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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
À la brasserie pendant ce temps-là, les invités avaient repris leurs activités.
Le professeur Ourat était en train de regarder dans sa sacoche ce qu'il lui restait comme amphétamines.
Le président était en ligne avec son ministre, Jean Cassetête. Ils parlaient ensemble des avancées de Chatdore dans son laboratoire.
Le pape était toujours en train d'essayer de faire revenir sœur Mathilde vers la brasserie. Il là soupçonnait d'être en train de boire sur les bords du canal avec les ecclésiastiques. Il se disait qu'elle devait fêter le retour de Pépère dans l'histoire.
Le Belge était parti en cuisine avec son épouse pour faire des frites pour fêter à sa manière la résurrection de Pépère.
Le président raccrochait le téléphone et semblait content.
- Hé bien, les travaux vont bon train en notre laboratoire, qu'en pensez vous, hum, hum...
Qu'en pensez-vous...
Hé Ourat, tu t'occuperas de tes bonbons qui font rire après je te parle du cacao minus.
- Oui, bon, on a plus le droit de se dégoupiller les orteils à grands coups de fourchette à soupe au nitrate de potassium. J'ai parfaitement entendu, bleu, alors et le respect à votre professeur.
- Oui, pardonnez-moi, maître Ourat, je me suis emporté, mais c'est la colère.
- Oui, vous m'avez fait peur monsieur bleu premier, c'est une grosse colère tout de même.
- Cela n'est rien étant jeune, j'étais pire à cause de mon cheveu les jours d'orage.
- Ha bon mon cher bleu, mais comment cela se fait-il ?
- Hé bien professeur Quiquine, cela est assez simple et je vais vous l'expliquer.
Comme vous le savez ce cheveu était au milieu de mon front.
C'est ainsi que l'on me donna plusieurs surnoms à cause de cela.
Le cure-dent de Dieu, la licorne, le javelot, perchoir à moineaux et bien d'autres sobriquets étranges. Mais le plus bizarre fut sans nul doute, le paratonnerre.
- Le paratonnerre, c'est vraiment une drôle d'invention que ce nom.
- Oui monsieur le pape, mais cela est très simple à comprendre. Ce cheveu était capable de recevoir les ondes de n'importe quels émetteurs, mais aussi les éclairs dus à l'orage d'où le paratonnerre. Un soir d'été, je m'en étais allé rejoindre ma petite amie dans une pizzeria. Grimpé sur mon scooter, je fonçais à toute allure quand je fus surpris par l'orage. C'est ainsi que mon cheveu reçu plusieurs de ces éclairs. Autant vous dire que j'avais des kilos tonnes d'électricité nerveuse en réserve. Arrivé sur place la douce était mécontente de mon retard et me dit de me dépêcher. Je lui réponds d'avoir été surpris par l'orage. Elle me dit comme ça, qu'avec mon cheveu rien ne m'empêchât de le planter dans une voiture qui me doublait pour aller plus vite. Je préférais ne pas répondre, puis nous sommes entrés dans la pizzeria. C'est alors que le serveur nous installe et revient vers nous. Plutôt que de me donner le menu, le garçon me tend un seau avec une serpillière. Je lui demandais que c'était et il me répondit. Et tête de barbelé ça t'amuse de mettre de la crasse partout.
C'est comme ça que je fus obligé de nettoyer le sol. Autant vous dire que la colère montait à fond. Puis nous passons au repas et je lui demande une pizza au cordon-bleu. C'est alors qu'il me répond hé morveux, tu ne veux pas un diabolo menthe et une paille avec ton cordon-bleu. Je n'ai rien dit, mais la colère montait toujours en moi.
Ce fut à la fin du repas que j'éclatais. Mon amie avait demandé une crêpe au rhum flambée et elle fut préparée devant nous. Ce fut alors que le serveur me dit comme ça, hé môme, tu n'aurais pas du feu, j'ai oublié mes allumettes en cuisine. Ce fut comme ça que ma colère se déclenchait et que j'envoyais la foudre au plafond. Toute l'installation électrique s'est enflammée. Le garçon me regardait et ne savait plus quoi dire. Je lui ai répondu, alors tête de serin, je croyais que tu voulais du feu. Excuse moi, mais quand on est énervé ça soulage, hi hi hihi.
- Hé bien, vous n'êtes pas commode monsieur bleu.
- Oui après cet incident m'a valu deux jours de garde à vue et a coûté des millions à mes parents. Oui, la foudre avait continué dans tout le réseau électrique de la ville.
- Vous avez peut-être tué des virus qui étaient par là espèce d'assassin.
Pendant ce temps-là, le Pépère se remettait de son voyage au paradis et parlait de son passage sur terre.
- Toc toc toc, c'est après la messe que tu es revenu ici, toc toc toc.
- Fle fle fle, oui après avoir donné du pain aux petites pattes avec ma love gendarme poète, fle fle fle.
- Oui, et tu as fait drôlement, vite mon papa pour revenir.
- Hé bien, non je ne suis pas reparti aussitôt, j'ai dû faire le maçon à la brigade à cause de la raquette.
- Toc toc toc quel rapport peut-il y avoir entre de la maçonnerie et une raquette toc toc toc.
- Fle fle fle en maçonnerie on utilise un fil pour le nivea et les petites pattes se posent sur le fil. Ma love gendarme poète s'occupe des oiseaux, fle fle fle, alors c'est ça le rapport, fle fle fle.
- Ha bon, mon papounet tu as installé un fil pour les oiseaux ?
Pas du tout mes amis, juste après la messe, on m'a demandé un travail.
Voilà, mon soûlard iranien imbibé de champagne turc est venu me voir avec une raquette de tennis dans la main. Il me la donna avec des piles un transformateur haute tension et un fer à souder et me dis en me montrant un catalogue, je veux ça.
Puis nous sommes partis à la brigade avec love Quentin et Qiqi.
Mon soûlard voulait faire un pot de commémoration avec elle. Bien sûr, c'est moi qui dus charger le rhum pour faire le vin chaud. Oui, il n'y avait plus de vin et mon stylo plume pour étiquette de whisky hindou à trouver l'idée originale pour remplacer le vin que de prendre du rhum.
Nous sommes donc partis vers la brigade une fois que j'aie eu fait mon engin et chargé le rhum pour le vin chaud.
Arrivé là-bas j'ai du donné un petit pot de bledintendo à Qiqi et love képi s'est mise à préparer le vin chaud. C'est alors qu'une mouche arriva et que ma grappe de lilas pour fabrication de Porto marseillais a voulu essayé ma réalisation.
C'est comme ça que l'appartement a explosé et que le toit s'est envolé. Voilà ce qui s'est passé les amis.
- Toc toc toc, c'est incompréhensible, toc toc toc.
- Fle fle fle, j'espère qu'ils n'y aient pas eu des petites pattes blessées, fle fle fle.
- Oui, mon papa, c'est dur à comprendre ton histoire.
- Hé bien voilà, la raquette, les piles, le transformateur qu'il m'avait donné m'a permi de fabriquer une raquette tue-mouche.
Les vapeurs du rhum qui chauffait s'étaient rependues dans l'appartement et quand il a touché le mouche elle a explosé.
Oui, s'était une mouche terroriste qui avait une ceinture de dynamite à la taille dans son mouche-ventre.
L'explosion de la mouche à enflammé les vapeurs de rhum qui explosèrent à leur tour.
Et voilà pourquoi j'ai dû faire le maçon après.
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#2
À la brasserie pendant ce temps-là, les invités avaient repris leurs activités.
Le professeur Ourat était en train de regarder dans sa sacoche ce qu'il lui restait comme amphétamines.
Le président était en ligne avec son ministre, Jean Cassetête. Ils parlaient ensemble des avancées de Chatdore dans son laboratoire.
Le pape était toujours en train d'essayer de faire revenir sœur Mathilde vers la brasserie. Il là soupçonnait d'être en train de boire sur les bords du canal avec les ecclésiastiques. Il se disait qu'elle devait fêter le retour de Pépère dans l'histoire.
Le Belge était parti en cuisine avec son épouse pour faire des frites pour fêter à sa manière la résurrection de Pépère.
Le président raccrochait le téléphone et semblait content.
- Hé bien, les travaux vont bon train en notre laboratoire, qu'en pensez vous, hum, hum...
Qu'en pensez-vous...
Hé Ourat, tu t'occuperas de tes bonbons qui font rire après je te parle du cacao minus.
- Oui, bon, on a plus le droit de se dégoupiller les orteils à grands coups de fourchette à soupe au nitrate de potassium. J'ai parfaitement entendu, bleu, alors et le respect à votre professeur.
- Oui, pardonnez-moi, maître Ourat, je me suis emporté, mais c'est la colère.
- Oui, vous m'avez fait peur monsieur bleu premier, c'est une grosse colère tout de même.
- Cela n'est rien étant jeune, j'étais pire à cause de mon cheveu les jours d'orage.
- Ha bon mon cher bleu, mais comment cela se fait-il ?
- Hé bien professeur Quiquine, cela est assez simple et je vais vous l'expliquer.
Comme vous le savez ce cheveu était au milieu de mon front.
C'est ainsi que l'on me donna plusieurs surnoms à cause de cela.
Le cure-dent de Dieu, la licorne, le javelot, perchoir à moineaux et bien d'autres sobriquets étranges. Mais le plus bizarre fut sans nul doute, le paratonnerre.
- Le paratonnerre, c'est vraiment une drôle d'invention que ce nom.
- Oui monsieur le pape, mais cela est très simple à comprendre. Ce cheveu était capable de recevoir les ondes de n'importe quels émetteurs, mais aussi les éclairs dus à l'orage d'où le paratonnerre. Un soir d'été, je m'en étais allé rejoindre ma petite amie dans une pizzeria. Grimpé sur mon scooter, je fonçais à toute allure quand je fus surpris par l'orage. C'est ainsi que mon cheveu reçu plusieurs de ces éclairs. Autant vous dire que j'avais des kilos tonnes d'électricité nerveuse en réserve. Arrivé sur place la douce était mécontente de mon retard et me dit de me dépêcher. Je lui réponds d'avoir été surpris par l'orage. Elle me dit comme ça, qu'avec mon cheveu rien ne m'empêchât de le planter dans une voiture qui me doublait pour aller plus vite. Je préférais ne pas répondre, puis nous sommes entrés dans la pizzeria. C'est alors que le serveur nous installe et revient vers nous. Plutôt que de me donner le menu, le garçon me tend un seau avec une serpillière. Je lui demandais que c'était et il me répondit. Et tête de barbelé ça t'amuse de mettre de la crasse partout.
C'est comme ça que je fus obligé de nettoyer le sol. Autant vous dire que la colère montait à fond. Puis nous passons au repas et je lui demande une pizza au cordon-bleu. C'est alors qu'il me répond hé morveux, tu ne veux pas un diabolo menthe et une paille avec ton cordon-bleu. Je n'ai rien dit, mais la colère montait toujours en moi.
Ce fut à la fin du repas que j'éclatais. Mon amie avait demandé une crêpe au rhum flambée et elle fut préparée devant nous. Ce fut alors que le serveur me dit comme ça, hé môme, tu n'aurais pas du feu, j'ai oublié mes allumettes en cuisine. Ce fut comme ça que ma colère se déclenchait et que j'envoyais la foudre au plafond. Toute l'installation électrique s'est enflammée. Le garçon me regardait et ne savait plus quoi dire. Je lui ai répondu, alors tête de serin, je croyais que tu voulais du feu. Excuse moi, mais quand on est énervé ça soulage, hi hi hihi.
- Hé bien, vous n'êtes pas commode monsieur bleu.
- Oui après cet incident m'a valu deux jours de garde à vue et a coûté des millions à mes parents. Oui, la foudre avait continué dans tout le réseau électrique de la ville.
- Vous avez peut-être tué des virus qui étaient par là espèce d'assassin.
Pendant ce temps-là, le Pépère se remettait de son voyage au paradis et parlait de son passage sur terre.
- Toc toc toc, c'est après la messe que tu es revenu ici, toc toc toc.
- Fle fle fle, oui après avoir donné du pain aux petites pattes avec ma love gendarme poète, fle fle fle.
- Oui, et tu as fait drôlement, vite mon papa pour revenir.
- Hé bien, non je ne suis pas reparti aussitôt, j'ai dû faire le maçon à la brigade à cause de la raquette.
- Toc toc toc quel rapport peut-il y avoir entre de la maçonnerie et une raquette toc toc toc.
- Fle fle fle en maçonnerie on utilise un fil pour le nivea et les petites pattes se posent sur le fil. Ma love gendarme poète s'occupe des oiseaux, fle fle fle, alors c'est ça le rapport, fle fle fle.
- Ha bon, mon papounet tu as installé un fil pour les oiseaux ?
Pas du tout mes amis, juste après la messe, on m'a demandé un travail.
Voilà, mon soûlard iranien imbibé de champagne turc est venu me voir avec une raquette de tennis dans la main. Il me la donna avec des piles un transformateur haute tension et un fer à souder et me dis en me montrant un catalogue, je veux ça.
Puis nous sommes partis à la brigade avec love Quentin et Qiqi.
Mon soûlard voulait faire un pot de commémoration avec elle. Bien sûr, c'est moi qui dus charger le rhum pour faire le vin chaud. Oui, il n'y avait plus de vin et mon stylo plume pour étiquette de whisky hindou à trouver l'idée originale pour remplacer le vin que de prendre du rhum.
Nous sommes donc partis vers la brigade une fois que j'aie eu fait mon engin et chargé le rhum pour le vin chaud.
Arrivé là-bas j'ai du donné un petit pot de bledintendo à Qiqi et love képi s'est mise à préparer le vin chaud. C'est alors qu'une mouche arriva et que ma grappe de lilas pour fabrication de Porto marseillais a voulu essayé ma réalisation.
C'est comme ça que l'appartement a explosé et que le toit s'est envolé. Voilà ce qui s'est passé les amis.
- Toc toc toc, c'est incompréhensible, toc toc toc.
- Fle fle fle, j'espère qu'ils n'y aient pas eu des petites pattes blessées, fle fle fle.
- Oui, mon papa, c'est dur à comprendre ton histoire.
- Hé bien voilà, la raquette, les piles, le transformateur qu'il m'avait donné m'a permi de fabriquer une raquette tue-mouche.
Les vapeurs du rhum qui chauffait s'étaient rependues dans l'appartement et quand il a touché le mouche elle a explosé.
Oui, s'était une mouche terroriste qui avait une ceinture de dynamite à la taille dans son mouche-ventre.
L'explosion de la mouche à enflammé les vapeurs de rhum qui explosèrent à leur tour.
Et voilà pourquoi j'ai dû faire le maçon après.
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Merci Daniel. J'ai bien apprécié tous ces rebondissements
Amicalement
Gaby