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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Pendant que Pépère contait ces histoires Grisou observait les extraterrestres. Ils avaient été chez le poète chercher des outils qu'ils avaient trouvé en fouillant partout.
Le pauvre Lolo avait bien failli se faire surprendre en les surveillant d'un peu trop près.
Il était à présent devant la cabane du poète et le regardait par le carreau. Étonnement bien qu'il ne fût que dix-heures l'homme mangeait une énorme brioche d'au moins dix personnes. Lolo espérait voir la porte s'ouvrir pour s'engouffrer à l'intérieur et en manger un bout. Il réfléchissait comment procéder et surveillait en même temps ce qu'il se passait autour de lui et son téléphone des fois que Pépère envoie un nouveau message.
Plus il regardait le poète manger plus il avait faim et rageait de ne pas trouver comment l'éloigner de la cabane.
La providence arriva sous le nom de François son voisin qui l'appela au téléphone.
Le pauvre François était paniqué. Il était venu voir l'homme et s'en était allé, car il avait vu deux intrus sur le terrain. Étant persuadé qu'ils étaient du FBI et qu'ils venaient l'arrêter, le pauvre avait été se cacher plus loin avec la Xsara qu'il avait lui-même ramené du commissariat.
C'était d'ailleurs l'une des raisons pour laquelle il l'avait appelé. Il était arrivé chez lui comme un fou et son père lui avait donné l'ordre de ramener la voiture. Puis, il lui dit de se dépêcher, car sa mère avait un problème aux yeux et devait entrer en clinique. Il ne comprenait pas trop ce que voulait dire cataracte.
Il reprit donc le chemin de la cabane ramener la voiture et s'arrêta dans l'entrée. Il vit alors les deux hommes et il prit peur et retourna sur la route. Il s'était garé non loin d'où habitait divine.
Puis il se mit à réfléchir.
- Bon, François reste calme. Alors cataracte, oui, je vois sur Internet.
Téléphone en main, il consultait Google.
Cataracte, oui, c'est l'œil. Mais il n'y a pas de clinique des yeux ici, c'est bizarre et si c'était un coup monté contre moi pour m'arrêter et ensuite m'emprisonner aux États-Unis et me passer à la chaise électrique.
C'est ainsi qu'il appela le poète.
- Allô Daniel, c'est François.
- Ha François, mais pourquoi as-tu pris la voiture sur mon terrain, qu'est-ce qui t'arrive, tu es toujours à Sancoins à la gendarmerie ?
- Non, je suis rentré et je suis passé sur le terrain. Il y a deux hommes du FBI devant le chalet. C'est pour ça que j'ai dû prendre la voiture tout à l'heure j'étais poursuivi par ces mêmes agent de l'interpole.
- Ha oui, hé bien, j'irai la chercher chez toi tout à l'heure.
- Oui, c'est bizarre maman va aller à l'hôpital pour les yeux et la clinique n'opère pas les yeux, qu'est-ce ça veut dire.
- Je ne sais pas, je ne comprends rien.
- J'ai compris maintenant, tu as déjà vu le terminator ?
- Quel rapport avec les yeux de ta mère ?
- Tu te souviens que l'on m'a vendu des cigarettes qui font mal aux dents. Hé bien, c'est un faux chirurgien comme le dentiste était faux. Il voulait mettre un micro dans ma dent.
- Je ne comprends rien, les dents, le terminator, les yeux de ta mère !
- Si, c'est logique, cataracte comme par un c. Le terminator s'appelait Connors, il avait une caméra dans l'œil. Alors, clinique, cataracte, cigarette, Connors, chirurgien, rendez-vous à cinq heures, papa a une C5 maman une clio, ta voiture c'est une Citroën ton chat s'appelle crapouillot et tu es dans un chalet.
- Oui, et alors, qu'est-ce que ça fait.
- Il y a des c partout comme caméra et cataracte, c'est un faux chirurgien qui va poser une caméra dans l'œil de ma mère pour l'espionner.
- Mais où es-tu ?
- Au bout de la rue, j'ai croiser un chat, tien croiser et chat commence par un c, c'est certain, caméra dans l'œil, qu'est-ce que je peux faire ?
- Ne bouge pas, j'arrive.
Il raccrochait le téléphone quand il entendit au même instant que Lolo, des voix juste en face.
Lolo partit se cacher sous le fauteuil et l'homme à l'intérieur sortit téléphone en main.
Le général et le brigadier étaient plantés devant le chalet.
- C'est quoi ce délire, que faites vous ici vous deux, c'est une propriété privée.
- Écoute moi bien toi tout seul, je suis le général Picolle. Je suis le chef des armées internationales de l'univers. Déjà quand on s'adresse à un supérieur on se met au garde à vous. Je vais te coller, cent ans de bouton électrique et deux cents ans de chaise rouge à perpétuité tu vas voir ce que coûte la désobéissance.

La suite demain...
chat-1100x715.jpg images.jpeg aliens_2.jpg Andromeda_galaxy_2.jpg
 
#2
Pendant que Pépère contait ces histoires Grisou observait les extraterrestres. Ils avaient été chez le poète chercher des outils qu'ils avaient trouvé en fouillant partout.
Le pauvre Lolo avait bien failli se faire surprendre en les surveillant d'un peu trop près.
Il était à présent devant la cabane du poète et le regardait par le carreau. Étonnement bien qu'il ne fût que dix-heures l'homme mangeait une énorme brioche d'au moins dix personnes. Lolo espérait voir la porte s'ouvrir pour s'engouffrer à l'intérieur et en manger un bout. Il réfléchissait comment procéder et surveillait en même temps ce qu'il se passait autour de lui et son téléphone des fois que Pépère envoie un nouveau message.
Plus il regardait le poète manger plus il avait faim et rageait de ne pas trouver comment l'éloigner de la cabane.
La providence arriva sous le nom de François son voisin qui l'appela au téléphone.
Le pauvre François était paniqué. Il était venu voir l'homme et s'en était allé, car il avait vu deux intrus sur le terrain. Étant persuadé qu'ils étaient du FBI et qu'ils venaient l'arrêter, le pauvre avait été se cacher plus loin avec la Xsara qu'il avait lui-même ramené du commissariat.
C'était d'ailleurs l'une des raisons pour laquelle il l'avait appelé. Il était arrivé chez lui comme un fou et son père lui avait donné l'ordre de ramener la voiture. Puis, il lui dit de se dépêcher, car sa mère avait un problème aux yeux et devait entrer en clinique. Il ne comprenait pas trop ce que voulait dire cataracte.
Il reprit donc le chemin de la cabane ramener la voiture et s'arrêta dans l'entrée. Il vit alors les deux hommes et il prit peur et retourna sur la route. Il s'était garé non loin d'où habitait divine.
Puis il se mit à réfléchir.
- Bon, François reste calme. Alors cataracte, oui, je vois sur Internet.
Téléphone en main, il consultait Google.
Cataracte, oui, c'est l'œil. Mais il n'y a pas de clinique des yeux ici, c'est bizarre et si c'était un coup monté contre moi pour m'arrêter et ensuite m'emprisonner aux États-Unis et me passer à la chaise électrique.
C'est ainsi qu'il appela le poète.
- Allô Daniel, c'est François.
- Ha François, mais pourquoi as-tu pris la voiture sur mon terrain, qu'est-ce qui t'arrive, tu es toujours à Sancoins à la gendarmerie ?
- Non, je suis rentré et je suis passé sur le terrain. Il y a deux hommes du FBI devant le chalet. C'est pour ça que j'ai dû prendre la voiture tout à l'heure j'étais poursuivi par ces mêmes agent de l'interpole.
- Ha oui, hé bien, j'irai la chercher chez toi tout à l'heure.
- Oui, c'est bizarre maman va aller à l'hôpital pour les yeux et la clinique n'opère pas les yeux, qu'est-ce ça veut dire.
- Je ne sais pas, je ne comprends rien.
- J'ai compris maintenant, tu as déjà vu le terminator ?
- Quel rapport avec les yeux de ta mère ?
- Tu te souviens que l'on m'a vendu des cigarettes qui font mal aux dents. Hé bien, c'est un faux chirurgien comme le dentiste était faux. Il voulait mettre un micro dans ma dent.
- Je ne comprends rien, les dents, le terminator, les yeux de ta mère !
- Si, c'est logique, cataracte comme par un c. Le terminator s'appelait Connors, il avait une caméra dans l'œil. Alors, clinique, cataracte, cigarette, Connors, chirurgien, rendez-vous à cinq heures, papa a une C5 maman une clio, ta voiture c'est une Citroën ton chat s'appelle crapouillot et tu es dans un chalet.
- Oui, et alors, qu'est-ce que ça fait.
- Il y a des c partout comme caméra et cataracte, c'est un faux chirurgien qui va poser une caméra dans l'œil de ma mère pour l'espionner.
- Mais où es-tu ?
- Au bout de la rue, j'ai croiser un chat, tien croiser et chat commence par un c, c'est certain, caméra dans l'œil, qu'est-ce que je peux faire ?
- Ne bouge pas, j'arrive.
Il raccrochait le téléphone quand il entendit au même instant que Lolo, des voix juste en face.
Lolo partit se cacher sous le fauteuil et l'homme à l'intérieur sortit téléphone en main.
Le général et le brigadier étaient plantés devant le chalet.
- C'est quoi ce délire, que faites vous ici vous deux, c'est une propriété privée.
- Écoute moi bien toi tout seul, je suis le général Picolle. Je suis le chef des armées internationales de l'univers. Déjà quand on s'adresse à un supérieur on se met au garde à vous. Je vais te coller, cent ans de bouton électrique et deux cents ans de chaise rouge à perpétuité tu vas voir ce que coûte la désobéissance.

La suite demain...
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Super l' histoire avec François. J"ai bien aimé
A demain pour la sunité
Amicalement
Gaby