Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Pépère le chat du poète, suite.

#1
Enfin, le Pépère était restauré.
- Dit moi, Pépère, pourquoi Lolo n'a pas participé à ce repas ?
- Hé bien, mes amis, ce médicament a dû me rendre bien malade. C'est vrai que je l'ai renvoyé surveiller ma voiture et je l'avais oublié.
Bon ce n'est pas grave, simplement Fripouillet avant de te servir de cette ficelle de poulet pour t'en faire un scoubidou, attend que nous soyons partis nous autres. Oui, l'animal est rusé et il pourrait deviner ce que l'on a été faire au fond de ce terrain.
Alors, Fripouillet tu es fin prêt pour ta première mission et me tenir au courant de tout ce dont il se passe en ce lieu. Note tout, surtout même si cela te paraît insignifiant, ne sait-on jamais moi tout seul, je saurai analyser la chose.
- Oui, Pépère, je vais aller le surveiller ne t'inquiète pas. Sauf que, si ma mère m'appelle, qu'est-ce que je fais ?
- Hé bien, tu me smesses et je l'appellerai pour lui expliquer la situation. N'oublions pas notre, heu, mon carton de saucissons.
- Je viens avec toi, Pépère ?
- Bien sûr, Grisou, je vais t'emmener à Paris pour te présenter mon frérot, Saturne. Lolo le connaît, mais pas toi et je te présenterai aussi, Un-œil qui est l'un de mes autres agents.
Fripouillet sachant ce qu'il avait à faire, partit vers chez le poète.
Il s'installa sur le fauteuil à Pépère, il n'était pas très rassuré par rapport à tout ce que disait Pépère sur son maître.
Le long du canal, sœur Mathilde pendant ce temps-là, était en train d'expliquer au président son histoire d'électrocution, telle qu'elle l'avait relaté à Isidore.
- Oui, je vous l'assure mon bon bleu, un micro espion russe dans mon MP3. Peut-être sommes nous surveiller, que pouvons nous faire ?
- Calmons-nous, seul un cordon-bleu, oups, je ne sais plus ce que je dis moi-même. Seul un président de la République, peut trouver une solution à ce problème d'espionnage. Laissez-moi le temps d'y réfléchir. Déjà, cette histoire d'espion russe me rappelle une vilaine aventure.
- Ha, bon, mon bon bleu premier, vous avez déjà été en Russie.
- Oui, adolescent, mon bon variole premier.
C'était lors d'un voyage scolaire et j'en fis des vertes et des pas mures.
- Vous, mon bon le gaulois, en Russie.
- Oui, sœur MP3 à cause de mon cheveu frontal, j'ai détruit une fusée et j'ai failli être condamné à mort.
- Ha bon mon bleu premier, l'explosion d'une fusée à cause d'un cheveu.
- Hé bien, oui, mon bon varicelle premier, laissez moi vous l'expliquer. Voilà, un jour mon collège avait organisé un voyage scolaire en Russie. Nous devions aller visiter une base de lancement de missile nucléaire. J'étais très intéressé par ce projet et ma mère me disait que c'était peut-être dangereux. Ne m'occupant pas de son avis, j'y fus allé. Mais cela fut un véritable cauchemar sur tout le long de la route pour commencer.
Tout commença dès la sortie de Paris en direction de Strasbourg. La veille au soir, avant le départ, j'eus une terrible fringale et je demandais à ma mère de me préparer des cordons-bleus panés au Benco farcis dans de la moutarde. J'en suis extrêmement friand. Oui, mais voilà cela me donna la colique. Ne voulant pas écouter ma maman, j'en mangeais et le lendemain dans le car en partant, je dus courir voir le chauffeur pour lui demander de s'arrêter de toute urgence sous peine de repeindre le plafond du car. En arrivant vers lui, j'avais heurté le rétroviseur avec mon cheveu. Celui-ci s'était déréglé et l'homme qui avait un strabisme voyait la droite à gauche et vice-versa. Ce fut ainsi qu'en repartant sur l'autoroute qu'il ne vit pas un camion à droite qui était sur sa gauche et que nous eûmes un accident. Le car était mort, mais nous étions tous indemnes. La compagnie de car n'avait plus qu'un car avec la conduite anglaise et c'est comme ça que notre chauffeur se retrouvait au Havre pensant être à la frontière allemande. Donc nous fûmes passés par l'Angleterre pour rejoindre l'Allemagne en bateau avec le car dessus. Arrivés en Allemagne, nous avions filé vers l'URSS sans s'arrêter, car nous étions très en retard.
Arrivés à la frontière russe, les douaniers me prirent pour un espion et pensaient que je cachais un micro film dans mon cheveu. C'est ainsi que je passais trois jours sous des rayons x avec mes camarades de classe avant qu'ils ne comprennent que ce ne fut qu'une malformation et ne se posèrent plus de questions sur les lunettes de plongée. Nous avions été, le lendemain, visitées la base de lancement des missiles nucléaires. Les militaires qui étaient là nous avaient formellement interdit de toucher à quoi que ce soit. Nous regardions un missile par une vitre et moi devant la console, je demandais ;
- Qu'est-ce que c'est que ce bouton rouge en me penchant et relevant la tête, je ne vis plus le dit missile qui était déjà en partance pour l'Europe. Heureusement, grâce à la rapidité des Russes, ce missile fut détruit dans les airs. J'avais failli déclencher la troisième guerre mondiale à cause de mon cheveu. Par la suite, je fus condamné à la prison à vie. Mais suite à une grâce présidentielle, je rentrais en France avec un avion privé que je fis écraser à l'atterrissage en perçant une gaine avec mon cheveu dans une cloison. Le court-circuit que cela avait provoqué avait fait exploser l'avion dans les airs. Heureusement, nous avions des sièges éjectables. Ce fut ainsi que nous arrivions à Orly en parachute pour tout le monde et moi sur le ventre me cassant les deux bras. En levant la tête, j'avais crevé le parachute à seize mètres du sol. Voilà, voyez, c'est une petite anecdote, mais je m'en souviens encore.
Pendant que le président distrayait la troupe, Fripouillet s'installait devant la cabane et commença sa mission.
Pépère lui arrivait avec Grisou vers sa petite auto.
Lolo était dans la voiture et se réveillait de quelques secondes. Une chance pour lui Pépère n'en saurait rien.
- Hé bien, où étiez vous mes copains ?
- Si tu savais mon copain, j'ai failli être capturé par mon brontosaure.
- Ha bon pourquoi ça ?
- Hé bien, il voulait me mettre dans la cage, car il y a des Mimi la souris chez love gâteau et elle lui mange ses fromages.
Le bougre a essayé de m'attraper dans le champ. C'est alors que j'ai couru très vite en faisant le tour du pré. Il n'est pas arrivé à me rattraper et puis je suis repassé sous le barbelé. Lui arrivé derrière moi et n'ayant pas la souplesse de Pépère est resté accroché par le pantalon. C'est alors que je l'ai aidé en le poussant, chat chat chat. Il est parti en avant et ses grande dents se sont enfoncées dans le capot de la xsara, chat chat chat.
Bon ce n'est pas tout ça reprenons la direction de Sancoins...




Trident_II_missile_image.jpg russie-560x600.jpg IMG_20210103_141718.jpg IMG_20210102_105337.jpg IMG_20210102_105253.jpg IMG_20210102_105220.jpg
 

Cortisone

Maître Poète
#2
Enfin, le Pépère était restauré.
- Dit moi, Pépère, pourquoi Lolo n'a pas participé à ce repas ?
- Hé bien, mes amis, ce médicament a dû me rendre bien malade. C'est vrai que je l'ai renvoyé surveiller ma voiture et je l'avais oublié.
Bon ce n'est pas grave, simplement Fripouillet avant de te servir de cette ficelle de poulet pour t'en faire un scoubidou, attend que nous soyons partis nous autres. Oui, l'animal est rusé et il pourrait deviner ce que l'on a été faire au fond de ce terrain.
Alors, Fripouillet tu es fin prêt pour ta première mission et me tenir au courant de tout ce dont il se passe en ce lieu. Note tout, surtout même si cela te paraît insignifiant, ne sait-on jamais moi tout seul, je saurai analyser la chose.
- Oui, Pépère, je vais aller le surveiller ne t'inquiète pas. Sauf que, si ma mère m'appelle, qu'est-ce que je fais ?
- Hé bien, tu me smesses et je l'appellerai pour lui expliquer la situation. N'oublions pas notre, heu, mon carton de saucissons.
- Je viens avec toi, Pépère ?
- Bien sûr, Grisou, je vais t'emmener à Paris pour te présenter mon frérot, Saturne. Lolo le connaît, mais pas toi et je te présenterai aussi, Un-œil qui est l'un de mes autres agents.
Fripouillet sachant ce qu'il avait à faire, partit vers chez le poète.
Il s'installa sur le fauteuil à Pépère, il n'était pas très rassuré par rapport à tout ce que disait Pépère sur son maître.
Le long du canal, sœur Mathilde pendant ce temps-là, était en train d'expliquer au président son histoire d'électrocution, telle qu'elle l'avait relaté à Isidore.
- Oui, je vous l'assure mon bon bleu, un micro espion russe dans mon MP3. Peut-être sommes nous surveiller, que pouvons nous faire ?
- Calmons-nous, seul un cordon-bleu, oups, je ne sais plus ce que je dis moi-même. Seul un président de la République, peut trouver une solution à ce problème d'espionnage. Laissez-moi le temps d'y réfléchir. Déjà, cette histoire d'espion russe me rappelle une vilaine aventure.
- Ha, bon, mon bon bleu premier, vous avez déjà été en Russie.
- Oui, adolescent, mon bon variole premier.
C'était lors d'un voyage scolaire et j'en fis des vertes et des pas mures.
- Vous, mon bon le gaulois, en Russie.
- Oui, sœur MP3 à cause de mon cheveu frontal, j'ai détruit une fusée et j'ai failli être condamné à mort.
- Ha bon mon bleu premier, l'explosion d'une fusée à cause d'un cheveu.
- Hé bien, oui, mon bon varicelle premier, laissez moi vous l'expliquer. Voilà, un jour mon collège avait organisé un voyage scolaire en Russie. Nous devions aller visiter une base de lancement de missile nucléaire. J'étais très intéressé par ce projet et ma mère me disait que c'était peut-être dangereux. Ne m'occupant pas de son avis, j'y fus allé. Mais cela fut un véritable cauchemar sur tout le long de la route pour commencer.
Tout commença dès la sortie de Paris en direction de Strasbourg. La veille au soir, avant le départ, j'eus une terrible fringale et je demandais à ma mère de me préparer des cordons-bleus panés au Benco farcis dans de la moutarde. J'en suis extrêmement friand. Oui, mais voilà cela me donna la colique. Ne voulant pas écouter ma maman, j'en mangeais et le lendemain dans le car en partant, je dus courir voir le chauffeur pour lui demander de s'arrêter de toute urgence sous peine de repeindre le plafond du car. En arrivant vers lui, j'avais heurté le rétroviseur avec mon cheveu. Celui-ci s'était déréglé et l'homme qui avait un strabisme voyait la droite à gauche et vice-versa. Ce fut ainsi qu'en repartant sur l'autoroute qu'il ne vit pas un camion à droite qui était sur sa gauche et que nous eûmes un accident. Le car était mort, mais nous étions tous indemnes. La compagnie de car n'avait plus qu'un car avec la conduite anglaise et c'est comme ça que notre chauffeur se retrouvait au Havre pensant être à la frontière allemande. Donc nous fûmes passés par l'Angleterre pour rejoindre l'Allemagne en bateau avec le car dessus. Arrivés en Allemagne, nous avions filé vers l'URSS sans s'arrêter, car nous étions très en retard.
Arrivés à la frontière russe, les douaniers me prirent pour un espion et pensaient que je cachais un micro film dans mon cheveu. C'est ainsi que je passais trois jours sous des rayons x avec mes camarades de classe avant qu'ils ne comprennent que ce ne fut qu'une malformation et ne se posèrent plus de questions sur les lunettes de plongée. Nous avions été, le lendemain, visitées la base de lancement des missiles nucléaires. Les militaires qui étaient là nous avaient formellement interdit de toucher à quoi que ce soit. Nous regardions un missile par une vitre et moi devant la console, je demandais ;
- Qu'est-ce que c'est que ce bouton rouge en me penchant et relevant la tête, je ne vis plus le dit missile qui était déjà en partance pour l'Europe. Heureusement, grâce à la rapidité des Russes, ce missile fut détruit dans les airs. J'avais failli déclencher la troisième guerre mondiale à cause de mon cheveu. Par la suite, je fus condamné à la prison à vie. Mais suite à une grâce présidentielle, je rentrais en France avec un avion privé que je fis écraser à l'atterrissage en perçant une gaine avec mon cheveu dans une cloison. Le court-circuit que cela avait provoqué avait fait exploser l'avion dans les airs. Heureusement, nous avions des sièges éjectables. Ce fut ainsi que nous arrivions à Orly en parachute pour tout le monde et moi sur le ventre me cassant les deux bras. En levant la tête, j'avais crevé le parachute à seize mètres du sol. Voilà, voyez, c'est une petite anecdote, mais je m'en souviens encore.
Pendant que le président distrayait la troupe, Fripouillet s'installait devant la cabane et commença sa mission.
Pépère lui arrivait avec Grisou vers sa petite auto.
Lolo était dans la voiture et se réveillait de quelques secondes. Une chance pour lui Pépère n'en saurait rien.
- Hé bien, où étiez vous mes copains ?
- Si tu savais mon copain, j'ai failli être capturé par mon brontosaure.
- Ha bon pourquoi ça ?
- Hé bien, il voulait me mettre dans la cage, car il y a des Mimi la souris chez love gâteau et elle lui mange ses fromages.
Le bougre a essayé de m'attraper dans le champ. C'est alors que j'ai couru très vite en faisant le tour du pré. Il n'est pas arrivé à me rattraper et puis je suis repassé sous le barbelé. Lui arrivé derrière moi et n'ayant pas la souplesse de Pépère est resté accroché par le pantalon. C'est alors que je l'ai aidé en le poussant, chat chat chat. Il est parti en avant et ses grande dents se sont enfoncées dans le capot de la xsara, chat chat chat.
Bon ce n'est pas tout ça reprenons la direction de Sancoins...




Afficher la pièce jointe 32244 Afficher la pièce jointe 32245 Afficher la pièce jointe 32246 Afficher la pièce jointe 32247 Afficher la pièce jointe 32248 Afficher la pièce jointe 32249 [/QUOTE

Alors comme cela Pépère parle de notre colissus de saucissons et se reprend disant mon colis . Quel coquin.....
Merci Daniel
Amicalement
Gaby