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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Depuis le départ de Pépère de la cabane à Cookie, le calme était revenu.
Cookie s'était légèrement endormie à côté de Lucie et de Momo.
Rookie qui avait été indisposé par le bruit que faisaient les Américains était passé voir Cookie.
Il était à présent un peu mieux se leva et il partit voir dans le champ pour regarder de l'autre côté de la clôture s'il voyait le poète. Il pensait à la maman fée à Pépère, à Lolo, et toutes sortes de choses, il ferma les yeux et...
La sirène des gendarmes hurlait au loin.
- Gre gre gre, allons dans notre maison, c'est encore très bruyant ici, gre gre gre.
En fait, les gendarmes étaient en train d'essayer d'arrêter un contrevenant qui avait forcé un barrage en doublant toute une file à droite. La pauvre jument qui venait à peine de s'endormir entendit le bruit des klaxons de gendarmerie. Elle ne s'éveilla pas, mais fit un cauchemar épouvantable. Elle était dans son champ et sortait de sa cabane. C'était assez étrange, il n'y avait aucun bruit et les maisons à côté n'avaient même pas de fumée qui sortait de leurs cheminées. Il faisait assez froid pourtant, mais ce qui la surpris, c'est qu'il y avait beaucoup de lumière, mais le soleil était invisible. Elle partit voir Rookie et arrivée devant l'arbre elle l'appela et personne ne répondit. Elle se gratta l'échine sur l'arbre et il tomba au sol. Elle se demandait bien ce qui se passait. Le noyer était en carton. Elle avait comme la sensation d'une présence, mais ne voyant personne elle se demandait ce qui se tramait. Elle fut d'un seul coup presque plongée dans le noir et elle entendait un chat rigoler, puis la lumière réapparue. Elle se dit mangeons et se mit à brouter elle recracha, c'était de l'herbe en papier. Le rire se fit plus perceptible et dans le ciel elle vit l'énorme tête du Pépère qui avait une taille démesurée. Puis elle entendit derrière lui ;
- Coco, tu l'as mangé le haricot coco, tu l'as mangé. Alors Pépère, tes animaux terriens te plaisent. Et elle se vit en dessous d'eux qui l'observaient.
En fait, dans son rêve Lolo et Fripouille étaient des extraterrestres qui l'avaient kidnappé dans son champ, pour Pépère et l'avait posé dans un décor en carton imitant son pré et ils s'amusaient à l'embêter avec lui. Elle se réveilla en sursaut.
- Hiii laissé moi hiii au secours Momo hiii.
- Qu'est ce qu'il t'arrive Cookie ?
- J'ai fait un cauchemar épouvantable, ma pauvre Lucie, hiii vite il faut que je dorme encore pour oublier.
- Que diantre, tant d'agitation, calmez vous ma brave Cookie et rendormez vous.
Pendant ce temps-là, nos compagnons dans l'univers se demandaient bien où ils étaient.
Tout comme Cookie, ils auraient bien cru aussi être en train de rêver.
Même les fées qui étaient pourtant habituées à toutes sortes de choses étranges ne savaient plus quoi penser de cette aventure sur cette planète inconnue. Est-ce que Choûanne était en ce lieu. C'est ce que chacun espérait et tout particulièrement Pépère.
Il s'était éloigné et regardait l'horizon.
- Ma maman fée, où es-tu, je t'aime, je t'aime, disait-il en envoyant des bisous vers le ciel.
Il fouilla dans son chat-ventre qu'il portait toujours sur lui et sortit le catalogue du musée de la viande.
- Oui, je ne me trompe pas ces nuages ont des formes étranges.
Celui-ci ressemble à Penelope l'escalope, un autre à Paulette la paupiette et celui-ci à René le poulet.
C'est un ciel plein de poésie en tout ça.
Il faisait sur cette planète une température idéale.
Les nuages qui couraient dans le ciel étaient d'une apparence irréelle qu'il n'avait jamais vu sur terre.
Il eut comme la sensation d'un bruit de cascade et se retourna. Une chute d'eau tombait du ciel à peu près à une dizaine de mètres tout au plus et semblait apparaître comme par magie de nulle part. Ce qui le surprit le plus c'est que l'eau sur le sable tombant entrait dedans sans qu'au contact des deux n'apparaisse pas le moindre effet. C'était simplement irréel. Il avança vers la cascade et il constata que ses pas disparaissaient avec douceur pour que l'onde du sable se réforme comme si personne n'était passé dessus. Il eut une idée, il s'accroupit et creusa un trou dans le sable. À peine eut-il fini-il se releva et vit le sol revenir à son point initial. Devant ses yeux, c'est comme s'il n'avait jamais creusé. Il fut surpris de l'arrivée de Liettuje derrière lui tellement, il était parti dans ses rêveries.
- Hé bien Tigrou, tu vois, c'est un vrai petit paradis ici, je suis sûr que nous retrouverons ta maman fée.
- C'est assez étonnant d'où vient cette fontaine qui tombe dont l'on ne sait où ?
Liettuje, lui répondit d'une manière assez poétique.
- C'est une déesse de l'univers qui verse les larmes des étoiles. Elle est invisible et elle est le mystère de cet univers.
Mais où va cette eau et pourquoi rentre-t-elle dans le sol, c'est extraordinaire.
Appelons les autres et profitons-en pour boire avant de partir à la rechercher de Choûanne.
Pépère scrutait l'horizon et il vit non loin de la fontaine, il y avait un arbre avec de jolis fruits qu'il ne connaissait pas.
- Regarde Liettuje , il y a un arbre là-bas, dommage, c'est des fruits. Il y a peut-être des arbres à poulet ici.
- Oui, Pépère, mais déjà allons chercher les autres pour qu'ils puissent boire avec nous.
Liettuje appela les autres et Leïlanne trouva cette fontaine très étonnante.
- Fle fle fle, il aurait pu faire une mare, fle fle fle, ma love gendarme poète serait là elle m'en ferait une, fle fle fle.
- Toc toc toc, vivement que l'on retrouve la tienne, toc toc toc.
- Moi, aussi, j'irai la visiter avec ma love maîtresse et elle promènera mes bébés avec elle.
- Oui, vivement, que l'on retrouve ma maman fée surtout. Buvons et allons-y et méfions nous. Comme en Ukraine, il pourrait y avoir des poules géante ou des monstres et que l'on se fassent dévorer nous autres.
Oui, comme quand j'ai été délivré jambe bionique. En Russie proche de Tchernobyl, il y a des coins comme ça qui paresse idyllique et qui sont infestés de monstres.
Maman fée, je t'aime, ou es-tu maman fée, je t'aime, love bouteille, je t'aime, ma chamoureuse je t'aime, je vous aime tous même vous amis lecteurs...
La suite demain.

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Cortisone

Maître Poète
#2
Depuis le départ de Pépère de la cabane à Cookie, le calme était revenu.
Cookie s'était légèrement endormie à côté de Lucie et de Momo.
Rookie qui avait été indisposé par le bruit que faisaient les Américains était passé voir Cookie.
Il était à présent un peu mieux se leva et il partit voir dans le champ pour regarder de l'autre côté de la clôture s'il voyait le poète. Il pensait à la maman fée à Pépère, à Lolo, et toutes sortes de choses, il ferma les yeux et...
La sirène des gendarmes hurlait au loin.
- Gre gre gre, allons dans notre maison, c'est encore très bruyant ici, gre gre gre.
En fait, les gendarmes étaient en train d'essayer d'arrêter un contrevenant qui avait forcé un barrage en doublant toute une file à droite. La pauvre jument qui venait à peine de s'endormir entendit le bruit des klaxons de gendarmerie. Elle ne s'éveilla pas, mais fit un cauchemar épouvantable. Elle était dans son champ et sortait de sa cabane. C'était assez étrange, il n'y avait aucun bruit et les maisons à côté n'avaient même pas de fumée qui sortait de leurs cheminées. Il faisait assez froid pourtant, mais ce qui la surpris, c'est qu'il y avait beaucoup de lumière, mais le soleil était invisible. Elle partit voir Rookie et arrivée devant l'arbre elle l'appela et personne ne répondit. Elle se gratta l'échine sur l'arbre et il tomba au sol. Elle se demandait bien ce qui se passait. Le noyer était en carton. Elle avait comme la sensation d'une présence, mais ne voyant personne elle se demandait ce qui se tramait. Elle fut d'un seul coup presque plongée dans le noir et elle entendait un chat rigoler, puis la lumière réapparue. Elle se dit mangeons et se mit à brouter elle recracha, c'était de l'herbe en papier. Le rire se fit plus perceptible et dans le ciel elle vit l'énorme tête du Pépère qui avait une taille démesurée. Puis elle entendit derrière lui ;
- Coco, tu l'as mangé le haricot coco, tu l'as mangé. Alors Pépère, tes animaux terriens te plaisent. Et elle se vit en dessous d'eux qui l'observaient.
En fait, dans son rêve Lolo et Fripouille étaient des extraterrestres qui l'avaient kidnappé dans son champ, pour Pépère et l'avait posé dans un décor en carton imitant son pré et ils s'amusaient à l'embêter avec lui. Elle se réveilla en sursaut.
- Hiii laissé moi hiii au secours Momo hiii.
- Qu'est ce qu'il t'arrive Cookie ?
- J'ai fait un cauchemar épouvantable, ma pauvre Lucie, hiii vite il faut que je dorme encore pour oublier.
- Que diantre, tant d'agitation, calmez vous ma brave Cookie et rendormez vous.
Pendant ce temps-là, nos compagnons dans l'univers se demandaient bien où ils étaient.
Tout comme Cookie, ils auraient bien cru aussi être en train de rêver.
Même les fées qui étaient pourtant habituées à toutes sortes de choses étranges ne savaient plus quoi penser de cette aventure sur cette planète inconnue. Est-ce que Choûanne était en ce lieu. C'est ce que chacun espérait et tout particulièrement Pépère.
Il s'était éloigné et regardait l'horizon.
- Ma maman fée, où es-tu, je t'aime, je t'aime, disait-il en envoyant des bisous vers le ciel.
Il fouilla dans son chat-ventre qu'il portait toujours sur lui et sortit le catalogue du musée de la viande.
- Oui, je ne me trompe pas ces nuages ont des formes étranges.
Celui-ci ressemble à Penelope l'escalope, un autre à Paulette la paupiette et celui-ci à René le poulet.
C'est un ciel plein de poésie en tout ça.
Il faisait sur cette planète une température idéale.
Les nuages qui couraient dans le ciel étaient d'une apparence irréelle qu'il n'avait jamais vu sur terre.
Il eut comme la sensation d'un bruit de cascade et se retourna. Une chute d'eau tombait du ciel à peu près à une dizaine de mètres tout au plus et semblait apparaître comme par magie de nulle part. Ce qui le surprit le plus c'est que l'eau sur le sable tombant entrait dedans sans qu'au contact des deux n'apparaisse pas le moindre effet. C'était simplement irréel. Il avança vers la cascade et il constata que ses pas disparaissaient avec douceur pour que l'onde du sable se réforme comme si personne n'était passé dessus. Il eut une idée, il s'accroupit et creusa un trou dans le sable. À peine eut-il fini-il se releva et vit le sol revenir à son point initial. Devant ses yeux, c'est comme s'il n'avait jamais creusé. Il fut surpris de l'arrivée de Liettuje derrière lui tellement, il était parti dans ses rêveries.
- Hé bien Tigrou, tu vois, c'est un vrai petit paradis ici, je suis sûr que nous retrouverons ta maman fée.
- C'est assez étonnant d'où vient cette fontaine qui tombe dont l'on ne sait où ?
Liettuje, lui répondit d'une manière assez poétique.
- C'est une déesse de l'univers qui verse les larmes des étoiles. Elle est invisible et elle est le mystère de cet univers.
Mais où va cette eau et pourquoi rentre-t-elle dans le sol, c'est extraordinaire.
Appelons les autres et profitons-en pour boire avant de partir à la rechercher de Choûanne.
Pépère scrutait l'horizon et il vit non loin de la fontaine, il y avait un arbre avec de jolis fruits qu'il ne connaissait pas.
- Regarde Liettuje , il y a un arbre là-bas, dommage, c'est des fruits. Il y a peut-être des arbres à poulet ici.
- Oui, Pépère, mais déjà allons chercher les autres pour qu'ils puissent boire avec nous.
Liettuje appela les autres et Leïlanne trouva cette fontaine très étonnante.
- Fle fle fle, il aurait pu faire une mare, fle fle fle, ma love gendarme poète serait là elle m'en ferait une, fle fle fle.
- Toc toc toc, vivement que l'on retrouve la tienne, toc toc toc.
- Moi, aussi, j'irai la visiter avec ma love maîtresse et elle promènera mes bébés avec elle.
- Oui, vivement, que l'on retrouve ma maman fée surtout. Buvons et allons-y et méfions nous. Comme en Ukraine, il pourrait y avoir des poules géante ou des monstres et que l'on se fassent dévorer nous autres.
Oui, comme quand j'ai été délivré jambe bionique. En Russie proche de Tchernobyl, il y a des coins comme ça qui paresse idyllique et qui sont infestés de monstres.
Maman fée, je t'aime, ou es-tu maman fée, je t'aime, love bouteille, je t'aime, ma chamoureuse je t'aime, je vous aime tous même vous amis lecteurs...
La suite demain.

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Je me suis passionnée à lire cet épisode mais reste sur ma faim. Vivement demain pour la suite
Amicalement
Gaby