Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Pépère le chat du poète, suite.

#1
À Sancoins, sur l'estrade le président, le professeur Ourat, le pape et Thomas réparaient tant bien que mal les dégâts électriques qu'avait causés sœur Mathilde.
Elle, tranquillement, se reposait en observant son MP3. Miraculeusement, l'appareil avait résisté à la décharge électrique. Elle le tournait en tous sens et finissait par croire aux histoires qu'elle avait relatées à Isidore, concernant un micro qui aurait été posé dans le lecteur.
C'est dont à cet instant qu'arrivait Turbo et Fripouille dans la petite auto de Pépère. La sœur les voyant passer par là se dépêcha de se lever pour les interpeller.
- Hé, Turbo, arrête toi, hoho.
Turbo la vit et stoppa la voiture.
- Ça va ma sœur, vous vous remettez de votre électrocution ?
- Oui, mon chat fils, cela n'est rien pour moi, il me fut arrivé des choses pires que ça dans le passé, ne vous inquiétez pas.
Que se passe-t-il en fait pourquoi avez-vous la voiture de Pépère.
- Hé bien, le Pépère a été victime d'un malaise. Oui, mon chat fils, cela n'est rien pour moi, il me fut arrivé des choses pires que ça dans le passé, ne vous inquiétez pas. Son maître lui a donné à manger du fromage de tricératops et il y a dedans une molécule d'intelligence qui lui est contre-indiquée.
Quand même, pour votre affaire, ce n'est rien, dites-vous. Hé bien, vous êtes très résistante, comme Pépère.
- Ha oui, c'est embêtant, ce malaise. Je finissais de remonter mon MP3 et je n'ai plus de micros espions dedans. Je suis fière de participer bientôt à l'émission d'isidore, TGD.
- TGD, mais Isidore à une nouvelle émission.
- Non, toutes griffes dehors, c'est l'acronyme. Comme vous dite, je suis très résistant et l'électricité, je ne la crains pas, car celle-ci se nourrit dans mon sang, donc satisfaite elle s'en est allée repue.
- L'électricité, se nourrit dans votre sang, mais comment cela est-ce possible, c'est insensé !
- Pas du tout, mon chat fils, Turbo, et je pourrais vous raconter pourquoi, si vous avez cinq minutes.
- Oui, Turbo, qu'en penses-tu ?
- Oui, nous avons cinq minutes, sœur Mathilde.
- Hé bien, mon chat fils, Fripouille écouter cette histoire.
Voilà un jour, je me fus allé en Ukraine avec le curé de ma paroisse, le père Dominique.
Nous devions rencontrer les survivants de Tchernobyl dans une forêt reculée de la ville. Le père Dominique leur avait tricoté des pulls à trois bras, et des gants à vingt-deux doigts, j'en passe et des meilleurs.
Donc nous étions partis ensemble faire bonne office en ce lieu.
Nous arrivions alors vers Pripiat avec un avion qui nous avait été prêté par le vieux rabougri de la tonsure qui est juste au-dessus de nous sur l'estrade.
Donc, nous volions au-dessus de Pripiat quand le père Dominique qui n'est pas très futé, fut pris d'une envie pressente. N'ayant pas mis ses lunettes, il s'en était allé vers la porte d'accès à l'avion. Il insistait pour l'ouvrir. Comprenant qu'il allait faire une catastrophe, je me précipitais vers celle-ci et posais la main sur la poignée. J'étais prête à lui dire, ce ne sont pas les WC quand le salopard me donna un coup de pied aux fesses me disant, va-t-en de là vieille bique du Guatemala, j'étais là avant toi. Surprise, j'appuyais sur la poignée, la porte s'ouvrit et je fus aspirée dans le vide. À trois mille mètres d'altitude, je tombais en chute libre. C'est alors que très vite, j'ai compris où était mon salut. Tombant dans le vide, je pris ma cornette et les liens de ma robe et m'en fit un parachute. Voilà comment j'ai fini à Pripiat dans le réacteur numéro deux de la centrale de Tchernobyl.
Je suis arrivée à m'extraire du réacteur, mais j'étais irradié à des millions de rad.Je suis arrivée à m'extraire du réacteur, mais j'étais irradié à des millions de rad. Ce fut ainsi que je fus envoyé proche du soleil dans un vaisseau spatial avec une paroi en verre. Je passais ainsi six semaines exposé au soleil à des milliers de degrés, protégé par mes radiations que le soleil buvait.
Depuis, j'ai un taux de radioactivité très élevé dans le sang, et si je mets les doigts sur l'électricité d'une prise ou autre celle-ci se nourrit des radiations.
Voilà, comme vous le voyez, c'est assez banal comme histoire.
Le Pépère était toujours avec Fripouillet à la recherche de Grisou et Lolo qui demeuraient introuvables.
- Tu es sûr qu'ils n'ont pas été vers chez mon décapsuleur automatique pour bouteille vin japonaise. S'il les avait capturés pour les mettre dans la boîte pour se venger de n'avoir pu m'attraper, allons savoir, avec un animal pareil de quoi il est capable. C'est alors qu'ils arrivaient vers la cabane que le poète sortait de son hangar. Il faillit marcher sur les pattes du Pépère.
- Ha, te voilà crapouillot, qu'est-ce que tu fais là avec ce petit minet. Vient mon gentil minet, miam miam, du poulet.
Il a l'air d'aller mieux on dirait. Et ce petit rouquin, il en veut de la bonne boiboite.
- Qu'est-ce que ça peut te faire, ce que je fais là. Tu ferais mieux de t'occuper de tes bouteilles soûlard. Et puis comment ça se fait que tu sois là, d'ailleurs, tu ne devrais pas être en train d'écrire mon histoire. Tu parles d'un écrivain, il n'est même pas capable de me dire où sont mes amis dans cette histoire. C'est encore moi qui vais devoir tout faire, comme d'habitude.
Du poulet, bien sûr, tu me prends pour un chat du nord, appelles moi biloute tant que tu y es, soûlard. Ne l'écoute pas, Fripouillet, il n'y a pas plus de poulet que de carton de rôtis, tu n'aurais même pas la boîte, il l'a sûrement mangé et tu n'aurais que le métal.
Le poète se baissa pour essayer de le rattraper, mais les deux chats partirent en courant vers la pinède.
- Mince, je l'ai encore raté ce bougre d'animal, mais où Vont-ils comme ça.
Le temps qu'il dise ça, ils étaient déjà caché derrière un arbre, invisibles à sa vue.
- Nous l'avons échappés belle, mais que faisait-il, sous ce hangar, je ne l'ai pas vu sortir.
- Il cherchait la clef des WC de la brigade.
- Comment ça, qu'est-ce que tu veux dire.
- Hé bien, j'ai reçu un message de love bouchon et elle est coincé dans les WC bouteille en main. Elle a cassé la serrure et comme elle cache les bouteilles dans le réservoir d'eau, pendant que ses collègues essaient d'ouvrir elle boit. Et faussement affolée elle crie, vite, ouvrez moi il y a une fourmi, maman moi peur, chat chat chat. Oui elle m'a envoyé un message, mais nous devons en priorité retrouver, Lolo et Grisou.

tchernobyl_0.jpg IMG_20210117_095133.jpg IMG_20210116_144425.jpg IMG_20210113_110751.jpg IMG_20210108_112333.jpg
 

Cortisone

Maître Poète
#2
À Sancoins, sur l'estrade le président, le professeur Ourat, le pape et Thomas réparaient tant bien que mal les dégâts électriques qu'avait causés sœur Mathilde.
Elle, tranquillement, se reposait en observant son MP3. Miraculeusement, l'appareil avait résisté à la décharge électrique. Elle le tournait en tous sens et finissait par croire aux histoires qu'elle avait relatées à Isidore, concernant un micro qui aurait été posé dans le lecteur.
C'est dont à cet instant qu'arrivait Turbo et Fripouille dans la petite auto de Pépère. La sœur les voyant passer par là se dépêcha de se lever pour les interpeller.
- Hé, Turbo, arrête toi, hoho.
Turbo la vit et stoppa la voiture.
- Ça va ma sœur, vous vous remettez de votre électrocution ?
- Oui, mon chat fils, cela n'est rien pour moi, il me fut arrivé des choses pires que ça dans le passé, ne vous inquiétez pas.
Que se passe-t-il en fait pourquoi avez-vous la voiture de Pépère.
- Hé bien, le Pépère a été victime d'un malaise. Oui, mon chat fils, cela n'est rien pour moi, il me fut arrivé des choses pires que ça dans le passé, ne vous inquiétez pas. Son maître lui a donné à manger du fromage de tricératops et il y a dedans une molécule d'intelligence qui lui est contre-indiquée.
Quand même, pour votre affaire, ce n'est rien, dites-vous. Hé bien, vous êtes très résistante, comme Pépère.
- Ha oui, c'est embêtant, ce malaise. Je finissais de remonter mon MP3 et je n'ai plus de micros espions dedans. Je suis fière de participer bientôt à l'émission d'isidore, TGD.
- TGD, mais Isidore à une nouvelle émission.
- Non, toutes griffes dehors, c'est l'acronyme. Comme vous dite, je suis très résistant et l'électricité, je ne la crains pas, car celle-ci se nourrit dans mon sang, donc satisfaite elle s'en est allée repue.
- L'électricité, se nourrit dans votre sang, mais comment cela est-ce possible, c'est insensé !
- Pas du tout, mon chat fils, Turbo, et je pourrais vous raconter pourquoi, si vous avez cinq minutes.
- Oui, Turbo, qu'en penses-tu ?
- Oui, nous avons cinq minutes, sœur Mathilde.
- Hé bien, mon chat fils, Fripouille écouter cette histoire.
Voilà un jour, je me fus allé en Ukraine avec le curé de ma paroisse, le père Dominique.
Nous devions rencontrer les survivants de Tchernobyl dans une forêt reculée de la ville. Le père Dominique leur avait tricoté des pulls à trois bras, et des gants à vingt-deux doigts, j'en passe et des meilleurs.
Donc nous étions partis ensemble faire bonne office en ce lieu.
Nous arrivions alors vers Pripiat avec un avion qui nous avait été prêté par le vieux rabougri de la tonsure qui est juste au-dessus de nous sur l'estrade.
Donc, nous volions au-dessus de Pripiat quand le père Dominique qui n'est pas très futé, fut pris d'une envie pressente. N'ayant pas mis ses lunettes, il s'en était allé vers la porte d'accès à l'avion. Il insistait pour l'ouvrir. Comprenant qu'il allait faire une catastrophe, je me précipitais vers celle-ci et posais la main sur la poignée. J'étais prête à lui dire, ce ne sont pas les WC quand le salopard me donna un coup de pied aux fesses me disant, va-t-en de là vieille bique du Guatemala, j'étais là avant toi. Surprise, j'appuyais sur la poignée, la porte s'ouvrit et je fus aspirée dans le vide. À trois mille mètres d'altitude, je tombais en chute libre. C'est alors que très vite, j'ai compris où était mon salut. Tombant dans le vide, je pris ma cornette et les liens de ma robe et m'en fit un parachute. Voilà comment j'ai fini à Pripiat dans le réacteur numéro deux de la centrale de Tchernobyl.
Je suis arrivée à m'extraire du réacteur, mais j'étais irradié à des millions de rad.Je suis arrivée à m'extraire du réacteur, mais j'étais irradié à des millions de rad. Ce fut ainsi que je fus envoyé proche du soleil dans un vaisseau spatial avec une paroi en verre. Je passais ainsi six semaines exposé au soleil à des milliers de degrés, protégé par mes radiations que le soleil buvait.
Depuis, j'ai un taux de radioactivité très élevé dans le sang, et si je mets les doigts sur l'électricité d'une prise ou autre celle-ci se nourrit des radiations.
Voilà, comme vous le voyez, c'est assez banal comme histoire.
Le Pépère était toujours avec Fripouillet à la recherche de Grisou et Lolo qui demeuraient introuvables.
- Tu es sûr qu'ils n'ont pas été vers chez mon décapsuleur automatique pour bouteille vin japonaise. S'il les avait capturés pour les mettre dans la boîte pour se venger de n'avoir pu m'attraper, allons savoir, avec un animal pareil de quoi il est capable. C'est alors qu'ils arrivaient vers la cabane que le poète sortait de son hangar. Il faillit marcher sur les pattes du Pépère.
- Ha, te voilà crapouillot, qu'est-ce que tu fais là avec ce petit minet. Vient mon gentil minet, miam miam, du poulet.
Il a l'air d'aller mieux on dirait. Et ce petit rouquin, il en veut de la bonne boiboite.
- Qu'est-ce que ça peut te faire, ce que je fais là. Tu ferais mieux de t'occuper de tes bouteilles soûlard. Et puis comment ça se fait que tu sois là, d'ailleurs, tu ne devrais pas être en train d'écrire mon histoire. Tu parles d'un écrivain, il n'est même pas capable de me dire où sont mes amis dans cette histoire. C'est encore moi qui vais devoir tout faire, comme d'habitude.
Du poulet, bien sûr, tu me prends pour un chat du nord, appelles moi biloute tant que tu y es, soûlard. Ne l'écoute pas, Fripouillet, il n'y a pas plus de poulet que de carton de rôtis, tu n'aurais même pas la boîte, il l'a sûrement mangé et tu n'aurais que le métal.
Le poète se baissa pour essayer de le rattraper, mais les deux chats partirent en courant vers la pinède.
- Mince, je l'ai encore raté ce bougre d'animal, mais où Vont-ils comme ça.
Le temps qu'il dise ça, ils étaient déjà caché derrière un arbre, invisibles à sa vue.
- Nous l'avons échappés belle, mais que faisait-il, sous ce hangar, je ne l'ai pas vu sortir.
- Il cherchait la clef des WC de la brigade.
- Comment ça, qu'est-ce que tu veux dire.
- Hé bien, j'ai reçu un message de love bouchon et elle est coincé dans les WC bouteille en main. Elle a cassé la serrure et comme elle cache les bouteilles dans le réservoir d'eau, pendant que ses collègues essaient d'ouvrir elle boit. Et faussement affolée elle crie, vite, ouvrez moi il y a une fourmi, maman moi peur, chat chat chat. Oui elle m'a envoyé un message, mais nous devons en priorité retrouver, Lolo et Grisou.

Afficher la pièce jointe 32406 Afficher la pièce jointe 32407 Afficher la pièce jointe 32408 Afficher la pièce jointe 32409 Afficher la pièce jointe 32410
Pépère Saturne Lolo Grisou Crapouillot. ..
Que d'aventures avec tous ces chats....
Comment vous y retrouvez vous ????
Amicalement
Gaby