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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Pépère avait à peine fini son histoire que son téléphone sonnait encore.
Hé, c'est Turbo au téléphone, hé, c'est la fusée au téléphone, hé, c'est Turbo au téléphone, hé, c'est la fusée au téléphone.
- Oui, nous ne sommes pas sourds nous autres que veut-il.
Attends, je vais plus loin, le réseau passe mal à cet endroit.
Le Pépère téléphone en patte se planta en plein milieu du terrain à découvert à la vue de tous.
Le Pépère téléphone en patte était sorti derrière le fourgon et n'eut que le temps d'écouter, pturer vite, Pépè....
En fait, Turbo s'était fait surprendre par le poète qui était sorti brusquement ayant vu Petitchat devant la cabane.
Il lui donna à manger et se questionnait sur ce fameux chat noir qu'il avait surpris derrière la porte.
Turbo s'était caché derrière la plate-forme et vit les jambes du poète. C'est ainsi qu'il téléphona à Pépère pour le prévenir que son maître arrivait vers l'endroit où il était.
- Tiens, mais c'est Pépère là-bas, il a peut-être faim comme petit mimi.
Le Pépère absorbé par le téléphone ne faisait même pas attention à l'homme qui arrivait derrière lui.
Il sentit une présence derrière lui et se retourna brusquement. Il le regarda d'un air complètement anéanti.
- Alors gamin, tu n'as pas faim, viens mon Pépère, il y a petit chat là-bas déjà.
Pépère n'en revenait pas par, il avait Pauline la chocolatine dans la main.
- mange là toi-même ta pâtée. Tu en manges toi du caca d'autruche élevée au maïs transgenique. Tu te crois au KFC, tu es sérieux là ! Fait plutôt péter les saucissons espèce de sérail mangeur. Je me demande bien où tu les as mis quand même.
- hé bien gamin ça va, viens donc manger un peu, je t'aime bien, tu sais je veux que tu sois content.
Il posa un morceau de sa viennoiserie devant son nez et continua de le regarder.
- Bon, mangeons-nous n'aurons pas Pauline entière nous autres.
Incroyable, je suis sûr que pour en arriver là, il a fait une moyenne compensée. Tu ne sais pas compter, espèce de tricéphale de la chopine.
Je me demande bien où tu as planqué la poche d'Armand qui va avec Pauline.
Je t'ai à l'œil soûlard, et quand tu auras manger pauline et la poche qui va avec, n'oublie pas que Pépère n'est pas mangeable pour une bonne raison. En mission au Koweït, j'ai été intoxiqué par un gaz bactériologique extrêmement mortel, je ne dois ma survie qu'à mon extrême résistance. J'ai marché pendant quarante kilomètres pour rejoindre un poste médical qui m'a administré de l'atropine. Je suis sauf comme tu le vois, mais mon sang serait létal à celui qui me mangerait. Digére bien espèce d'égoïste. Sniff Pauline, et si tu as de l'aérophagie va faire ça ailleurs, j'en ai assez respiré dans ma vie du poison.
Le poète fut stupéfait par la vitesse à laquelle Pépère disparut à nouveau dans le bois.
Divine et Momo étaient toujours derrière le fourgon et avaient entendu le poète, ils savaient qu'ils ne devaient pas se faire repérer.
Sur la route à Sancoins pendant ce temps-là, la Sœur s'apprêtait à reprendre le volant pour rejoindre la troupe d'agents.
Elle parlait tranquillement avec le pape à côté du président.
- Tu as eu de la chance vieille guenon de ne pas perdre la vue en recevant un éclat de verre dans l'œil.
- Arrêtez de dire n'importe quoi, j'ai suffisamment été traumatisée comme ça, espèce de vieux bouc Vaticanteux faisant la messe en tutu.
- Ho la vilaine, je prends des nouvelles d'elle en m'inquiétant et elle dit des horreurs.
- Bon, pouvez-vous arrêter de parler d'accident cela me perturbe et j'en ai assez vécu des traumatismes.
- vous mon bon bleu premier, des traumatismes, mais on se demande bien de quoi.
- Hé bien, je vous l'ai raconté, à cause d'un cheveu frontal, j'ai failli perdre la vue. Je devais suivre un cordon-bleu tracé au sol pour ne pas me taper dans les murs. Suite à ça, j'ai eu un traumatisme après l'ablation de ce cheveu, monsieur tutu premier.
- Oui, nous le savons tout ça et quoi d'autre ?
- Hé bien mon bon tutu premier Voilà, je n'arrêtais pas de crier cordon bleu, tutu chapeau pointu.
- Ha bon et pourquoi donc min bon lunette premier.
- Hé bien, je vais vous le dire mon bon Vatican Premier.
Voilà, j'avais la phobie des tutus et ma sœur faisait de la danse. Du coup, elle était souvent en tutu avec ses chaussures de ballerine qui en fait était les miennes. Oui, pour suivre les cordons-bleus, ma mère me faisait porter ces chaussures. Du coup à l'école au m'appelait la danseuse. Alors de ce fait, est née la phobie du tutu et de la couleur rose. Ma maîtresse a l'école avait un surnom, la panthère rose. Oui, cette brave dame était tout le temps habillée en rose. Du coup, je passais mes journées et mes nuits à crier, tutu chapeau pointu.
Ma mère, m'a acheté des carambars et à chaque fois que j'avais envie de crier tutu chapeau pointu, je mangeai un carambar. Le tic est passé, mais je suis devenu friand de carambar au point où j'en mangeais même avec mes cordons-bleus. J'en dévorais au moins trois kilos par jour. C'était devenu de la folie, et même quand j'allais aux toilettes, ça sentait le carambar. C'est comme ça que j'ai fini par aller voir un diabétologue de la dent. Mes dents étaient remplies de diabète et le dentiste ne pouvait plus rien faire. Il aurait fallu anesthésier les dents, malheureusement le produit faisant une réaction au diabète dentaire, mes dents se seraient enflammées. Oui, c'est une réaction connue de l'anesthésiant avec le diabète dentaire. Du coup, on m'appelait le feu rouge à l'école. Même pire toute la journée les autres me disait alors passe au vert.
- Ha bon pourquoi donc, Monsieur le Président ?
S'inquiétait l'un des gendarmes qui écoutait la conversation.
- Hé bien mon bon képi premier, quand on a du diabète dentaire, les dents clignotent en rouge et crient, diabète, diabète, à chaque clignotement. J'ai donc passé une année par manger du yaourt et j'ai guéri. Résultat aujourd'hui, je suis blanc comme un cachet d'aspirine. Voilà et Brigitte n'arrête pas de me dire, carambar qu'est que tu es blanc.
Alors, voyez-vous, je sais ce que c'est qu'un traumatisme. Un jour, je vous raconterai la suite, car après, j'ai eu d'autres soucis.


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GABY73

Maître Poète
#2
Pépère avait à peine fini son histoire que son téléphone sonnait encore.
Hé, c'est Turbo au téléphone, hé, c'est la fusée au téléphone, hé, c'est Turbo au téléphone, hé, c'est la fusée au téléphone.
- Oui, nous ne sommes pas sourds nous autres que veut-il.
Attends, je vais plus loin, le réseau passe mal à cet endroit.
Le Pépère téléphone en patte se planta en plein milieu du terrain à découvert à la vue de tous.
Le Pépère téléphone en patte était sorti derrière le fourgon et n'eut que le temps d'écouter, pturer vite, Pépè....
En fait, Turbo s'était fait surprendre par le poète qui était sorti brusquement ayant vu Petitchat devant la cabane.
Il lui donna à manger et se questionnait sur ce fameux chat noir qu'il avait surpris derrière la porte.
Turbo s'était caché derrière la plate-forme et vit les jambes du poète. C'est ainsi qu'il téléphona à Pépère pour le prévenir que son maître arrivait vers l'endroit où il était.
- Tiens, mais c'est Pépère là-bas, il a peut-être faim comme petit mimi.
Le Pépère absorbé par le téléphone ne faisait même pas attention à l'homme qui arrivait derrière lui.
Il sentit une présence derrière lui et se retourna brusquement. Il le regarda d'un air complètement anéanti.
- Alors gamin, tu n'as pas faim, viens mon Pépère, il y a petit chat là-bas déjà.
Pépère n'en revenait pas par, il avait Pauline la chocolatine dans la main.
- mange là toi-même ta pâtée. Tu en manges toi du caca d'autruche élevée au maïs transgenique. Tu te crois au KFC, tu es sérieux là ! Fait plutôt péter les saucissons espèce de sérail mangeur. Je me demande bien où tu les as mis quand même.
- hé bien gamin ça va, viens donc manger un peu, je t'aime bien, tu sais je veux que tu sois content.
Il posa un morceau de sa viennoiserie devant son nez et continua de le regarder.
- Bon, mangeons-nous n'aurons pas Pauline entière nous autres.
Incroyable, je suis sûr que pour en arriver là, il a fait une moyenne compensée. Tu ne sais pas compter, espèce de tricéphale de la chopine.
Je me demande bien où tu as planqué la poche d'Armand qui va avec Pauline.
Je t'ai à l'œil soûlard, et quand tu auras manger pauline et la poche qui va avec, n'oublie pas que Pépère n'est pas mangeable pour une bonne raison. En mission au Koweït, j'ai été intoxiqué par un gaz bactériologique extrêmement mortel, je ne dois ma survie qu'à mon extrême résistance. J'ai marché pendant quarante kilomètres pour rejoindre un poste médical qui m'a administré de l'atropine. Je suis sauf comme tu le vois, mais mon sang serait létal à celui qui me mangerait. Digére bien espèce d'égoïste. Sniff Pauline, et si tu as de l'aérophagie va faire ça ailleurs, j'en ai assez respiré dans ma vie du poison.
Le poète fut stupéfait par la vitesse à laquelle Pépère disparut à nouveau dans le bois.
Divine et Momo étaient toujours derrière le fourgon et avaient entendu le poète, ils savaient qu'ils ne devaient pas se faire repérer.
Sur la route à Sancoins pendant ce temps-là, la Sœur s'apprêtait à reprendre le volant pour rejoindre la troupe d'agents.
Elle parlait tranquillement avec le pape à côté du président.
- Tu as eu de la chance vieille guenon de ne pas perdre la vue en recevant un éclat de verre dans l'œil.
- Arrêtez de dire n'importe quoi, j'ai suffisamment été traumatisée comme ça, espèce de vieux bouc Vaticanteux faisant la messe en tutu.
- Ho la vilaine, je prends des nouvelles d'elle en m'inquiétant et elle dit des horreurs.
- Bon, pouvez-vous arrêter de parler d'accident cela me perturbe et j'en ai assez vécu des traumatismes.
- vous mon bon bleu premier, des traumatismes, mais on se demande bien de quoi.
- Hé bien, je vous l'ai raconté, à cause d'un cheveu frontal, j'ai failli perdre la vue. Je devais suivre un cordon-bleu tracé au sol pour ne pas me taper dans les murs. Suite à ça, j'ai eu un traumatisme après l'ablation de ce cheveu, monsieur tutu premier.
- Oui, nous le savons tout ça et quoi d'autre ?
- Hé bien mon bon tutu premier Voilà, je n'arrêtais pas de crier cordon bleu, tutu chapeau pointu.
- Ha bon et pourquoi donc min bon lunette premier.
- Hé bien, je vais vous le dire mon bon Vatican Premier.
Voilà, j'avais la phobie des tutus et ma sœur faisait de la danse. Du coup, elle était souvent en tutu avec ses chaussures de ballerine qui en fait était les miennes. Oui, pour suivre les cordons-bleus, ma mère me faisait porter ces chaussures. Du coup à l'école au m'appelait la danseuse. Alors de ce fait, est née la phobie du tutu et de la couleur rose. Ma maîtresse a l'école avait un surnom, la panthère rose. Oui, cette brave dame était tout le temps habillée en rose. Du coup, je passais mes journées et mes nuits à crier, tutu chapeau pointu.
Ma mère, m'a acheté des carambars et à chaque fois que j'avais envie de crier tutu chapeau pointu, je mangeai un carambar. Le tic est passé, mais je suis devenu friand de carambar au point où j'en mangeais même avec mes cordons-bleus. J'en dévorais au moins trois kilos par jour. C'était devenu de la folie, et même quand j'allais aux toilettes, ça sentait le carambar. C'est comme ça que j'ai fini par aller voir un diabétologue de la dent. Mes dents étaient remplies de diabète et le dentiste ne pouvait plus rien faire. Il aurait fallu anesthésier les dents, malheureusement le produit faisant une réaction au diabète dentaire, mes dents se seraient enflammées. Oui, c'est une réaction connue de l'anesthésiant avec le diabète dentaire. Du coup, on m'appelait le feu rouge à l'école. Même pire toute la journée les autres me disait alors passe au vert.
- Ha bon pourquoi donc, Monsieur le Président ?
S'inquiétait l'un des gendarmes qui écoutait la conversation.
- Hé bien mon bon képi premier, quand on a du diabète dentaire, les dents clignotent en rouge et crient, diabète, diabète, à chaque clignotement. J'ai donc passé une année par manger du yaourt et j'ai guéri. Résultat aujourd'hui, je suis blanc comme un cachet d'aspirine. Voilà et Brigitte n'arrête pas de me dire, carambar qu'est que tu es blanc.
Alors, voyez-vous, je sais ce que c'est qu'un traumatisme. Un jour, je vous raconterai la suite, car après, j'ai eu d'autres soucis.


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Toujours aussi agréable à lire
J'ai bien aimé ce nouvel épisode
Amicalement
Gaby