Chatdore arrivait vers la cabane de l'étang où l'attendait Ainos.
Elle le guettait et faisait attention à ne pas se faire voir par l'un des foies jaunes.
Elle vint vers lui et le reçu en lui faisant signe de parler doucement.
- Oui, Ainos ne t'inquiète pas, j'ai déjà fait ce genre de mission avec ton chatmoureux.
- Que fait-il mon love roudoudou ?
- Écoute, il est en train d'enquêter sur la disparition de Bibou qui a été kidnappé au fond du terrain alors qu'il était avec Sybage.
Lolo est parti le rejoindre et Pêcheur et Coin-coin garde la voiture de Pépère dans le chemin. L'un des foies jaune est là-bas et ils le gardent. S'il revient par ici, Pêcheur peut nous contacter avec le Chatmsung de Pépère, il a pris son vieil ipomme.
- D'accord Chatdore, lequel est là-bas ?
- Le cochon pourquoi, tu me demandes ça ?
- Il y était déjà tout à l'heure, c'est le plus idiot, il n'y a aucun risque avec lui.
- D'autant plus que Lolo lui a envoyé un bon coup de taser dans le museau.
Bon, je t'écoute Ainos, que faut-il que je fasse pour t'aider.
- Regarde, là il y a un parpaing à moitié décelé, Avéame qui est derrière, va pousser celui-ci pendant que nous le tirerons de chaque côté de l'extérieur à deux pattes chacun.
Chatdore et Ainos se mirent au travail et Avéame poussait de l'autre côté en même temps.
- Allez, Avéame, encore un petit effort nous y sommes presque.
C'est à cet instant qu'un bruit sourd s'était fait entendre juste derrière la siamoise à l'intérieur.
- J'ai perdu mon œil, je veux que l'on me rende mon œil, j'ai perdu mon œil.
C'était Merguez qui était venu voir la chatte et qui s'était pris les pieds dans le tapis. En tombant, il pensait avoir perdu l'œil de verre qu'avait manger un peu plus tôt Ragoût.
Cette alerte inopinée permis à Ainos et Lolo d'avoir le temps de repositionner le parpaing avant d'être découvert. Il s'en était fallu d'une seconde et ils se faisaient tous prendre au piège, car le Ragoût n'était pas très loin de la fenêtre à l'extérieur et il était venu voir par la fenêtre pourquoi Merguez hurlait ainsi.
Ainos et Chatdore eurent le temps d'aller se cacher derrière un fourré un peu plus loin.
Avéame eut le temps de sauter dans la couchette qu'on lui avait laissée et ni Ragoût ni Merguez ne vit ce qu'elle était en train de commettre.
Chatdore et Ainos d'où ils étaient, voyaient distinctement Ragoût et ils entendaient aussi bien Merguez qui était à l'intérieur et qui avait ouvert la fenêtre.
- Qu'est que tu as, à hurler comme la sono de la voiture à cochon.
- J'ai perdu mon œil !
- Oui, il y a déjà un moment, ne t'inquiète pas, on ne lâche rien.
- Mais, là, à l'instant, en tombant, j'ai perdu mon œil de verre.
- Comment ça qui t'est tombé dessus, attends, j'arrive pour te défendre.
- Mais non, je me suis pris les pieds dans le tapis et j'ai perdu mon œil de verre.
- C'est énorme ça, Tapis, c'est Tapis qui t'a crevé l'œil ?
- Non le tapis de sol, et mon œil, j'y repense, c'est toi qui l'a mangé tout à l'heure.
- Ha, bon, je ne savais pas que Bernard faisait des essuies pied, bref. Que fais-tu ici ?
- Je suis venu voir si la minette avait mangé ses sardines. Elle n'y a pas touché, je lui ai pourtant laissé un ouvre-boîte.
C'est à ce moment qu'arrivait Cecilia juste derrière Ragoût.
- Ça va finir vos histoires de crier comme ça à l'extérieur. N'importe qui peut nous entendre du chemin, vous êtes fous où quoi.
Merguez lui expliqua toute l'affaire et la jeune femme vint vers la fenêtre et vit la boîte de sardines et l'ouvre-boîte.
- Pauvre idiot, amène lui une rallonge. Elle n'a pas l'électricité pour le brancher la prise de courant est trop loin.
- Ça marche avec le courant ça ?
- Oui, comment tu veux que ça tourne sans électricité.
Merguez repartit et revint avec une rallonge qu'il posa dans la pièce. Les trois compères repartirent dans la pièce principale et Chatdore et Ainos revinrent précipitamment. C'était le moment, ils ne risquaient pas de revenir, car les trois étaient en train de manger.
C'est ainsi qu'Avéame fut libérée et que les trois chats partirent en courant.
- Toc toc toc, regarde en face, toc toc toc, c'est Chatdore et Ainos et une minette.
- Fle fle fle, c'est la chatmoureuse de Fripouille, fle fle fle, elle est sauvée, fle fle fle, attends le cochon se réveille.
Coin-coin sortit de la voiture et se précipita vers l'homme qui commençait à remuer au sol, prêt à se relever.
- Fle fle fle, prends ça faquin, fle fle fle, ça c'est pour ma gendarme love poète, fle fle fle et ça pour avoir essayé de faire du mal à mon copain Lolo, fle fle fle, ce n'est pas toi qui va faire la loi, fle fle fle, déjà qu'un canarex ne m'effraie pas, fle fle fle.
L'homme fut aussitôt mis hors d'état par Coin-coin. Il remonta dans la voiture de Pépère. Chadore arrivait avec Avéame et Ainos décida de partir à patte tandis que Chatdore monta avec la siamoise. Pêcheur était déjà bec sur le volant.
- Toc toc toc, nous retournons sur le terrain, toc toc toc, c'est moi qui conduis, toc toc toc.
Près de la soucoupe, c'était une victoire totale pour Turbo et Pépère. Non seulement, ils avaient sauvé Bibou, mais la chatte robot était définitivement détruite.
Le pauvre chien revenait à lui doucement et il finit par se lever seul.
- Whouaf tu es mon whouaf et que je te whouaf je fais whouaf whouaf...
- Chat chat où t'es où as-tu mis ton chat chat.
- Je suis la fusée, yes, je cours plus vite qu'un train, yes.
- Mon cousin, tu es le plus fort.
- Whouaf, qu'est qu'il s'est passé après que l'on se soit écrasé.
- J'arrive mes copains, je me remettais de mon électrocution
Le Pépère était toujours près à briller en société et décida de raconter son histoire propre.
- Hé bien, mon copain, Sybage t'a sauvé la vie. Je vais t'expliquer comment ça s'est passé.
Voilà, elle m'a appelé sur mon Chatmsung pour me prévenir que tu avais été enlevé par une feuille en argent qui s'était transformé en soucoupe.
Au début, j'ai cru que s'était une invention de ma gouttière de toit de fût à vinasse. Je pensais, peut-être que ma love maîtresse veut me rapporter mes saucissons en express et il lui a fait une soucoupe avec des capsules de bière. Qu'il t'avait emmené pour faire un essai de vol. Après que je sois arrivé sur le terrain, j'ai compris que non.
En effet, le salopard était au téléphone avec mon aubergine. Moi pauvre souffreteux, j'ai été à sa porte pour réclamer à manger pour prendre des forces. Oui, je voulais économiser mes poulets pour en recommander avant chez la vilaine. C'est alors que j'ai entendu les pires horreurs sur moi. Le potiron pour fabrication de goutte artisanale m'a dit, tu vas foutre le camp. Puis ma tomate vinassée ( Que j'aime je précise) m'a dit va t'en bouboule vas voir la panthère dans la savane ou si la vilaine t'a fait cuire un poulet. Puis ils se sont mis à faire un concours de grossièreté à mon sujet. Bouboule, le petit gros, gras double, roublard, casanier, et la pire des insultes qu'ils m'aient dite, la fifille à plusieurs reprise. C'est alors que j'ai été rejoindre Sybage. Lolo était revenu me voir entre temps et le soûlard avait branché une clôture électrique, oui mon pauvre Bibou une clôture électrifiée sur la poignée de son capharnaüm. C'est pour ça que Lolo a failli être électrocuté une deuxième fois, car il avait déjà pris une décharge avec le taser de sœur Mathilde avec lequel il avait mis hors d'état le cochon. Donc Lolo est arrivé à lui voler dix gaufres et j'ai partagé équitablement comme toujours, c'est-à-dire très peu pour moi et le reste pour les autres. C'est alors que Sybage a senti de la fumée. Je suis venu ici pendant que Lolo se reposait proche du fourgon à vinasse nucléaire à cause de son électrocution. C'est alors que j'ai dégagé la forêt autour de la soucoupe en arrachant les arbres à coups de queue. C'est en faisant ce travail que j'en ai pris un sur le museau. Grâce à ma force légendaire, je suis arrivé à me dégager. Entre temps Sybage avait rappelé Turbo de Sancoins et quand il est arrivé, j'ai dû lui refroidir ses pattes qui étaient montées à plus de trois cents degrés. Sybage, héroïquement t'a sorti de la soucoupe après avoir cassé la paroi avec une pierre et moi, j'ai éteins la soucoupe.
- Whouaf quelle histoire.
Toute la bande se mit à chanter.
- Whouaf tu es mon whouaf et que je te whouaf je fais whouaf whouaf...
Chat chat où t'es, mais où as-tu mis ton chat chat.
Isidore le citadin dans la ville crie victoire.
Elle le guettait et faisait attention à ne pas se faire voir par l'un des foies jaunes.
Elle vint vers lui et le reçu en lui faisant signe de parler doucement.
- Oui, Ainos ne t'inquiète pas, j'ai déjà fait ce genre de mission avec ton chatmoureux.
- Que fait-il mon love roudoudou ?
- Écoute, il est en train d'enquêter sur la disparition de Bibou qui a été kidnappé au fond du terrain alors qu'il était avec Sybage.
Lolo est parti le rejoindre et Pêcheur et Coin-coin garde la voiture de Pépère dans le chemin. L'un des foies jaune est là-bas et ils le gardent. S'il revient par ici, Pêcheur peut nous contacter avec le Chatmsung de Pépère, il a pris son vieil ipomme.
- D'accord Chatdore, lequel est là-bas ?
- Le cochon pourquoi, tu me demandes ça ?
- Il y était déjà tout à l'heure, c'est le plus idiot, il n'y a aucun risque avec lui.
- D'autant plus que Lolo lui a envoyé un bon coup de taser dans le museau.
Bon, je t'écoute Ainos, que faut-il que je fasse pour t'aider.
- Regarde, là il y a un parpaing à moitié décelé, Avéame qui est derrière, va pousser celui-ci pendant que nous le tirerons de chaque côté de l'extérieur à deux pattes chacun.
Chatdore et Ainos se mirent au travail et Avéame poussait de l'autre côté en même temps.
- Allez, Avéame, encore un petit effort nous y sommes presque.
C'est à cet instant qu'un bruit sourd s'était fait entendre juste derrière la siamoise à l'intérieur.
- J'ai perdu mon œil, je veux que l'on me rende mon œil, j'ai perdu mon œil.
C'était Merguez qui était venu voir la chatte et qui s'était pris les pieds dans le tapis. En tombant, il pensait avoir perdu l'œil de verre qu'avait manger un peu plus tôt Ragoût.
Cette alerte inopinée permis à Ainos et Lolo d'avoir le temps de repositionner le parpaing avant d'être découvert. Il s'en était fallu d'une seconde et ils se faisaient tous prendre au piège, car le Ragoût n'était pas très loin de la fenêtre à l'extérieur et il était venu voir par la fenêtre pourquoi Merguez hurlait ainsi.
Ainos et Chatdore eurent le temps d'aller se cacher derrière un fourré un peu plus loin.
Avéame eut le temps de sauter dans la couchette qu'on lui avait laissée et ni Ragoût ni Merguez ne vit ce qu'elle était en train de commettre.
Chatdore et Ainos d'où ils étaient, voyaient distinctement Ragoût et ils entendaient aussi bien Merguez qui était à l'intérieur et qui avait ouvert la fenêtre.
- Qu'est que tu as, à hurler comme la sono de la voiture à cochon.
- J'ai perdu mon œil !
- Oui, il y a déjà un moment, ne t'inquiète pas, on ne lâche rien.
- Mais, là, à l'instant, en tombant, j'ai perdu mon œil de verre.
- Comment ça qui t'est tombé dessus, attends, j'arrive pour te défendre.
- Mais non, je me suis pris les pieds dans le tapis et j'ai perdu mon œil de verre.
- C'est énorme ça, Tapis, c'est Tapis qui t'a crevé l'œil ?
- Non le tapis de sol, et mon œil, j'y repense, c'est toi qui l'a mangé tout à l'heure.
- Ha, bon, je ne savais pas que Bernard faisait des essuies pied, bref. Que fais-tu ici ?
- Je suis venu voir si la minette avait mangé ses sardines. Elle n'y a pas touché, je lui ai pourtant laissé un ouvre-boîte.
C'est à ce moment qu'arrivait Cecilia juste derrière Ragoût.
- Ça va finir vos histoires de crier comme ça à l'extérieur. N'importe qui peut nous entendre du chemin, vous êtes fous où quoi.
Merguez lui expliqua toute l'affaire et la jeune femme vint vers la fenêtre et vit la boîte de sardines et l'ouvre-boîte.
- Pauvre idiot, amène lui une rallonge. Elle n'a pas l'électricité pour le brancher la prise de courant est trop loin.
- Ça marche avec le courant ça ?
- Oui, comment tu veux que ça tourne sans électricité.
Merguez repartit et revint avec une rallonge qu'il posa dans la pièce. Les trois compères repartirent dans la pièce principale et Chatdore et Ainos revinrent précipitamment. C'était le moment, ils ne risquaient pas de revenir, car les trois étaient en train de manger.
C'est ainsi qu'Avéame fut libérée et que les trois chats partirent en courant.
- Toc toc toc, regarde en face, toc toc toc, c'est Chatdore et Ainos et une minette.
- Fle fle fle, c'est la chatmoureuse de Fripouille, fle fle fle, elle est sauvée, fle fle fle, attends le cochon se réveille.
Coin-coin sortit de la voiture et se précipita vers l'homme qui commençait à remuer au sol, prêt à se relever.
- Fle fle fle, prends ça faquin, fle fle fle, ça c'est pour ma gendarme love poète, fle fle fle et ça pour avoir essayé de faire du mal à mon copain Lolo, fle fle fle, ce n'est pas toi qui va faire la loi, fle fle fle, déjà qu'un canarex ne m'effraie pas, fle fle fle.
L'homme fut aussitôt mis hors d'état par Coin-coin. Il remonta dans la voiture de Pépère. Chadore arrivait avec Avéame et Ainos décida de partir à patte tandis que Chatdore monta avec la siamoise. Pêcheur était déjà bec sur le volant.
- Toc toc toc, nous retournons sur le terrain, toc toc toc, c'est moi qui conduis, toc toc toc.
Près de la soucoupe, c'était une victoire totale pour Turbo et Pépère. Non seulement, ils avaient sauvé Bibou, mais la chatte robot était définitivement détruite.
Le pauvre chien revenait à lui doucement et il finit par se lever seul.
- Whouaf tu es mon whouaf et que je te whouaf je fais whouaf whouaf...
- Chat chat où t'es où as-tu mis ton chat chat.
- Je suis la fusée, yes, je cours plus vite qu'un train, yes.
- Mon cousin, tu es le plus fort.
- Whouaf, qu'est qu'il s'est passé après que l'on se soit écrasé.
- J'arrive mes copains, je me remettais de mon électrocution
Le Pépère était toujours près à briller en société et décida de raconter son histoire propre.
- Hé bien, mon copain, Sybage t'a sauvé la vie. Je vais t'expliquer comment ça s'est passé.
Voilà, elle m'a appelé sur mon Chatmsung pour me prévenir que tu avais été enlevé par une feuille en argent qui s'était transformé en soucoupe.
Au début, j'ai cru que s'était une invention de ma gouttière de toit de fût à vinasse. Je pensais, peut-être que ma love maîtresse veut me rapporter mes saucissons en express et il lui a fait une soucoupe avec des capsules de bière. Qu'il t'avait emmené pour faire un essai de vol. Après que je sois arrivé sur le terrain, j'ai compris que non.
En effet, le salopard était au téléphone avec mon aubergine. Moi pauvre souffreteux, j'ai été à sa porte pour réclamer à manger pour prendre des forces. Oui, je voulais économiser mes poulets pour en recommander avant chez la vilaine. C'est alors que j'ai entendu les pires horreurs sur moi. Le potiron pour fabrication de goutte artisanale m'a dit, tu vas foutre le camp. Puis ma tomate vinassée ( Que j'aime je précise) m'a dit va t'en bouboule vas voir la panthère dans la savane ou si la vilaine t'a fait cuire un poulet. Puis ils se sont mis à faire un concours de grossièreté à mon sujet. Bouboule, le petit gros, gras double, roublard, casanier, et la pire des insultes qu'ils m'aient dite, la fifille à plusieurs reprise. C'est alors que j'ai été rejoindre Sybage. Lolo était revenu me voir entre temps et le soûlard avait branché une clôture électrique, oui mon pauvre Bibou une clôture électrifiée sur la poignée de son capharnaüm. C'est pour ça que Lolo a failli être électrocuté une deuxième fois, car il avait déjà pris une décharge avec le taser de sœur Mathilde avec lequel il avait mis hors d'état le cochon. Donc Lolo est arrivé à lui voler dix gaufres et j'ai partagé équitablement comme toujours, c'est-à-dire très peu pour moi et le reste pour les autres. C'est alors que Sybage a senti de la fumée. Je suis venu ici pendant que Lolo se reposait proche du fourgon à vinasse nucléaire à cause de son électrocution. C'est alors que j'ai dégagé la forêt autour de la soucoupe en arrachant les arbres à coups de queue. C'est en faisant ce travail que j'en ai pris un sur le museau. Grâce à ma force légendaire, je suis arrivé à me dégager. Entre temps Sybage avait rappelé Turbo de Sancoins et quand il est arrivé, j'ai dû lui refroidir ses pattes qui étaient montées à plus de trois cents degrés. Sybage, héroïquement t'a sorti de la soucoupe après avoir cassé la paroi avec une pierre et moi, j'ai éteins la soucoupe.
- Whouaf quelle histoire.
Toute la bande se mit à chanter.
- Whouaf tu es mon whouaf et que je te whouaf je fais whouaf whouaf...
Chat chat où t'es, mais où as-tu mis ton chat chat.
Isidore le citadin dans la ville crie victoire.
