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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
À l'épicerie, le brigadier n'y croyait qu'à peine. Pourtant, c'était bien un chat qui était passé devant la boutique, à la vitesse d'une fusée.
- C'est inimaginable, mon maréchal, un chat qui court à cette vitesse, je n'ai jamais vu ça dans mes yeux vus qui ne l'avaient pas vu avant de l'avoir vu. J'ai cru que c'était une fusée, je vous l'assure.
- Je vais prévenir le général Tromp, c'est sûrement un espion russe qui prépare un attentat et il a dû être dérangé dans ses manœuvres. Je vais l'arrêté et lui collé au moins deux cent ans de bouton rouge et un sursis à perpétuité de chaise électrique. Je vais commencer mes investigations immédiatement.
Ma belle amazone, préparez vous à de folles nuits d'ivresses. Des courses-poursuites endiablées où vous ne manquerez pas de risquer de vous faire décapiter les deux bras par un tir de bazooka. Moi fièrement d'un chalumeau, je vous cautériserez vos mignons en vous faisant boire de l'alcool à quatre-vingt-dix degrés...
- Écoutez monsieur le général, je suis épicière pas militaire, donc je veux bien aller au restaurant avec vous, car vous êtes un bel homme, mais sans plus que ça, je vous l'assure.
- Calmons-nous, seul un cordon-bleu, oups, je ne sais plus ce que je dis moi-même. Seul un président de la République, peut trouver une solution. Laissez-moi le temps d'y réfléchir. Déjà, cette histoire de fusée et votre histoire d'espion russes me rappellent une vilaine histoire. C'était lors d'un voyage scolaire en URSS et à cause de mon cheveu frontal, j'ai détruit une fusée et j'ai failli être condamné à mort.
- Ha bon mon maréchal, l'explosion d'une fusée à cause d'un cheveu.
- Hé bien, oui, mon général, laisser moi vous l'expliquer. Voilà, un jour mon collège a organisé un voyage scolaire en Russie. Nous devions aller visiter une base de lancement de missile nucléaire. J'étais très intéressé par ce projet et ma mère me disait que c'était peut-être dangereux. Ne m'occupant pas de son avis, j'y ai été et ce fut un véritable cauchemar sur tout le long de la route pour commencer.
Tout a commencé dès la sortie de Paris en direction de Strasbourg. La veille au soir, avant le départ, j'ai eu une terrible fringale et j'ai demandé à ma mère de me préparer des cordons-bleus panés au Benco farcis dans de la moutarde. J'en suis extrêmement friand. Oui, mais voilà cela me donne la colique. Ne voulant pas écouter ma maman j'en ai quand même mangé et le lendemain dans le car en partant, j'ai dû courir voir le chauffeur pour lui demander de s'arrêter de toute urgence sous peine de repeindre le plafond du car. En arrivant vers lui, j'ai heurté le rétroviseur avec mon cheveu. Celui-ci s'était déréglé et l'homme qui avait un strabisme voyait la droite à gauche et vice-versa. C'est ainsi qu'en repartant sur l'autoroute qu'il a vu un camion à droite qui était sur sa gauche et que nous avons eu un accident. Le car était mort, mais nous étions tous indemne. La compagnie de car n'avait plus qu'un car avec la conduite anglaise et c'est comme ça que notre chauffeur s'est retrouvé au Havre pensant être à la frontière allemande. Donc nous sommes passés par l'Angleterre pour rejoindre l'Allemagne en bateau avec le car dessus. Arrivés en Allemagne, nous avons filé vers l'URSS sans s'arrêter, car nous étions en retard.
Arrivés à la frontière russe, les douaniers m'ont pris pour un espion et pensaient que je cachais un micro film dans mon cheveu. C'est ainsi que j'ai passé trois jours sous des rayons x avec mes camarades de classe avant qu'ils comprennent que c'était une malformation et ne se posent plus de questions sur les lunettes de plongée. Nous avons été, le lendemain, visitées la base de lancement des missiles nucléaires. Les militaires qui étaient là nous avaient formellement interdit de toucher à quoi que ce soit. Nous regardions un missile par une vitre et moi devant la console, j'ai demandé. Qu'est-ce que c'est que ce bouton rouge en me penchant et relevant la tête, je ne vis plus le dit missile qui était déjà en partance pour l'Europe. Heureusement, grâce à la rapidité des Russes, ce missile a été détruit dans les airs. J'avais failli déclencher la troisième guerre mondiale à cause de mon cheveu. Par la suite, j'ai été condamné à la prison à vie. Mais suite à une grâce présidentielle, je suis rentré en France avec un avion privé que j'ai fait écraser à l'atterrissage en perçant une gaine avec mon cheveu dans une cloison. Le court-circuit que cela avait provoqué a fait exploser l'avion dans les airs. Heureusement, nous avions des sièges éjectables. C'est ainsi que nous sommes arrivé à Orly. Arrivant au sol en parachute pour tout le monde et moi sur le ventre me cassant les deux bras. En levant la tête, j'avais crevé le parachute à seize mètres du sol. Voilà, voyez, c'est une petite anecdote, mais je m'en souviens encore.
Ainos revenait tranquillement vers le terrain.
Pendant ce temps les trois foies jaunes qui étaient à l'étang mangeaient paisiblement sans savoir qu'Avéame était évadée.
Le cochon jaune reçu une nouvelle correction de la part de Pêcheur pour l'acte odieux qu'il avait tenté. C'est-à-dire essayer d'envoyer un coup de pied à Lolo.
Pêcheur, Chatdore, Coin-coin et Avéame étaient dans la voiture à Pépère que conduisait Pêcheur avec prudence.
- Toc toc toc, je suis le meilleur pilote au monde, toc toc toc.
- Fle fle fle, vas-y Pêcheur, roule, roule, mon copain fle fle fle, il y a peut-être ma love gendarme sur le terrain.
Le Pépère se remettait de ses émotions, ainsi que Sybage, Lolo, Bibou et Turbo dont les pattes avaient surchauffées.
Bon les copains, nous allons nous reposer un peu et ensuite moi, je repars vers le canal le réparer.
Bibou tu vas rester ici et surveiller bout de râteau pour jardinier polonais alcoolisé au vin jordanien. Sybage tu vas rester ici et j'emmène, turbo et Lolo avec la siamoise à Fripouille. Je reviendrais après pour chercher Coin-coin et Pêcheur et repartirai en hélicoptère.
- Déjà, il faut délivrer la siamoise de Fripouille sinon comment veux tu la ramené.
- Écoute Turbo, Ainos m'a envoyé un message à l'instant. Elle l'a fait s'évader avec Chatdore et elle arrive d'ici quelques minutes.
- Hé bien, elle est classe ta chatmoureuse mon copain.
- C'est normal, car qui s'assemble se rassemble. Déjà, je vais lui faire fabriquer des Nike comme les miennes. Moi, je vais m'en faire faire une paire avec écrit Pépère the best heros cousu d'or. Hé oui Lolo, tout ce qui brille n'est pas de l'or, mais tout ce qui est brillant s'appelle Pépère.
- Oui, qui se ressemble s'assemble chat chat chat, tu me fais rire Pépère.
- Hé bien Sybage, ce n'est pas drôle pourtant. Regarde mes deux recordmans du lever de coude à côté. L'un cire le cul des bouteille l'autre les goulots de fioles de rhum. L'un boit comme un trou l'autre est un estomac sur patte. L'un casse des voiture en voulant battre des record d'alcoolémie et l'autre brûle les éthylomètres en faisant la même chose. L'une me doit trois cartons de saucissons et l'autre dévore mes croquettes et mes sachets. L'une me nourrit de croquettes pourries remplies de cocaïne et l'autre de cailloux et de rogatons. Maintenant dernier jeu à la mode, ils font des concours d'insultes à mon égard dont la pire est, fifille justement énoncé par ma maîtresse que j'aime, ce qui est très vexant croyez moi. Même à son ami portugais, elle lui a dit mon love gros bidon, c'est une vraie fifille qui a peur des oiseaux et des souris. Elle ne le sait pas, mais je l'ai formellement entendu, je m'étais déguisé en truelle quand son ami réparait la grotte des moines de Lourdes.
Tout en parlant le Pépère avançait vers le fourgon au moment où arrivait sa chatmoureuse.
- Mais amis, portez moi à ma chate love. Un roi revenant du combat doit être porté en triomphe.
C'est ainsi que Lolo et Turbo croisèrent leurs pattes et reçurent Pépère dont la queue était tenue en l'air par Sybage qui marchait derrière. C'est à ce moment qu'un petit mulot passa devant. Le Pépère fit un bon comme s'il eut été monté sur un siège électrique.
Il retomba sur ses pattes devant Ainos.
- Mon love roudoudou, mon love gros bidon, je t'ai vu, chat chat chat, tu as peur des souris comme une chatfifille, chat chat chat.
Pépère était consterné et pensait dans sa tête, et si s'était mon aubergine des marchés de Lourdes déguisée en ma chatmoureuse venu ici m'espionner pour le brontosaure buveur de jus de raisin nucléaire...
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Dernière édition:

Cortisone

Maître Poète
#2
À l'épicerie, le brigadier n'y croyait qu'à peine. Pourtant, c'était bien un chat qui était passé devant la boutique, à la vitesse d'une fusée.
- C'est inimaginable, mon maréchal, un chat qui court à cette vitesse, je n'ai jamais vu ça dans mes yeux vus qui ne l'avaient pas vu avant de l'avoir vu. J'ai cru que c'était une fusée, je vous l'assure.
- Je vais prévenir le général Tromp, c'est sûrement un espion russe qui prépare un attentat et il a dû être dérangé dans ses manœuvres. Je vais l'arrêté et lui collé au moins deux cent ans de bouton rouge et un sursis à perpétuité de chaise électrique. Je vais commencer mes investigations immédiatement.
Ma belle amazone, préparez vous à de folles nuits d'ivresses. Des courses-poursuites endiablées où vous ne manquerez pas de risquer de vous faire décapiter les deux bras par un tir de bazooka. Moi fièrement d'un chalumeau, je vous cautériserez vos mignons en vous faisant boire de l'alcool à quatre-vingt-dix degrés...
- Écoutez monsieur le général, je suis épicière pas militaire, donc je veux bien aller au restaurant avec vous, car vous êtes un bel homme, mais sans plus que ça, je vous l'assure.
- Calmons-nous, seul un cordon-bleu, oups, je ne sais plus ce que je dis moi-même. Seul un président de la République, peut trouver une solution. Laissez-moi le temps d'y réfléchir. Déjà, cette histoire de fusée et votre histoire d'espion russes me rappellent une vilaine histoire. C'était lors d'un voyage scolaire en URSS et à cause de mon cheveu frontal, j'ai détruit une fusée et j'ai failli être condamné à mort.
- Ha bon mon maréchal, l'explosion d'une fusée à cause d'un cheveu.
- Hé bien, oui, mon général, laisser moi vous l'expliquer. Voilà, un jour mon collège a organisé un voyage scolaire en Russie. Nous devions aller visiter une base de lancement de missile nucléaire. J'étais très intéressé par ce projet et ma mère me disait que c'était peut-être dangereux. Ne m'occupant pas de son avis, j'y ai été et ce fut un véritable cauchemar sur tout le long de la route pour commencer.
Tout a commencé dès la sortie de Paris en direction de Strasbourg. La veille au soir, avant le départ, j'ai eu une terrible fringale et j'ai demandé à ma mère de me préparer des cordons-bleus panés au Benco farcis dans de la moutarde. J'en suis extrêmement friand. Oui, mais voilà cela me donne la colique. Ne voulant pas écouter ma maman j'en ai quand même mangé et le lendemain dans le car en partant, j'ai dû courir voir le chauffeur pour lui demander de s'arrêter de toute urgence sous peine de repeindre le plafond du car. En arrivant vers lui, j'ai heurté le rétroviseur avec mon cheveu. Celui-ci s'était déréglé et l'homme qui avait un strabisme voyait la droite à gauche et vice-versa. C'est ainsi qu'en repartant sur l'autoroute qu'il a vu un camion à droite qui était sur sa gauche et que nous avons eu un accident. Le car était mort, mais nous étions tous indemne. La compagnie de car n'avait plus qu'un car avec la conduite anglaise et c'est comme ça que notre chauffeur s'est retrouvé au Havre pensant être à la frontière allemande. Donc nous sommes passés par l'Angleterre pour rejoindre l'Allemagne en bateau avec le car dessus. Arrivés en Allemagne, nous avons filé vers l'URSS sans s'arrêter, car nous étions en retard.
Arrivés à la frontière russe, les douaniers m'ont pris pour un espion et pensaient que je cachais un micro film dans mon cheveu. C'est ainsi que j'ai passé trois jours sous des rayons x avec mes camarades de classe avant qu'ils comprennent que c'était une malformation et ne se posent plus de questions sur les lunettes de plongée. Nous avons été, le lendemain, visitées la base de lancement des missiles nucléaires. Les militaires qui étaient là nous avaient formellement interdit de toucher à quoi que ce soit. Nous regardions un missile par une vitre et moi devant la console, j'ai demandé. Qu'est-ce que c'est que ce bouton rouge en me penchant et relevant la tête, je ne vis plus le dit missile qui était déjà en partance pour l'Europe. Heureusement, grâce à la rapidité des Russes, ce missile a été détruit dans les airs. J'avais failli déclencher la troisième guerre mondiale à cause de mon cheveu. Par la suite, j'ai été condamné à la prison à vie. Mais suite à une grâce présidentielle, je suis rentré en France avec un avion privé que j'ai fait écraser à l'atterrissage en perçant une gaine avec mon cheveu dans une cloison. Le court-circuit que cela avait provoqué a fait exploser l'avion dans les airs. Heureusement, nous avions des sièges éjectables. C'est ainsi que nous sommes arrivé à Orly. Arrivant au sol en parachute pour tout le monde et moi sur le ventre me cassant les deux bras. En levant la tête, j'avais crevé le parachute à seize mètres du sol. Voilà, voyez, c'est une petite anecdote, mais je m'en souviens encore.
Ainos revenait tranquillement vers le terrain.
Pendant ce temps les trois foies jaunes qui étaient à l'étang mangeaient paisiblement sans savoir qu'Avéame était évadée.
Le cochon jaune reçu une nouvelle correction de la part de Pêcheur pour l'acte odieux qu'il avait tenté. C'est-à-dire essayer d'envoyer un coup de pied à Lolo.
Pêcheur, Chatdore, Coin-coin et Avéame étaient dans la voiture à Pépère que conduisait Pêcheur avec prudence.
- Toc toc toc, je suis le meilleur pilote au monde, toc toc toc.
- Fle fle fle, vas-y Pêcheur, roule, roule, mon copain fle fle fle, il y a peut-être ma love gendarme sur le terrain.
Le Pépère se remettait de ses émotions, ainsi que Sybage, Lolo, Bibou et Turbo dont les pattes avaient surchauffées.
Bon les copains, nous allons nous reposer un peu et ensuite moi, je repars vers le canal le réparer.
Bibou tu vas rester ici et surveiller bout de râteau pour jardinier polonais alcoolisé au vin jordanien. Sybage tu vas rester ici et j'emmène, turbo et Lolo avec la siamoise à Fripouille. Je reviendrais après pour chercher Coin-coin et Pêcheur et repartirai en hélicoptère.
- Déjà, il faut délivrer la siamoise de Fripouille sinon comment veux tu la ramené.
- Écoute Turbo, Ainos m'a envoyé un message à l'instant. Elle l'a fait s'évader avec Chatdore et elle arrive d'ici quelques minutes.
- Hé bien, elle est classe ta chatmoureuse mon copain.
- C'est normal, car qui s'assemble se rassemble. Déjà, je vais lui faire fabriquer des Nike comme les miennes. Moi, je vais m'en faire faire une paire avec écrit Pépère the best heros cousu d'or. Hé oui Lolo, tout ce qui brille n'est pas de l'or, mais tout ce qui est brillant s'appelle Pépère.
- Oui, qui se ressemble s'assemble chat chat chat, tu me fais rire Pépère.
- Hé bien Sybage, ce n'est pas drôle pourtant. Regarde mes deux recordmans du lever de coude à côté. L'un cire le cul des bouteille l'autre les goulots de fioles de rhum. L'un boit comme un trou l'autre est un estomac sur patte. L'un casse des voiture en voulant battre des record d'alcoolémie et l'autre brûle les éthylomètres en faisant la même chose. L'une me doit trois cartons de saucissons et l'autre dévore mes croquettes et mes sachets. L'une me nourrit de croquettes pourries remplies de cocaïne et l'autre de cailloux et de rogatons. Maintenant dernier jeu à la mode, ils font des concours d'insultes à mon égard dont la pire est, fifille justement énoncé par ma maîtresse que j'aime, ce qui est très vexant croyez moi. Même à son ami portugais, elle lui a dit mon love gros bidon, c'est une vraie fifille qui a peur des oiseaux et des souris. Elle ne le sait pas, mais je l'ai formellement entendu, je m'étais déguisé en truelle quand son ami réparait la grotte des moines de Lourdes.
Tout en parlant le Pépère avançait vers le fourgon au moment où arrivait sa chatmoureuse.
- Mais amis, portez moi à ma chate love. Un roi revenant du combat doit être porté en triomphe.
C'est ainsi que Lolo et Turbo croisèrent leurs pattes et reçurent Pépère dont la queue était tenue en l'air par Sybage qui marchait derrière. C'est à ce moment qu'un petit mulot passa devant. Le Pépère fit un bon comme s'il eut été monté sur un siège électrique.
Il retomba sur ses pattes devant Ainos.
- Mon love roudoudou, mon love gros bidon, je t'ai vu, chat chat chat, tu as peur des souris comme une chatfifille, chat chat chat.
Pépère était consterné et pensait dans sa tête, et si s'était mon aubergine des marchés de Lourdes déguisée en ma chatmoureuse venu ici m'espionner pour le brontosaure buveur de jus de raisin nucléaire...
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J'aime beaucoup les péripéties avec le cheveu.à demain pour la suite.
Amicalement
Gaby