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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Le brigadier était parti voir sa cousine pendant que le général Picolle gardait la Dacia selon les ordres du président.
Il était à côté de lui le téléphone en main en train d'essayer de joindre le ministre qui était égaré le long de la voie express.
Le pauvre était toujours avec Coco et celui-ci était aussi ahuri que lui d'avoir été oublié.
Le pauvre homme était derrière le rail de sécurité et faisait désespérément des signes aux véhicules pour que l'un d'eux s'arrête. La seule réponse qu'il obtint fut une peau de banane qu'il reçut en plein visage.
- Cocorico, c'est un pays de sauvages, tu es perdu et personne ne s'arrête. C'est comme moi qui dois payer la taxe du droit de chanter. J'ai peut-être une solution pour nous, mais je vais être obligé de m'absenter.
- Ha bon Coco, tu as une solution.
C'est quand même un peu fort ça, je parle avec un coq. Poète rêveur vous êtes sérieux, moi, Christophe Castaner parler avec cet animal.
- Oui, Monsieur le Ministre, c'est une fiction.
- Ne l'écouter pas, cet homme ment, c'est l'histoire vraie réelle pas fausse de Pépère, non mais soûlard, tu lui dis n'importe quoi, alors je corrige.
- Bon, la précision étant posée, je peux reprendre le cours de l'histoire.
- Oui, faites, Cher Auteur, Coco est mon ami.
- Tant qu'il ne vous traite pas de fifille ça va, ne vous inquiétez pas mon cher Totof, chat chat chat.
- Ha bon Coco, tu as une solution, comment comptes, tu t'y prendre.
- Cocorico, hé bien, j'ai des ailes et en suivant la route en volant, je pourrais retrouver vos amis.
- Ça, c'est une bonne idée, je vais aller attendre derrière dans le bois, cela m'évitera de me ramasser d'autres détritus sur le coin du museau.
C'est ainsi que Coco s'envola en direction de Mornay pour rechercher le président de la République pour qu'il vienne récupérer son ministre oublié sur les lieux.
Pendant ce temps, le chef de l'état essayait de le joindre sans succès. Du coup, il se résigna à appeler sœur Mathilde qui était en direction de Sancoins.
La sœur était au volant de la voiture du poète et le pape était à côté d'elle. Il était toujours à la recherche d'une prise pour son MP3 cela agaçait sœur Mathilde qui le regardait de travers. Tous deux étaient arrivés à Sancoins. Ils étaient garés sur le parking d'intermarcher pour acheter du vin, car le pape disait être victime d'une déshydratation des cordes vocales.
- Alors tu te dépêches Zébulon, si cela continue, je vais avoir besoin d'une chirurgie esthétique des cordes vocales. Elles sont dans un état de déshydratation très avancées. Si tu n'accélères pas le mouvement à ton retour, tu auras un pape avec les cordes vocales dans un état d'urgence absolu, voir un état de mort vocalique.
- Oui, et alors qu'est ce que tu veux que ça me fasse espèce de rappeur d'occasion, cela ne t'empêchera pas de faire ta messe.
- Ha oui, et comment je ferais, c'est toi qui feras office de haut-parleur, vieille dégarni de la cornette.
- Tu feras ta messe avec les mains comme font les sourds et muets ce n'est pas très compliqué, moi, j'y arrive très bien pour demander à boire. Attends, j'ai un message de sauce tartare cordon-bleu, que veut-il encore.
Ce n'est pas possible, nous avons oublié le ministre le long de la voie express. Bon écoute, je vais chercher le vin, tu n'as qu'à mettre tes cordes vocales sous assistance respiratoire en attendant. Tien, j'ai un défibrillateur, je te le laisse au cas où elles auraient une crise cadiovocalique, ha, ha, ha, ha.
Le brigadier était avec sa sœur qui lui expliquait les événements.
- Oui, un gros chat gris avec le bout des pattes blanches. Un sosie de Pépère qui sentait très mauvais. Quand je l'ai chassé, il a miaulé et il a un miaulement très particulier.
- Ha, bon, comment ça, un miaulement particulier.
- Il miaule comme une Fifille.
Juste après est venu son maître qui a réparer l'alarme incendie. Je le suppose responsable de la disparition d'une étagère de gâteau juste au-dessus du boîtier et d'un poulet entier. Bien qu'il en ait pris un et payé, je le soupçonne d'être capable d'en manger un d'une bouchée.
- Attends-tu veux dire, le millénaire qui est le maître de Pépère, l'homme qui roule illégalement avec un capot blanc et qui est soupçonné d'être un extraterrestre.
- Oui, lui-même, communément appelé, robocop ou bras d'acier jambe bionique enfin oui un ticket de métro sur patte, qui est reparti avant l'arrivée du cochon. J'ai noté le numéro de la plaque d'immatriculation.
- Bon écoute, je vais aller voir la brindille et éclaircir cette histoire de chat. Je pense que nous ne sommes pas loin de retrouver avant le détective, Pépère, la minette à Fripouille.
À la sortie du terrain du poète l'agriculture passait devant la voiture à Pépère pour déposer le cochon qui était garé quelques mètres plus loin. Les deux hommes ne pouvaient pas le voir du fait que son auto était invisible aux humains.
- Toc toc toc, c'est le foie jaune qui était devant la gendarmerie, toc toc toc, nous allons le corriger, toc toc toc.
- Fle fle fle, il a insulté ma gendarme poète, fle fle fle, il mérite d'être puni à coup de bec par les petites pattes, fle fle fle.
- Oui, Pépère, que faisons nous ?
- Hé bien, nous allons le corriger.
- Non, rien de tout ça mes amis, en le suivant, nous sommes assuré de retrouver la siamoise à Fripouille. Que faut-il, il monte dans la voiture du brontosaure désoreiller de l'orteil du genou gauche. J'ai compris, ça doit être un soûlard et c'est pour ça que ma maîtresse que j'aime fait le tour des ronds-points avec Josiane. Elle doit le ravitailler en vinasse et le soûlard doit lui prêter sa voiture pour rouler le vin.
C'est à l'instant même dont arrivait la Dacia avec le brigadier au volant. Le cochon eut le temps de voir le gyrophare et partit en courant dans l'allée avant de disparaître dans le bois.
Le Pépère regarda la scène et s'écria, restez ici mes amis, je vais voir le brigadier.
Le Pépère vint à côté de la voiture et attendit que l'homme se garât. Il ne voulait surtout pas qu'il sache que le cochon était dans le bois. Il comptait éloigner le brigadier pour continuer son enquête en attendant l'homme dans sa voiture qui lui était invisible pour le suivre.
Le brigadier le vit et se dirigea derrière la voiture et vint le trouver.
- Ha, Pépère, êtes vous le vrai agent ?
- Bien sûr que c'est moi, vous ne le reconnaissez donc pas.
- Si bien sûr, nous sommes à la recherche du cochon jaune qui a été signalé dans les parages, ne l'auriez-vous pas vu, à tout hasard ?
- Non, absolument pas et sachez que cette voiture appartient à l'estomac sur patte qui est là-bas dans son gourbi.
- Oui, j'ai vérifié au service des cartes grises et cette voiture qui lui appartenait à été volée à Sancoins. Le nouveau propriétaire n'a pas fait le changement.
Je vais aller chercher mes hommes restés aux monuments aux morts et je la mets sous scellé.
- Pourquoi, m'avez-vous demandé si s'était bien moi tout à l'heure ?
- Hé bien, c'est qu'un chat malfrat sévit dans la commune et ma cousine qui tient l'épicerie en a été victime.
- Ha bon, c'est étrange ça et que vous a-t-elle dit ?
- Hé, bien selon mon rapport, je vais vous le dire.
- Qu'avez-vous réellement constaté ?
- Réponse de l'interroger.
Un gros chat gris avec le bout des pattes blanches une espèce de sosie de Pépère qui sentait très mauvais était dans le local de la rôtissoire en train de dévorer les poulets à même le sol.
- vous n'avez rien remarqué d'autre.
- Réponse de l'interroger.
Quand je l'ai chassé, cette espèce de vilain pas beau a miaulé et il a un miaulement très particulier.
- Pouvez vous nous décrire ce miaulement particulier.
- réponse de l'interroger.
Il miaulait comme une Fifille.
- Que c'est il passé par la suite.
- Réponse de l'interroger.
Juste après est venu son maître qui a réparer l'alarme incendie. Je le suppose responsable de la disparition d'une étagère de gâteau juste au-dessus du boîtier et d'un poulet entier. Bien qu'il en ait pris un et payé, je le soupçonne d'être cette fifille qui s'était déguisée en humain.
- Voilà pour l'essentiel, bon, je retourne chercher le général et le président et mets cette voiture sous scellé.
Le Pépère était furax et retourna dans la voiture une fois que le brigadier fut hors de vue.
- Toc toc toc, ça n'a pas l'air d'aller, toc toc toc.
- Fle fle fle, as-tu des nouvelle de ma love gendarme, fle fle fle.
- Alors, que faisons nous ?
- Attends, Chatdore, j'ai l'impression que Pépère ne se sent pas bien.
- Si, je vais très bien et je suis profondément ulcéré de l'intelligence. Figurez-vous que ma soûlarde officie à l'épicerie en se déguisant. Je pense que c'est pour écouler le stock de vinasse nucléaire du nain de golf de Doubaï arrosé au champagne canadien millésimé. Figurez-vous qu'elle dit des choses horrible à mon sujet. Que je suis atteint d'obésité ce qui est faux, que je sens mauvais, alors que la classe et le lustre de Pépère est international. Pour finir elle dit à tout le monde que j'ai une voix de fifille.
Un gros chat gris avec le bout des pattes blanches une espèce de sosie de Pépère qui sentait très mauvais qui miaulait comme une Fifille que je soupçonne d'être cette fifille qui s'était déguisée en humain.
C'est une honte et ma vengeance sera terrible. Je vais faire mon enquête et je vais aussi m'occuper de la vilaine de l'épicerie qui doit lui fournir le déguisement et qui doit entretenir le même langage sur Pépère le plus beau chat au monde une honte. J'ai compris la vilaine ça doit être Charlotte la conductrice de car Strasbourgeoise et l'épicerie doit appartenir à Marc qui tiens le bar de Sancoins.




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#2
Le brigadier était parti voir sa cousine pendant que le général Picolle gardait la Dacia selon les ordres du président.
Il était à côté de lui le téléphone en main en train d'essayer de joindre le ministre qui était égaré le long de la voie express.
Le pauvre était toujours avec Coco et celui-ci était aussi ahuri que lui d'avoir été oublié.
Le pauvre homme était derrière le rail de sécurité et faisait désespérément des signes aux véhicules pour que l'un d'eux s'arrête. La seule réponse qu'il obtint fut une peau de banane qu'il reçut en plein visage.
- Cocorico, c'est un pays de sauvages, tu es perdu et personne ne s'arrête. C'est comme moi qui dois payer la taxe du droit de chanter. J'ai peut-être une solution pour nous, mais je vais être obligé de m'absenter.
- Ha bon Coco, tu as une solution.
C'est quand même un peu fort ça, je parle avec un coq. Poète rêveur vous êtes sérieux, moi, Christophe Castaner parler avec cet animal.
- Oui, Monsieur le Ministre, c'est une fiction.
- Ne l'écouter pas, cet homme ment, c'est l'histoire vraie réelle pas fausse de Pépère, non mais soûlard, tu lui dis n'importe quoi, alors je corrige.
- Bon, la précision étant posée, je peux reprendre le cours de l'histoire.
- Oui, faites, Cher Auteur, Coco est mon ami.
- Tant qu'il ne vous traite pas de fifille ça va, ne vous inquiétez pas mon cher Totof, chat chat chat.
- Ha bon Coco, tu as une solution, comment comptes, tu t'y prendre.
- Cocorico, hé bien, j'ai des ailes et en suivant la route en volant, je pourrais retrouver vos amis.
- Ça, c'est une bonne idée, je vais aller attendre derrière dans le bois, cela m'évitera de me ramasser d'autres détritus sur le coin du museau.
C'est ainsi que Coco s'envola en direction de Mornay pour rechercher le président de la République pour qu'il vienne récupérer son ministre oublié sur les lieux.
Pendant ce temps, le chef de l'état essayait de le joindre sans succès. Du coup, il se résigna à appeler sœur Mathilde qui était en direction de Sancoins.
La sœur était au volant de la voiture du poète et le pape était à côté d'elle. Il était toujours à la recherche d'une prise pour son MP3 cela agaçait sœur Mathilde qui le regardait de travers. Tous deux étaient arrivés à Sancoins. Ils étaient garés sur le parking d'intermarcher pour acheter du vin, car le pape disait être victime d'une déshydratation des cordes vocales.
- Alors tu te dépêches Zébulon, si cela continue, je vais avoir besoin d'une chirurgie esthétique des cordes vocales. Elles sont dans un état de déshydratation très avancées. Si tu n'accélères pas le mouvement à ton retour, tu auras un pape avec les cordes vocales dans un état d'urgence absolu, voir un état de mort vocalique.
- Oui, et alors qu'est ce que tu veux que ça me fasse espèce de rappeur d'occasion, cela ne t'empêchera pas de faire ta messe.
- Ha oui, et comment je ferais, c'est toi qui feras office de haut-parleur, vieille dégarni de la cornette.
- Tu feras ta messe avec les mains comme font les sourds et muets ce n'est pas très compliqué, moi, j'y arrive très bien pour demander à boire. Attends, j'ai un message de sauce tartare cordon-bleu, que veut-il encore.
Ce n'est pas possible, nous avons oublié le ministre le long de la voie express. Bon écoute, je vais chercher le vin, tu n'as qu'à mettre tes cordes vocales sous assistance respiratoire en attendant. Tien, j'ai un défibrillateur, je te le laisse au cas où elles auraient une crise cadiovocalique, ha, ha, ha, ha.
Le brigadier était avec sa sœur qui lui expliquait les événements.
- Oui, un gros chat gris avec le bout des pattes blanches. Un sosie de Pépère qui sentait très mauvais. Quand je l'ai chassé, il a miaulé et il a un miaulement très particulier.
- Ha, bon, comment ça, un miaulement particulier.
- Il miaule comme une Fifille.
Juste après est venu son maître qui a réparer l'alarme incendie. Je le suppose responsable de la disparition d'une étagère de gâteau juste au-dessus du boîtier et d'un poulet entier. Bien qu'il en ait pris un et payé, je le soupçonne d'être capable d'en manger un d'une bouchée.
- Attends-tu veux dire, le millénaire qui est le maître de Pépère, l'homme qui roule illégalement avec un capot blanc et qui est soupçonné d'être un extraterrestre.
- Oui, lui-même, communément appelé, robocop ou bras d'acier jambe bionique enfin oui un ticket de métro sur patte, qui est reparti avant l'arrivée du cochon. J'ai noté le numéro de la plaque d'immatriculation.
- Bon écoute, je vais aller voir la brindille et éclaircir cette histoire de chat. Je pense que nous ne sommes pas loin de retrouver avant le détective, Pépère, la minette à Fripouille.
À la sortie du terrain du poète l'agriculture passait devant la voiture à Pépère pour déposer le cochon qui était garé quelques mètres plus loin. Les deux hommes ne pouvaient pas le voir du fait que son auto était invisible aux humains.
- Toc toc toc, c'est le foie jaune qui était devant la gendarmerie, toc toc toc, nous allons le corriger, toc toc toc.
- Fle fle fle, il a insulté ma gendarme poète, fle fle fle, il mérite d'être puni à coup de bec par les petites pattes, fle fle fle.
- Oui, Pépère, que faisons nous ?
- Hé bien, nous allons le corriger.
- Non, rien de tout ça mes amis, en le suivant, nous sommes assuré de retrouver la siamoise à Fripouille. Que faut-il, il monte dans la voiture du brontosaure désoreiller de l'orteil du genou gauche. J'ai compris, ça doit être un soûlard et c'est pour ça que ma maîtresse que j'aime fait le tour des ronds-points avec Josiane. Elle doit le ravitailler en vinasse et le soûlard doit lui prêter sa voiture pour rouler le vin.
C'est à l'instant même dont arrivait la Dacia avec le brigadier au volant. Le cochon eut le temps de voir le gyrophare et partit en courant dans l'allée avant de disparaître dans le bois.
Le Pépère regarda la scène et s'écria, restez ici mes amis, je vais voir le brigadier.
Le Pépère vint à côté de la voiture et attendit que l'homme se garât. Il ne voulait surtout pas qu'il sache que le cochon était dans le bois. Il comptait éloigner le brigadier pour continuer son enquête en attendant l'homme dans sa voiture qui lui était invisible pour le suivre.
Le brigadier le vit et se dirigea derrière la voiture et vint le trouver.
- Ha, Pépère, êtes vous le vrai agent ?
- Bien sûr que c'est moi, vous ne le reconnaissez donc pas.
- Si bien sûr, nous sommes à la recherche du cochon jaune qui a été signalé dans les parages, ne l'auriez-vous pas vu, à tout hasard ?
- Non, absolument pas et sachez que cette voiture appartient à l'estomac sur patte qui est là-bas dans son gourbi.
- Oui, j'ai vérifié au service des cartes grises et cette voiture qui lui appartenait à été volée à Sancoins. Le nouveau propriétaire n'a pas fait le changement.
Je vais aller chercher mes hommes restés aux monuments aux morts et je la mets sous scellé.
- Pourquoi, m'avez-vous demandé si s'était bien moi tout à l'heure ?
- Hé bien, c'est qu'un chat malfrat sévit dans la commune et ma cousine qui tient l'épicerie en a été victime.
- Ha bon, c'est étrange ça et que vous a-t-elle dit ?
- Hé, bien selon mon rapport, je vais vous le dire.
- Qu'avez-vous réellement constaté ?
- Réponse de l'interroger.
Un gros chat gris avec le bout des pattes blanches une espèce de sosie de Pépère qui sentait très mauvais était dans le local de la rôtissoire en train de dévorer les poulets à même le sol.
- vous n'avez rien remarqué d'autre.
- Réponse de l'interroger.
Quand je l'ai chassé, cette espèce de vilain pas beau a miaulé et il a un miaulement très particulier.
- Pouvez vous nous décrire ce miaulement particulier.
- réponse de l'interroger.
Il miaulait comme une Fifille.
- Que c'est il passé par la suite.
- Réponse de l'interroger.
Juste après est venu son maître qui a réparer l'alarme incendie. Je le suppose responsable de la disparition d'une étagère de gâteau juste au-dessus du boîtier et d'un poulet entier. Bien qu'il en ait pris un et payé, je le soupçonne d'être cette fifille qui s'était déguisée en humain.
- Voilà pour l'essentiel, bon, je retourne chercher le général et le président et mets cette voiture sous scellé.
Le Pépère était furax et retourna dans la voiture une fois que le brigadier fut hors de vue.
- Toc toc toc, ça n'a pas l'air d'aller, toc toc toc.
- Fle fle fle, as-tu des nouvelle de ma love gendarme, fle fle fle.
- Alors, que faisons nous ?
- Attends, Chatdore, j'ai l'impression que Pépère ne se sent pas bien.
- Si, je vais très bien et je suis profondément ulcéré de l'intelligence. Figurez-vous que ma soûlarde officie à l'épicerie en se déguisant. Je pense que c'est pour écouler le stock de vinasse nucléaire du nain de golf de Doubaï arrosé au champagne canadien millésimé. Figurez-vous qu'elle dit des choses horrible à mon sujet. Que je suis atteint d'obésité ce qui est faux, que je sens mauvais, alors que la classe et le lustre de Pépère est international. Pour finir elle dit à tout le monde que j'ai une voix de fifille.
Un gros chat gris avec le bout des pattes blanches une espèce de sosie de Pépère qui sentait très mauvais qui miaulait comme une Fifille que je soupçonne d'être cette fifille qui s'était déguisée en humain.
C'est une honte et ma vengeance sera terrible. Je vais faire mon enquête et je vais aussi m'occuper de la vilaine de l'épicerie qui doit lui fournir le déguisement et qui doit entretenir le même langage sur Pépère le plus beau chat au monde une honte. J'ai compris la vilaine ça doit être Charlotte la conductrice de car Strasbourgeoise et l'épicerie doit appartenir à Marc qui tiens le bar de Sancoins.




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Encore un bon moment de lecture.
A demain pour la suite
Amicalement
Gaby