Dans le camping-car du Belge, les quatre malfrats n'avaient plus de mots. Ils s'étaient rendus à l'évidence que quoi qu'ils essaient, le Pépère arrivait toujours à les en empêcher.
Le pape avait pour mission de les surveiller avec la sœur.
Le président et le ministre étaient passés devant à côté du Belge. Malgré qu'ils n'y avaient que trois assises, ils tenaient à quatre. Même si cela était interdit, ils n'avaient pas trop le choix.
Merguez regardait sœur Mathilde avec défiance n'oubliant pas qu'elle lui avait donné un bon coup de défibrillateur dans la barbe.
Les trois autres le regardaient avec méfiance de peur qu'il s'énerve et que la bonne sœur ressortit l'appareil à impulsions.
- Alors gamin, ça fait drôle de se mesurer à Pépère. Hé oui, ce n'est pas le vieux libidineux des chorales Vaticanteuse qui en aurait fait autant. Ne t'inquiète pas mon mignon, ça va repousser ta barbe. Ce n'est pas bien grave, avec ou sans, tu as la même tête de cul de poule.
Merguez la regardait et préféra se taire.
- Hé, vieille bique, qu'est que tu viens encore de citer comme horreur. Tu es en train de me traiter de saligaud, moi qui prends soin de toi et qui m'arrange pour toujours te laisser un peu de vin. Cet incident sera noté à ton crédit, tu me devras un litre de vin. D'ailleurs maintenant, à chaque insulte de ta part, ça sera ta pénitence. Personne ne m'a jamais dit de telle monstruosités. Ne l'écouter pas brave homme, cette femme n'a aucune éducation. S'il vous venait l'idée de vous repentir, sachez que notre saint lieu vous est ouvert à la basilique mon fils, amen.
- Écoutez-moi les deux pieds puants, je n'ai pas besoin de vos conseils. Je peux très bien resplendir sans toucher un sein ni manger des herbes aromatiques. On ne lâche rien, ah où ah où,ah où ah où.
Le Belge était toujours autant excédé des discussions entre la sœur, le pape et ces quatre écervelées.
- N'empêche, que c'est un drôle de cirque à l'arrière, une fois. Non d'une frite, allez vous finir de jouer avec des grossièretés. C'est du joli n'empêche, vous êtes comme les Soubirou, c'est une belle arnaque. Le Pépère, ça, c'est quelque chose, une fois, je le ferai cité au commissariat de police de Namur, une fois. Des héros comme ça, je voudrais bien en voir courir dans toute la Belgique. C'est un sacré champion en scooter, n'empêche que je n'avais jamais vu ça, il monte aux arbres avec son engin, comme le vent pousse une feuille. N'empêche, monsieur Bleu, si un jour la France n'a plus besoin de ses services, une fois, j'ai une place pour lui à Namur.
L'homme continua sa route et son ton autoritaire avait fait taire tout le monde. Il arrivait enfin proche de la gendarmerie.
Dans le champ à Coin-coin plus haut que la mare, Turbo n'en revenait pas, il lui semblait que son copain racontait un tas d'histoires.
- Tu es sûr que tu pourrais être chef à la place de Pépère ?
Ce n'est pas parce que sa filleule a trouvé comment résoudre l'affaire du gang des boulangeries.
- Il n'y a pas que ça, j'ai sauvé le président de la République tout à l'heure en neutralisant des insectes terroristes.
- Ha bon, mais quand était-ce ?
- Tout à l'heure pendant que vous rangiez l'estrade avec le père Mike.
- Ha oui, tu t'es absenté un moment, mais que s'est il passé ?
- Hé bien, voilà, j'ai été à la brasserie du cul roux boire un verre de lait. J'avais aussi pour mission sous les ordres de Pépère de vérifier que tout allait bien là-bas. C'est comme ça que j'ai évité un terrible malheur au président de la République.
- Ah, oui, explique moi ce qui s'est passé mon copain.
- Voilà, j'y viens, donc, j'ai commencé par manger une part de tarte aux pommes. Un client se plaignant d'avoir un peu chaud, le serveur a ouvert une fenêtre et un frelon est entré à l'intérieur.
J'ai été très étonné, car ses ailes ne parlaient pas en français.
- Des ailes qui parlent, hé bien, c'est Jean Bon, et son stylo gadget qui écrit tout seul, chat chat chat.
- Ce n'est pas drôle, oui, je parle couramment le frelon français étant donné que j'en ai dressé étant plus jeune, bref.
J'ai vainement mis la traduction Google sur mon téléphone et il m'a affirmé que c'était du Mandarin. Il m'a donné la phrase complète et j'ai compris trop tard. Voilà ce qu'il disait. Bon les gars, je suis en place. J'ai laissé mes bagages à la consigne de la gare et les explosifs au Corona-virus sont dedans. Je suis sur la place, le président ne se doute de rien et va bientôt arriver envoyez moi l'escadron numéro treize avec des armes lourdes pour neutraliser le super chat, Chatdore.
C'est après que j'aie compris, il était au téléphone. Suite à cela, il y a eu une invasion de plus d'un million de frelons. J'ai tout de suite fait diversion en imitant le bruit de dragon du Komodo qui sont friands de frelon asiatique. Déroutées par mon imitation, les bestioles sont sorties et j'ai pu mettre à l'abri les clients de la brasserie.
Ils sont revenus en force armés de fusil-mitrailleur et de bazooka. Avec mes moustaches et mes griffes ultras puissantes, je les ai tous anéanties. J'ai ensuite envoyé un SMS à leur chef pour leur envoyer un selfie de mon exploit. Voilà mon copain comment, j'ai sauvé la France d'un désastre de perdre son Président.
Turbo n'en revenait pas et il lui répondit, c'est bizarre des frelons en hiver, bref, chat chat chat.
Le long de la nationale, Saturne attendait toujours son frère. Il le vit arriver en courant avec un cake dans la gueule.
- Chat, chat, gadget aux invisibles, arf arf arf, vite mon frérot monte dans la voiture.
- Que se passe-t-il ?
- Arf arf arf, je suis poursuivi par un affreux qui veux ma peau, arf arf arf, il veut s'en faire une écharpe, arf arf arf.
Saturne sauta dans la voiture et Pépère monta à côté de lui. Il lâcha le cake et reprit son souffle. Il l'avait échappé belle, un peu plus, il était enseveli sous les denrées avec le buffet. Il était arrivé à sauver le cake et se reprit devant Saturne, il ne voulait pas paraître effrayé malgré la peur qu'il avait eue.
- Hé bien, ça a l'air bon ça, hum, mais que t'est-il arrivé ?
- Hé bien, j'ai failli être capturé par ruse par une chatrnivore et son fils qui voulait ma peau.
- Ha, bon, raconte moi ce qui s'est passé.
- Hé bien, voilà, j'ai été à la maison plus haut et arrivé là-bas, je tombe sur une centenaire toute rabougrie. Je me suis dit, Pépère, tu ne cours aucun danger avec cette vilaine, approchons nous quand même avec prudence. C'est alors que me voyant, elle me dit, que fais-tu là mon joli minet. Tu es perdu, tu as peut-être faim. C'est ce mot magique qui m'a mis en confiance. C'est alors qu'elle me dit, mais tu ressembles à Pépère le fameux détective. Ha oui, que je lui réponds, mais comment me connaissez-vous ?
C'est alors qu'elle me dit être la cousine de madame tomate, dont mon cuisinier spécialiste en brontosaure au vin, à fait office chez elle pour cultiver des tomates nucléaire.
C'est alors qu'elle me fit entrer sous prétexte de me donner à manger. Elle se met à me raconter sa vie pleine de trous. Dans ma tête, je me disais, au lieu de parler, tu ferais mieux de faire péter une cuisse de bœuf rôti ou un jarret de porc, vilaine. Je vis dans la cheminée une énorme marmite et me disais alors, tu vas te magner de le mettre sur la table. C'est alors qu'arrive d'à côté une espèce d'ivrogne en guenilles qui me dit connaître le poète. C'est alors qu'elle me donne un verre de lait, qu'heureusement, je n'ai pas bu. Je pense qu'il y avait un soporifique dedans. Puis elle sort ce cake et me dit, vient voir ce qu'il y a de bon dans la marmite. C'est alors que l'ivrogne m'a saisi et que j'ai compris en voyant qu'il ne contenait que des légumes. Le bougre me dit, hé bien, une belle écharpe de chat en prime. C'est alors que je lui ai lâché un pet sous le museau, mais un truc façon, intestins avariés, chat chat chat. Surpris il m'a lâché et j'ai terrassé la vieille à coup de queue. Quant à lui, j'ai saisi une chaise, cassé le montant et avec l'osier de l'assise, j'en ai fait un fouet. Une fois que je les avais terrassés tous les deux, j'ai volé le cake. Avant de partir, j'ai pissé partout et fait caca dans la marmite. Voilà ce qui m'est arrivé mon frérot.
Le pape avait pour mission de les surveiller avec la sœur.
Le président et le ministre étaient passés devant à côté du Belge. Malgré qu'ils n'y avaient que trois assises, ils tenaient à quatre. Même si cela était interdit, ils n'avaient pas trop le choix.
Merguez regardait sœur Mathilde avec défiance n'oubliant pas qu'elle lui avait donné un bon coup de défibrillateur dans la barbe.
Les trois autres le regardaient avec méfiance de peur qu'il s'énerve et que la bonne sœur ressortit l'appareil à impulsions.
- Alors gamin, ça fait drôle de se mesurer à Pépère. Hé oui, ce n'est pas le vieux libidineux des chorales Vaticanteuse qui en aurait fait autant. Ne t'inquiète pas mon mignon, ça va repousser ta barbe. Ce n'est pas bien grave, avec ou sans, tu as la même tête de cul de poule.
Merguez la regardait et préféra se taire.
- Hé, vieille bique, qu'est que tu viens encore de citer comme horreur. Tu es en train de me traiter de saligaud, moi qui prends soin de toi et qui m'arrange pour toujours te laisser un peu de vin. Cet incident sera noté à ton crédit, tu me devras un litre de vin. D'ailleurs maintenant, à chaque insulte de ta part, ça sera ta pénitence. Personne ne m'a jamais dit de telle monstruosités. Ne l'écouter pas brave homme, cette femme n'a aucune éducation. S'il vous venait l'idée de vous repentir, sachez que notre saint lieu vous est ouvert à la basilique mon fils, amen.
- Écoutez-moi les deux pieds puants, je n'ai pas besoin de vos conseils. Je peux très bien resplendir sans toucher un sein ni manger des herbes aromatiques. On ne lâche rien, ah où ah où,ah où ah où.
Le Belge était toujours autant excédé des discussions entre la sœur, le pape et ces quatre écervelées.
- N'empêche, que c'est un drôle de cirque à l'arrière, une fois. Non d'une frite, allez vous finir de jouer avec des grossièretés. C'est du joli n'empêche, vous êtes comme les Soubirou, c'est une belle arnaque. Le Pépère, ça, c'est quelque chose, une fois, je le ferai cité au commissariat de police de Namur, une fois. Des héros comme ça, je voudrais bien en voir courir dans toute la Belgique. C'est un sacré champion en scooter, n'empêche que je n'avais jamais vu ça, il monte aux arbres avec son engin, comme le vent pousse une feuille. N'empêche, monsieur Bleu, si un jour la France n'a plus besoin de ses services, une fois, j'ai une place pour lui à Namur.
L'homme continua sa route et son ton autoritaire avait fait taire tout le monde. Il arrivait enfin proche de la gendarmerie.
Dans le champ à Coin-coin plus haut que la mare, Turbo n'en revenait pas, il lui semblait que son copain racontait un tas d'histoires.
- Tu es sûr que tu pourrais être chef à la place de Pépère ?
Ce n'est pas parce que sa filleule a trouvé comment résoudre l'affaire du gang des boulangeries.
- Il n'y a pas que ça, j'ai sauvé le président de la République tout à l'heure en neutralisant des insectes terroristes.
- Ha bon, mais quand était-ce ?
- Tout à l'heure pendant que vous rangiez l'estrade avec le père Mike.
- Ha oui, tu t'es absenté un moment, mais que s'est il passé ?
- Hé bien, voilà, j'ai été à la brasserie du cul roux boire un verre de lait. J'avais aussi pour mission sous les ordres de Pépère de vérifier que tout allait bien là-bas. C'est comme ça que j'ai évité un terrible malheur au président de la République.
- Ah, oui, explique moi ce qui s'est passé mon copain.
- Voilà, j'y viens, donc, j'ai commencé par manger une part de tarte aux pommes. Un client se plaignant d'avoir un peu chaud, le serveur a ouvert une fenêtre et un frelon est entré à l'intérieur.
J'ai été très étonné, car ses ailes ne parlaient pas en français.
- Des ailes qui parlent, hé bien, c'est Jean Bon, et son stylo gadget qui écrit tout seul, chat chat chat.
- Ce n'est pas drôle, oui, je parle couramment le frelon français étant donné que j'en ai dressé étant plus jeune, bref.
J'ai vainement mis la traduction Google sur mon téléphone et il m'a affirmé que c'était du Mandarin. Il m'a donné la phrase complète et j'ai compris trop tard. Voilà ce qu'il disait. Bon les gars, je suis en place. J'ai laissé mes bagages à la consigne de la gare et les explosifs au Corona-virus sont dedans. Je suis sur la place, le président ne se doute de rien et va bientôt arriver envoyez moi l'escadron numéro treize avec des armes lourdes pour neutraliser le super chat, Chatdore.
C'est après que j'aie compris, il était au téléphone. Suite à cela, il y a eu une invasion de plus d'un million de frelons. J'ai tout de suite fait diversion en imitant le bruit de dragon du Komodo qui sont friands de frelon asiatique. Déroutées par mon imitation, les bestioles sont sorties et j'ai pu mettre à l'abri les clients de la brasserie.
Ils sont revenus en force armés de fusil-mitrailleur et de bazooka. Avec mes moustaches et mes griffes ultras puissantes, je les ai tous anéanties. J'ai ensuite envoyé un SMS à leur chef pour leur envoyer un selfie de mon exploit. Voilà mon copain comment, j'ai sauvé la France d'un désastre de perdre son Président.
Turbo n'en revenait pas et il lui répondit, c'est bizarre des frelons en hiver, bref, chat chat chat.
Le long de la nationale, Saturne attendait toujours son frère. Il le vit arriver en courant avec un cake dans la gueule.
- Chat, chat, gadget aux invisibles, arf arf arf, vite mon frérot monte dans la voiture.
- Que se passe-t-il ?
- Arf arf arf, je suis poursuivi par un affreux qui veux ma peau, arf arf arf, il veut s'en faire une écharpe, arf arf arf.
Saturne sauta dans la voiture et Pépère monta à côté de lui. Il lâcha le cake et reprit son souffle. Il l'avait échappé belle, un peu plus, il était enseveli sous les denrées avec le buffet. Il était arrivé à sauver le cake et se reprit devant Saturne, il ne voulait pas paraître effrayé malgré la peur qu'il avait eue.
- Hé bien, ça a l'air bon ça, hum, mais que t'est-il arrivé ?
- Hé bien, j'ai failli être capturé par ruse par une chatrnivore et son fils qui voulait ma peau.
- Ha, bon, raconte moi ce qui s'est passé.
- Hé bien, voilà, j'ai été à la maison plus haut et arrivé là-bas, je tombe sur une centenaire toute rabougrie. Je me suis dit, Pépère, tu ne cours aucun danger avec cette vilaine, approchons nous quand même avec prudence. C'est alors que me voyant, elle me dit, que fais-tu là mon joli minet. Tu es perdu, tu as peut-être faim. C'est ce mot magique qui m'a mis en confiance. C'est alors qu'elle me dit, mais tu ressembles à Pépère le fameux détective. Ha oui, que je lui réponds, mais comment me connaissez-vous ?
C'est alors qu'elle me dit être la cousine de madame tomate, dont mon cuisinier spécialiste en brontosaure au vin, à fait office chez elle pour cultiver des tomates nucléaire.
C'est alors qu'elle me fit entrer sous prétexte de me donner à manger. Elle se met à me raconter sa vie pleine de trous. Dans ma tête, je me disais, au lieu de parler, tu ferais mieux de faire péter une cuisse de bœuf rôti ou un jarret de porc, vilaine. Je vis dans la cheminée une énorme marmite et me disais alors, tu vas te magner de le mettre sur la table. C'est alors qu'arrive d'à côté une espèce d'ivrogne en guenilles qui me dit connaître le poète. C'est alors qu'elle me donne un verre de lait, qu'heureusement, je n'ai pas bu. Je pense qu'il y avait un soporifique dedans. Puis elle sort ce cake et me dit, vient voir ce qu'il y a de bon dans la marmite. C'est alors que l'ivrogne m'a saisi et que j'ai compris en voyant qu'il ne contenait que des légumes. Le bougre me dit, hé bien, une belle écharpe de chat en prime. C'est alors que je lui ai lâché un pet sous le museau, mais un truc façon, intestins avariés, chat chat chat. Surpris il m'a lâché et j'ai terrassé la vieille à coup de queue. Quant à lui, j'ai saisi une chaise, cassé le montant et avec l'osier de l'assise, j'en ai fait un fouet. Une fois que je les avais terrassés tous les deux, j'ai volé le cake. Avant de partir, j'ai pissé partout et fait caca dans la marmite. Voilà ce qui m'est arrivé mon frérot.