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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Sur Xuasic, les fées et les chats profitaient de la sérénité de la forêt. Le ruisseau déroulait sa longue langue de diamant en chantant. Les oiseaux en un écho profond répondaient à ce chant. On se serait cru assisté à la divine comédie quand les anges lancent leurs louanges en cœur. Sur le bord de la rive, ils y avaient de nombreuses fleurs, toutes plus belles les unes que les autres. Au-dessus volaient de magnifiques papillons blancs. Cette scène amusait énormément les trois minets. Les fées en profitaient pour se ressourcer au frais tempo du ruisseau qui égrenait ses notes comme un piano sous les doigts de Chopin. Elles finirent par s'endormir ainsi qu'Un-œil.
Isidore et turbot eux ne dormaient pas et observaient les papillons.
- C'est reposant de voir voler les papillons. Après tous ces combats nous en avions bien besoin mon copain, tu ne trouves pas.
- C'est vrai, Isidore, tu as raison, mais les papillons moi ça me rappelle une vilaine histoire avec le soûlard à Pépère.
- Ha bon Turbo, raconte moi, ça m'intéresse cette histoire.
- Hé bien, écoute ça Isidore. Un jour, j'étais chez moi avec ma cousine et je reçois un message de Pépère. Il me disait, que Cookie s'était plainte d'une terrible bourrasque de vent qui avait failli ébranler sa maison. Il me dit, c'est étrange la météo n'a pas annoncé de vent dans le secteur. Tu devrais aller voir, je suis en mission en Asie, et là, je ne peux pas m'en occuper. Je suis parti voir Cookie pour voir ce qu'il en était et je vois l'herbe du champ couchée et des branches d'arbres cassées au sol. Je rentre chez moi et dans la nuit, j'entends comme le bruit d'un hélicoptère. Ma cousine vient me voir et me dit, tu entends, qu'est-ce que c'est ? Je lui dis, peut-être que Pépère est revenu d'Asie pour jeter un œil. Je lui envoie un message et il me répond être en train de combattre et qu'il n'est pas sur la commune, qu'il a du mal à répondre, car il a un bazooka dans une patte et un lance rockets dans l'autre et qu'il jette des grenades avec sa queue en même temps. Je lui dis, d'accord, Pépère, je te laisse faire ta mission. Je me rendors et le bruit s'arrête. Le lendemain, j'apprends que mes maîtres ont des tuiles envolées et qu'ils doivent faire venir un couvreur. Je sors et là je vois qu'un tas de pierres qui était sur le terrain est éparpillé en tous sens comme si une puissante bourrasque était passée au-dessus de chez nous. Plus tard, je vais voir ma copine cookie et je vois devant la cabane du soûlard un petit fut où était écrit dessus plutonium. Ils y avaient dedans des trognons de pomme. Arrivé chez ma copine, j'apprends par Chatdore que la sapinière a été ravagée par un coup de vent estimé à deux cent cinquante kilomètres à l'heure. C'est alors, que j'ai eu l'idée d'aller visiter la forêt. C'est là que j'ai vu le responsable du désastre. Le soûlard avait jeté dans son fût de plutonium un trognon contenant un ver. Avec les radiations le ver avait muter en un papillon qui avait des ailes de dix mètres d'envergure. Quand la bête m'a vu, elle a essayé de m'attaquer. Mais elle ne savait pas qu'avec mes pattes ultras puissantes, je cours plus vite qu'un TGV. Le papillon s'est mis à voler derrière moi, ce qui a engendrer des dégâts considérables sur un secteur de dix kilomètres autour de son vol. Il n'a jamais pu me rattraper et arrivé à trois cent kilomètres l'heure, ses ailes se sont cassées et j'ai été le finir à coups de moustache et de queue. Voilà, tu comprends maintenant, après s'était un papillon nucléaire au plutonium qui n'a rien à voir avec ceux-ci.
- Tu es vraiment rapide Turbo, quelle chance d'avoir des pattes comme ça.
Sur la route de Mornay, le président dans la voiture de la sœur, n'en revenait toujours pas de l'attitude du général Picolle. Mais qui était cet individu, il se le demandait bien en se disant qu'à présent, il aurait la paix.
- Hé, volvic cordon bleu élevé au biberon de jus de pomme, regardez devant, il y a encore un gendarme au milieu de la route. Qu'est ce que je fais ? Je l'écrase où bien, je m'arrête ?
- Tu nous fais une drôle de conductrice espèce de vieille bique d'Afrique. Écraser un gendarme, tu n'as pas toute ta raison, qu'est-ce que tu as bien pu boire comme ça ? Où même fumer, avec toi, on peut s'attendre à tout.
- Il va t'arriver des bricoles espèce de vieux couscoussier d'occasion pour cassoulet Argentin. Je parle à volvic cordon bleu élevé au biberon de jus de pomme.
- Hé bien, arrêtez-vous, et nous demanderons à ce gendarme ce qu'il veut.
La sœur s'arrêta et ouvrit sa vitre.
- Bonjour, je suis sœur Mathilde, la sœur la plus sobre au monde. À côté de moi, vous avez, volvic cordon bleu élevé au biberon de jus de pomme, alias, Emmanuel Macron et derrière le vieux rhinocéros de pape qui a laissé le Vatican pour promener en France son os ventral.
- Bonjour, je suis François et je suis poursuivi par des Martiens pour terrorisme international. Je n'ai rien fait, j'ai été enfermé chez les dingues et je ne suis pas fou. Je suis espionné par la CIA, monsieur volvic cordon bleu élevé au biberon de jus de pomme, vous ne pouvez pas faire quelque chose pour moi.
- Bon, je vois ce que c'est, nous sommes dans une région de dégénérés. Sœur Mathilde, reprenez la route. Le Belge avait raison, les Soubirous c'est une belle arnaque, chat chat où t'es, ou à tu mis ton chat chat.
Le pape répondit.
- Dans ma Benz Benz Benz, ils m'ont mis la fièvre.
La sœur clôtura le débat.
- whouaf tu es mon whouaf et quand je te whouaf je fais whouaf whouaf.
Puis elle repartit à toute allure. Le président eu le temps de lire un kilomètre plus loin sur le radar pédagogique des cinquante kilomètres heure, sur Mornay, cent vingt-sept kilomètres heure et la sœur s'écria, yes, soixante-dix en plus, j'ai gagné mon pari vieux zèbre, tu me dois trois litres de vinasse.
Le pauvre conducteur Belge repartit rejoindre son épouse qui avait repris le volant en l'attendant. Le pauvre homme était tellement perturbé qu'il ne là vit même pas et s'assit sur elle et repartit en direction de Bourges.
- Bin, là, c'est évident n'est-ce pas, une fois, j'ai été drogué par l'hôtelière à Mornay. J'ai, compris, je suis Belge, mais pas fou, une fois. C'est, démentiel, cette histoire, le volant de l'auto tantôt qu'a poussé, pi, le pare-brise qui tape sur ma tête. Tu m'entends, mon épouse, nous avons été drogués par les Soubirous, n'est pas.
Il entendit la voix de sa femme lui répondre dans son dos.
- Bin, mon époux, une fois, tu n'es peut-être pas assis à ta place, tantôt, il y aurait bien de ça aussi.
- Bin écoute, mon épouse, tu me pousses dans le dos, pi, je ne te vois plus à côté. C'est sûr je suis drogué, je n'ai plus la vision sur les côtés, n'est-ce pas !
- Bi, mon époux, si c'est une blague que tu me fais, elle n'est pas drôle n'est-ce pas, une fois.
Le pauvre homme finit par se rendre compte de la réalité. Il s'arrêta et monta de l'autre côté. Son épouse reprit la direction de rond-point et arriva sur les foies jaunes qui étaient au milieu de la route.
- Bin, c'est complet ça encore, hein, des canards qui manifestent à présent, qu'est-ce que je fais mon époux.
- Ne t'arrête pas, une fois, ils sont peut-être armés. Ça doit être encore des complices des Soubirous n'est-ce pas.
La femme passa de justesse entre le groupe sans renverser qui que ce soit et ce fut, là, réellement un miracle. En passant, ils entendirent la foule qui hurlait, on ne lâche rien ahouu à où.
- Bin, quand même, c'est une drôle d'aventure n'est-ce pas, on ne voudra jamais nous croire, c'est évident. Ils n'étaient pas armés quand même, tu serais bien un peu dans le délire mon époux, tantôt dans l'auto.
- Ça, c'est déjà vu, des canards armés.
- Bin tu dis ça, car tu es fâché après les, Soubirous, pi, c'est tout.
- Pas du tout mon épouse, une fois, sais-tu ce que j'ai vu dans la voiture, taleur, bin tu ne me croiras même pas, une fois. Un chat au volant, un canard avec un bazooka et un héron avec un lance-flamme, pi un autre chat avec des grenades en pattes.
La femme était sidérée et ne préféra pas répondre.
Pépère était sur le point de repartir et Lolo lui dit d'une voix à moitié endormie.
- Mon copain, j'ai un coup de barre et j'ai soif.
- Toc toc toc, regarde Pépère, les vilains sont en face, toc toc toc.
- Fle fle fle, notre canard qui êtes aux cieux, faites qu'il ne soit rien arrivée à ma gendarme poètes, fle fle fle, amen.
- Hé bien Lolo, tu as une drôle de voix, tu as mangé l'aluminium du chocolat, chat chat chat.
- De quoi tu me parles mon copain.
- Ça me fait penser au lampadaire à galène pour métro parisien. Quand il lèche les bouteilles, il parle comme ça, chat chat chat chat.
- Toc toc toc, pourquoi faut-il ça, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est une drôle d'idée, fle fle fle.
- Hé bien, il lèche l'étiquette des bouteilles de vinasse pour récupérer l'alcool des gouttes qui ont coulé sur le verre. Une fois, il a fini à l'hôpital comme ça bourré d'aluminium.
- Toc toc toc, il y a des étiquettes en aluminium, toc toc toc.
- Fle fle fle, c'est nouveau ça, fle fle fle.
- Ha bon mon copain, comment, c'est arrivé.
- Laissez-moi vous l'expliquer. Voilà, Noël dernier, la soûlarde, avait acheté des chocolats fourrés à l'alcool pour lui offrir. Vous comme elle était alcoolisée le soir, elle les a oubliés dans le frigo. C'est huit mois plus tard qu'elle lui a envoyé à Lourdes alors qu'il était à sa résidence secondaire proche de la grotte des moines. Le problème, c'est qu'il faisait soixante-dix degrés à l'ombre et les chocolats sont arrivés fondus. Ne pouvant jeter de l'alcool au chocolat, il a décidé de sucer le papier pour récupérer la substance, puis agacé à fini par tout manger. Le lendemain, sa soûlarde, qui était à la gendarmerie, reçoit un coup de téléphone de l'hôpital de Lourdes. Il avait dix kilos d'aluminium dans le ventre, voilà les copains. Bon, maintenant allons combattre les malfrats.
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