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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Momo, qui était retourné dans sa maison, ne put dormir.
Il décida de retourner vers Cookie, car la télévision ne faisait que de parler de Pépère et du cacao minus.
Il était sur le chemin qui longeait le champ des Américains.
D'où il était, il voyait Lucie marcher vers la maison à Rooki.
Il entendit les appels de Cookie et partit avec sa grâce légendaire, même s'il se dépêchait de marcher. Il avait largement le temps d'arriver à la cabane avant que Lucie, qui était vers la maison à Rookie, ne soit revenue. Sous le soleil jetant en cascade ses flots d'or, il avançait à travers les herbes. Comme un sphinx royal chacun de ses pas était une ode à la magnificence. Ses moustaches, qui se gorgeaient de reflets irisés, semblaient porter mille perles d'opale qui le rendait encore plus beau. N'importe quel passant l'ayant vu, marché ainsi au travers de l'écume de lumière versée par l'azur aurait pu croire, apercevoir une divinité venue d'un conte de l'Iblis. Peut-être même qu'en fermant les yeux le simple passant se serait cru aux pieds des hautes nécropoles Égyptiennes devant le sphinx courant au Nil suivant l'envol de l'ibis. Momo avait en lui cette superbe, ce naturel que le pauvre Pépère même à grand renfort d'attraits ne pourrait jamais avoir. C'est ainsi en marchant avec souplesse qu'il semblait flotter dans les herbes et arriva devant la cabane à Cookie. Ses jolis yeux d'émeraude renvoyaient les lueurs du soleil avec un éclat qui les rendirent divins. Lucie qui arrivait en même temps que lui derrière Cookie le voyant, lui dit. Quelle classe tu as mon méga love Momo, c'est impressionnant. Lui arriva naturellement ne se rendant pas compte de son lustre inné et dit aux juments.
- Diantre, mais quelle est cet épouvantable bazar ? Un troupeau de bisons, serait-il venu camper en votre demeure chère Cookie.
- Hii, il y a un faut Pépère qui se promène dans le secteur. Hii, c'est un malfaisant.
- Hii, oui, c'est sûrement un Martien. Rookie vient de m'en parler.
- Mes Chères Damoiselles sachez que je m'en vais quérir l'aide de notre brave écureuil. En une courte phrase sans solennité, je vais lui exposer l'affaire qui nous incombe. Je pense qu'il saura prévenir Lolo au plus vite. Sans me faire le démiurge de ce brave animal, je subodore qu'il saura prévenir Pépère de cette affaire. Mon Dieu que nos contrées sont impopulaires en ce moment, c'est incroyable, nous avions beaucoup plus de quiétude avant ça, il faut l'avouer.
Lolo était sur le scooter guidon en patte.
Toutblanc avait toujours la crainte qu'il se mette à rouler comme un fou. Lolo sentais son chat-ventre vibrer et il sortit son chatmsung et téléphone en patte et guidon dans l'autre, il lisait le message que Pépère venait de lui envoyer.
Le scooter se mit à aller dans tous les sens, car Lolo avait lâché l'accélérateur et il perdait de la vitesse. Toutblanc était terrorisé et il se pencha sur Lolo qui chutait sur le guidon. Il accéléra, mais trop fort et le scooter décolla sur une roue. Le scooter était incontrôlable car en se levant Toutblanc attiré vers le bas se cramponnait à l'accélérateur. C'est ainsi que l'engin monta à plus de cent cinquante kilomètres à l'heure avant de sauter par-dessus le rond-point qui était devant eux. Il reprit une position horizontale. Toublanc, couché en avant sur Lolo qui était plié en deux sur le guidon, reprit les commandes. Il atterrit sur une haie et roula par-dessus à toute vitesse. Il vit un panneau de signalisation qui sortait de ce hallier et leva la roue avant. Il s'en servit comme tremplin et après avoir fait deux loopings dans les airs, il fit trois saltos sur le bitume avant de rouler à nouveau droit et se gara sur le bord de la route.
Les deux chats se redressèrent et descendirent du scooter.
- Hé bien, Lolo, ton imprudence a failli nous causer un accident.
- Oui, je n'aurais pas dû regarder ce SMS nous aurions pu nous tuer nous autres. Heureusement que tu l'as bien en patte cet engin.
- Oui, c'est mon scooter, je le connais comme mon chat-ventre. Mais que veut Pépère au fait.
- Ha oui, je vais te lire le message.
Chalut cuisse de grenouille, finalement, tu vas préparer la zone d'atterrissage en face du champ de ma clef à molette iranienne pour dépannage de cannette de rhum congolais. Oui, à Sancoins c'est trop risqué nous pouvons être vu nous autres. Une fois là-bas reste sur place. Tu guideras Fripouille avec Toutblanc. Surtout, ne touche pas à mes caisses de poulets derrière la réserve à vinasse. Chalut, cuisse de grenouille, je rentre bientôt.
Sur notre lointaine planète, Pêcheur et Coin-coin étaient réveillés et vinrent voir Pépère pour lui annoncer le départ.
- Voilà, nous n'avons plus qu'à aller récupérer nos soucoupes. Merci Coin-coin, ha si je n'avais pas mon infirmité qui me dérangeait par moments.
- Toc toc toc, nous allons retrouver Turbo et Isidore et tous les autres toc toc toc.
- Fle fle fle, ma love maîtresse elle écrit des scénarios pour Isidore fle fle fle. j'espère que ton infirmité va s'envoler comme les petites pattes fle fle fle.
- Mais au fait, c'était lors du sauvetage du onze septembre que cela t'est arrivé mon papa.
- Pas du tout ma fille, le onze septembre, c'est le morceau de titane dans le cœur. Oui ma fille après trente-sept heures d'opération à cœur ouvert.
C'est la plaque en métal de ma hanche qui me gêne par moments.
C'est lors d'une mission où j'ai été sauvé par love soucoupe, que j'aime, je précise, et ses bisous sur mes grosses joues, j'en raffole, même si son haleine me saucisson, oups, me frise les moustaches.
Je vais te dire comment c'est arrivé ma fille, cette infirmité.
Donc j'étais en Patagonie où j'enquêtais sur un trafic de viande de bœuf à écaille de transylvanie. Donc, j'étais avec elle pour la diversion, car elle faisait semblant d'être en voyage et moi son animal de compagnie. J'avais repéré l'avion des trafiquants et nous sommes montés dedans ensemble. C'était un Boeing qui emmenait des passagers et les bandits cachaient la viande dans les bagages. Ils avaient des complices à la douane. Malheureusement, nous avons été repérés et ils ont lancé un gaz paralysant dans l'avion. Love avion a eu le temps de partir dans le cockpit et y a échapper. Moi, j'ai été jeté dans le vide par un hublot. Heureusement et malheureusement j'avais une poche en plastique dans mon chatventte et je l'ai extrait pour m'en faire un parachute. Malheureusement, j'avais oublié de le fermer et j'ai atterri dans un sequoia de deux cent mètres de hauteur et mon chatventre s'est accroché par l'ouverture. Elle est revenue en piqué avec l'avion et à sauter de l'appareil en vol pour me délivrer. Malheureusement une fois détaché de la branche, elle m'a échappé. Oui, ça, c'est à cause de l'alcool, mais je ne lui en veux pas. J'ai fait une chute à travers les branches et ne dois ma survie qu'à mon extrême résistance. J'ai eu une entorse de la hanche et après soixante heures d'opération, je suis ressorti de l'hôpital. J'avais une plaque dans la hanche et à peine mal, vu ma résistance, c'est normal. J'ai ensuite été délivré ma maîtresse et je l'ai descendu sur mon dos sur les deux cent mètres de l'arbre à pattes nues. Donc quand j'ai mal, je repense qu'elle à sacrifié sa passion pour mes amours pour pouvoir me sauver.
-Toc toc toc, ta maîtresse est un héros, toc toc toc.
- Fle fle fle, ce n'est pas pour rien qu'elle est sainte petite pattes de la mare à Coin-coin, fle fle fle.
- Hé bien mon papa, c'est un drôle de sauvetage.
70071735-séquoia-géant-séquoias-avec-le-ciel-bleu.jpg IMG_20190815_181923.jpg Screenshot_20200804_155923.jpg Screenshot_20200804_155904.jpg
 

Cortisone

Maître Poète
#2
Momo, qui était retourné dans sa maison, ne put dormir.
Il décida de retourner vers Cookie, car la télévision ne faisait que de parler de Pépère et du cacao minus.
Il était sur le chemin qui longeait le champ des Américains.
D'où il était, il voyait Lucie marcher vers la maison à Rooki.
Il entendit les appels de Cookie et partit avec sa grâce légendaire, même s'il se dépêchait de marcher. Il avait largement le temps d'arriver à la cabane avant que Lucie, qui était vers la maison à Rookie, ne soit revenue. Sous le soleil jetant en cascade ses flots d'or, il avançait à travers les herbes. Comme un sphinx royal chacun de ses pas était une ode à la magnificence. Ses moustaches, qui se gorgeaient de reflets irisés, semblaient porter mille perles d'opale qui le rendait encore plus beau. N'importe quel passant l'ayant vu, marché ainsi au travers de l'écume de lumière versée par l'azur aurait pu croire, apercevoir une divinité venue d'un conte de l'Iblis. Peut-être même qu'en fermant les yeux le simple passant se serait cru aux pieds des hautes nécropoles Égyptiennes devant le sphinx courant au Nil suivant l'envol de l'ibis. Momo avait en lui cette superbe, ce naturel que le pauvre Pépère même à grand renfort d'attraits ne pourrait jamais avoir. C'est ainsi en marchant avec souplesse qu'il semblait flotter dans les herbes et arriva devant la cabane à Cookie. Ses jolis yeux d'émeraude renvoyaient les lueurs du soleil avec un éclat qui les rendirent divins. Lucie qui arrivait en même temps que lui derrière Cookie le voyant, lui dit. Quelle classe tu as mon méga love Momo, c'est impressionnant. Lui arriva naturellement ne se rendant pas compte de son lustre inné et dit aux juments.
- Diantre, mais quelle est cet épouvantable bazar ? Un troupeau de bisons, serait-il venu camper en votre demeure chère Cookie.
- Hii, il y a un faut Pépère qui se promène dans le secteur. Hii, c'est un malfaisant.
- Hii, oui, c'est sûrement un Martien. Rookie vient de m'en parler.
- Mes Chères Damoiselles sachez que je m'en vais quérir l'aide de notre brave écureuil. En une courte phrase sans solennité, je vais lui exposer l'affaire qui nous incombe. Je pense qu'il saura prévenir Lolo au plus vite. Sans me faire le démiurge de ce brave animal, je subodore qu'il saura prévenir Pépère de cette affaire. Mon Dieu que nos contrées sont impopulaires en ce moment, c'est incroyable, nous avions beaucoup plus de quiétude avant ça, il faut l'avouer.
Lolo était sur le scooter guidon en patte.
Toutblanc avait toujours la crainte qu'il se mette à rouler comme un fou. Lolo sentais son chat-ventre vibrer et il sortit son chatmsung et téléphone en patte et guidon dans l'autre, il lisait le message que Pépère venait de lui envoyer.
Le scooter se mit à aller dans tous les sens, car Lolo avait lâché l'accélérateur et il perdait de la vitesse. Toutblanc était terrorisé et il se pencha sur Lolo qui chutait sur le guidon. Il accéléra, mais trop fort et le scooter décolla sur une roue. Le scooter était incontrôlable car en se levant Toutblanc attiré vers le bas se cramponnait à l'accélérateur. C'est ainsi que l'engin monta à plus de cent cinquante kilomètres à l'heure avant de sauter par-dessus le rond-point qui était devant eux. Il reprit une position horizontale. Toublanc, couché en avant sur Lolo qui était plié en deux sur le guidon, reprit les commandes. Il atterrit sur une haie et roula par-dessus à toute vitesse. Il vit un panneau de signalisation qui sortait de ce hallier et leva la roue avant. Il s'en servit comme tremplin et après avoir fait deux loopings dans les airs, il fit trois saltos sur le bitume avant de rouler à nouveau droit et se gara sur le bord de la route.
Les deux chats se redressèrent et descendirent du scooter.
- Hé bien, Lolo, ton imprudence a failli nous causer un accident.
- Oui, je n'aurais pas dû regarder ce SMS nous aurions pu nous tuer nous autres. Heureusement que tu l'as bien en patte cet engin.
- Oui, c'est mon scooter, je le connais comme mon chat-ventre. Mais que veut Pépère au fait.
- Ha oui, je vais te lire le message.
Chalut cuisse de grenouille, finalement, tu vas préparer la zone d'atterrissage en face du champ de ma clef à molette iranienne pour dépannage de cannette de rhum congolais. Oui, à Sancoins c'est trop risqué nous pouvons être vu nous autres. Une fois là-bas reste sur place. Tu guideras Fripouille avec Toutblanc. Surtout, ne touche pas à mes caisses de poulets derrière la réserve à vinasse. Chalut, cuisse de grenouille, je rentre bientôt.
Sur notre lointaine planète, Pêcheur et Coin-coin étaient réveillés et vinrent voir Pépère pour lui annoncer le départ.
- Voilà, nous n'avons plus qu'à aller récupérer nos soucoupes. Merci Coin-coin, ha si je n'avais pas mon infirmité qui me dérangeait par moments.
- Toc toc toc, nous allons retrouver Turbo et Isidore et tous les autres toc toc toc.
- Fle fle fle, ma love maîtresse elle écrit des scénarios pour Isidore fle fle fle. j'espère que ton infirmité va s'envoler comme les petites pattes fle fle fle.
- Mais au fait, c'était lors du sauvetage du onze septembre que cela t'est arrivé mon papa.
- Pas du tout ma fille, le onze septembre, c'est le morceau de titane dans le cœur. Oui ma fille après trente-sept heures d'opération à cœur ouvert.
C'est la plaque en métal de ma hanche qui me gêne par moments.
C'est lors d'une mission où j'ai été sauvé par love soucoupe, que j'aime, je précise, et ses bisous sur mes grosses joues, j'en raffole, même si son haleine me saucisson, oups, me frise les moustaches.
Je vais te dire comment c'est arrivé ma fille, cette infirmité.
Donc j'étais en Patagonie où j'enquêtais sur un trafic de viande de bœuf à écaille de transylvanie. Donc, j'étais avec elle pour la diversion, car elle faisait semblant d'être en voyage et moi son animal de compagnie. J'avais repéré l'avion des trafiquants et nous sommes montés dedans ensemble. C'était un Boeing qui emmenait des passagers et les bandits cachaient la viande dans les bagages. Ils avaient des complices à la douane. Malheureusement, nous avons été repérés et ils ont lancé un gaz paralysant dans l'avion. Love avion a eu le temps de partir dans le cockpit et y a échapper. Moi, j'ai été jeté dans le vide par un hublot. Heureusement et malheureusement j'avais une poche en plastique dans mon chatventte et je l'ai extrait pour m'en faire un parachute. Malheureusement, j'avais oublié de le fermer et j'ai atterri dans un sequoia de deux cent mètres de hauteur et mon chatventre s'est accroché par l'ouverture. Elle est revenue en piqué avec l'avion et à sauter de l'appareil en vol pour me délivrer. Malheureusement une fois détaché de la branche, elle m'a échappé. Oui, ça, c'est à cause de l'alcool, mais je ne lui en veux pas. J'ai fait une chute à travers les branches et ne dois ma survie qu'à mon extrême résistance. J'ai eu une entorse de la hanche et après soixante heures d'opération, je suis ressorti de l'hôpital. J'avais une plaque dans la hanche et à peine mal, vu ma résistance, c'est normal. J'ai ensuite été délivré ma maîtresse et je l'ai descendu sur mon dos sur les deux cent mètres de l'arbre à pattes nues. Donc quand j'ai mal, je repense qu'elle à sacrifié sa passion pour mes amours pour pouvoir me sauver.
-Toc toc toc, ta maîtresse est un héros, toc toc toc.
- Fle fle fle, ce n'est pas pour rien qu'elle est sainte petite pattes de la mare à Coin-coin, fle fle fle.
- Hé bien mon papa, c'est un drôle de sauvetage.
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Merci Daniel pour ce nouvel épisode
Lol sacré Pépère
Amicalement
Gaby