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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Le poète était enfin arrivé à mettre la main sur le Pépère.
Celui-ci, pour donner confiance à l'homme ronronnait dans ses bras.
- Hé bien, il pèse son poids le bougre d'animal. Quelle haleine tu as mon graillon, c'est sûr et certain, c'est toi qui l'as manger la tarte avariée devant la cabane.
Tiens le petit roux est là-bas avec le chat noir d'à côté, c'est bizarre, on dirait qu'ils m'observent. Ce n'est quand même pas des agents secrets, comme ces sacrés Américains derrière. Que font-ils ici ceux-là, c'est bizarre cette histoire d'extraterrestres. Sûrement encore une invention des journalistes. Il n'y a pas plus d'extraterrestres que Pépère est léger où qu'il ne soit pas un ventre sur pattes.
Le Pépère était furax. Non seulement, il s'était fait avoir, mais en plus, on disait des horreurs sur lui.
Il regardait l'homme méchamment.
- Tu n'as pas l'air bien en forme et heureux dit moi bouboule.
- Tu t'es vu crâne d'œuf, et toi alors, tu es si plat que l'on a l'impression qu'un rouleau compresseur est passé sur ton berceau à la naissance. Je vois bien la scène, et pour te réanimer, ils t'ont mis sous perfusion de vinasse.
Tu vas voir si je pèse mon poids, ne t'inquiète pas, tu auras la monnaie de ta pièce pourrie saligaud.
Une mauvaise haleine moi, non mais c'est le feu qui se moque de l'eau où l'alcoolique de l'à-jeun. Si tu pouvais arrêter de me souffler dans le nez. Merci, je ne tiens pas à finir avec les moustaches comme des bigoudis et des lunettes noir sur le nez avec Bibou comme seul compagnon pour aveugle.
Le chat roux et le chat noir, comme tu dis, sont mes agents. Et si, salopard nous sommes des chatgent secrets pour le compte du fbchat comme toi tu est alcoolique reconnue et estampillé par l'auberge des moines fournisseur officiel en rhum de love crêpes.
Alors, je suis une invention, n'importe quoi. Je suis le créateur de l'Egypte antique et le Dieu de Charnïens alors révérence à ton chat. Les Américains qui sont derrière, pour information son là pour surveiller ton trafic d'armes de destructions massives, salopard, ton compte est bon.
M'étendre dire que je suis lourd alors que je pèse à peine deux kilos, le reste étant de l'intelligence. Et puis me faire traiter de ventre sur pattes par quelqu'un qui mange un bisou entier à chaque repas, il fallait l'oser celle-là !
Le poète se demandait bien ce qu'avait le Pépère à miauler sans cesse.
- Tu peux courir, si tu crois qui tu n'iras pas chez le vétérinaire.
Tu n'avais qu'à ne pas manger cette saleté devant la cabane, bouboule.
L'homme arrivait à la clôture et là se posait un problème comment écarter les barbelés d'une seule main.
- Mince, comment je vais faire avec ce gros sac. Si je le pose, il va s'échapper.
- Si c'était pour déboucher une bouteille, tu n'aurais pas besoin des deux mains, soûlard. Tu vois Pépère, même les pattes prisent, il y serait arrivé avec ses dents, il couperait le barbelé, ou à coups de queue, hé bien oui, je ne suis pas un minus.
Le poète se contorsionna et il arriva à passer une jambe tenant le chat dans ses bras le barbelé de l'autre main.
Il y était presque arrivé, mais la deuxième jambe resta accrochée par le pantalon dans le barbelé.
Il faillit partir en avant et fut obligé de lâcher Pépère. Il se retrouva à ses pieds et n'en revenait pas, il était libre.
L'homme penché à quatre-vingt-dix degrés en avant ne tenait plus que par le tissu pris dans le barbelé. Il se retourna et vit Pépère très loin derrière lui.
- Mais que faut-il, il s'échappe le bougre. Tiens, il revient vers moi, il aura compris que j'ai besoin d'aide.
Le Pépère avait un plan en tête.
- Alors soûlard, tu veux un coup de patte, pas de soucis ton chat est là !
Il s'élança à toute vitesse et sauta sur le dos de l'homme. Le tissu prit dans le barbelé céda et le poète partit en avant et se retrouva au sol face contre terre.
- Tu peux courir, si tu crois que j'irais chez le torturien allemand.
Tu n'avais qu'à ne pas picoler dans la cabane, soûlard et tu serais encore debout, chat chat chat.
Pépère vit Lolo et Fripouillet non loin de lui.
Le temps que l'homme se relève, le Pépère, Fripouillet et Lolo étaient déjà derrière le fourgon au fond du terrain.
Pépère commençait à se sentir un peu mieux, mais il se demandait comment il était arrivé jusqu'à la cabane du poète.
- Hé bien, quelle aventure mon copain, que s'est-il passé ?
- Oui, Pépère, tu m'as fait peur quand je t'ai retrouvé sur le fauteuil, j'ai cru que le soûlard t'avait esquinté.
- Hé bien, si j'avais su, je lui aurais crevé ses pneus pour me venger. Mais je ne veux pas abîmer ma pauvre chalauréane.
Mais dit moi, Fripouillet sur le fauteuil, qu'y faisais-tu ?
Ne me dis pas que tu t'es endormi pendant ta mission !
- Hé bien, je crois que j'ai eu un étourdissement.
- Cela est bizarre, tu ne trouves pas, Pépère, comme toi.
- Oui, peut-être que nous avons été contaminés par des saloperies chimiques de chez Cookie.
N'oublions pas que l'homme qui est là, y verse régulièrement des produits contaminés dans le sol. Fripouillet y va régulièrement voir Lucie et moi-même, j'y étais il n'y a pas si longtemps que ça.

Fripouillet commençait à être impatient de manger.
- Nous mangeons nous autres, alors Pépère.
- Oui, Fripouillet à raison, mangeons un bon poulet. Dommage que Sybage ne soit pas là avec moi pour manger en chatmoureux.
- Oui, Fripouillet, bientôt, ne t'inquiète pas.
Hé bien écoute Lolo, l'appel des dents et de l'estomac, c'est du sérieux. Nous n'avons plus beaucoup de poulets et si on faisait venir Sybage nous n'aurions plus rien nous autres.
En plus, sache que ces poulets ne sont comestibles que par les chats mâles.
Tu ne voudrais pas que ta chatmoureuse Sybage soit aveugle. Oui, l'œil de la chatte est très fragile et il y a dans ces poulets réservés aux agents secrets une vitamine qui est destinée à favoriser le travail de l'œil. Nous autres avons l'habitude de faire travailler nos yeux et pas nos chatmoureuses et elles pourraient avoir de graves complications oculaires, tu comprends mon copain. D'ailleurs, elles ne doivent pas savoir qu'ils y a des caisses à poulets ici.
- Alors Pépère, on mange du poulet ?
- Attends Fripouillet, je vais aller voir ce que fait mon tournevis africain pour mécanicien portugais réparateur en allumettes Australiennes.
- Je peux commencer à manger du poulet, Pépère ?
- Arrête malheureux, jamais, ce poulet doit être consommé rapidement si tu commences avant moi, tu peux en mourir. Oui, ce poulet a des vitamines de la mémoires qui font mourir celui qui mange seul si on est plusieurs. Elles considèrent que si une personne n'en mange pas, c'est que les autres sont des ennemis et que cette personne leur a donné pour les faire mourir, tu comprends Fripouillet. Je vais voir ce que fait le tire-bouchon en papier pour bouteille en sucre.
Le Pépère partit voir ce que faisait le poète.

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Cortisone

Maître Poète
#2
Le poète était enfin arrivé à mettre la main sur le Pépère.
Celui-ci, pour donner confiance à l'homme ronronnait dans ses bras.
- Hé bien, il pèse son poids le bougre d'animal. Quelle haleine tu as mon graillon, c'est sûr et certain, c'est toi qui l'as manger la tarte avariée devant la cabane.
Tiens le petit roux est là-bas avec le chat noir d'à côté, c'est bizarre, on dirait qu'ils m'observent. Ce n'est quand même pas des agents secrets, comme ces sacrés Américains derrière. Que font-ils ici ceux-là, c'est bizarre cette histoire d'extraterrestres. Sûrement encore une invention des journalistes. Il n'y a pas plus d'extraterrestres que Pépère est léger où qu'il ne soit pas un ventre sur pattes.
Le Pépère était furax. Non seulement, il s'était fait avoir, mais en plus, on disait des horreurs sur lui.
Il regardait l'homme méchamment.
- Tu n'as pas l'air bien en forme et heureux dit moi bouboule.
- Tu t'es vu crâne d'œuf, et toi alors, tu es si plat que l'on a l'impression qu'un rouleau compresseur est passé sur ton berceau à la naissance. Je vois bien la scène, et pour te réanimer, ils t'ont mis sous perfusion de vinasse.
Tu vas voir si je pèse mon poids, ne t'inquiète pas, tu auras la monnaie de ta pièce pourrie saligaud.
Une mauvaise haleine moi, non mais c'est le feu qui se moque de l'eau où l'alcoolique de l'à-jeun. Si tu pouvais arrêter de me souffler dans le nez. Merci, je ne tiens pas à finir avec les moustaches comme des bigoudis et des lunettes noir sur le nez avec Bibou comme seul compagnon pour aveugle.
Le chat roux et le chat noir, comme tu dis, sont mes agents. Et si, salopard nous sommes des chatgent secrets pour le compte du fbchat comme toi tu est alcoolique reconnue et estampillé par l'auberge des moines fournisseur officiel en rhum de love crêpes.
Alors, je suis une invention, n'importe quoi. Je suis le créateur de l'Egypte antique et le Dieu de Charnïens alors révérence à ton chat. Les Américains qui sont derrière, pour information son là pour surveiller ton trafic d'armes de destructions massives, salopard, ton compte est bon.
M'étendre dire que je suis lourd alors que je pèse à peine deux kilos, le reste étant de l'intelligence. Et puis me faire traiter de ventre sur pattes par quelqu'un qui mange un bisou entier à chaque repas, il fallait l'oser celle-là !
Le poète se demandait bien ce qu'avait le Pépère à miauler sans cesse.
- Tu peux courir, si tu crois qui tu n'iras pas chez le vétérinaire.
Tu n'avais qu'à ne pas manger cette saleté devant la cabane, bouboule.
L'homme arrivait à la clôture et là se posait un problème comment écarter les barbelés d'une seule main.
- Mince, comment je vais faire avec ce gros sac. Si je le pose, il va s'échapper.
- Si c'était pour déboucher une bouteille, tu n'aurais pas besoin des deux mains, soûlard. Tu vois Pépère, même les pattes prisent, il y serait arrivé avec ses dents, il couperait le barbelé, ou à coups de queue, hé bien oui, je ne suis pas un minus.
Le poète se contorsionna et il arriva à passer une jambe tenant le chat dans ses bras le barbelé de l'autre main.
Il y était presque arrivé, mais la deuxième jambe resta accrochée par le pantalon dans le barbelé.
Il faillit partir en avant et fut obligé de lâcher Pépère. Il se retrouva à ses pieds et n'en revenait pas, il était libre.
L'homme penché à quatre-vingt-dix degrés en avant ne tenait plus que par le tissu pris dans le barbelé. Il se retourna et vit Pépère très loin derrière lui.
- Mais que faut-il, il s'échappe le bougre. Tiens, il revient vers moi, il aura compris que j'ai besoin d'aide.
Le Pépère avait un plan en tête.
- Alors soûlard, tu veux un coup de patte, pas de soucis ton chat est là !
Il s'élança à toute vitesse et sauta sur le dos de l'homme. Le tissu prit dans le barbelé céda et le poète partit en avant et se retrouva au sol face contre terre.
- Tu peux courir, si tu crois que j'irais chez le torturien allemand.
Tu n'avais qu'à ne pas picoler dans la cabane, soûlard et tu serais encore debout, chat chat chat.
Pépère vit Lolo et Fripouillet non loin de lui.
Le temps que l'homme se relève, le Pépère, Fripouillet et Lolo étaient déjà derrière le fourgon au fond du terrain.
Pépère commençait à se sentir un peu mieux, mais il se demandait comment il était arrivé jusqu'à la cabane du poète.
- Hé bien, quelle aventure mon copain, que s'est-il passé ?
- Oui, Pépère, tu m'as fait peur quand je t'ai retrouvé sur le fauteuil, j'ai cru que le soûlard t'avait esquinté.
- Hé bien, si j'avais su, je lui aurais crevé ses pneus pour me venger. Mais je ne veux pas abîmer ma pauvre chalauréane.
Mais dit moi, Fripouillet sur le fauteuil, qu'y faisais-tu ?
Ne me dis pas que tu t'es endormi pendant ta mission !
- Hé bien, je crois que j'ai eu un étourdissement.
- Cela est bizarre, tu ne trouves pas, Pépère, comme toi.
- Oui, peut-être que nous avons été contaminés par des saloperies chimiques de chez Cookie.
N'oublions pas que l'homme qui est là, y verse régulièrement des produits contaminés dans le sol. Fripouillet y va régulièrement voir Lucie et moi-même, j'y étais il n'y a pas si longtemps que ça.

Fripouillet commençait à être impatient de manger.
- Nous mangeons nous autres, alors Pépère.
- Oui, Fripouillet à raison, mangeons un bon poulet. Dommage que Sybage ne soit pas là avec moi pour manger en chatmoureux.
- Oui, Fripouillet, bientôt, ne t'inquiète pas.
Hé bien écoute Lolo, l'appel des dents et de l'estomac, c'est du sérieux. Nous n'avons plus beaucoup de poulets et si on faisait venir Sybage nous n'aurions plus rien nous autres.
En plus, sache que ces poulets ne sont comestibles que par les chats mâles.
Tu ne voudrais pas que ta chatmoureuse Sybage soit aveugle. Oui, l'œil de la chatte est très fragile et il y a dans ces poulets réservés aux agents secrets une vitamine qui est destinée à favoriser le travail de l'œil. Nous autres avons l'habitude de faire travailler nos yeux et pas nos chatmoureuses et elles pourraient avoir de graves complications oculaires, tu comprends mon copain. D'ailleurs, elles ne doivent pas savoir qu'ils y a des caisses à poulets ici.
- Alors Pépère, on mange du poulet ?
- Attends Fripouillet, je vais aller voir ce que fait mon tournevis africain pour mécanicien portugais réparateur en allumettes Australiennes.
- Je peux commencer à manger du poulet, Pépère ?
- Arrête malheureux, jamais, ce poulet doit être consommé rapidement si tu commences avant moi, tu peux en mourir. Oui, ce poulet a des vitamines de la mémoires qui font mourir celui qui mange seul si on est plusieurs. Elles considèrent que si une personne n'en mange pas, c'est que les autres sont des ennemis et que cette personne leur a donné pour les faire mourir, tu comprends Fripouillet. Je vais voir ce que fait le tire-bouchon en papier pour bouteille en sucre.
Le Pépère partit voir ce que faisait le poète.

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Ah ah la fin est abracadabrantesque digne de Pépère
Merci
Gaby