À Nevers, le ministre était dans sa cellule en pleine conversation avec Coco. Il s'était découvert un ami en la personne du coq, aussi étonnent que cela puisse paraître.
Le président fit valoir ses droits à l'accueil et malgré les réticences du commissaire qui était à l'accueil la vérité éclata.
- Bon écoutez, Monsieur le Président, votre ministre va être libéré, néanmoins le serveur porte plainte pour agression yeuxtale, c'est dans le nouveau code de procédure civile.
- Ha, bon, c'est nouvelle cette loi ?
- Vous êtes président et ne savez même pas les lois que vous faites votées, lol.
- Vous êtes bien commissaire et vous tapez bien dix rapports par jour, ça ne vous empêches pas de faire autant de fautes en ne tapant que d'un doigt. Relisez ce que vous avez écrit ici !
- J'ai écrit, lever des coups pour monsieur Christophe Castagner.
- On dit lever d'écrou pas des coups espèce d'ignorant, vous n'êtes pas un policier pour rien, bref.
- Oui, bon, je laisse les coups et récupérer votre castagneur, nous n'avons pas besoin de ça ici. Tant que vous y êtes emmener le Coco qui nous casse les oreilles depuis ce matin.
Le président attendait son ministre qui arriva avec le coq dans les bras. Il avait demandé à payer l'amende et le fit et avait déjà trouvé un avocat pour défendre Coco. D'ailleurs l'un des meilleurs avocats sur la place.
- Hé bien mon Totof, tu en as encore fait des belles. C'est malin ça, venir te récupérer au commissariat comme un enfant qui a fait une bêtise. Tu n'en loupes pas une mon Totof. Tu es au courant du délit yeuxtale dans le nouveau code de procédure civile.
- Arête avec tes remontrances mon Manu, oui, c'est une loi qui autorise de porter plainte contre une personne qui te regarde mal. Je te présente Coco mon nouvel ami.
- Cocorico, je suis Coco, attention de ne pas confondre avec la sous-espèce des Merdanchon, je n'ai pas le même nom.
- Dis-moi mon Manu, qui sont ces deux étranges personnages derrière toi ?
- Ha oui, que je te les présente min Totof, c'est sœur Mathilde et monsieur le pape, tu ne l'as pas reconnu.
- Il est tout taché comme un ivrogne lol. Alors, allô quoi comment veux tu que je m'y retrouve.
- Cocorico, bonjour monsieur le pape, bonjour sœur Mathilde.
Le pape prit la parole avec empressement.
- Écouter monsieur Totof Castagneur, excusez mon aube vinassée. C'est le résultat d'une ivrognesse qui ne sait pas tenir une bouteille au démarrage d'un bolide.
- Oui, du démarrage d'un bolide conduit par un cordon-bleu qui se prend pour un pilote de course. Excusez la rudesse du pape, ce vieux bouc sort très peu de son monastère, lol.
- Alors mon Manu, tu as remis ça. Tu n'en as pas assez d'avoir démoli dernièrement la rolls de Tromp en allant chez Quick-berger manger un cordon-bleu, lol.
- Hé oui mon Totof, que veux-tu, j'ai toujours des crampes au volant et des fourmis dans l'accélérateur dès que Brigitte n'est pas derrière moi, me regardant conduire, lol.
Le brigadier pendant ce temps arrivait non loin du commissariat quand soudain le sol s'ouvrit devant sa voiture.
Le général qui s'était fait remonter les bretelles ne disait plus rien et vit le carrefour aspiré entièrement et ne dit rien au brigadier.
La voiture continua au-dessus du carrefour qui était sous terre. Elle était en lévitation et le brigadier regardait le sol en dessous de ses roues. Il y avait au moins dix mètres de profondeur.
- Mon général, je veux être incarcéré de suite chez le bouton rouge et recevoir une piqûre de chaise électrique à vie avant que la voiture ne tombe dans le trou.
- Ça vous l'avez mériter, à force de boire vous êtes ivre et m'avez entraîné dans vos hallucinations. C'est avec un plaisir sans pareil que je vous fais incarcérer chez la chaise électrique et vous condamne à une piqûre de bouton rouge à perpétué. Maman moi peur, général Picolle moi peur, maman moi peur, brigadier, je vous donne l'ordre de sortir de cette hallucination.
Le Pépère était heureux de sa vengeance sur ce petit chien qui était à peine plus gros que lui. Il répartit dans sa voiture et fit un bond de deux mètres en arrière et envoya un message à Lolo. Puis, il attendit qu'il parte. C'est à ce moment qu'il repensa d'avoir arrêté le temps. Il hésitait et se résolu à le remettre en mouvement.
- Mon copain, as-tu fini de manger ?
Lolo se demandait ce qui se passait, car le Pépère n'était plus en de lui et sa petite auto avait aussi disparu. Un message arrivait et c'était Pépère qui lui envoyait. Il ne comprenait plus et se demandait ce qui se passait dans cette commune.
- Toc toc toc, Pépère à disparu, toc toc toc, on nous l'a kidnappé toc toc toc, que fait la police.
- Fle fle fle, il faut appeler sa maîtresse, fle fle fle, notre canard qui êtes aux cieux, faites que sainte petite patte délivre Pépère au plus vite, notre saint canard qui êtes aux cieux, exaucé ma prière, fle fle fle.
- Attendez les copains, j'ai un message de pépère. Il me demande si je suis en train de manger.
Lolo répondit à Pépère qu'il avait rangé la caissette de ses amours et qu'il était en train de lui parler quand il avait disparu. Puis au lieu d'un Pépère en face de lui, qu'il avait reçu ce message, as-tu fini de manger.
- Lolo lui répondit que oui et le Pépère appela directement après avoir reçu le message.
- Allô mon copain, j'ai été enlevé par un complice du scorpion un chien énorme qui cache le soleil quand, il est devant. Je suis toujours devant intermarcher et j'ai un souci de bêtes mutantes qui risquent de me donner la danse de saint cuit.
- Toc toc toc, on a eu très peur toc toc toc, comment a fait le chien toc toc toc.
- Fle fle fle, oui nous n'avons rien vu, fle fle fle.
- Oui, Pépère comment a-t-il fait et que veux-tu exactement.
- Voilà, tu vas venir jusqu'à intermarcher pour enlever les bêtes mutantes de ma voiture. Le monstre a fait une diversion en créant un hologramme pour me remplacer. Quand je t'ai suivi de la route à la cabane, il m'a enlevé. Maintenant, il est démonté donc je ne craint plus rien, mais je cours un risque si je monte dans ma voiture. La danse de Saint cuit peut m'être mortelle mon copain.
- Toc toc toc qu'est-ce que c'est que cette maladie, toc toc toc, la danse du cui-cui.
- Fle fle fle, c'est la danse des petites pattes, fle fle fle, c'est ma gendarme poète qui leur a appris, fle fle fle.
- Oui, Pépère laisse ta voiture, nous allons aller chercher ton hélicoptère, mais c'est quoi au juste la danse de Saint cuit ?
- C'est un virus bactériologique qui est transmis par les bêtes mutantes qui sont devant moi mon copain. Une fois piqué, tu danses sans t'arrêter et à force ton corps s'échauffe et finit par cuire sur place, voilà mon copain. Viens, immédiatement, tu vas m'en débarrasser.
- Mais si je suis piqué, je vais aussi mourir.
- Tu ne crains rien, j'ai un antidote dans mon chatventre. Malheureusement inefficace sur moi, car j'ai été contaminé par des produits chimiques en Irak et ce n'est plus efficace sur moi à cause de ça.
- J'arrive immédiatement mon copain.
Lolo partit vers intermarcher en se dépêchant autant qu'il le pouvait.
Pépère regarda l'heure sur son téléphone alors qu'il avait laissé Lolo deux minutes plus tôt.
- Hé bien, quand je pense que je fais cette distance en moins d'une minute à patte et l'autre depuis trois minutes n'est toujours pas arrivé. Je suis en danger de mort et il ne se dépêche même pas. J'ai dû me tromper dans le calcul de la moyenne compensée tout à l'heure à Mornay et il a dû mangé trop de poulet et ça le ralenti c'est évident. Toujours rien à l'horizon, mais que fait pattes cassées, il a rencontré une chatte love en route ce n'est pas possible autrement.
- Allô, Lolo, oui, ne dis pas général ça te ralentit et nous n'avons pas le temps de parler longuement. Que fais-tu, tu t'es arrêté chez le chatffeur pour te faire peigner les poils où quoi, je t'attends figure toi.
- J'arrive Pépère, je vois ta voiture, mais où sont les monstres, je ne les vois pas.
- Tu les verras si tu te dépêches, ce n'est pas possible. Nous avons un sauvetage à faire de toute urgence et nous avons besoin de l'auto.
Lolo arrivait enfin vers Pépère qui tremblait des quatre pattes des oreilles et de la queue dès qu'il s'approchait de la voiture.
En passant le caniche vit Lolo et se mit à lui whouaffer dessus.
- Whaouaf, je suis un whouaf et je vais te whouaffer. C'est ton copain qui a fais son caca devant ma porte ?
Lolo n'avait pas peur du chien, car il était habitué dans sa demeure à ce contact. Il s'approcha le poil hérissé.
- Tu connais l'émission toutes griffes dehors espèce de nabot. Gree, splash, pif, paf, tiens prends ce coup de griffe.
- Kia Kia Kia, maîtresse vite ouvre la porte.
Lolo était fier de lui et dit à Pépère, alors tu as vu mon copain. Non mais il dit que tu as fait caca devant chez lui.
- Oui, bof, je ne suis même pas impressionné, moi un coup de souffle et je le satellisait autour de la lune, c'est pour ça que je l'ai ignoré, laisse le mon copain, c'est un mythomane, il a fait lui même sa colique devant sa porte. En me voyant, il a eu la peur de sa vie. Pour dire, il claquait si fort des dents que les carreaux de sa maison se sont fendus et le sol tremblait. Sa maîtresse a même cru que s'était un tremblement de terre.
- Où sont les monstres mon copain ?
- Dans la voiture, va voir.
Lolo partit voir et revint en disant à Pépère, elles sont toutes petites et inoffensives, c'est quoi le problème.
- Tu ne comprends pas, c'est une espèce mutante en titane. Fait attention elles sont armées de griffes de crocodiles et de dents de t-rex. Si elles t'attaquent à cent, tu es mort. Regarde derrière le magasin qui a été vidé, il y a des traitements pour ce genre de monstres.
Lolo partit vers la palette et saisit une fiole et se dirigea vers la petite auto.
En fait, le Pépère rangeait dans sa boîte à gants toutes sortes de friandises et il était garé sur une fourmilière. Les bêtes avaient envahi la voiture et Lolo les chassa à coup d'insecticide.
Malgré sa bravoure, notre héros avait peur des fourmis.
- Alors mon Pépère on a peur des fourmis ?
- Hé l'aubergine transgénique de Colombie cultivée par un soûlard argentin imbibé de rhum africain, je ne t'ai rien demandé. Ce sont des fourmis mutantes et mortelles pour pépère. Tiens, pendant que j'y pense, où sont mes saucissons tant promis ?
- Tu pourrais être poli, Pépère non, ce n'est pas méchant.
- Toi non plus je ne te demande rien bec en zinc, occupe toi du bol de vinasse que tu tiens dans l'autre main en écrivant. Fais toujours en sorte que Pépère soit un héros dans ses histoires. Je te donne l'ordre d'écrire ma vie comme elle est dans la réalité. Je n'ai jamais eu peur des fourmis de ma vie, soûlard, maman Chouânne, maman moi peur, là devant mes Nike Lolo.
- J'arrive mon copain. Pssitt pssitt, c'est bon, tu es sauf mon général Pépère.
- Fait attention, il y a des mouches dans le bois où est tombée la soucoupe à Liettuje.
- Tais toi soûlard, je ne suis pas une chatfillette, non mais quelle insolence, révérence à ton chat.
- Hé Pépère, tes Nike ne sont pas très propres !
- Écoutez les deux clowns, Pépère est un guerrier et il fait comme il a envie. Premièrement, le soûlard écrit la gloire de Pépère, deuxièmement, ma love maîtresse que j'aime, ramène moi trois beaux saucissons.
Le président fit valoir ses droits à l'accueil et malgré les réticences du commissaire qui était à l'accueil la vérité éclata.
- Bon écoutez, Monsieur le Président, votre ministre va être libéré, néanmoins le serveur porte plainte pour agression yeuxtale, c'est dans le nouveau code de procédure civile.
- Ha, bon, c'est nouvelle cette loi ?
- Vous êtes président et ne savez même pas les lois que vous faites votées, lol.
- Vous êtes bien commissaire et vous tapez bien dix rapports par jour, ça ne vous empêches pas de faire autant de fautes en ne tapant que d'un doigt. Relisez ce que vous avez écrit ici !
- J'ai écrit, lever des coups pour monsieur Christophe Castagner.
- On dit lever d'écrou pas des coups espèce d'ignorant, vous n'êtes pas un policier pour rien, bref.
- Oui, bon, je laisse les coups et récupérer votre castagneur, nous n'avons pas besoin de ça ici. Tant que vous y êtes emmener le Coco qui nous casse les oreilles depuis ce matin.
Le président attendait son ministre qui arriva avec le coq dans les bras. Il avait demandé à payer l'amende et le fit et avait déjà trouvé un avocat pour défendre Coco. D'ailleurs l'un des meilleurs avocats sur la place.
- Hé bien mon Totof, tu en as encore fait des belles. C'est malin ça, venir te récupérer au commissariat comme un enfant qui a fait une bêtise. Tu n'en loupes pas une mon Totof. Tu es au courant du délit yeuxtale dans le nouveau code de procédure civile.
- Arête avec tes remontrances mon Manu, oui, c'est une loi qui autorise de porter plainte contre une personne qui te regarde mal. Je te présente Coco mon nouvel ami.
- Cocorico, je suis Coco, attention de ne pas confondre avec la sous-espèce des Merdanchon, je n'ai pas le même nom.
- Dis-moi mon Manu, qui sont ces deux étranges personnages derrière toi ?
- Ha oui, que je te les présente min Totof, c'est sœur Mathilde et monsieur le pape, tu ne l'as pas reconnu.
- Il est tout taché comme un ivrogne lol. Alors, allô quoi comment veux tu que je m'y retrouve.
- Cocorico, bonjour monsieur le pape, bonjour sœur Mathilde.
Le pape prit la parole avec empressement.
- Écouter monsieur Totof Castagneur, excusez mon aube vinassée. C'est le résultat d'une ivrognesse qui ne sait pas tenir une bouteille au démarrage d'un bolide.
- Oui, du démarrage d'un bolide conduit par un cordon-bleu qui se prend pour un pilote de course. Excusez la rudesse du pape, ce vieux bouc sort très peu de son monastère, lol.
- Alors mon Manu, tu as remis ça. Tu n'en as pas assez d'avoir démoli dernièrement la rolls de Tromp en allant chez Quick-berger manger un cordon-bleu, lol.
- Hé oui mon Totof, que veux-tu, j'ai toujours des crampes au volant et des fourmis dans l'accélérateur dès que Brigitte n'est pas derrière moi, me regardant conduire, lol.
Le brigadier pendant ce temps arrivait non loin du commissariat quand soudain le sol s'ouvrit devant sa voiture.
Le général qui s'était fait remonter les bretelles ne disait plus rien et vit le carrefour aspiré entièrement et ne dit rien au brigadier.
La voiture continua au-dessus du carrefour qui était sous terre. Elle était en lévitation et le brigadier regardait le sol en dessous de ses roues. Il y avait au moins dix mètres de profondeur.
- Mon général, je veux être incarcéré de suite chez le bouton rouge et recevoir une piqûre de chaise électrique à vie avant que la voiture ne tombe dans le trou.
- Ça vous l'avez mériter, à force de boire vous êtes ivre et m'avez entraîné dans vos hallucinations. C'est avec un plaisir sans pareil que je vous fais incarcérer chez la chaise électrique et vous condamne à une piqûre de bouton rouge à perpétué. Maman moi peur, général Picolle moi peur, maman moi peur, brigadier, je vous donne l'ordre de sortir de cette hallucination.
Le Pépère était heureux de sa vengeance sur ce petit chien qui était à peine plus gros que lui. Il répartit dans sa voiture et fit un bond de deux mètres en arrière et envoya un message à Lolo. Puis, il attendit qu'il parte. C'est à ce moment qu'il repensa d'avoir arrêté le temps. Il hésitait et se résolu à le remettre en mouvement.
- Mon copain, as-tu fini de manger ?
Lolo se demandait ce qui se passait, car le Pépère n'était plus en de lui et sa petite auto avait aussi disparu. Un message arrivait et c'était Pépère qui lui envoyait. Il ne comprenait plus et se demandait ce qui se passait dans cette commune.
- Toc toc toc, Pépère à disparu, toc toc toc, on nous l'a kidnappé toc toc toc, que fait la police.
- Fle fle fle, il faut appeler sa maîtresse, fle fle fle, notre canard qui êtes aux cieux, faites que sainte petite patte délivre Pépère au plus vite, notre saint canard qui êtes aux cieux, exaucé ma prière, fle fle fle.
- Attendez les copains, j'ai un message de pépère. Il me demande si je suis en train de manger.
Lolo répondit à Pépère qu'il avait rangé la caissette de ses amours et qu'il était en train de lui parler quand il avait disparu. Puis au lieu d'un Pépère en face de lui, qu'il avait reçu ce message, as-tu fini de manger.
- Lolo lui répondit que oui et le Pépère appela directement après avoir reçu le message.
- Allô mon copain, j'ai été enlevé par un complice du scorpion un chien énorme qui cache le soleil quand, il est devant. Je suis toujours devant intermarcher et j'ai un souci de bêtes mutantes qui risquent de me donner la danse de saint cuit.
- Toc toc toc, on a eu très peur toc toc toc, comment a fait le chien toc toc toc.
- Fle fle fle, oui nous n'avons rien vu, fle fle fle.
- Oui, Pépère comment a-t-il fait et que veux-tu exactement.
- Voilà, tu vas venir jusqu'à intermarcher pour enlever les bêtes mutantes de ma voiture. Le monstre a fait une diversion en créant un hologramme pour me remplacer. Quand je t'ai suivi de la route à la cabane, il m'a enlevé. Maintenant, il est démonté donc je ne craint plus rien, mais je cours un risque si je monte dans ma voiture. La danse de Saint cuit peut m'être mortelle mon copain.
- Toc toc toc qu'est-ce que c'est que cette maladie, toc toc toc, la danse du cui-cui.
- Fle fle fle, c'est la danse des petites pattes, fle fle fle, c'est ma gendarme poète qui leur a appris, fle fle fle.
- Oui, Pépère laisse ta voiture, nous allons aller chercher ton hélicoptère, mais c'est quoi au juste la danse de Saint cuit ?
- C'est un virus bactériologique qui est transmis par les bêtes mutantes qui sont devant moi mon copain. Une fois piqué, tu danses sans t'arrêter et à force ton corps s'échauffe et finit par cuire sur place, voilà mon copain. Viens, immédiatement, tu vas m'en débarrasser.
- Mais si je suis piqué, je vais aussi mourir.
- Tu ne crains rien, j'ai un antidote dans mon chatventre. Malheureusement inefficace sur moi, car j'ai été contaminé par des produits chimiques en Irak et ce n'est plus efficace sur moi à cause de ça.
- J'arrive immédiatement mon copain.
Lolo partit vers intermarcher en se dépêchant autant qu'il le pouvait.
Pépère regarda l'heure sur son téléphone alors qu'il avait laissé Lolo deux minutes plus tôt.
- Hé bien, quand je pense que je fais cette distance en moins d'une minute à patte et l'autre depuis trois minutes n'est toujours pas arrivé. Je suis en danger de mort et il ne se dépêche même pas. J'ai dû me tromper dans le calcul de la moyenne compensée tout à l'heure à Mornay et il a dû mangé trop de poulet et ça le ralenti c'est évident. Toujours rien à l'horizon, mais que fait pattes cassées, il a rencontré une chatte love en route ce n'est pas possible autrement.
- Allô, Lolo, oui, ne dis pas général ça te ralentit et nous n'avons pas le temps de parler longuement. Que fais-tu, tu t'es arrêté chez le chatffeur pour te faire peigner les poils où quoi, je t'attends figure toi.
- J'arrive Pépère, je vois ta voiture, mais où sont les monstres, je ne les vois pas.
- Tu les verras si tu te dépêches, ce n'est pas possible. Nous avons un sauvetage à faire de toute urgence et nous avons besoin de l'auto.
Lolo arrivait enfin vers Pépère qui tremblait des quatre pattes des oreilles et de la queue dès qu'il s'approchait de la voiture.
En passant le caniche vit Lolo et se mit à lui whouaffer dessus.
- Whaouaf, je suis un whouaf et je vais te whouaffer. C'est ton copain qui a fais son caca devant ma porte ?
Lolo n'avait pas peur du chien, car il était habitué dans sa demeure à ce contact. Il s'approcha le poil hérissé.
- Tu connais l'émission toutes griffes dehors espèce de nabot. Gree, splash, pif, paf, tiens prends ce coup de griffe.
- Kia Kia Kia, maîtresse vite ouvre la porte.
Lolo était fier de lui et dit à Pépère, alors tu as vu mon copain. Non mais il dit que tu as fait caca devant chez lui.
- Oui, bof, je ne suis même pas impressionné, moi un coup de souffle et je le satellisait autour de la lune, c'est pour ça que je l'ai ignoré, laisse le mon copain, c'est un mythomane, il a fait lui même sa colique devant sa porte. En me voyant, il a eu la peur de sa vie. Pour dire, il claquait si fort des dents que les carreaux de sa maison se sont fendus et le sol tremblait. Sa maîtresse a même cru que s'était un tremblement de terre.
- Où sont les monstres mon copain ?
- Dans la voiture, va voir.
Lolo partit voir et revint en disant à Pépère, elles sont toutes petites et inoffensives, c'est quoi le problème.
- Tu ne comprends pas, c'est une espèce mutante en titane. Fait attention elles sont armées de griffes de crocodiles et de dents de t-rex. Si elles t'attaquent à cent, tu es mort. Regarde derrière le magasin qui a été vidé, il y a des traitements pour ce genre de monstres.
Lolo partit vers la palette et saisit une fiole et se dirigea vers la petite auto.
En fait, le Pépère rangeait dans sa boîte à gants toutes sortes de friandises et il était garé sur une fourmilière. Les bêtes avaient envahi la voiture et Lolo les chassa à coup d'insecticide.
Malgré sa bravoure, notre héros avait peur des fourmis.
- Alors mon Pépère on a peur des fourmis ?
- Hé l'aubergine transgénique de Colombie cultivée par un soûlard argentin imbibé de rhum africain, je ne t'ai rien demandé. Ce sont des fourmis mutantes et mortelles pour pépère. Tiens, pendant que j'y pense, où sont mes saucissons tant promis ?
- Tu pourrais être poli, Pépère non, ce n'est pas méchant.
- Toi non plus je ne te demande rien bec en zinc, occupe toi du bol de vinasse que tu tiens dans l'autre main en écrivant. Fais toujours en sorte que Pépère soit un héros dans ses histoires. Je te donne l'ordre d'écrire ma vie comme elle est dans la réalité. Je n'ai jamais eu peur des fourmis de ma vie, soûlard, maman Chouânne, maman moi peur, là devant mes Nike Lolo.
- J'arrive mon copain. Pssitt pssitt, c'est bon, tu es sauf mon général Pépère.
- Fait attention, il y a des mouches dans le bois où est tombée la soucoupe à Liettuje.
- Tais toi soûlard, je ne suis pas une chatfillette, non mais quelle insolence, révérence à ton chat.
- Hé Pépère, tes Nike ne sont pas très propres !
- Écoutez les deux clowns, Pépère est un guerrier et il fait comme il a envie. Premièrement, le soûlard écrit la gloire de Pépère, deuxièmement, ma love maîtresse que j'aime, ramène moi trois beaux saucissons.
