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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Les quatre foies jaunes, pendant ce temps se demandaient comment, ils allaient bien pouvoir s'enfuir de cette commune.
À cause de cochon, ils n'avaient plus de voiture. Ils se mirent à réfléchir, mais ne trouvaient aucune solution.
- Ce que je me demande, c'est comment cette sale siamoise a pu s'enfuir.
- Écoute, Merguez, c'est de ta faute, tu lui as donné un ouvre-boîte.
- Hé, bien, je ne vois pas le rapport.
- Moi non plus, Cecilia, que veux-tu qu'elle ait fait pour s'enfuir avec un ouvre-boîte ?
- Réfléchis un peu Ragoût, elle a ouvert le mur avec c'est évident.
- Hé, si quelqu'un était venu de l'extérieur ?
- Ou de l'intérieur, oui Merguez à raison.
S'engagea le débat entre Cécilia et Merguez. Les deux autres avaient du mal à comprendre.
- Comment veux-tu que quelqu'un soit rentré dans la pièce.
- Avec l'ouvre-boîte, c'est toi qui l'as dit.
- Oui, mais il était à l'intérieur.
- Donc c'est possible tu vois bien, s'il était à l'intérieur, la personne pouvait rentrer par dedans.
- Mais non il y a un mur, comment veux-tu.
- Si elle a ouvert le mur, il a pu rentrer et lui aussi ouvrir le mur.
- C'est vrai, ce que tu dis. Bon ça reste dans le domaine de l'énigmentation.
Les pauvres étaient tellement fatigués de chercher comment la minette s'était évadée, qu'ils finir par se mettre à la recherche de médicaments pour la migraine.
Le président attendait toujours avec le brigadier dans la Dacia. Le général avait informé le président de l'arrivée de son ministre.
- Ha oui, mon Totof est enfin arrivé, ça, c'est une bonne nouvelle. Comment est la voiture de gendarmerie ?
- Affirmatif, mon maréchal, il arrive à l'instant. La voiture est de couleur bleue avec écrit dessus police.
- Oui, ça, je l'aurais deviné général si c'est une voiture de police. Je vous demande dans quel état elle est, vu que c'est la sœur qui conduisait.
- Hé bien, mon maréchal, la voiture est rayée de partout, les feux avants sont détruits et une porte est enfoncée. Je viens de coller dix ans de bouton rouge à sœur Mathilde pour dégradation de bien administratif.
- Oui, vous avez eu raison de faire la morale à cette dame qui malgré son âge avancé n'est pas du tout raisonnable.
Le brigadier écoutait la conversation en silence. Une fois celle-ci terminée, il ne put s'empêcher de faire une remarque au président.
- Écoutez, mon maréchal, ne le prenez pas la mouche, mais si cette femme à fait des dégradations sur ce véhicule en étant imprudente, elle aura mérité sa sentence non. Mais je connais sœur Mathilde et elle est très prudente, alors c'est un abus d'autorité. Cela peut arriver d'abîmer une voiture sans le vouloir non.
- Oui, mais si mon Totof était témoin, assurément, il aura rapportés les événements comme il se fut. C'est drôle, votre histoire de mouche, hihi, cela me rappelle une histoire.
- Ha, bon, vous avez tué une mouche avec votre cheveu, hi hi hi.
- Non, mais j'ai eu un ennui à cause de celle-ci, et d'ailleurs un sérieux problème.
- Ha bon mon maréchal, je suis curieux de connaître cette anecdote.
- Malheureusement, c'est bien plus qu'une anecdote, mon pauvre brigadier.
Voilà, que je vous explique le tableau et vous allez comprendre. Voilà, c'était quelque temps avant de passer mon permis de conduire. Mais je faisais régulièrement des stages de conduite avec mon père sur un circuit privé. Un soir, il m'annonce être fier de mes résultats. Pour fêter ma progression, il décide de m'emmener à une exposition de voitures de prestige, Ferrari, Lamborghini, Maserati, porche, Mercedes, Bugatti, enfin des voitures de standing, malgré tout abordable. Nous arrivons sur la manifestation et malgré mes lunettes de plongée, j'en pris plein les yeux. Mon père m'avait prévenu de ne pas trop m'approcher de ces bolides pour ne pas rayer une carrosserie avec mon cheveu. C'est d'ailleurs ce que je fis et il n'y eut aucun incident. Arrivé vers les midis, nous avons été vers un buffet pour nous restaurer. C'était très rustique mais néanmoins convivial. C'est alors que nous arrivons et que nous constatons que c'était la panique. Après renseignement, il s'est avéré que les organisateurs qui avaient pensé à tout avaient oublié les piques pour les brochettes. Du coup, les barbecues étaient devenus superfétatoires et c'était la désolation. C'est alors que mon père a été proposer mes services. Il leur avait assuré qu'avec mon cheveu frontal, je pouvais faire griller les brochettes. J'ai accepté la tâche même si ce fut pénible et que je pris un coup de soleil à cause du barbecue. Nous avons ensuite mangé, puis il était proposé un baptême de circuit pour les personnes qui avaient le permis de conduire. Mon père demanda aux organisateurs si je pouvais le faire. Étant donné le service que j'avais rendu, ils acceptèrent à condition que je porte un casque. Mon père leur avait assuré que j'avais déjà beaucoup roulé sur circuit pour mes cours privés. C'est ainsi que l'on me prêta un casque. Mais il fallu une heure pour trouver une perceuse pour faire un trou dedans pour que mon cheveu y passe. C'est comme ça que j'ai pris le volant d'une Bugatti de plus de mille chevaux et de quelques millions de francs à l'époque. J'avais déjà fait deux tours de circuit quand tout à coup une grosse mouche vint me perturber. À cause d'elle, j'ai commencé par avoir une crise de bigloucherie. Puis, elle a disparu et mon co-pilote me dit, ce n'est pas grave elle est au-dessus de votre tête. Puis, elle a disparu et mon co-pilote me dit, ce n'est pas grave, elle est au-dessus de votre tête. En effet en faisant des efforts pour dégager mon cheveu, j'ai fortement accéléré et la voiture s'est retrouvée à trois cent à l'heure en quelques secondes et que nous avons fini perché sur les gradins.
C'est comme ça que mon père s'est retrouvé à faire un prêt de quelques millions de francs pour rembourser la voiture, voilà monsieur le brigadier.
- Hé bien, vous étiez Gaston Lagaffe, ha ha ha.
Le Pépère fanfaronnait devant Cookie tout fier de ses histoires qu'il affirmait authentiques.
- Toc toc toc, il n'a pas été malade, d'avoir été congelé, toc toc toc.
- Fle fle fle, ma love gendarme poète l'a soigné, fle fle fle.
- C'est carrément dément, c'est aussi fort que les histoires de mon chatmoureux Fripouille.
- Hii, c'est normal, c'est mon méga love Pépère.
- Hii, méga love chathomane, hii, chat drogué, il raconte n'importe quoi, hiii.
- Hé bien moi, je suis fier d'être ton coéquipier.
- Merci, Lolo, pour répondre à ta question, Pêcheur, il a bien eu des soucis. Et il a même cassé le pare-brise de la Dacia et Josiane à même dû servir de chauffe-moteur. Quant à lui, il s'est retrouvé paralysé d'un bras à cause d'une congestion de la langue.
-Toc toc toc, une congestion de la langue, comment ça se fait, toc toc toc.
- Fle fle fle, le pare-brise cassé, c'est impressionnant, fle fle fle.
- Hii, Josiane réchauffer le moteur, hii et bien mon méga love Pépère, quelle histoire.
- Une congestion de la langue, ça existe ça ?
- Oui Avéame si Pépère le dit.
- Hii ce chat est drogué, hii il a mangé des champignons, hii, fumé ma paille, hiii.
- Oui mes amis et j'ai fini comme guerrier par combattre des insectes.
Je vais vous expliquer tous ça et vous allez comprendre.
Hé bien, en arrivant, il a bu les huit litres de rhum et cela l'avait dégelé de l'estomac sans plus. Son corps était à moins de soixante degrés. C'est alors que ma love boit de l'eau en mettant des glaçons dans son whisky à décider de l'emmener chez le médecin. Arrivée vers la Dacia, elle se rend compte que son capot est mal fermé. Elle l'ouvre entièrement pour le refermer et mon bout de zan pour capitaine igloo alcoolisé au gin se précipite pour se coucher sur le moteur. Il pensait qu'il était chaud et voulait se décongelé. Du coup impossible de démarrer la voiture, le moteur avait gelé. Du coup, Josiane s'est couchée sur le capot pour réchauffer le moteur et ils sont partis avec elle vers chez le médecin. En route, il a posé ses mains sur le pare-brise pour les réchauffer sur la buse de chauffage qui était en dessous. Du coup comme elles étaient toujours à moins de trente degrés celui-ci a explosé en mille morceaux. Arrivé chez le médecin, il était muet, car il avait fait une congestion de la langue. C'est comme ça qu'il s'est retrouvé paralysé du bras.
- Toc toc toc, mais comment, c'est possible, toc toc toc.
- Fle fle fle, le bras n'est pas sur la langue, fle fle fle.
- Hii, ce chat raconte n'importe quoi.
- Hii, continue mon méga love Pépère.
- Oui ne t'occupe pas de Cookie.
- Oui Lolo a raison, chat chat chat, je veux connaître la fin de l'histoire pour la raconter à mon chatmoureux Fripouille.
- Hé bien voilà, la congestion de la langue à entraîner le blocage du nerf de, levez le bras. Oui, dans la langue, un nerf est prévu pour ça, quand la langue dit lève le bras, celui-ci se lève.
Moi, j'étais resté à la brigade et ses collègues n'arrêtaient pas de se plaindre de bourdonnements venant de chez elle. C'est alors que l'un de ses supérieurs m'a embauché comme guerrier pour combattre les frelons qu'elle élevait pour qu'ils mangent les mites qui avaient servi à faire les tricots aérés que Josiane avait tricoté. Voilà mes amis l'histoire qu'elle est vraie réelle, pas fausse et authentiquement avérée vrai par l'huissier de la vérité vraie.

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Cortisone

Maître Poète
#2
Les quatre foies jaunes, pendant ce temps se demandaient comment, ils allaient bien pouvoir s'enfuir de cette commune.
À cause de cochon, ils n'avaient plus de voiture. Ils se mirent à réfléchir, mais ne trouvaient aucune solution.
- Ce que je me demande, c'est comment cette sale siamoise a pu s'enfuir.
- Écoute, Merguez, c'est de ta faute, tu lui as donné un ouvre-boîte.
- Hé, bien, je ne vois pas le rapport.
- Moi non plus, Cecilia, que veux-tu qu'elle ait fait pour s'enfuir avec un ouvre-boîte ?
- Réfléchis un peu Ragoût, elle a ouvert le mur avec c'est évident.
- Hé, si quelqu'un était venu de l'extérieur ?
- Ou de l'intérieur, oui Merguez à raison.
S'engagea le débat entre Cécilia et Merguez. Les deux autres avaient du mal à comprendre.
- Comment veux-tu que quelqu'un soit rentré dans la pièce.
- Avec l'ouvre-boîte, c'est toi qui l'as dit.
- Oui, mais il était à l'intérieur.
- Donc c'est possible tu vois bien, s'il était à l'intérieur, la personne pouvait rentrer par dedans.
- Mais non il y a un mur, comment veux-tu.
- Si elle a ouvert le mur, il a pu rentrer et lui aussi ouvrir le mur.
- C'est vrai, ce que tu dis. Bon ça reste dans le domaine de l'énigmentation.
Les pauvres étaient tellement fatigués de chercher comment la minette s'était évadée, qu'ils finir par se mettre à la recherche de médicaments pour la migraine.
Le président attendait toujours avec le brigadier dans la Dacia. Le général avait informé le président de l'arrivée de son ministre.
- Ha oui, mon Totof est enfin arrivé, ça, c'est une bonne nouvelle. Comment est la voiture de gendarmerie ?
- Affirmatif, mon maréchal, il arrive à l'instant. La voiture est de couleur bleue avec écrit dessus police.
- Oui, ça, je l'aurais deviné général si c'est une voiture de police. Je vous demande dans quel état elle est, vu que c'est la sœur qui conduisait.
- Hé bien, mon maréchal, la voiture est rayée de partout, les feux avants sont détruits et une porte est enfoncée. Je viens de coller dix ans de bouton rouge à sœur Mathilde pour dégradation de bien administratif.
- Oui, vous avez eu raison de faire la morale à cette dame qui malgré son âge avancé n'est pas du tout raisonnable.
Le brigadier écoutait la conversation en silence. Une fois celle-ci terminée, il ne put s'empêcher de faire une remarque au président.
- Écoutez, mon maréchal, ne le prenez pas la mouche, mais si cette femme à fait des dégradations sur ce véhicule en étant imprudente, elle aura mérité sa sentence non. Mais je connais sœur Mathilde et elle est très prudente, alors c'est un abus d'autorité. Cela peut arriver d'abîmer une voiture sans le vouloir non.
- Oui, mais si mon Totof était témoin, assurément, il aura rapportés les événements comme il se fut. C'est drôle, votre histoire de mouche, hihi, cela me rappelle une histoire.
- Ha, bon, vous avez tué une mouche avec votre cheveu, hi hi hi.
- Non, mais j'ai eu un ennui à cause de celle-ci, et d'ailleurs un sérieux problème.
- Ha bon mon maréchal, je suis curieux de connaître cette anecdote.
- Malheureusement, c'est bien plus qu'une anecdote, mon pauvre brigadier.
Voilà, que je vous explique le tableau et vous allez comprendre. Voilà, c'était quelque temps avant de passer mon permis de conduire. Mais je faisais régulièrement des stages de conduite avec mon père sur un circuit privé. Un soir, il m'annonce être fier de mes résultats. Pour fêter ma progression, il décide de m'emmener à une exposition de voitures de prestige, Ferrari, Lamborghini, Maserati, porche, Mercedes, Bugatti, enfin des voitures de standing, malgré tout abordable. Nous arrivons sur la manifestation et malgré mes lunettes de plongée, j'en pris plein les yeux. Mon père m'avait prévenu de ne pas trop m'approcher de ces bolides pour ne pas rayer une carrosserie avec mon cheveu. C'est d'ailleurs ce que je fis et il n'y eut aucun incident. Arrivé vers les midis, nous avons été vers un buffet pour nous restaurer. C'était très rustique mais néanmoins convivial. C'est alors que nous arrivons et que nous constatons que c'était la panique. Après renseignement, il s'est avéré que les organisateurs qui avaient pensé à tout avaient oublié les piques pour les brochettes. Du coup, les barbecues étaient devenus superfétatoires et c'était la désolation. C'est alors que mon père a été proposer mes services. Il leur avait assuré qu'avec mon cheveu frontal, je pouvais faire griller les brochettes. J'ai accepté la tâche même si ce fut pénible et que je pris un coup de soleil à cause du barbecue. Nous avons ensuite mangé, puis il était proposé un baptême de circuit pour les personnes qui avaient le permis de conduire. Mon père demanda aux organisateurs si je pouvais le faire. Étant donné le service que j'avais rendu, ils acceptèrent à condition que je porte un casque. Mon père leur avait assuré que j'avais déjà beaucoup roulé sur circuit pour mes cours privés. C'est ainsi que l'on me prêta un casque. Mais il fallu une heure pour trouver une perceuse pour faire un trou dedans pour que mon cheveu y passe. C'est comme ça que j'ai pris le volant d'une Bugatti de plus de mille chevaux et de quelques millions de francs à l'époque. J'avais déjà fait deux tours de circuit quand tout à coup une grosse mouche vint me perturber. À cause d'elle, j'ai commencé par avoir une crise de bigloucherie. Puis, elle a disparu et mon co-pilote me dit, ce n'est pas grave elle est au-dessus de votre tête. Puis, elle a disparu et mon co-pilote me dit, ce n'est pas grave, elle est au-dessus de votre tête. En effet en faisant des efforts pour dégager mon cheveu, j'ai fortement accéléré et la voiture s'est retrouvée à trois cent à l'heure en quelques secondes et que nous avons fini perché sur les gradins.
C'est comme ça que mon père s'est retrouvé à faire un prêt de quelques millions de francs pour rembourser la voiture, voilà monsieur le brigadier.
- Hé bien, vous étiez Gaston Lagaffe, ha ha ha.
Le Pépère fanfaronnait devant Cookie tout fier de ses histoires qu'il affirmait authentiques.
- Toc toc toc, il n'a pas été malade, d'avoir été congelé, toc toc toc.
- Fle fle fle, ma love gendarme poète l'a soigné, fle fle fle.
- C'est carrément dément, c'est aussi fort que les histoires de mon chatmoureux Fripouille.
- Hii, c'est normal, c'est mon méga love Pépère.
- Hii, méga love chathomane, hii, chat drogué, il raconte n'importe quoi, hiii.
- Hé bien moi, je suis fier d'être ton coéquipier.
- Merci, Lolo, pour répondre à ta question, Pêcheur, il a bien eu des soucis. Et il a même cassé le pare-brise de la Dacia et Josiane à même dû servir de chauffe-moteur. Quant à lui, il s'est retrouvé paralysé d'un bras à cause d'une congestion de la langue.
-Toc toc toc, une congestion de la langue, comment ça se fait, toc toc toc.
- Fle fle fle, le pare-brise cassé, c'est impressionnant, fle fle fle.
- Hii, Josiane réchauffer le moteur, hii et bien mon méga love Pépère, quelle histoire.
- Une congestion de la langue, ça existe ça ?
- Oui Avéame si Pépère le dit.
- Hii ce chat est drogué, hii il a mangé des champignons, hii, fumé ma paille, hiii.
- Oui mes amis et j'ai fini comme guerrier par combattre des insectes.
Je vais vous expliquer tous ça et vous allez comprendre.
Hé bien, en arrivant, il a bu les huit litres de rhum et cela l'avait dégelé de l'estomac sans plus. Son corps était à moins de soixante degrés. C'est alors que ma love boit de l'eau en mettant des glaçons dans son whisky à décider de l'emmener chez le médecin. Arrivée vers la Dacia, elle se rend compte que son capot est mal fermé. Elle l'ouvre entièrement pour le refermer et mon bout de zan pour capitaine igloo alcoolisé au gin se précipite pour se coucher sur le moteur. Il pensait qu'il était chaud et voulait se décongelé. Du coup impossible de démarrer la voiture, le moteur avait gelé. Du coup, Josiane s'est couchée sur le capot pour réchauffer le moteur et ils sont partis avec elle vers chez le médecin. En route, il a posé ses mains sur le pare-brise pour les réchauffer sur la buse de chauffage qui était en dessous. Du coup comme elles étaient toujours à moins de trente degrés celui-ci a explosé en mille morceaux. Arrivé chez le médecin, il était muet, car il avait fait une congestion de la langue. C'est comme ça qu'il s'est retrouvé paralysé du bras.
- Toc toc toc, mais comment, c'est possible, toc toc toc.
- Fle fle fle, le bras n'est pas sur la langue, fle fle fle.
- Hii, ce chat raconte n'importe quoi.
- Hii, continue mon méga love Pépère.
- Oui ne t'occupe pas de Cookie.
- Oui Lolo a raison, chat chat chat, je veux connaître la fin de l'histoire pour la raconter à mon chatmoureux Fripouille.
- Hé bien voilà, la congestion de la langue à entraîner le blocage du nerf de, levez le bras. Oui, dans la langue, un nerf est prévu pour ça, quand la langue dit lève le bras, celui-ci se lève.
Moi, j'étais resté à la brigade et ses collègues n'arrêtaient pas de se plaindre de bourdonnements venant de chez elle. C'est alors que l'un de ses supérieurs m'a embauché comme guerrier pour combattre les frelons qu'elle élevait pour qu'ils mangent les mites qui avaient servi à faire les tricots aérés que Josiane avait tricoté. Voilà mes amis l'histoire qu'elle est vraie réelle, pas fausse et authentiquement avérée vrai par l'huissier de la vérité vraie.

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Hihi j'ai bien ri.
A demainoter pour la suite des aventures de ce sacré Pépère
Amicalement
Gaby