cents kilos depuis une bonne demie heure.
Étonné, je le regarde et lui dis, quel objet.
La cuisinière qu'il me répond.
À mince, je l'avais oublié, vite mon maître m'attends.
La femme n'en revenait pas. Elle me dit comme ça, tu as tu peiné Petitmimi.
Ce n'était pas très difficile que je lui réponds, c'est un détail pour moi.
- En effet, c'est un sacré tour de force.
- Non, ce n'est pas ça l'exploit, ça, c'était un service rendu rien de plus. Laisse-moi te raconter la suite.
Donc, le lendemain, j'apprends qu'un camion à été verbalisé à cent dix kilomètres à l'heure à la sortie de Sancoins, et bien, c'était de ma faute.
- Je ne vois pas le rapport avec la cuisinière.
- Il n'y en a pas, laisse moi te raconter l'histoire entièrement.
Donc j'appris cette information et c'était dû au fait que j'avais aidé le pauvre chauffeur.
Voilà, en sortant de chez la bonne bougresse et lui avoir installé sa cuisinière, j'ai rejoint mon maître.
Nous avons donc acheté trois tonnes de sable et je l'ai chargé avec une pelle dans une remorque.
L'employé du magasin dit à mon maître, voulez-vous un coup de main. Non, qu'il lui dit, j'ai une patte d'acier.
Le type s'étais mis à rire en me voyant sortir de la voiture et avait dit, ça une patte d'acier, ce petit rabougri.
Ce fut alors que je me mis à charger le sable dans la remorque. À côté un autre client chargeait une tonne du même tas de sable avec une pelle mécanique. J'avais fini mes trois tonnes alors que le type en avait à peine chargé cinq cents kilos.
J'ai été voir le vendeur qui m'avait traité de rabougri et je lui ai dit, alors c'est quoi le problème ?
Le bougre a tellement eu peur qu'il se mit à claquer des dents et ça fendit le goudron sous ses pieds.
Donc, après avoir été cherché le sable, nous sommes partis chez le boulanger.
Arrivé là-bas, il me dit Petitmimi si tu veux, tu peux m'attendre dehors. Je me suis dit, le temps qu'il mange le commerce entièrement, j'ai le temps d'aller faire un tour.
Ce fut ainsi que je partis vers l'église et que je croisais un type qui râlais.
Saleté de camion, encore en panne, saleté de machine.
Je partis le voir et lui demandais s'il voulait un coup de main. Hé bien, qu'est-ce que tu veux faire, tu es mécanicien ?
Non, que je lui dis, mais je connais Pépère et j'ai le numéro de téléphone du harnais, lol.
Non plus sérieusement, je peux vous pousser pour essayer de redémarrer ce fameux camion.
Ah oui, qu'il me dit, c'est un quarante-quatre tonnes, tu rigoles le haricot.
C'est alors que d'une patte, j'attrapais le bas du mur de l'église. Oui, nous étions à côté de cet édifice.
Donc, je saisis le bas et l'église se mit à pencher. Le type était impressionné. Il me dit comme ça, mais je ne suis pas dans le bon sens. Pas de soucis que je lui dis, as-tu une corde.
Ce fut ainsi que je commençais à tirer le camion à bout de patte pour lui faire faire un demi-tour sur la place de l'église. En route, je croisais une ancienne camarade de chatécole et elle se mit à parler avec moi puis me dit d'un coup, ce n'est pas lourd à tirer.
Lourd à tirer de quoi parles-tu. Ah oui le camion, pardon, j'avais déjà oublié que je faisais ce travail. Non, un détail pour Petitmimi, ne t'inquiète pas.
Donc après avoir fait demi-tour. Je poussais ce camion sur les trois kilomètres de route qui traverse le village. Arrivé au stop, le moteur était reparti. Le pauvre ayant peur que le moteur ne reparte pas avait continué. Malheureusement, il y avait un radar deux cent mètres plus loin et le malheureux était contrôlé à cent dix kilomètres à l'heure. Je l'avais poussé trop fort.
- Lolo ne se doutais même pas que Petitmimi se moquât de lui et il fut très impressionné.

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GABY73

Maître Poète
#2
Petitmimi était très étonné des histoires de Lolo. Il lui semblait les avoir déjà entendu relater par Pépère lors de ses passages chez sa maîtresse.
- Tu as donc déjà été en mission avec Pépère si je comprends bien Lolo ; lui répondit Petitmimi.
Lolo n'en pouvais plus il crânait autant que Pépère et continua ses racontars.
- Oui Petitmimi, j'ai fait l'Irak avec lui et je lui ai même sauvé la vie en le transportant sur mon dos dans le désert par une soixantaine de degrés en plein soleil et sans boire en plus.
- Tu sembles aussi fort que lui alors ?
- Oui il m'a tout appris et aujourd'hui l'élève dépasse le maître. Je suis en passe d'être décoré par Macron, tu sais.
Je l'ai même assisté pour le sauvetage des victimes lors du onze septembre et j'ai même sauvé Michael Jackson qui était dans l'une des tours pendant que Pépère la soutenait de la seule force de son dos. J'ai même un éclat d'obus dans le cerveau, car j'ai héroïquement sauvé au Koweït des enfants qui jouaient proche d'une mine, et pour ce faire, je l'ai prise dans mes pattes et elle m'a explosé au visage, mais les enfants étaient saufs.
Petitmimi n'était pas dupe et il se souvenait que Pépère avait raconté les mêmes histoires à Mimine un jour devant lui.
Il pensa dans sa tête impressionner Lolo d'une aventure imaginaire.
- Tu sais moi aussi je suis extrêmement fort, une fois, j'ai fait une prouesse avec mon maître à Sancoins.
- Toi Petitmimi, pourtant, tu n'as pas l'air très costaud.
- Hé bien, détrompe-toi, mon surnom, c'est patte d'acier.
- Patte d'acier, tu es donc si fort que ça ?
- Oui, je peux tordre du fer, et même faire des nœuds de cravate avec des barres à mine.
Donc, un jour, mon maître était parti à Sancoins chercher du sable. La veille, il s'était retourné la main et cherchait quelqu'un de fort pour l'aider. Étant donné que Pépère était parti en mission, il me dit comme ça Petitmimi, tu vas m'aider.
Déjà, nous arrivons au magasin et une brave femme était en panne sur le parking. Mon maître se propose de la dépanner. La femme lui dit qu'elle vient d'acheter une cuisinière à bois et qu'elle est embêtée, car elle n'a personne pour l'aider à là décharger.
C'est ainsi que nous sommes partis chez la bougresse pour emmener l'engin.
Arrivé là-bas, j'ai pris la cuisinière à bout de pattes du garage à la maison.
C'est alors que dans la rue, je vis passer un ami d'école. Il s'arrête et me chatlut et nous commençons à parler. Au bout de trente minutes, il me dit.
Dit moi Petitmimi, tu ne peines pas à tenir cet engin d'au moins deux cents kilos depuis une bonne demie heure.
Étonné, je le regarde et lui dis, quel objet.
La cuisinière qu'il me répond.
À mince, je l'avais oublié, vite mon maître m'attends.
La femme n'en revenait pas. Elle me dit comme ça, tu as tu peiné Petitmimi.
Ce n'était pas très difficile que je lui réponds, c'est un détail pour moi.
- En effet, c'est un sacré tour de force.
- Non, ce n'est pas ça l'exploit, ça, c'était un service rendu rien de plus. Laisse-moi te raconter la suite.
Donc, le lendemain, j'apprends qu'un camion à été verbalisé à cent dix kilomètres à l'heure à la sortie de Sancoins, et bien, c'était de ma faute.
- Je ne vois pas le rapport avec la cuisinière.
- Il n'y en a pas, laisse moi te raconter l'histoire entièrement.
Donc j'appris cette information et c'était dû au fait que j'avais aidé le pauvre chauffeur.
Voilà, en sortant de chez la bonne bougresse et lui avoir installé sa cuisinière, j'ai rejoint mon maître.
Nous avons donc acheté trois tonnes de sable et je l'ai chargé avec une pelle dans une remorque.
L'employé du magasin dit à mon maître, voulez-vous un coup de main. Non, qu'il lui dit, j'ai une patte d'acier.
Le type s'étais mis à rire en me voyant sortir de la voiture et avait dit, ça une patte d'acier, ce petit rabougri.
Ce fut alors que je me mis à charger le sable dans la remorque. À côté un autre client chargeait une tonne du même tas de sable avec une pelle mécanique. J'avais fini mes trois tonnes alors que le type en avait à peine chargé cinq cents kilos.
J'ai été voir le vendeur qui m'avait traité de rabougri et je lui ai dit, alors c'est quoi le problème ?
Le bougre a tellement eu peur qu'il se mit à claquer des dents et ça fendit le goudron sous ses pieds.
Donc, après avoir été cherché le sable, nous sommes partis chez le boulanger.
Arrivé là-bas, il me dit Petitmimi si tu veux, tu peux m'attendre dehors. Je me suis dit, le temps qu'il mange le commerce entièrement, j'ai le temps d'aller faire un tour.
Ce fut ainsi que je partis vers l'église et que je croisais un type qui râlais.
Saleté de camion, encore en panne, saleté de machine.
Je partis le voir et lui demandais s'il voulait un coup de main. Hé bien, qu'est-ce que tu veux faire, tu es mécanicien ?
Non, que je lui dis, mais je connais Pépère et j'ai le numéro de téléphone du harnais, lol.
Non plus sérieusement, je peux vous pousser pour essayer de redémarrer ce fameux camion.
Ah oui, qu'il me dit, c'est un quarante-quatre tonnes, tu rigoles le haricot.
C'est alors que d'une patte, j'attrapais le bas du mur de l'église. Oui, nous étions à côté de cet édifice.
Donc, je saisis le bas et l'église se mit à pencher. Le type était impressionné. Il me dit comme ça, mais je ne suis pas dans le bon sens. Pas de soucis que je lui dis, as-tu une corde.
Ce fut ainsi que je commençais à tirer le camion à bout de patte pour lui faire faire un demi-tour sur la place de l'église. En route, je croisais une ancienne camarade de chatécole et elle se mit à parler avec moi puis me dit d'un coup, ce n'est pas lourd à tirer.
Lourd à tirer de quoi parles-tu. Ah oui le camion, pardon, j'avais déjà oublié que je faisais ce travail. Non, un détail pour Petitmimi, ne t'inquiète pas.
Donc après avoir fait demi-tour. Je poussais ce camion sur les trois kilomètres de route qui traverse le village. Arrivé au stop, le moteur était reparti. Le pauvre ayant peur que le moteur ne reparte pas avait continué. Malheureusement, il y avait un radar deux cent mètres plus loin et le malheureux était contrôlé à cent dix kilomètres à l'heure. Je l'avais poussé trop fort.
- Lolo ne se doutais même pas que Petitmimi se moquât de lui et il fut très impressionné.

Afficher la pièce jointe 33312
Houla des nœuds de cravate avec des barres à mine

Qu'elle prouesse
Merci Daniel pour ce nouvel episode
Amicalement
Gaby