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Pépère le chat du poète, suite

#1
À Sancoins, pendant que Pépère lisait les fariboles de Loulou Lecurieux, le pauvre Lolo revenait vers ses amis avec Sybage.
Il ignorait toutes les histoires que son ami journaliste avait inventées de toutes parts.
C'est Sybage qui en marchant présentait malgré toutes quelques choses d'anormal. Elle avait l'impression d'être espionné. La petite chienne qui était avec Bibou était repartie chez elle. En réalité, ce robot Enarpilodien était en train d'observer ce que faisaient Sybage et Lolo. Il était toujours en attente de reprendre contact avec son complice qui était avec lui dans la soucoupe. Il trouvait que Pépère était long à revenir de l'espace et commença à avoir des doutes.
Sybage tomba nez à nez avec la petite caniche qui était en travers du chemin téléphone en patte. Celle-ci quand elle vit Sybage fut très gênée et se dépêchait de ranger le téléphone dans son chien-ventre.
- Hé bien, tu n'es plus avec ton ami Bibou, que fais tu ici, tu vas encore te perdre si ça continue.
- Oui, qu'est-ce que tu fais ici, tu as dit à Bibou que tu habitais vers chez Fripouille et c'est de l'autre côté.
- Hé bien, je suis ici depuis peu et je me suis trompé de côté ne vous inquiétez pas, de toute façon Pépère n'est pas encore là, la nuit, je veux dire.
- Mais pourquoi parles tu de Pépère ?
- Je voulais te dire, la nuit n'est pas encore là et comme je suis d'origine étrangère, je connais mal les mots français.
Lolo et Sybage la suivirent en direction de la mare. Tous les deux trouvaient son attitude extrêmement bizarre.
Lolo envoya un message à Pépère et prit discrètement une photo de la petite chienne caniche pour lui envoyer.
Le père Mike qui était revenu depuis peu sur Sancoins était inquiet de l'état de l'estrade. Le Pépère arrivait et la cérémonie de remise en eau du canal était proche, il fallait donc finir de préparer la scène.
C'est ainsi qu'il partit et que la sœur le suivit.
La scène était totalement en désordre et Mike arrivé sur place se mit à là ranger avec l'aide des enfants. Il était encore secoué du choc qu'il avait reçu dû à son enlèvement par les robots.
- Alors vieille brindille taillée au ciseau à bois, comment as-tu fait pour piloter une soucoupe, tu as des talents cachés, lol. Tu es la résurrection de Dieu où quoi ? Seul le chat Pépère peut faire ça, même le vieux rhinocéros n'en est pas capable, il est juste bon à boire de la bière et faire le tonneau en se pinçant le nez le bougre. Lui lança sœur Mathilde qui était derrière lui.
- Écoute, tu es bien gentille, sœur du couvent des moines estropiés du bouchon de vin, mais si, je suis curé, c'est parce que je connais personnellement Dieu. D'ailleurs, il m'a affirmé, il n'y a pas si longtemps que tu étais une ivrogne. C'est Pépère lui-même qui m'a appris à piloter une soucoupe volante. Ça t'en bouche un coin ça, hein, technicienne de capsules de bière d'occasion pour borgne de comptoir. Tu ferais mieux d'aller chercher un balai pour nettoyer où faire la sorcière avec.
Sinon je n'ai pas besoin de toi pour remettre de l'ordre sur cette scène.
Le curé qui en avait marre des allusion de sœur Mathilde, y avait été franchement, et même si, elle en était contrariée, il s'en moquait cela lui avait fait du bien. Du coup, la sœur partit furax pour s'en retourner vers la brasserie du cul roux.
Le Pépère, était toujours en train de lire et relire l'article de Loulou Lecurieux, il était furax.
Pêcheur et Coin-coin était aussi très en colère contre ce journaliste.
Pêcheur qui avait un peu chaud dans la pyramide et la colère lui donnait encore plus chaud. Il bougeait en tous sens et tomba de son siège. Son bec tapa sur le sol de marbre et se tordit sur le côté. Sous l'effet de son poids, celui-ci se tordait et il se releva à toute vitesse en s'écriant.
- Toc toc toc, j'ai encore failli casser mon bec toc toc toc.
Coin-coin se mit à examiner le bec de pécheur.
- Fle fle fle, il n'a rien, il n'est pas fissuré, fle fle fle. C'est la colère qui t'a fait tomber, fle fle fle. Moi, j'ai l'impression d'être dans un train ça me bourdonne dans les plumes comme si j'étais dans un train, fle fle fle.
Le Pépère le regarda et lui répondit.
- C'est drôle, tu me parles de train, car ça me fait penser à une histoire de mon soûlard.
- Fle fle fle, il conduit des train, fle fle fle, c'est un drôle de métier fle fle fle.
- Toc toc toc, il lit Voichat dans le train, toc toc toc avec Loulou Lecurieux.
- Non pas du tout, laissez-moi vous expliquer cette histoire afin de nous changer les idées.
Voilà l'histoire, un jour, love tomate était partie au fond de la France pour passer un stage pour la gendarmerie. En réalité, c'est qu'elle n'avait plus de points sur son permis qui ne doit sa grâce qu'à la clémence de ses collègues. Donc elle arrive là-bas et elle casse son téléphone. La moitié de l'écran était noir. Ne connaissant pas la région, elle ne pouvait plus se déplacer avec le GPS et trouver des bistrots. Mon, déluré de la bouteille Argentine estampillée en Israël à eu, l'idée de lui envoyer un téléphone et des bouteilles de vin. Il va à la poste et il apprend que son colis de vinasse pèse soixante-dix kilos. Le guichetier lui dit qu'il doit l'envoyer par le train. Il va à la gare et met son colis dans le train. Il rencontre sur le quai le chauffeur qui est un ivrogne et dont il connaît sa facilité à payer à boire. Il s'en va donc avec le type picoler au buffet de la gare qui a du fermé pendant trois jours après, car ils s'étaient proposé de ranger la cave et ils avaient tout bu. Lui, il rentre et l'appelle lui disant avoir envoyé soixante-dix litres pour six jours et le téléphone. Ce à quoi elle répond, surtout ne te fâche pas, mais le téléphone ce n'est pas le plus important et ça va faire juste le vin. En fait, elle est rentrée avant d'avoir été livrée totalement furax. Le chauffeur du train était tellement soûl qu'il s'en était allé en Pologne plutôt que de prendre la direction du sud-ouest. C'est après avoir fait le tour de la Pologne et avoir bu le colis de mon alcoolique qu'il est arrivé avec dix jours de retard et des voyageurs totalement morts de faim. Du coup, il a renvoyé le colis à mon Iranien décoloré à l'éosine Népalaise treize jours après et il lui a ramené à la brigade à Sancoins. En échange, elle lui a donné un sac de vingt kilos de ces immondes croquettes pourries remplies de cocaïne qu'il me fait manger et dont il s'en empiffre la nuit.
- Toc toc toc ton histoire est démente toc toc


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Cortisone

Maître Poète
#2
À Sancoins, pendant que Pépère lisait les fariboles de Loulou Lecurieux, le pauvre Lolo revenait vers ses amis avec Sybage.
Il ignorait toutes les histoires que son ami journaliste avait inventées de toutes parts.
C'est Sybage qui en marchant présentait malgré toutes quelques choses d'anormal. Elle avait l'impression d'être espionné. La petite chienne qui était avec Bibou était repartie chez elle. En réalité, ce robot Enarpilodien était en train d'observer ce que faisaient Sybage et Lolo. Il était toujours en attente de reprendre contact avec son complice qui était avec lui dans la soucoupe. Il trouvait que Pépère était long à revenir de l'espace et commença à avoir des doutes.
Sybage tomba nez à nez avec la petite caniche qui était en travers du chemin téléphone en patte. Celle-ci quand elle vit Sybage fut très gênée et se dépêchait de ranger le téléphone dans son chien-ventre.
- Hé bien, tu n'es plus avec ton ami Bibou, que fais tu ici, tu vas encore te perdre si ça continue.
- Oui, qu'est-ce que tu fais ici, tu as dit à Bibou que tu habitais vers chez Fripouille et c'est de l'autre côté.
- Hé bien, je suis ici depuis peu et je me suis trompé de côté ne vous inquiétez pas, de toute façon Pépère n'est pas encore là, la nuit, je veux dire.
- Mais pourquoi parles tu de Pépère ?
- Je voulais te dire, la nuit n'est pas encore là et comme je suis d'origine étrangère, je connais mal les mots français.
Lolo et Sybage la suivirent en direction de la mare. Tous les deux trouvaient son attitude extrêmement bizarre.
Lolo envoya un message à Pépère et prit discrètement une photo de la petite chienne caniche pour lui envoyer.
Le père Mike qui était revenu depuis peu sur Sancoins était inquiet de l'état de l'estrade. Le Pépère arrivait et la cérémonie de remise en eau du canal était proche, il fallait donc finir de préparer la scène.
C'est ainsi qu'il partit et que la sœur le suivit.
La scène était totalement en désordre et Mike arrivé sur place se mit à là ranger avec l'aide des enfants. Il était encore secoué du choc qu'il avait reçu dû à son enlèvement par les robots.
- Alors vieille brindille taillée au ciseau à bois, comment as-tu fait pour piloter une soucoupe, tu as des talents cachés, lol. Tu es la résurrection de Dieu où quoi ? Seul le chat Pépère peut faire ça, même le vieux rhinocéros n'en est pas capable, il est juste bon à boire de la bière et faire le tonneau en se pinçant le nez le bougre. Lui lança sœur Mathilde qui était derrière lui.
- Écoute, tu es bien gentille, sœur du couvent des moines estropiés du bouchon de vin, mais si, je suis curé, c'est parce que je connais personnellement Dieu. D'ailleurs, il m'a affirmé, il n'y a pas si longtemps que tu étais une ivrogne. C'est Pépère lui-même qui m'a appris à piloter une soucoupe volante. Ça t'en bouche un coin ça, hein, technicienne de capsules de bière d'occasion pour borgne de comptoir. Tu ferais mieux d'aller chercher un balai pour nettoyer où faire la sorcière avec.
Sinon je n'ai pas besoin de toi pour remettre de l'ordre sur cette scène.
Le curé qui en avait marre des allusion de sœur Mathilde, y avait été franchement, et même si, elle en était contrariée, il s'en moquait cela lui avait fait du bien. Du coup, la sœur partit furax pour s'en retourner vers la brasserie du cul roux.
Le Pépère, était toujours en train de lire et relire l'article de Loulou Lecurieux, il était furax.
Pêcheur et Coin-coin était aussi très en colère contre ce journaliste.
Pêcheur qui avait un peu chaud dans la pyramide et la colère lui donnait encore plus chaud. Il bougeait en tous sens et tomba de son siège. Son bec tapa sur le sol de marbre et se tordit sur le côté. Sous l'effet de son poids, celui-ci se tordait et il se releva à toute vitesse en s'écriant.
- Toc toc toc, j'ai encore failli casser mon bec toc toc toc.
Coin-coin se mit à examiner le bec de pécheur.
- Fle fle fle, il n'a rien, il n'est pas fissuré, fle fle fle. C'est la colère qui t'a fait tomber, fle fle fle. Moi, j'ai l'impression d'être dans un train ça me bourdonne dans les plumes comme si j'étais dans un train, fle fle fle.
Le Pépère le regarda et lui répondit.
- C'est drôle, tu me parles de train, car ça me fait penser à une histoire de mon soûlard.
- Fle fle fle, il conduit des train, fle fle fle, c'est un drôle de métier fle fle fle.
- Toc toc toc, il lit Voichat dans le train, toc toc toc avec Loulou Lecurieux.
- Non pas du tout, laissez-moi vous expliquer cette histoire afin de nous changer les idées.
Voilà l'histoire, un jour, love tomate était partie au fond de la France pour passer un stage pour la gendarmerie. En réalité, c'est qu'elle n'avait plus de points sur son permis qui ne doit sa grâce qu'à la clémence de ses collègues. Donc elle arrive là-bas et elle casse son téléphone. La moitié de l'écran était noir. Ne connaissant pas la région, elle ne pouvait plus se déplacer avec le GPS et trouver des bistrots. Mon, déluré de la bouteille Argentine estampillée en Israël à eu, l'idée de lui envoyer un téléphone et des bouteilles de vin. Il va à la poste et il apprend que son colis de vinasse pèse soixante-dix kilos. Le guichetier lui dit qu'il doit l'envoyer par le train. Il va à la gare et met son colis dans le train. Il rencontre sur le quai le chauffeur qui est un ivrogne et dont il connaît sa facilité à payer à boire. Il s'en va donc avec le type picoler au buffet de la gare qui a du fermé pendant trois jours après, car ils s'étaient proposé de ranger la cave et ils avaient tout bu. Lui, il rentre et l'appelle lui disant avoir envoyé soixante-dix litres pour six jours et le téléphone. Ce à quoi elle répond, surtout ne te fâche pas, mais le téléphone ce n'est pas le plus important et ça va faire juste le vin. En fait, elle est rentrée avant d'avoir été livrée totalement furax. Le chauffeur du train était tellement soûl qu'il s'en était allé en Pologne plutôt que de prendre la direction du sud-ouest. C'est après avoir fait le tour de la Pologne et avoir bu le colis de mon alcoolique qu'il est arrivé avec dix jours de retard et des voyageurs totalement morts de faim. Du coup, il a renvoyé le colis à mon Iranien décoloré à l'éosine Népalaise treize jours après et il lui a ramené à la brigade à Sancoins. En échange, elle lui a donné un sac de vingt kilos de ces immondes croquettes pourries remplies de cocaïne qu'il me fait manger et dont il s'en empiffre la nuit.
- Toc toc toc ton histoire est démente toc toc


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Encore de sacrées aventures . Toujours aussi plaisantes à lire
Merci Daniel
Amicalement
Gaby