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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Pendant que Pépère racontait ses histoires à Lolo, le poète avait donné un bol de croquettes à Fripouillet. Alléché par l'odeur, il n'avait pas résisté à les manger malgré les recommandations de Pépère.
Malgré sa détermination à rendre service à Pépère, il se sentait bien las et ce fauteuil où il s'était mis pour observer le poète était très moelleux. Il ne put résister au sommeil et il s'endormit très rapidement.
Le Pépère attendait de ses nouvelles et il lui envoyait des messages qui étaient sans réponses.
- Mais que fait-il, pourquoi il ne répond plus. Est-ce que par hasard, il ne se serait pas fait capturer par Daisy ?
Qu'il perde ses oreilles et qu'il foute la paix à Fripouillet.
Lolo ne comprenait plus rien au discours de Pépère, il était totalement incohérent.
Le fait est, que cette tarte avariée qu'il avait mangé beaucoup plus tôt, lui avait empoisonné le sang. Les effets commençaient à se ressentir.
- Écoute, Dingo, je vais voir ce que fait Fripouillet, le soûlard à mis un bœuf dans la rôtissoire, je ne veux pas rater ça.
Le Pépère s'en allait vers la cabane à découvert sans même se soucier d'être vu par son maître.
Celui-ci était devant le fauteuil et regardait le petit Fripouillet qui dormait tranquillement.
- Hé bien, il est marrant ce petit rouquin, je me demande d'où il vient comme ça, il a l'air bien jeune.
Mince, la tarte qui était là, elle n'y est plus. Ça alors, même le carton a été dévoré à moitié. Je ne vois qu'un chat capable de ça, un ventre sur pattes. Je comprends pourquoi bouboule n'avait pas faim, c'est lui qui l'a mangé cette crapouille. Il faut que je le retrouve, il va être malade, préparons la caisse de transport et cherchons le.
Lolo de derrière le fourgon était médusé. Le Pépère se dirigeait tout droit vers la plate-forme, à découvert. Dessus, il vit son maître.
- Pépère, cache toi, tu vas te faire capturer par le tricératops des plaines d'orge à bière. Pépère, tu m'entends, mais que lui arrive-t-il ?
Pépère ne savait plus où il était, il marchait et se voyait dans un four. Derrière lui, le poète tenait la porte. Tien bon mon love chat, le bœuf est devant toi. Lui, marchait, marchait et a chaque pas, le bœuf reculait de sa vue.
Il s'écroula juste devant la plate-forme.
Le poète qui le vit arriver, comprit qu'il n'avait plus qu'à l'emmener chez le vétérinaire.
Il le ramassa dans l'herbe et le posa à côté de Fripouillet sur le fauteuil. Celui-ci se réveilla en sursaut.
- Pépère, Pépère, mais que se passe-t-il. Mince, l'alcoolique l'a attrapé et il l'a esquinté vite fuyons.
Le temps que le poète téléphonait de la cabane au vétérinaire, le petit Fripouillet partit en courant.
Le Pépère revint à lui et il se demandait comment il était arrivé jusqu'au fauteuil de derrière le fourgon.
Il vit la cage à chat posée devant lui.
- Mince, min rabougri norvégien élevé au jus de carotte sibérienne est venu m'assommer pour me ramener ici, vite fuyons.
Le poète sortit et vit le Pépère s'enfuir.
- Gamin, viens là, tu es malade, Pépère. Incroyable où est-il à présent, j'aurai dû le mettre de suite dans le panier, c'est malin.
Le pauvre Pépère s'était réfugié derrière la cabane à Cookie.
En ce décembre frileux, la brume sortant en bourgeons de lin, tout de blanc irisée avec des petites strass de lune, offrait un bien joli spectacle au poète qui était de l'autre côté de la clôture.
Le poète l'avait vu partir dans cette direction.
Il le cherchait des yeux désespérément sachant les méfaits d'une intoxication alimentaire.
Le pauvre Pépère victime de son embonpoint et ayant couru aussi vite qu'il le puisse était complètement essoufflé. Il voyait l'homme de l'autre côté et le regardait méchamment.
- Arf, arf, arf, arf, gamin tu m'as vu poète qu'on t'appuie sur le nez, il sort encore de la poudre de lait.
- Pépère, gamin, vient pépère, gamin vient par là que je te donne à manger.
- Psychopathe, tu veux ma peau oui, à manger, tu me prends pour une quiche, tu crois que je n'ai pas vu la cage.
Tes épluchures de concombre à l'uranium, tu peux te les manger toi-même pour éliminer ta constipation. Vu la musique que tu vas me faire subir dans ta voiture de mille neuf cent, tu peux continuer de rêver en noir et blanc.
Il ouvrit le chat-ventre et prit son téléphone pour essayer de joindre Lolo. Il comptait sur lui pour qu'il fasse une diversion pour retourner au fond du terrain.
Cookie de derrière la paroi l'entendait.
- Que fait-il derrière ma maison hiiii et qu'est ce qu'on trafique chez moi hiiii il va faire caca, hiiii.
Elle finit par sortir et le vit contre la paroi juste derrière la cabane.
De l'autre côté dans le champ le poète était passé par la clôture et cherchait des yeux dans le champ.
- pépère, Pépère, où es-tu gamin.
- Hiii, il ne faut plus te gêner, si c'est pour faire des saloperies avec ton derrière va-t-en, hiiii, cacateux.
Hiii, je n'ai pas envie de m'évanouir, tu as du encore mangé le cassoulet avec des haricots martiens ou bien t'a mangé l'emballage et la boîte avec hiiii.
- Tais-toi chevalesse tu n'es qu'un hybride entre un lémurien et un lama corse.
Cookie était furax, le Pépère ne bougeait pas.
- Hiii, sort de chez moi, hiii tu es derrière ma maison, hiii, Malotru allez va cacater ailleurs, hiiii.
- Tais toi vilaine, tu as vu ton dentier, ce n'est pas possible, c'est un débutant qui te l'a fait, où alors il a été trop longtemps à l'auberge des moines, où bien vous avez fumé la même paille polluée au pipi bridé de castor chinois.
La jument en ayant trop entendu mit un coup de sabot dans la paroi. Toute la cabane se mit à trembler. Puis elle lâcha un énorme crottin. Pépère, fort, mais pas téméraire pris peur et s'enfuyait dans le pré en hurlant.
- Tu as de la chance que j'aie peur d'être repéré sinon un coup de patte et je t'envoyais jusqu'à la lune avec tous mes vœux pour cette nouvelle année, tu aurais mangé le cadeau du prêtre avec elle.
Elle se mit à hennir.
- Fait ta maline, j'ai déjà terrassé un troupeau de t-rex alors, tu ne me fais pas peur.
Le hennissement alertant le poète, il se précipita vers ce son et le vit.
- Pépère viens gamin, gamin, pépère.
Il s'enfuyait en courant, mais au bout de quelques mètres il n'avait plus de souffle arf arf arf. Il reprit son souffle, mais c'était trop tard. Le poète le tenait par le cou. Il le caressait pépère, se sentait bien et ronronnait.


La suite demain.

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Cortisone

Maître Poète
#2
Pendant que Pépère racontait ses histoires à Lolo, le poète avait donné un bol de croquettes à Fripouillet. Alléché par l'odeur, il n'avait pas résisté à les manger malgré les recommandations de Pépère.
Malgré sa détermination à rendre service à Pépère, il se sentait bien las et ce fauteuil où il s'était mis pour observer le poète était très moelleux. Il ne put résister au sommeil et il s'endormit très rapidement.
Le Pépère attendait de ses nouvelles et il lui envoyait des messages qui étaient sans réponses.
- Mais que fait-il, pourquoi il ne répond plus. Est-ce que par hasard, il ne se serait pas fait capturer par Daisy ?
Qu'il perde ses oreilles et qu'il foute la paix à Fripouillet.
Lolo ne comprenait plus rien au discours de Pépère, il était totalement incohérent.
Le fait est, que cette tarte avariée qu'il avait mangé beaucoup plus tôt, lui avait empoisonné le sang. Les effets commençaient à se ressentir.
- Écoute, Dingo, je vais voir ce que fait Fripouillet, le soûlard à mis un bœuf dans la rôtissoire, je ne veux pas rater ça.
Le Pépère s'en allait vers la cabane à découvert sans même se soucier d'être vu par son maître.
Celui-ci était devant le fauteuil et regardait le petit Fripouillet qui dormait tranquillement.
- Hé bien, il est marrant ce petit rouquin, je me demande d'où il vient comme ça, il a l'air bien jeune.
Mince, la tarte qui était là, elle n'y est plus. Ça alors, même le carton a été dévoré à moitié. Je ne vois qu'un chat capable de ça, un ventre sur pattes. Je comprends pourquoi bouboule n'avait pas faim, c'est lui qui l'a mangé cette crapouille. Il faut que je le retrouve, il va être malade, préparons la caisse de transport et cherchons le.
Lolo de derrière le fourgon était médusé. Le Pépère se dirigeait tout droit vers la plate-forme, à découvert. Dessus, il vit son maître.
- Pépère, cache toi, tu vas te faire capturer par le tricératops des plaines d'orge à bière. Pépère, tu m'entends, mais que lui arrive-t-il ?
Pépère ne savait plus où il était, il marchait et se voyait dans un four. Derrière lui, le poète tenait la porte. Tien bon mon love chat, le bœuf est devant toi. Lui, marchait, marchait et a chaque pas, le bœuf reculait de sa vue.
Il s'écroula juste devant la plate-forme.
Le poète qui le vit arriver, comprit qu'il n'avait plus qu'à l'emmener chez le vétérinaire.
Il le ramassa dans l'herbe et le posa à côté de Fripouillet sur le fauteuil. Celui-ci se réveilla en sursaut.
- Pépère, Pépère, mais que se passe-t-il. Mince, l'alcoolique l'a attrapé et il l'a esquinté vite fuyons.
Le temps que le poète téléphonait de la cabane au vétérinaire, le petit Fripouillet partit en courant.
Le Pépère revint à lui et il se demandait comment il était arrivé jusqu'au fauteuil de derrière le fourgon.
Il vit la cage à chat posée devant lui.
- Mince, min rabougri norvégien élevé au jus de carotte sibérienne est venu m'assommer pour me ramener ici, vite fuyons.
Le poète sortit et vit le Pépère s'enfuir.
- Gamin, viens là, tu es malade, Pépère. Incroyable où est-il à présent, j'aurai dû le mettre de suite dans le panier, c'est malin.
Le pauvre Pépère s'était réfugié derrière la cabane à Cookie.
En ce décembre frileux, la brume sortant en bourgeons de lin, tout de blanc irisée avec des petites strass de lune, offrait un bien joli spectacle au poète qui était de l'autre côté de la clôture.
Le poète l'avait vu partir dans cette direction.
Il le cherchait des yeux désespérément sachant les méfaits d'une intoxication alimentaire.
Le pauvre Pépère victime de son embonpoint et ayant couru aussi vite qu'il le puisse était complètement essoufflé. Il voyait l'homme de l'autre côté et le regardait méchamment.
- Arf, arf, arf, arf, gamin tu m'as vu poète qu'on t'appuie sur le nez, il sort encore de la poudre de lait.
- Pépère, gamin, vient pépère, gamin vient par là que je te donne à manger.
- Psychopathe, tu veux ma peau oui, à manger, tu me prends pour une quiche, tu crois que je n'ai pas vu la cage.
Tes épluchures de concombre à l'uranium, tu peux te les manger toi-même pour éliminer ta constipation. Vu la musique que tu vas me faire subir dans ta voiture de mille neuf cent, tu peux continuer de rêver en noir et blanc.
Il ouvrit le chat-ventre et prit son téléphone pour essayer de joindre Lolo. Il comptait sur lui pour qu'il fasse une diversion pour retourner au fond du terrain.
Cookie de derrière la paroi l'entendait.
- Que fait-il derrière ma maison hiiii et qu'est ce qu'on trafique chez moi hiiii il va faire caca, hiiii.
Elle finit par sortir et le vit contre la paroi juste derrière la cabane.
De l'autre côté dans le champ le poète était passé par la clôture et cherchait des yeux dans le champ.
- pépère, Pépère, où es-tu gamin.
- Hiii, il ne faut plus te gêner, si c'est pour faire des saloperies avec ton derrière va-t-en, hiiii, cacateux.
Hiii, je n'ai pas envie de m'évanouir, tu as du encore mangé le cassoulet avec des haricots martiens ou bien t'a mangé l'emballage et la boîte avec hiiii.
- Tais-toi chevalesse tu n'es qu'un hybride entre un lémurien et un lama corse.
Cookie était furax, le Pépère ne bougeait pas.
- Hiii, sort de chez moi, hiii tu es derrière ma maison, hiii, Malotru allez va cacater ailleurs, hiiii.
- Tais toi vilaine, tu as vu ton dentier, ce n'est pas possible, c'est un débutant qui te l'a fait, où alors il a été trop longtemps à l'auberge des moines, où bien vous avez fumé la même paille polluée au pipi bridé de castor chinois.
La jument en ayant trop entendu mit un coup de sabot dans la paroi. Toute la cabane se mit à trembler. Puis elle lâcha un énorme crottin. Pépère, fort, mais pas téméraire pris peur et s'enfuyait dans le pré en hurlant.
- Tu as de la chance que j'aie peur d'être repéré sinon un coup de patte et je t'envoyais jusqu'à la lune avec tous mes vœux pour cette nouvelle année, tu aurais mangé le cadeau du prêtre avec elle.
Elle se mit à hennir.
- Fait ta maline, j'ai déjà terrassé un troupeau de t-rex alors, tu ne me fais pas peur.
Le hennissement alertant le poète, il se précipita vers ce son et le vit.
- Pépère viens gamin, gamin, pépère.
Il s'enfuyait en courant, mais au bout de quelques mètres il n'avait plus de souffle arf arf arf. Il reprit son souffle, mais c'était trop tard. Le poète le tenait par le cou. Il le caressait pépère, se sentait bien et ronronnait.


La suite demain.

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Fripouillet est comme moi. Il aime bien son fauteuil douillet
Amicalement
Gaby