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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Ettesion s'était rassis au poste de pilotage de la soucoupe et regardait l'espace défiler.
Coin-coin et Dranac étaient toujours couchés l'un contre l'autre et dormaient profondément.
Et Pépère profitait de son temps libre pour raconter ses histoires.
- voilà pourquoi je dois faire du fouet pour éloigner les monstres, tu comprends maintenant.
-Toc toc toc, c'est une drôle d'histoire, après tu devais être très fatigué, toc toc toc. C'est quoi comme genres de monstres en fait mon copain, toc toc toc, ça fait peur, toc toc toc.
- Ne m'en parle pas, ça n'a pas été de tout repos. Déjà en ce qui concerne les monstres, laisse-moi t'en parler. Voilà à l'époque, j'étais chatmoureux de Mimine, mais jamais elle n'a voulu monter dans ma libellule volante comme elle disait.
- Toc toc toc, tu étais chatmoureux de Mimine, toc toc toc, Ainos ne le savait pas, toc toc toc.
- Non à l'époque, Ainos n'était pas encore là, je n'arrêtais pas d'aller venir entre deux missions et quand je voyais le mimine, j'étais tout le temps chat love.
- Ha, bon, toc toc toc, tu étais chat love à ce point, toc toc toc.
- Ho, que oui, mais c'est de l'histoire ancienne, chat chat chat, je lui avais écrit un poème qui encore aujourd'hui est cité dans les écoles en cours de poésie.
- Ha bon, toc toc toc, un poème, mais te souviens tu de ce texte, toc toc toc.
- Hé bien, je l'ai dans mon chatmsung, je peux te le lire, où préfères tu la fin de mon histoire avant.
Ettesion se retourna et c'est elle qui suggéra à Pépère de le retrouver.
- Moi, j'aimerais bien le connaître mon papounet.
- D'accord ma fille écoute ce chef d'œuvre.

À Mimine

Au-delà des prés, des chemins forestiers
Dans ma libellule volante motorisée
Je hume des senteurs de poulet grillé.
Ô Zéphyr point besoin de toi pour que parviennent jusqu'à moi ces senteurs divines.
Même Nyx ne peut m'empêcher de combler ma famine
Jour et nuit, sans relâche, je veille à ma tâche
Entends-tu ma mie ce ronronnement ô il n'est point de plaisir
C'est celui d'un ventre se révoltant.
Voudrais-tu ma mie dans cette cheminée y faire rôtir un joli poulet ?
Un cuisseau, de la cuisse à la peau tendre et craquante
Comme j'imagine les tiennes ma douce
Mon délicieux hummm chamour ne vois tu pas que tu ne peux y échapper
L'évidence est notre destinée !
Allons ce poète n'est point pour toi
Il ne saurait pas te combler !
Ô Dante, délivre moi de cet enfer !
Que puis-je faire pour qu'aux fourneaux cette Jouvencelle s'attele ?
Sait-elle la belle qu'à m'ignorer ainsi elle fait son malheur!
Viens près de moi ma mie.
Près du feu,
Je ferai de toi le plus digne des repas !
Rôtissant ta cuisse de miel
Je goûterais là pure merveille.
Je salive de cet état mon éternelle.

GUILLAUME PÉPÈRE

REPRODUCTION INTERDITE TOUS DROITS RÉSERVÉS COPYRIGHT

- Toc toc toc, tu voulais rôtir sa cuisse, toc toc toc.
- Oui mon papounet c'est un peu violent, tout de même.
- Hé bien, ce texte a beaucoup plus à jambe bionique, d'ailleurs je lui en aie écrit un à sa demande.
- Toc toc toc, encore mais de quoi parle ce poème, toc toc toc.
- De brioche peut-être, j'ai encore envie d'en manger.
- Hé bien non ma fille, mais c'est évident que pour terminator c'est en rapport avec la nourriture ou la vinasserie.
Écoute ce chef d'œuvre.

Hymne à la bellissima

De ses lardons, je ne puis me passer.
De son fromage, je suis aliéné.
De sa pâte, je ne puis me lasser.
Quand chez le boulanger, je vais, de sa vision, je ne peux me passer
Irrésistiblement, je suis attiré.
Dès le réveil, je suis obsédé
Très vite, je bois mon café.
Pour chez le boulanger aller
Amoureux, je suis.
De cette Italienne si bien roulée, je n'en fais qu'une bouchée
Dépasser, je suis
De cet amour, je vis
Guetter les soldes, je vais
Pour pouvoir toutes les enfourner.
Des serments nous nous sommes
faits
Pizza et moi l'un pour l'autre nous sommes faits
Ça ne peut être nié
C'est une pure vérité !

GARGANPIZZA

Copyright tout droits réservés à la spdmp

Société de protection des mangeurs de pizza.

Toc toc toc, tu fais allusion à Hector et à Quentin toc toc toc.

- Hé bien oui, mais revenons à nos moutons, enfin à nos monstres...

La suite demain...
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Cortisone

Maître Poète
#2
Ettesion s'était rassis au poste de pilotage de la soucoupe et regardait l'espace défiler.
Coin-coin et Dranac étaient toujours couchés l'un contre l'autre et dormaient profondément.
Et Pépère profitait de son temps libre pour raconter ses histoires.
- voilà pourquoi je dois faire du fouet pour éloigner les monstres, tu comprends maintenant.
-Toc toc toc, c'est une drôle d'histoire, après tu devais être très fatigué, toc toc toc. C'est quoi comme genres de monstres en fait mon copain, toc toc toc, ça fait peur, toc toc toc.
- Ne m'en parle pas, ça n'a pas été de tout repos. Déjà en ce qui concerne les monstres, laisse-moi t'en parler. Voilà à l'époque, j'étais chatmoureux de Mimine, mais jamais elle n'a voulu monter dans ma libellule volante comme elle disait.
- Toc toc toc, tu étais chatmoureux de Mimine, toc toc toc, Ainos ne le savait pas, toc toc toc.
- Non à l'époque, Ainos n'était pas encore là, je n'arrêtais pas d'aller venir entre deux missions et quand je voyais le mimine, j'étais tout le temps chat love.
- Ha, bon, toc toc toc, tu étais chat love à ce point, toc toc toc.
- Ho, que oui, mais c'est de l'histoire ancienne, chat chat chat, je lui avais écrit un poème qui encore aujourd'hui est cité dans les écoles en cours de poésie.
- Ha bon, toc toc toc, un poème, mais te souviens tu de ce texte, toc toc toc.
- Hé bien, je l'ai dans mon chatmsung, je peux te le lire, où préfères tu la fin de mon histoire avant.
Ettesion se retourna et c'est elle qui suggéra à Pépère de le retrouver.
- Moi, j'aimerais bien le connaître mon papounet.
- D'accord ma fille écoute ce chef d'œuvre.

À Mimine

Au-delà des prés, des chemins forestiers
Dans ma libellule volante motorisée
Je hume des senteurs de poulet grillé.
Ô Zéphyr point besoin de toi pour que parviennent jusqu'à moi ces senteurs divines.
Même Nyx ne peut m'empêcher de combler ma famine
Jour et nuit, sans relâche, je veille à ma tâche
Entends-tu ma mie ce ronronnement ô il n'est point de plaisir
C'est celui d'un ventre se révoltant.
Voudrais-tu ma mie dans cette cheminée y faire rôtir un joli poulet ?
Un cuisseau, de la cuisse à la peau tendre et craquante
Comme j'imagine les tiennes ma douce
Mon délicieux hummm chamour ne vois tu pas que tu ne peux y échapper
L'évidence est notre destinée !
Allons ce poète n'est point pour toi
Il ne saurait pas te combler !
Ô Dante, délivre moi de cet enfer !
Que puis-je faire pour qu'aux fourneaux cette Jouvencelle s'attele ?
Sait-elle la belle qu'à m'ignorer ainsi elle fait son malheur!
Viens près de moi ma mie.
Près du feu,
Je ferai de toi le plus digne des repas !
Rôtissant ta cuisse de miel
Je goûterais là pure merveille.
Je salive de cet état mon éternelle.

GUILLAUME PÉPÈRE

REPRODUCTION INTERDITE TOUS DROITS RÉSERVÉS COPYRIGHT

- Toc toc toc, tu voulais rôtir sa cuisse, toc toc toc.
- Oui mon papounet c'est un peu violent, tout de même.
- Hé bien, ce texte a beaucoup plus à jambe bionique, d'ailleurs je lui en aie écrit un à sa demande.
- Toc toc toc, encore mais de quoi parle ce poème, toc toc toc.
- De brioche peut-être, j'ai encore envie d'en manger.
- Hé bien non ma fille, mais c'est évident que pour terminator c'est en rapport avec la nourriture ou la vinasserie.
Écoute ce chef d'œuvre.

Hymne à la bellissima

De ses lardons, je ne puis me passer.
De son fromage, je suis aliéné.
De sa pâte, je ne puis me lasser.
Quand chez le boulanger, je vais, de sa vision, je ne peux me passer
Irrésistiblement, je suis attiré.
Dès le réveil, je suis obsédé
Très vite, je bois mon café.
Pour chez le boulanger aller
Amoureux, je suis.
De cette Italienne si bien roulée, je n'en fais qu'une bouchée
Dépasser, je suis
De cet amour, je vis
Guetter les soldes, je vais
Pour pouvoir toutes les enfourner.
Des serments nous nous sommes
faits
Pizza et moi l'un pour l'autre nous sommes faits
Ça ne peut être nié
C'est une pure vérité !

GARGANPIZZA

Copyright tout droits réservés à la spdmp

Société de protection des mangeurs de pizza.

Toc toc toc, tu fais allusion à Hector et à Quentin toc toc toc.

- Hé bien oui, mais revenons à nos moutons, enfin à nos monstres...

La suite demain...
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Quel plaisir j'ai pris à lire ce nouvel épisode tout en poésies
Amicalement
Gaby