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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Dans la soucoupe qui avait enlevé le père Mike, c'était la panique.
Fripouille venait de reprendre l'histoire où il en était resté. Il ouvrit le sas qui menait à la pièce où il avait été fait prisonnier. Il vit que les deux chats robot Enarpilodiens s'étaient évadés.
Il partit chercher le père Mike et lui expliqua la situation.
- Hé bien, mon chat fils, laissez à ces machines faire ce qui les amuse.
- Non, mon père, c'est dangereux, car ils nous veulent du mal à nous autres et ils pourraient s'attaquer à la bande laissée le long de la mare à Coin-coin. Avéame ma chamoureuse est là-bas et maintenant, j'ai chat peur.
- Il faudrait essayer de poser cette soucoupe au plus vite pour rejoindre vos amis dans ce cas-là.
- En aurons-nous le temps, mon père, regardez dans cette boîte il y a une bombe. Le déclenchement est prévu pour dans à peine sept minutes, nous n'avons plus le temps d'aller jusqu'au champ du soûlard.
- Mais qu'allons-nous faire mon chat fils, nous sommes perdus alors, prions en ce cas.
- Non, il faut désamorcer la bombe au plus vite.
- Mais nous n'avons pas les connaissances pour ça et le temps s'écoule, prions.
- Non, je ne me chat ne résigne pas, allez me chercher la trousse de secours si vous en trouvez une.
Le père Mike demeurait inerte et indécis et finit par aller à la recherche de ce que lui demandait Fripouille.
Il revint au bout de deux minutes avec une boîte où était gravée une croix rouge. Fripouille s'en saisit et il l'ouvrit. À l'intérieur, des résistance, des condensateurs, de l'étain, du fil, de l'isolant, des circuits intégrés et autres.
- Mais mon char fils comment peut-on appeler ça une trousse de secours.
- Hé bien mon père, pour nous, elle ne l'est pas pour ces robots oui, il y a de quoi se réparer entre eux. Mais pour Fripouille, il y a surtout de quoi désamorcer la bombe.
Fripouille sortit l'engin explosif de la boîte et avec précision, il l'ouvrit avec un tournevis. Ensuite, grâce à l'aide de ce que contenait cette boîte de premier soin pour robot, il se mit à travailler sur l'engin.
Après plus de six minutes, le compteur défilait toujours et le père Mike vit inscrit dix secondes. Il faisait le décompte dans sa tête et finit par s'évanouir à trois.
Il reprit connaissance devant Fripouille qui le remuait.
- Mon père, l'engin est neutralisé.
- Ça alors, c'est incroyable, vous êtes Dieu, Fripouille, c'est évident, il ne restait que trois secondes et vous avez parfaitement gardé votre sang-froid.
- Oui, mon père, je ne suis pas le coéquipier de Pépère pour rien. J'ai une solide formation de chat policier.
Fripouille avait à peine fini sa phrase que la boîte émit un long bip et le compteur répartit en arrière pour s'arrêter de nouveau à dix minutes.
Fripouille arriverait-il, à désamorcer, à temps cet engin diabolique.
Le général Picolle qui n'avait rien comprit à l'histoire de Pépère était déjà en train de repartir vers sa campagne natale.
Il passait à Mornay et se dit qu'il irait bien voir l'épicière avant de prendre congé.
Il était subjugué par cette rouquine et se dirigea directement dans la boutique.
Une fois dans l'épicerie et après avoir mis ses lunettes trouvait que la femme devant lui était très belle.
- Peut-être avait-il besoin de changer de lunettes, on ne sait pas, chat chat chat.
- Pépère, tu es gentil, mais je suis en train d'écrire.
- Hé bien oui quoi, déjà, il n'a pas vu que j'étais revenu dans l'histoire et qu'il devrait être à la brasserie avec les autres.
- Oui, mais attends Pépère, c'est le début de...
- Tais toi soûlard, je veux, rétablir la vérité sur l'anorexique toute rouillée qui tiens ce coupe gorge où les chats n'ont même pas le droit d'avoir un joli poulet en dédommagement d'avoir été insulté de bouboule.
Oui, parfaitement, mon séjour au paradis ne m'a pas fait oublier qu'elle a un jour insulté l'un des plus beaux chats du monde en ma personne.
- Oui mon, Pépère, tu as faim, tu veux des croquettes, tu veux continuer d'écrire l'histoire à ma place.
- Tes croquettes pourries remplies de cocaïne, tu n'as qu'à t'en servir comme des cerises pour t'en faire une tarte. Tu m'as bien regardé, j'ai une tête à manger du poulet d'intermarcher rempli de chlorhydrate de potassium, moi un chat de ma classe. Allez, écrit, et n'oublie pas le héros, c'est Pépère dans l'histoire, je ne suis pas ressuscité pour rien, le monde a besoin de moi.
Si tu crois que tu vas m'endormir avec des rogatons où de la nourriture pour chats maladifs où estropiés, tu peux te l'accrocher et n'oublies pas de dire, je t'aime ma love gendarme de la part de Pépère. Oui, je l'aime et elle me traite bien par rapport à toi, je n'oublie pas ces deux derniers repas qui furent un délice.
Pour Quentin hip hip hourra, pour René hip hip hourra, pour brûle rétine hip hip hourra.
Allez moineau Auvergnat les poches pleines de bouchons de vin révérence à ton chat et des bisous sur mes grosses joues.
- D'accord Pépère, je peux écrire.
- Oui, soûlard, et pose se verre de vin, je te l'ai déjà dit le vin salé ça donne mal aux dents, chat chat chat.
Donc, le général était toujours dans l'épicerie et après avoir mis ses lunettes trouvait que la femme devant lui était très belle.
- Belle, chat chat chat, c'est vite dit.
- C'est une histoire, et j'écris. Tu es le héros de cette histoire super Pépère.
- Bon, là, c'est mieux, au fait, j'ai oublié, du fait de ce que je viens de vivre, je veux voir à mon retour sur mon fauteuil qui est dehors, les saucissons que love rétine me doit, et biens moelleux s'il vous plaît.
La femme était en fasse de lui et le trouvait pour le moins un peu étrange. Il garda ses lunettes et la regardant dans les yeux lui dit.
- Écoutez, avant de retourner dans ma campagne et vous laisser à tout jamais, laissez moi vous dire que vous êtes ravissante.
Toi, belle comme un cageot de carotte où serait tombée une grenade. Quel génie de la guerre a pu donner cette belle couleur d'obus à tes cheveux. J'aime les grains noirs de ton visage, tu es belle comme celle, qui aspergée de gaz bactériologique se décompose sur pied comme une douce lépreuse. Tes jolis yeux ont cet éclat de fut de char d'assaut ayant tiré sa salve sur la ville assiégée. Tes bras sont comme ces manches de pelles que l'on utilise pour creuser un trou de combat. Aussi lisse et tachetée de diverses poussières de terre. Tes jambes sont belles comme les jolis piquets d'un barnum après qu'il eût explosé sous l'assaillant. Érigées telles des allumettes tachetées du lambeau des jeunes troufions feus sous l'explosion, ils me rappellent tant de belle victoire. Que j'aimerai un jour, belle guerrière, vous voir dans une tenue de combat bazooka en main vous voir auprès de moi. Et le soir nous irions finir les gourdes des morts sur le champ de bataille. Et vaincus buvant cette eau, nous braverions la syphilis et légionellose. Enfin, rentrant sous la tente, nous dévorerions ensemble ces affreux moustiques avant qu'ils nous transmettent le paludisme. Voyez madame comme je ferai de vous cette amazone bardée de médailles ayant bu l'eau croupie et manger la chair putréfiée. Pour vous, je me laisserai tomber dans le vide sans parachute pour le peu que vous soyez en dessous pour me rattraper au risque de vous briser les jambes et les bras. Pour vous, je ferai cracher des salves toute une nuit, de mon char d'assaut. Et vous de ce feu naissant de la bouche du canon vous cautériserez le moignon de l'un de vos bras arraché le matin même au combat.
La pauvre femme en avait assez entendu et tomba dans les pommes.
- Hé soûlard, c'est si c'est ça que tu appelles me remplacer, chat chat chat.

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#2
Dans la soucoupe qui avait enlevé le père Mike, c'était la panique.
Fripouille venait de reprendre l'histoire où il en était resté. Il ouvrit le sas qui menait à la pièce où il avait été fait prisonnier. Il vit que les deux chats robot Enarpilodiens s'étaient évadés.
Il partit chercher le père Mike et lui expliqua la situation.
- Hé bien, mon chat fils, laissez à ces machines faire ce qui les amuse.
- Non, mon père, c'est dangereux, car ils nous veulent du mal à nous autres et ils pourraient s'attaquer à la bande laissée le long de la mare à Coin-coin. Avéame ma chamoureuse est là-bas et maintenant, j'ai chat peur.
- Il faudrait essayer de poser cette soucoupe au plus vite pour rejoindre vos amis dans ce cas-là.
- En aurons-nous le temps, mon père, regardez dans cette boîte il y a une bombe. Le déclenchement est prévu pour dans à peine sept minutes, nous n'avons plus le temps d'aller jusqu'au champ du soûlard.
- Mais qu'allons-nous faire mon chat fils, nous sommes perdus alors, prions en ce cas.
- Non, il faut désamorcer la bombe au plus vite.
- Mais nous n'avons pas les connaissances pour ça et le temps s'écoule, prions.
- Non, je ne me chat ne résigne pas, allez me chercher la trousse de secours si vous en trouvez une.
Le père Mike demeurait inerte et indécis et finit par aller à la recherche de ce que lui demandait Fripouille.
Il revint au bout de deux minutes avec une boîte où était gravée une croix rouge. Fripouille s'en saisit et il l'ouvrit. À l'intérieur, des résistance, des condensateurs, de l'étain, du fil, de l'isolant, des circuits intégrés et autres.
- Mais mon char fils comment peut-on appeler ça une trousse de secours.
- Hé bien mon père, pour nous, elle ne l'est pas pour ces robots oui, il y a de quoi se réparer entre eux. Mais pour Fripouille, il y a surtout de quoi désamorcer la bombe.
Fripouille sortit l'engin explosif de la boîte et avec précision, il l'ouvrit avec un tournevis. Ensuite, grâce à l'aide de ce que contenait cette boîte de premier soin pour robot, il se mit à travailler sur l'engin.
Après plus de six minutes, le compteur défilait toujours et le père Mike vit inscrit dix secondes. Il faisait le décompte dans sa tête et finit par s'évanouir à trois.
Il reprit connaissance devant Fripouille qui le remuait.
- Mon père, l'engin est neutralisé.
- Ça alors, c'est incroyable, vous êtes Dieu, Fripouille, c'est évident, il ne restait que trois secondes et vous avez parfaitement gardé votre sang-froid.
- Oui, mon père, je ne suis pas le coéquipier de Pépère pour rien. J'ai une solide formation de chat policier.
Fripouille avait à peine fini sa phrase que la boîte émit un long bip et le compteur répartit en arrière pour s'arrêter de nouveau à dix minutes.
Fripouille arriverait-il, à désamorcer, à temps cet engin diabolique.
Le général Picolle qui n'avait rien comprit à l'histoire de Pépère était déjà en train de repartir vers sa campagne natale.
Il passait à Mornay et se dit qu'il irait bien voir l'épicière avant de prendre congé.
Il était subjugué par cette rouquine et se dirigea directement dans la boutique.
Une fois dans l'épicerie et après avoir mis ses lunettes trouvait que la femme devant lui était très belle.
- Peut-être avait-il besoin de changer de lunettes, on ne sait pas, chat chat chat.
- Pépère, tu es gentil, mais je suis en train d'écrire.
- Hé bien oui quoi, déjà, il n'a pas vu que j'étais revenu dans l'histoire et qu'il devrait être à la brasserie avec les autres.
- Oui, mais attends Pépère, c'est le début de...
- Tais toi soûlard, je veux, rétablir la vérité sur l'anorexique toute rouillée qui tiens ce coupe gorge où les chats n'ont même pas le droit d'avoir un joli poulet en dédommagement d'avoir été insulté de bouboule.
Oui, parfaitement, mon séjour au paradis ne m'a pas fait oublier qu'elle a un jour insulté l'un des plus beaux chats du monde en ma personne.
- Oui mon, Pépère, tu as faim, tu veux des croquettes, tu veux continuer d'écrire l'histoire à ma place.
- Tes croquettes pourries remplies de cocaïne, tu n'as qu'à t'en servir comme des cerises pour t'en faire une tarte. Tu m'as bien regardé, j'ai une tête à manger du poulet d'intermarcher rempli de chlorhydrate de potassium, moi un chat de ma classe. Allez, écrit, et n'oublie pas le héros, c'est Pépère dans l'histoire, je ne suis pas ressuscité pour rien, le monde a besoin de moi.
Si tu crois que tu vas m'endormir avec des rogatons où de la nourriture pour chats maladifs où estropiés, tu peux te l'accrocher et n'oublies pas de dire, je t'aime ma love gendarme de la part de Pépère. Oui, je l'aime et elle me traite bien par rapport à toi, je n'oublie pas ces deux derniers repas qui furent un délice.
Pour Quentin hip hip hourra, pour René hip hip hourra, pour brûle rétine hip hip hourra.
Allez moineau Auvergnat les poches pleines de bouchons de vin révérence à ton chat et des bisous sur mes grosses joues.
- D'accord Pépère, je peux écrire.
- Oui, soûlard, et pose se verre de vin, je te l'ai déjà dit le vin salé ça donne mal aux dents, chat chat chat.
Donc, le général était toujours dans l'épicerie et après avoir mis ses lunettes trouvait que la femme devant lui était très belle.
- Belle, chat chat chat, c'est vite dit.
- C'est une histoire, et j'écris. Tu es le héros de cette histoire super Pépère.
- Bon, là, c'est mieux, au fait, j'ai oublié, du fait de ce que je viens de vivre, je veux voir à mon retour sur mon fauteuil qui est dehors, les saucissons que love rétine me doit, et biens moelleux s'il vous plaît.
La femme était en fasse de lui et le trouvait pour le moins un peu étrange. Il garda ses lunettes et la regardant dans les yeux lui dit.
- Écoutez, avant de retourner dans ma campagne et vous laisser à tout jamais, laissez moi vous dire que vous êtes ravissante.
Toi, belle comme un cageot de carotte où serait tombée une grenade. Quel génie de la guerre a pu donner cette belle couleur d'obus à tes cheveux. J'aime les grains noirs de ton visage, tu es belle comme celle, qui aspergée de gaz bactériologique se décompose sur pied comme une douce lépreuse. Tes jolis yeux ont cet éclat de fut de char d'assaut ayant tiré sa salve sur la ville assiégée. Tes bras sont comme ces manches de pelles que l'on utilise pour creuser un trou de combat. Aussi lisse et tachetée de diverses poussières de terre. Tes jambes sont belles comme les jolis piquets d'un barnum après qu'il eût explosé sous l'assaillant. Érigées telles des allumettes tachetées du lambeau des jeunes troufions feus sous l'explosion, ils me rappellent tant de belle victoire. Que j'aimerai un jour, belle guerrière, vous voir dans une tenue de combat bazooka en main vous voir auprès de moi. Et le soir nous irions finir les gourdes des morts sur le champ de bataille. Et vaincus buvant cette eau, nous braverions la syphilis et légionellose. Enfin, rentrant sous la tente, nous dévorerions ensemble ces affreux moustiques avant qu'ils nous transmettent le paludisme. Voyez madame comme je ferai de vous cette amazone bardée de médailles ayant bu l'eau croupie et manger la chair putréfiée. Pour vous, je me laisserai tomber dans le vide sans parachute pour le peu que vous soyez en dessous pour me rattraper au risque de vous briser les jambes et les bras. Pour vous, je ferai cracher des salves toute une nuit, de mon char d'assaut. Et vous de ce feu naissant de la bouche du canon vous cautériserez le moignon de l'un de vos bras arraché le matin même au combat.
La pauvre femme en avait assez entendu et tomba dans les pommes.
- Hé soûlard, c'est si c'est ça que tu appelles me remplacer, chat chat chat.

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Ha ha ha qu'elle histoire
Amicalement
Gaby