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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Momo, qui était vers les tentes, entendit les appels de Cookie et partit avec sa grâce légendaire même s'il se dépêchait de marcher. Il avait largement le temps d'arriver à la cabane avant que Lucie qui était vers la maison à Rookie ne soit revenue. Sous le soleil jetant en cascade ses flots d'or, il avançait à travers les herbes. Comme un sphinx royal chacun de ses pas était une ode à la magnificence. Ses moustaches, qui se gorgeaient de reflets irisés, semblaient porter mille perles d'opale qui le rendait encore plus beau. N'importe quel passant l'ayant vu, marché ainsi au travers de l'écume de lumière versée par l'azur aurait pu croire, apercevoir une divinité venue d'un conte de l'Iblis. Peut-être même qu'en fermant les yeux le simple passant se serait cru aux pieds des hautes nécropoles Égyptiennes devant le sphinx courant au Nil suivant l'envol de l'ibis. Momo avait en lui cette superbe, ce naturel que le pauvre Pépère même à grand renfort d'attraits ne pourrait jamais avoir. C'est ainsi en marchant avec souplesse qu'il semblait flotter dans les herbes et arriva devant la cabane à Cookie. Ses jolis yeux d'émeraude renvoyaient les lueurs du soleil avec un éclat qui les rendaient divins. Lucie qui arrivait en même temps que lui derrière Cookie le voyant, lui dit. Quelle classe tu as mon méga love Momo, c'est impressionnant. Lui arriva naturellement ne se rendant pas compte de son lustre inné et dit aux juments.
- Diantre, mais quelle est cette épouvantable odeur ? Un troupeau de bisons, serait-il venu camper en votre demeure chère Cookie.
- Hii, il y a un fait Pépère qui se promène dans le secteur. Hii, c'est un malfaisant.
- Hii, oui, c'est sûrement un Martien. Rookie vient de m'en parler, il paraît qu'ils sont au-dessus du ciel de Nevers.
- Mes Chères Damoiselles sachez que je m'en vais quérir l'aide de notre brave écureuil. En une courte phrase sans solennité, je vais lui exposer l'affaire qui nous incombe. Je pense qu'il saura prévenir Chatdore au plus vite. Sans me faire le démiurge de ce brave animal, je subodore qu'il saura prévenir Pépère de cette affaire. Mon Dieu que nos contrées sont impopulaires en ce moment, c'est incroyable, nous avions beaucoup plus de quiétude avant ça, il faut l'avouer.
À Nevers, le carrefour qui s'était ouvert était juste devant la voiture du poète. Le président avait bien sûr pris le volant étant donné que sœur Mathilde et le pape étaient alcoolisés. Il voyait la voiture du brigadier qui était dans le vide comme en lévitation. Le ministre qui était à côté de lui n'avait jamais vu quelque chose d'aussi effrayant.
- Ce qu'il nous faudrait, vois-tu mon totof, c'est une corde et les tirer violemment vers nous afin qu'il ne tombent pas dans le vide.
Le pape et sœur Mathilde étaient aussi effrayés que les passagers avants. Ils ne disaient plus un mot et écoutaient ce que disait le président. L'heure n'était plus à la rigolade, les choses étaient trop graves.
- Si seulement Isidore était la, il aurait trouvé une solution.
- Ha bon mon Totof, tu veux dire Pépère plutôt.
- Non Isidore, dans son émission toutes griffes dehors, il donne des tas d'astuces. C'est un peu le Marc Givré félin. D'une canette de bière vide il t'en faut un bouchon de réservoir, où d'un bol en porcelaine, il t'en fait un moule pour tonsure de moinillon.
- D'une canette de bière vide il t'en faut un bouchon de réservoir, où d'un bol en porcelaine, il t'en fait un moule pour tonsure de moinillon. Je suis encore au bureau quand passe l'émission vois-tu mon Totof. Par contre je connais la chanson de l'émission.
- Isidore le citadin, dans la ville crie victoire. Oui, bon, ce n'est pas tout ça, tu n'as pas une corde dans la voiture.
- Attends, je vais aller voir dans le coffre, après tout, c'est la voiture à Pépère à la base. Donc, il doit être équipé le bougre.
Le président parti voir dans la malle arrière et trouva justement une corde.
Ils en discutèrent tous ensemble, mais comment attacher la voiture qui était dans le vide.
- Cocori, c'est qui, qui va emmener la corde, cocorico, c'est Coco. Oui, donnez là moi, avec mes ailes, je peux voler. Coco c'est le plus rusé des Cocorico et je vais participer à l'émission toutes griffes dehors.
C'est ainsi qu'à l'insu du brigadier et du général la Dacia fut attachée à la xm du poète.
Le président laissa de la distance et se préparait à reculer en force.
- Vas-y mon Manu, comme dans le bon vieux temps, vas-y fait fumer les pneus mon Manu, on va y arriver.
Le président fit ronfler la voiture autant qui le pouvait et c'est d'un coup fulgurant qu'elle partit et au bout de quelques mètres emmena avec elle celle du brigadier.
Tout le monde était sauf et la chatte robot dans sa soucoupe préparait déjà sa vengeance.
Le Pépère était enfin aux pieds des arbres où était perché la soucoupe.
- Toc toc toc, comment allons nous faire, toc toc toc.
- Fle fle fle, il faudrait des ailes comme les petites pattes fle fle fle.
- Oui Pépère, comment tu vas faire ?
- Déjà, je vais grimper dans les arbres et aller voir par les hublots si je peux leur parler.
Enfin, Lolo, tu vas grimper, car avec mon infirmité ça va être très compliqué même si j'en suis capable.
- Toc toc toc, qu'est-ce que tu as comme problème, toc toc toc.
- Mon problème à la hanche, tu sais bien mon copain. C'est pour ça que j'ai été à la pharmacie tout à l'heure.
- Fle fle fle, tu étais devant la boucherie, fle fle fle.
- C'est parce que ça fait partie de la thérapie, il faut que je regarde la viande pour focaliser mon attention et combattre la douleur. Donc Lolo, tu vas aller voir pour les rassurer et nous irons chercher mon hélicoptère après. Je dois en même temps voir ce que fait ma merguez Argentine pour barbecue d'alcoolique transalpin.
- Oui mon copain, mais ils sont hauts ces arbres !
Je ne comprends pas ton histoire de viande et ta douleur, c'est bizarre à comprendre.
- Bon, tu as peur de monter ce n'est pas grave, je vais essayer de joindre Isidore sur son chatmsung. Vu que l'on est en dessous d'eux le signal va peut-être passer, j'ai une fonction talky walky sur mon téléphone.
- Toc toc toc, je pourrais emmener Lolo sur mon dos toc toc toc.
- Fle fle fle, et moi, j'ouvrirai la route fle fle fle.
- C'est trop dangereux pour lui, il est peureux et il va tomber, n'est pas Pépère qui veut.
Allô Isidore ici Pépère me reçois tu, allô ici Pépère.
- Allô ici Isidore, je te reçois cinq sur cinq, où es-tu mon copain.
- Allô, ici le général Pépère, je te reçois cinq sur cinq aussi. Lolo avait peur de monter dans les arbres pour te prévenir. Nous sommes en dessous de vous et nous allons chercher mon hélicoptère pour vous récupérer. Allô ici général Pépère fin de la conversation.
- Allô ici Isidore, bien reçu mon général, j'informe Turbo, Un-œil et Liettuje, fin de la communication.
- Voilà, nous n'avons plus qu'à aller récupérer mon hélicoptère. Merci Lolo, ha si je n'avais pas mon infirmité qui me dérange par moment.
- Mais comment la vision de la viande peut te guérir, chat chat chat.
- Toc toc toc, nous allons sauver Turbo et Isidore toc toc et.
- Fle fle fle, Un-œil et Liettuge fle fle fle, j'espère que ton infirmité va s'envoler comme les petites pattes fle fle fle.
- Mais au fait c'était lors du sauvetage du onze septembre que cela t'est arrivé mon copain.
- Pas du tout mon copain, le onze septembre, c'est le morceau de titane dans le cœur. Oui mon copain après trente-sept heure d'opération à cœur ouvert.
La plaque en métal de ma hanche, c'est lors d'une mission où j'ai été sauvé par ma soûlarde.Que j'aime, je précise, et ses bisous sur mes grosses joues, j'en raffole, même si son haleine me saucisson, oups, me frise les moustaches.
Donc j'étais en Patagonie où j'enquêtais sur un trafic de viande de bœuf à écaille de transylvanie. Donc, j'étais avec elle pour la diversion, car elle faisait semblant d'être en voyage et moi son animal de compagnie. J'avais repéré l'avion des trafiquants et nous sommes montés dedans ensemble. C'était un Boeing qui emmenait des passager et les bandits cachait la viande dans les bagages. Ils avaient des complices à la douane. Malheureusement, nous avons été repérés et ils ont lancé un gaz paralysant dans l'avion. Ma soûlarde a eu le temps de partir dans le cockpit et y a échapper. Moi, j'ai été jeté dans le vide par un hublot. Heureusement et malheureusement j'avais une poche en plastique dans mon chatventte et je l'ai extrait pour m'en faire un parachute. Malheureusement, j'avais oublié de le fermé et j'ai atterri dans un sequoia de deux cent mètres de hauteur et mon chatventre s'est accroché par l'ouverture. Elle est revenue en piqué avec l'avion et à sauter de l'appareil en vol pour me délivrer. Malheureusement une fois détaché de la branche, elle m'a échappé. Oui, ça, c'est à cause de l'alcool, mais je ne lui en veux pas. J'ai fait une chute à travers les branches et ne dois ma survie qu'à mon extrême résistance. J'ai eu une entorse de la hanche et après soixante heures d'opération, je suis ressorti de l'hôpital. J'avais une plaque dans la hanche et à peine mal, vu ma résistance c'est normal. J'ai ensuite été délivré ma soûlarde et l'ai descendu sur mon dos sur les deux cent mètres de l'arbre à pattes nues. Donc quand j'ai mal, je repense qu'elle à sacrifié sa passion pour mes amours pour pouvoir me sauver.
-Toc toc toc, ta maîtresse est un héros, toc toc toc.
- Fle fle fle, ce n'est pas pour rien qu'elle est sainte petites pattes de la mare à Coin-coin, fle fle fle.
- Hé bien mon copain, c'est un drôle de sauvetage.
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Cortisone

Maître Poète
#2
Daniel je suis vraiment désolée de ne pouvoir commenter ce soir car je n'aurai pas le temps ce soir de lire entièrement ce cher Pépère
 

Cortisone

Maître Poète
#3
Momo, qui était vers les tentes, entendit les appels de Cookie et partit avec sa grâce légendaire même s'il se dépêchait de marcher. Il avait largement le temps d'arriver à la cabane avant que Lucie qui était vers la maison à Rookie ne soit revenue. Sous le soleil jetant en cascade ses flots d'or, il avançait à travers les herbes. Comme un sphinx royal chacun de ses pas était une ode à la magnificence. Ses moustaches, qui se gorgeaient de reflets irisés, semblaient porter mille perles d'opale qui le rendait encore plus beau. N'importe quel passant l'ayant vu, marché ainsi au travers de l'écume de lumière versée par l'azur aurait pu croire, apercevoir une divinité venue d'un conte de l'Iblis. Peut-être même qu'en fermant les yeux le simple passant se serait cru aux pieds des hautes nécropoles Égyptiennes devant le sphinx courant au Nil suivant l'envol de l'ibis. Momo avait en lui cette superbe, ce naturel que le pauvre Pépère même à grand renfort d'attraits ne pourrait jamais avoir. C'est ainsi en marchant avec souplesse qu'il semblait flotter dans les herbes et arriva devant la cabane à Cookie. Ses jolis yeux d'émeraude renvoyaient les lueurs du soleil avec un éclat qui les rendaient divins. Lucie qui arrivait en même temps que lui derrière Cookie le voyant, lui dit. Quelle classe tu as mon méga love Momo, c'est impressionnant. Lui arriva naturellement ne se rendant pas compte de son lustre inné et dit aux juments.
- Diantre, mais quelle est cette épouvantable odeur ? Un troupeau de bisons, serait-il venu camper en votre demeure chère Cookie.
- Hii, il y a un fait Pépère qui se promène dans le secteur. Hii, c'est un malfaisant.
- Hii, oui, c'est sûrement un Martien. Rookie vient de m'en parler, il paraît qu'ils sont au-dessus du ciel de Nevers.
- Mes Chères Damoiselles sachez que je m'en vais quérir l'aide de notre brave écureuil. En une courte phrase sans solennité, je vais lui exposer l'affaire qui nous incombe. Je pense qu'il saura prévenir Chatdore au plus vite. Sans me faire le démiurge de ce brave animal, je subodore qu'il saura prévenir Pépère de cette affaire. Mon Dieu que nos contrées sont impopulaires en ce moment, c'est incroyable, nous avions beaucoup plus de quiétude avant ça, il faut l'avouer.
À Nevers, le carrefour qui s'était ouvert était juste devant la voiture du poète. Le président avait bien sûr pris le volant étant donné que sœur Mathilde et le pape étaient alcoolisés. Il voyait la voiture du brigadier qui était dans le vide comme en lévitation. Le ministre qui était à côté de lui n'avait jamais vu quelque chose d'aussi effrayant.
- Ce qu'il nous faudrait, vois-tu mon totof, c'est une corde et les tirer violemment vers nous afin qu'il ne tombent pas dans le vide.
Le pape et sœur Mathilde étaient aussi effrayés que les passagers avants. Ils ne disaient plus un mot et écoutaient ce que disait le président. L'heure n'était plus à la rigolade, les choses étaient trop graves.
- Si seulement Isidore était la, il aurait trouvé une solution.
- Ha bon mon Totof, tu veux dire Pépère plutôt.
- Non Isidore, dans son émission toutes griffes dehors, il donne des tas d'astuces. C'est un peu le Marc Givré félin. D'une canette de bière vide il t'en faut un bouchon de réservoir, où d'un bol en porcelaine, il t'en fait un moule pour tonsure de moinillon.
- D'une canette de bière vide il t'en faut un bouchon de réservoir, où d'un bol en porcelaine, il t'en fait un moule pour tonsure de moinillon. Je suis encore au bureau quand passe l'émission vois-tu mon Totof. Par contre je connais la chanson de l'émission.
- Isidore le citadin, dans la ville crie victoire. Oui, bon, ce n'est pas tout ça, tu n'as pas une corde dans la voiture.
- Attends, je vais aller voir dans le coffre, après tout, c'est la voiture à Pépère à la base. Donc, il doit être équipé le bougre.
Le président parti voir dans la malle arrière et trouva justement une corde.
Ils en discutèrent tous ensemble, mais comment attacher la voiture qui était dans le vide.
- Cocori, c'est qui, qui va emmener la corde, cocorico, c'est Coco. Oui, donnez là moi, avec mes ailes, je peux voler. Coco c'est le plus rusé des Cocorico et je vais participer à l'émission toutes griffes dehors.
C'est ainsi qu'à l'insu du brigadier et du général la Dacia fut attachée à la xm du poète.
Le président laissa de la distance et se préparait à reculer en force.
- Vas-y mon Manu, comme dans le bon vieux temps, vas-y fait fumer les pneus mon Manu, on va y arriver.
Le président fit ronfler la voiture autant qui le pouvait et c'est d'un coup fulgurant qu'elle partit et au bout de quelques mètres emmena avec elle celle du brigadier.
Tout le monde était sauf et la chatte robot dans sa soucoupe préparait déjà sa vengeance.
Le Pépère était enfin aux pieds des arbres où était perché la soucoupe.
- Toc toc toc, comment allons nous faire, toc toc toc.
- Fle fle fle, il faudrait des ailes comme les petites pattes fle fle fle.
- Oui Pépère, comment tu vas faire ?
- Déjà, je vais grimper dans les arbres et aller voir par les hublots si je peux leur parler.
Enfin, Lolo, tu vas grimper, car avec mon infirmité ça va être très compliqué même si j'en suis capable.
- Toc toc toc, qu'est-ce que tu as comme problème, toc toc toc.
- Mon problème à la hanche, tu sais bien mon copain. C'est pour ça que j'ai été à la pharmacie tout à l'heure.
- Fle fle fle, tu étais devant la boucherie, fle fle fle.
- C'est parce que ça fait partie de la thérapie, il faut que je regarde la viande pour focaliser mon attention et combattre la douleur. Donc Lolo, tu vas aller voir pour les rassurer et nous irons chercher mon hélicoptère après. Je dois en même temps voir ce que fait ma merguez Argentine pour barbecue d'alcoolique transalpin.
- Oui mon copain, mais ils sont hauts ces arbres !
Je ne comprends pas ton histoire de viande et ta douleur, c'est bizarre à comprendre.
- Bon, tu as peur de monter ce n'est pas grave, je vais essayer de joindre Isidore sur son chatmsung. Vu que l'on est en dessous d'eux le signal va peut-être passer, j'ai une fonction talky walky sur mon téléphone.
- Toc toc toc, je pourrais emmener Lolo sur mon dos toc toc toc.
- Fle fle fle, et moi, j'ouvrirai la route fle fle fle.
- C'est trop dangereux pour lui, il est peureux et il va tomber, n'est pas Pépère qui veut.
Allô Isidore ici Pépère me reçois tu, allô ici Pépère.
- Allô ici Isidore, je te reçois cinq sur cinq, où es-tu mon copain.
- Allô, ici le général Pépère, je te reçois cinq sur cinq aussi. Lolo avait peur de monter dans les arbres pour te prévenir. Nous sommes en dessous de vous et nous allons chercher mon hélicoptère pour vous récupérer. Allô ici général Pépère fin de la conversation.
- Allô ici Isidore, bien reçu mon général, j'informe Turbo, Un-œil et Liettuje, fin de la communication.
- Voilà, nous n'avons plus qu'à aller récupérer mon hélicoptère. Merci Lolo, ha si je n'avais pas mon infirmité qui me dérange par moment.
- Mais comment la vision de la viande peut te guérir, chat chat chat.
- Toc toc toc, nous allons sauver Turbo et Isidore toc toc et.
- Fle fle fle, Un-œil et Liettuge fle fle fle, j'espère que ton infirmité va s'envoler comme les petites pattes fle fle fle.
- Mais au fait c'était lors du sauvetage du onze septembre que cela t'est arrivé mon copain.
- Pas du tout mon copain, le onze septembre, c'est le morceau de titane dans le cœur. Oui mon copain après trente-sept heure d'opération à cœur ouvert.
La plaque en métal de ma hanche, c'est lors d'une mission où j'ai été sauvé par ma soûlarde.Que j'aime, je précise, et ses bisous sur mes grosses joues, j'en raffole, même si son haleine me saucisson, oups, me frise les moustaches.
Donc j'étais en Patagonie où j'enquêtais sur un trafic de viande de bœuf à écaille de transylvanie. Donc, j'étais avec elle pour la diversion, car elle faisait semblant d'être en voyage et moi son animal de compagnie. J'avais repéré l'avion des trafiquants et nous sommes montés dedans ensemble. C'était un Boeing qui emmenait des passager et les bandits cachait la viande dans les bagages. Ils avaient des complices à la douane. Malheureusement, nous avons été repérés et ils ont lancé un gaz paralysant dans l'avion. Ma soûlarde a eu le temps de partir dans le cockpit et y a échapper. Moi, j'ai été jeté dans le vide par un hublot. Heureusement et malheureusement j'avais une poche en plastique dans mon chatventte et je l'ai extrait pour m'en faire un parachute. Malheureusement, j'avais oublié de le fermé et j'ai atterri dans un sequoia de deux cent mètres de hauteur et mon chatventre s'est accroché par l'ouverture. Elle est revenue en piqué avec l'avion et à sauter de l'appareil en vol pour me délivrer. Malheureusement une fois détaché de la branche, elle m'a échappé. Oui, ça, c'est à cause de l'alcool, mais je ne lui en veux pas. J'ai fait une chute à travers les branches et ne dois ma survie qu'à mon extrême résistance. J'ai eu une entorse de la hanche et après soixante heures d'opération, je suis ressorti de l'hôpital. J'avais une plaque dans la hanche et à peine mal, vu ma résistance c'est normal. J'ai ensuite été délivré ma soûlarde et l'ai descendu sur mon dos sur les deux cent mètres de l'arbre à pattes nues. Donc quand j'ai mal, je repense qu'elle à sacrifié sa passion pour mes amours pour pouvoir me sauver.
-Toc toc toc, ta maîtresse est un héros, toc toc toc.
- Fle fle fle, ce n'est pas pour rien qu'elle est sainte petites pattes de la mare à Coin-coin, fle fle fle.
- Hé bien mon copain, c'est un drôle de sauvetage.
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Finalement j"ai pu le lire. Vraiment passionnante cette histoire de Pépère
A demain pour la suite
Amicalement
Gaby