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Pépère le chat du poète. Suite

#1
Le président de la République était tout excité de participer à une intervention de gendarmerie.
- Alors, Monsieur le Président de la République, nous allons enfin arrêter ceux qui vous ont insulté publiquement.
- Vous pensez qu'ils sont là-dedans ?
- Oui, ils se savent coincés et ont du se replier au fond de ce bouge. Ne vous inquiétez pas, il n'y a pas d'issue autre que la porte.
À l'intérieur, les quatre individus avaient un plan se faire passer pour des pêcheurs pour éviter de se faire arrêter. C'est Merguez qui fut désigné pour aller leur parler.
C'est ainsi que le président et le brigadier virent sortir un homme habillé d'un ciré vert et d'une canne à pêche en main.
- Brigadier, est-vous sûr de vos renseignements ?
- Oui, c'est le chat Pépère qui m'a téléphoner et je suis sûr de ce que je dis.
Le brigadier se dirigea vers l'homme avec prudence. Il ne voulait surtout pas faire une bavure.
- Bonjour, gendarmerie nationale, je suis à la recherche de quatre individus, vêtus de gilets jaunes. Vous ne les auriez pas vus dans les parages ?
Qui êtes-vous monsieur et qu'avez vous à la yeux ?
- Je m'appelle, Pierre Chipolatas, mais mes amis m'appelle chipo le roi de l'apéro. Mon œil à été attaqué par un brochet, car j'étais en train de pêcher.
Le brigadier qui n'avait pas que fait de caresser la bouteille des yeux à l'épicerie, avait un peu de mal à analyser les choses. Quelle idée de l'avoir caressé des lèvres la toute belle, se disait-il.
En venant, il n'avait même pas vu la voiture volée le long de la route.
Le président qui avait les yeux sur son téléphone ne l'avait pas vu non plus.
Il retourna à la voiture et dit au président.
- Cet homme est un pêcheur, et son œil à été mangé par un brochet.
- Êtes-vous sûr que c'est vrai ?
- Écoutez, au long du roi, je suis dans le route de commettre une levure hic.
- Mais vous êtes ivre, ce n'est pas possible.
Le brigadier prit très mal la réflexion du président et souffla dans l'appareil mobile qui était dans la fourgonnette.
- Un gramme quatre-vingt-deux, à quinze heures trente, hé bien, tu es à-jeun mon gaillard, hic.
Le brigadier avait été si étonné d'avoir un taux si bas à cette heure que cela l'avait un peu dégrisé.
- Bon, ne pouvant pas interroger le brochet, je préfère attendre mes collègues. Je vais dire à l'homme que c'est bon et nous allons nous cacher plus haut sur le bord du chemin, si ce sont eux, ils vont fuir et nous les attraperons à ce moment-là.
Le président fut de son avis. Le brigadier expliqua à Merguez que c'était une méprise et la Dacia s'en alla.
Les quatre individus à l'intérieur de la cabane n'en revenaient pas.
Les amis à Pépère n'en revenaient pas de l'histoire, du dentiste pour bison.
- Toc toc toc, c'est invraisemblable, toc toc toc.
- Fle fle fle, ils auraient pu aller, aussi chez le coiffeur, fle fle fle.
- Pourquoi pas chez l'esthéticien, c'est incroyable ton histoire.
- Tu as raison Avéame, c'est carrément dément cette histoire, chat chat chat.
- Hé bien cela aurait pu se faire, Chatdore, car j'ai monté ce type d'établissement au far west.
- Un salon esthétique chez les Indiens non est-ce possible ?
- Va savoir Avéame, avec Pépère et son génie c'est possible.
- Toc toc toc, moi j'ai inventé l'arbre à poisson, toc toc toc.
- Fle fle fle et ma gentille gendarme poète que j'aime, elle donne du pain aux petites pattes aux pieds de ces arbres, fle fle fle.
- Oui parfaitement je vais vous l'expliquer, attendez, mes amis.
Voilà j'étais au far west pour superviser l'une de mes inventions l'arbre à côte de bœuf. C'était à la demande du ministre de l'écologie de l'époque car on s'était rendu compte que la production de bœuf en masse détruisait la peau des étoiles.
- Toc toc toc la peau des étoiles, oulala, quelle histoire, toc toc toc.
- Fle fle fle et la croûte du pain des petites pattes, fle fle fle.
- Attendez, la suite, écoutez en silence comme Avéame et moi.
- Oui écoutez mon histoire. Donc les bœufs étaient nourris avec de la sciure de bois et ça leur donnait des gaz terribles. Toute la journée ils émettaient de long pet qui pouvaient durer jusqu'à 1 heure sans interprétation. Le problème le gaz remontait dans le ciel et agressait la peau des étoiles.
J'avais donc inventé l'arbre à côte de bœuf et les animaux étaient devenus des bêtes de compagnie. Il n'était pas rare de croiser un Indien au supermarché avec son bœuf en laisse. Oui comme ma maîtresse promène Josiane sa vache.
Un jour une Indienne vient me voir et me demande si je pouvais faire quelque chose pour elle. Elle voulait que je fasse des nattes avec les poils de son dos.
C'est alors que j'avais trouvé que les Indiens avaient un système pileux monstrueux. J'ai donc créé un salon esthétique pour les rendre plus présentables. Il fallait les raser deux fois par jour c'était contraignant. J'ai donc signé un contrat avec, la marque Nivelmoi pour une crème révolutionnaire qui leur faisait tomber les poiles. Puis appeler en mission en Chine j'ai dû partir. Un jour j'apprends que je suis responsable des graves lésions de l'épiderme des Indiens du far west en hiver. En fait ils avaient la peau gercée. Car ils n'avaient plus de pull-over à se mettre.
- Des pull-over, quel rapport avec leurs poils ?
- Oui, je me pose la même question que Chatdore.
- Toc toc toc, moi je mets des pull-overs de plume d'aigle, toc toc toc.
- Fle fle fle, ma gendarme poète, elle fait dormir des oiseaux sur, son lit pour lui tenir chaud, fle fle fle.
- Oui et éventuellement, Josiane la vache, comme ça elle peut boire le vin nucléaire directement aux pis, bref.
Donc voilà ce que je ne savais pas c'est qu'ils tricotaient des pull-over avec leurs poils et le fait de ne plus en avoir avait ruiné leur économie car ils exportaient à l'international.
Et en plus, les habitants avaient de graves lésions à l'épiderme.
- Des pull-over en poil humain, c'est dément ça.
- Oui, Avéame, mais ça sera sans notre robe, chat chat chat.
- Toc toc toc, moi sans plume je rôtirais sur place, toc toc toc.
- Fle fle fle, moi je te prêterai mes plumes, fle fle fle. Et ma gendarme poète arrêterait les voleurs de tes plumes fle fle fle.
- Oui mes amis c'est un homme politique chauve qui m'a tiré d'affaire et les Indiens lui ont offert un toupet en poils de pieds. Voilà l'histoire mes amis.
Moi j'ai inventé le répare peau et enfin les pauvres indien n'avaient plus la peau rouge.

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