Dans le pré, Lucie essayait de voir ce que faisait Chatdore avec Bibou, mais, elle ne les voyait pas. Du coup, elle partit voir ce que faisait Cookie. Elle était sur son lit de paille et Lucie la regarda et lui dit.
- Hii, je me demande ce que fait Chatdore et ce qu'il raconte comme nouvelle aventure à Bibou. Je vais demander à Pépère s'il veut de moi comme enquêtrice pour surveiller les Américains qu'en penses tu ?
Cookie là regardait et ne semblait pas réagir à ses propos. Lucie était un peu vexée et insista.
- S'il le veut, je pourrai aussi, l'aider pour d'autres missions plus tard, c'est une bonne idée non. Chatdore et Lolo étant à côté, c'est plus simple pour communiquer non.
Cookie restait toujours immobile et finit par se lever et regardait Lucie d'un air étonné.
- Hiii, on m'a volé mes oreilles, hii c'est à cause de Pépère, hiii, sont caca est radioactif, hiii, j'ai été contaminé, hiii, je n'entends plus, hiii, où sont mes oreilles, hiii.
- Hii, c'est pour cela que tu ne me réponds pas, hii, qu'est-ce qui se passe dans tes oreilles hiii, tu es sûr que le caca de Pépère est radioactif, c'est bizarre ton histoire.
- Hiii, c'est une catastrophe, hii, je vais devoir consulter un oreilliste du cheval, hii, où sont mes oreilles, hiii, pirates, hii, bandits, hiii, qu'on me les rende.
Lucie regardait Cookie qu'avait l'air totalement désarmée face à cette perte d'audition. C'est alors que Cookie donna un coup de sabot au sol et s'écria.
- Hiii, c'est la paille, hiii regarde Lucie, hiii, les gendarmes du vol d'oreille de cheval ont retrouvé mes oreilles hiiii.
En disant ceci, la jument extirpa de ses oreilles des bouchons de paille qu'elle s'était mise dedans pour ne plus écouter Chatdore.
Le deux juments étaient amusées de cette mésaventure. C'est alors que Lucie posa à nouveau sa question.
- Hii, je me demande ce que fait Chatdore et ce qu'il raconte comme nouvelle aventure à Bibou. Je vais demander à Pépère s'il veut de moi comme enquêtrice pour surveiller les Américains qu'en penses tu ?
- Hiii, cela ne me regarde pas hii, du moment que Pépère ne vienne pas faire son caca ici, hii. Mais tu as déjà fait ce genre de chose Lucie, hiii.
- Une fois, j'ai sauvé un cheval en assistant un dentateur de chevaux.
- Un dentateur, hii, qu'est ce que c'est que ça, hii.
- Un dentateur, c'est le gars qui répare la dent du cheval, tu n'en as jamais entendu parlé ?
- Hiii, non, je ne connais que le Pépère capable de ce genre de trifouillage, hi hi hi hi.
- Je vais t'expliquer, ce que j'ai fait et tu vas comprendre. Le cheval qui avait le problème de dent avait mangé des carottes et il a attrapé la carottéose.
- C'est quoi ça la carottéose ?
- C'est une maladie rare du cheval, c'est transmis par la carotte qui fait pousser des carottes sur les dents du cheval. Avec le dentateur j'ai arraché les carottes de la gueule et je tenais le cheval. Tu vois ce n'est pas une mission, mais c'est déjà quelque chose de rare.
Cookie répondit à Lucie qu'elle était très forte, car elle ne voulait pas la blesser. Dans sa tête, elle se disait ; jument droguée hiii, jument toxicomane hiii.
Lucie ressortit et attendit Chatdore pour avoir des nouvelles de Bibou.
Dans la cabane en face, Chatdore était en train de parler avec Bibou. Il se servait comme bible de référence des histoires de Pépère qu'il avait lu et relu sur sa page, Monseigneur le Chat, et sur sa chaîne YouTube, Pépère the cats heroes.
- Tu es sûr que le petit chat est un monstre ? Il ne m'a pas donné cette impression et il était sagement couché quand je suis parti de la maison.
- Ne t'y fie pas mon copain, c'est une ruse de monstre. Il sait que tu es un chien agent secret et coéquipier du chat le plus célèbre au monde. Pépère est passé tout à l'heure chez toi et il a vu la bestiole en train de lui montrer le maniement des grenades défensives. La mère du soûlard est complice du monstre et il l'a clairement entendu expliquer à Mimine comment on armait un bazooka. Tu sais, je connais ce genre de monstre car j'en ai combattu avec Pépère en Arabie Saoudite, des chat-relons hybridatus.
- Des chatrelons hybridatus, qu'est ce que c'est que ça.
- Hé bien, c'est des chats qui se transforment en frelons monstrueux. Voilà nous étions là-bas en mission pour essayer de démanteler, un trafique de faux couscous qui était fait avec de la semoule en toc. Effectivement, les rois de France ayant voulu goûté au couscous, le Pépère leur avait proposer d'en ramener d'Arabie Saoudite et il s'était fait avoir. Les grains de semoule étaient en réalité des noyaux de cerise lyophilisés. Le problème, c'est qu'ils poussaient dans le ventre et Louis quatorze à dû être opéré d'urgence, car il avait une forêt dans l'estomac. Du coup, nous avons été enquêté là-bas et la cache des bandits qui faisaient ce faux couscous était gardé par des chatrelons hybridatus. En apparence, ils ressemblaient à des chats, mais avaient des ailes sur le dos et un dard de soixante-dix centimètres de long à la place de la queue. Puis, à la place des dents, ils avaient des crochets de scorpion. Capables de voler les monstres faisaient leur travail. Malgré tout, grâce à la force de Pépère, nous sommes arrivés à en exterminer plus de mille à coup de queue. Nous avons gardé les dards qui ont servi au château de Louis quatorze. Il s'en est fait une collection de fléchettes en souvenir du chatrelons hybridatus et le reste à été utilisé comme clou.
- C'est à peine croyable ton histoire.
- Et pourtant, c'est la vérité vraie qu'elle n'est pas fausse et avérée authentique.
Le long de la nationale, ce coup-ci, le brigadier était convaincus que le général était déséquilibré mentalement. Il ne semblait qu'à moitié cohérent. Son histoire du débarquement le laissait pantois et il avait beaucoup de mal à le croire. Il poussa son véhicule dans la descente et ne le mis sous aucun prétexte dans le fossé comme lui avait demandé de lui faire le général.
- Dites moi mon général, quel âge avez vous, pour avoir participé au débarquement ?
- Hé bien, vous voyez ce chat, c'est un héros national Americain et Donald Tromp m'en parlait, il n'y a pas si longtemps que ça. Il a évité bien des conflits aux États-Unis grâce à sa diplomatie légendaire. Cela fait un sacré moment et l'âge importe au héros Monsieur le Tatoubu.
- S'il vous plaît, mon nom, c'est Tatouvu pas Tatoubu, je ne suis pas un fut d'alcool sur pattes. Vous n'avez pas répondu à ma question, quel âge avez vous ?
- Hé bien, j'ai quarante-quatre ans six jours deux heures cinq minutes et...
Il regarda sa montre.
- Dix secondes à cet instant monsieur Tatoubu.
- Vous n'étiez pas né, en mille neuf cent quarante-quatre mon général.
- Bon, admettons, j'ai cinquante ans, vous me trouvez trop vieux comme chef d'opération ?
- Même cinquante ans, vous êtes bien jeune pour avoir fait la guerre.
- Hé bien, disons que je suis assez vieux pour avoir connu cet homme.
Il mit sa main dans son veston comme Napoléon.
- Mais comment, c'est possible.
- Écoutez, je ne suis que militaire vous êtes gendarme, à vous d'enquêter et de me le dire brigadier Tatoubu.
- Votre, histoire est quand même très bizarre, mais comment cela est arrivé.
- Je ne sais plus trop, j'étais à une soirée avec Plutarque et il cherchait un homme compétant pour savoir manier le bouton rouge. Il avait besoin d'un militaire pour exterminer un groupe de Chinois qui s'étaient installés à Delphes et ils terrorisaient les habitants. C'est grâce à Enrique Picolle que Delphes fut débarrassé des Chinois grâce à son extrême maîtrise du bouton rouge.
- Le brigadier en était rendu à se demander s'il n'avait pas trop bu. L'histoire du général était incompréhensible. Il se disait qu'on ne pouvait pas inventer une telle histoire et se dit qu'elle était sûrement vraie. Il suivit les ordres du général et décida d'arrêter une voiture.
Le Pépère était toujours dans sa petite voiture sous le regard de ses amis qui trouvaient l'odeur insupportable.
Une voiture immatriculée en Belgique s'arrêta proche de celle à Pépère et un homme en descendit.
Il s'approcha de Pépère et se présenta.
- Bonjour, une fois, je suis citoyen belge n'est-ce pas et je cherche la demeure de Bernadette Soubirous. On nous a dit, une fois, qu'elle est bin prêt d'ici à Nevers.
- Bonjour, vous avez en face de vous, Pépère, et je suis l'apparition de Bernadette.
- Toc toc toc, je suis Pêcheur et je ne connais pas cette dame, toc toc toc.
- Fle fle fle, je ne connais que sainte gendarme les petits oiseaux, fle fle fle.
- Moi, je suis Lolo, et ne suis pas responsable de l'odeur qui règne dans le bois.
- bin, il put chez vous, une fois, qu'est ce que c'est que cette histoire, vous êtes son apparition. Vous êtes sûr de ce que vous dites une fois.
- Toc toc toc, tu la connais, toc toc toc.
- Fle fle fle, mais où ça se trouve fle fle fle.
- Tu connais Bernadette Soubirous Pépère ?
- Vous la connaissez, une fois, mais qu'est-ce que vous faites de beau pour le dire, une fois.
- Hé bien, laissez-moi vous l'expliquer. Oui, mon maître comme vous le savez mes amis. Et comme vous l'ignorez monsieur à une résidence secondaire à Lourdes, proche de la grotte des moines. Savez vous pourquoi il a choisi cette ville qui est à huit cent kilomètres d'ici. Hé bien, parce qu'il va là-bas pour vénérer un pont à mon effigie. Oui, vous avez bien entendu le pont Dieu. Je suis Pépère le chat Dieu et j'ai emprunté ce pont de centaines de fois quand j'étais à Lourdes. Je faisais une enquête sur le vol des cierges par des ecclésiastiques et je me déguisais en bougie. C'est alors qu'à plusieurs reprises Bernadette Soubirous a essayé de me rôtir les moustaches en m'allumant. C'est ainsi qu'elle m'a vu apparaître sous forme d'une lumière à plusieurs reprise et m'a confondu avec la Vierge à cause de sa myopie. Je suis venu après dans la région et c'est naturellement qu'elle m'a suivi jusqu'à Nevers voilà. Quant au pont Dieu, il a été baptisté ainsi au souvenir de mon passage et de mes apparitions en Vierge.
- Toc toc toc, ce n'est pas du bidon, toc toc toc.
- Fle fle fle, je préfère quand même sainte gendarme des petits oiseaux, fle fle fle.
- Hé bien Pépère, tu en as fait de la route.
L'homme partit vers sa voiture l'air complètement décontenancé et dit à sa femme.
- Tu avais raison, une fois, c'est une arnaque. La Soubirous, c'est de son chat qu'elle a vu les moustaches en feu. Inutile d'aller à Nevers on s'est bien fait avoir, une fois.
- Ce n'est pas grave, nous ferrons un demi-tour plus loin, une fois. Passe moi donc une gaufrette et n'y pensons plus, une fois.
- Hii, je me demande ce que fait Chatdore et ce qu'il raconte comme nouvelle aventure à Bibou. Je vais demander à Pépère s'il veut de moi comme enquêtrice pour surveiller les Américains qu'en penses tu ?
Cookie là regardait et ne semblait pas réagir à ses propos. Lucie était un peu vexée et insista.
- S'il le veut, je pourrai aussi, l'aider pour d'autres missions plus tard, c'est une bonne idée non. Chatdore et Lolo étant à côté, c'est plus simple pour communiquer non.
Cookie restait toujours immobile et finit par se lever et regardait Lucie d'un air étonné.
- Hiii, on m'a volé mes oreilles, hii c'est à cause de Pépère, hiii, sont caca est radioactif, hiii, j'ai été contaminé, hiii, je n'entends plus, hiii, où sont mes oreilles, hiii.
- Hii, c'est pour cela que tu ne me réponds pas, hii, qu'est-ce qui se passe dans tes oreilles hiii, tu es sûr que le caca de Pépère est radioactif, c'est bizarre ton histoire.
- Hiii, c'est une catastrophe, hii, je vais devoir consulter un oreilliste du cheval, hii, où sont mes oreilles, hiii, pirates, hii, bandits, hiii, qu'on me les rende.
Lucie regardait Cookie qu'avait l'air totalement désarmée face à cette perte d'audition. C'est alors que Cookie donna un coup de sabot au sol et s'écria.
- Hiii, c'est la paille, hiii regarde Lucie, hiii, les gendarmes du vol d'oreille de cheval ont retrouvé mes oreilles hiiii.
En disant ceci, la jument extirpa de ses oreilles des bouchons de paille qu'elle s'était mise dedans pour ne plus écouter Chatdore.
Le deux juments étaient amusées de cette mésaventure. C'est alors que Lucie posa à nouveau sa question.
- Hii, je me demande ce que fait Chatdore et ce qu'il raconte comme nouvelle aventure à Bibou. Je vais demander à Pépère s'il veut de moi comme enquêtrice pour surveiller les Américains qu'en penses tu ?
- Hiii, cela ne me regarde pas hii, du moment que Pépère ne vienne pas faire son caca ici, hii. Mais tu as déjà fait ce genre de chose Lucie, hiii.
- Une fois, j'ai sauvé un cheval en assistant un dentateur de chevaux.
- Un dentateur, hii, qu'est ce que c'est que ça, hii.
- Un dentateur, c'est le gars qui répare la dent du cheval, tu n'en as jamais entendu parlé ?
- Hiii, non, je ne connais que le Pépère capable de ce genre de trifouillage, hi hi hi hi.
- Je vais t'expliquer, ce que j'ai fait et tu vas comprendre. Le cheval qui avait le problème de dent avait mangé des carottes et il a attrapé la carottéose.
- C'est quoi ça la carottéose ?
- C'est une maladie rare du cheval, c'est transmis par la carotte qui fait pousser des carottes sur les dents du cheval. Avec le dentateur j'ai arraché les carottes de la gueule et je tenais le cheval. Tu vois ce n'est pas une mission, mais c'est déjà quelque chose de rare.
Cookie répondit à Lucie qu'elle était très forte, car elle ne voulait pas la blesser. Dans sa tête, elle se disait ; jument droguée hiii, jument toxicomane hiii.
Lucie ressortit et attendit Chatdore pour avoir des nouvelles de Bibou.
Dans la cabane en face, Chatdore était en train de parler avec Bibou. Il se servait comme bible de référence des histoires de Pépère qu'il avait lu et relu sur sa page, Monseigneur le Chat, et sur sa chaîne YouTube, Pépère the cats heroes.
- Tu es sûr que le petit chat est un monstre ? Il ne m'a pas donné cette impression et il était sagement couché quand je suis parti de la maison.
- Ne t'y fie pas mon copain, c'est une ruse de monstre. Il sait que tu es un chien agent secret et coéquipier du chat le plus célèbre au monde. Pépère est passé tout à l'heure chez toi et il a vu la bestiole en train de lui montrer le maniement des grenades défensives. La mère du soûlard est complice du monstre et il l'a clairement entendu expliquer à Mimine comment on armait un bazooka. Tu sais, je connais ce genre de monstre car j'en ai combattu avec Pépère en Arabie Saoudite, des chat-relons hybridatus.
- Des chatrelons hybridatus, qu'est ce que c'est que ça.
- Hé bien, c'est des chats qui se transforment en frelons monstrueux. Voilà nous étions là-bas en mission pour essayer de démanteler, un trafique de faux couscous qui était fait avec de la semoule en toc. Effectivement, les rois de France ayant voulu goûté au couscous, le Pépère leur avait proposer d'en ramener d'Arabie Saoudite et il s'était fait avoir. Les grains de semoule étaient en réalité des noyaux de cerise lyophilisés. Le problème, c'est qu'ils poussaient dans le ventre et Louis quatorze à dû être opéré d'urgence, car il avait une forêt dans l'estomac. Du coup, nous avons été enquêté là-bas et la cache des bandits qui faisaient ce faux couscous était gardé par des chatrelons hybridatus. En apparence, ils ressemblaient à des chats, mais avaient des ailes sur le dos et un dard de soixante-dix centimètres de long à la place de la queue. Puis, à la place des dents, ils avaient des crochets de scorpion. Capables de voler les monstres faisaient leur travail. Malgré tout, grâce à la force de Pépère, nous sommes arrivés à en exterminer plus de mille à coup de queue. Nous avons gardé les dards qui ont servi au château de Louis quatorze. Il s'en est fait une collection de fléchettes en souvenir du chatrelons hybridatus et le reste à été utilisé comme clou.
- C'est à peine croyable ton histoire.
- Et pourtant, c'est la vérité vraie qu'elle n'est pas fausse et avérée authentique.
Le long de la nationale, ce coup-ci, le brigadier était convaincus que le général était déséquilibré mentalement. Il ne semblait qu'à moitié cohérent. Son histoire du débarquement le laissait pantois et il avait beaucoup de mal à le croire. Il poussa son véhicule dans la descente et ne le mis sous aucun prétexte dans le fossé comme lui avait demandé de lui faire le général.
- Dites moi mon général, quel âge avez vous, pour avoir participé au débarquement ?
- Hé bien, vous voyez ce chat, c'est un héros national Americain et Donald Tromp m'en parlait, il n'y a pas si longtemps que ça. Il a évité bien des conflits aux États-Unis grâce à sa diplomatie légendaire. Cela fait un sacré moment et l'âge importe au héros Monsieur le Tatoubu.
- S'il vous plaît, mon nom, c'est Tatouvu pas Tatoubu, je ne suis pas un fut d'alcool sur pattes. Vous n'avez pas répondu à ma question, quel âge avez vous ?
- Hé bien, j'ai quarante-quatre ans six jours deux heures cinq minutes et...
Il regarda sa montre.
- Dix secondes à cet instant monsieur Tatoubu.
- Vous n'étiez pas né, en mille neuf cent quarante-quatre mon général.
- Bon, admettons, j'ai cinquante ans, vous me trouvez trop vieux comme chef d'opération ?
- Même cinquante ans, vous êtes bien jeune pour avoir fait la guerre.
- Hé bien, disons que je suis assez vieux pour avoir connu cet homme.
Il mit sa main dans son veston comme Napoléon.
- Mais comment, c'est possible.
- Écoutez, je ne suis que militaire vous êtes gendarme, à vous d'enquêter et de me le dire brigadier Tatoubu.
- Votre, histoire est quand même très bizarre, mais comment cela est arrivé.
- Je ne sais plus trop, j'étais à une soirée avec Plutarque et il cherchait un homme compétant pour savoir manier le bouton rouge. Il avait besoin d'un militaire pour exterminer un groupe de Chinois qui s'étaient installés à Delphes et ils terrorisaient les habitants. C'est grâce à Enrique Picolle que Delphes fut débarrassé des Chinois grâce à son extrême maîtrise du bouton rouge.
- Le brigadier en était rendu à se demander s'il n'avait pas trop bu. L'histoire du général était incompréhensible. Il se disait qu'on ne pouvait pas inventer une telle histoire et se dit qu'elle était sûrement vraie. Il suivit les ordres du général et décida d'arrêter une voiture.
Le Pépère était toujours dans sa petite voiture sous le regard de ses amis qui trouvaient l'odeur insupportable.
Une voiture immatriculée en Belgique s'arrêta proche de celle à Pépère et un homme en descendit.
Il s'approcha de Pépère et se présenta.
- Bonjour, une fois, je suis citoyen belge n'est-ce pas et je cherche la demeure de Bernadette Soubirous. On nous a dit, une fois, qu'elle est bin prêt d'ici à Nevers.
- Bonjour, vous avez en face de vous, Pépère, et je suis l'apparition de Bernadette.
- Toc toc toc, je suis Pêcheur et je ne connais pas cette dame, toc toc toc.
- Fle fle fle, je ne connais que sainte gendarme les petits oiseaux, fle fle fle.
- Moi, je suis Lolo, et ne suis pas responsable de l'odeur qui règne dans le bois.
- bin, il put chez vous, une fois, qu'est ce que c'est que cette histoire, vous êtes son apparition. Vous êtes sûr de ce que vous dites une fois.
- Toc toc toc, tu la connais, toc toc toc.
- Fle fle fle, mais où ça se trouve fle fle fle.
- Tu connais Bernadette Soubirous Pépère ?
- Vous la connaissez, une fois, mais qu'est-ce que vous faites de beau pour le dire, une fois.
- Hé bien, laissez-moi vous l'expliquer. Oui, mon maître comme vous le savez mes amis. Et comme vous l'ignorez monsieur à une résidence secondaire à Lourdes, proche de la grotte des moines. Savez vous pourquoi il a choisi cette ville qui est à huit cent kilomètres d'ici. Hé bien, parce qu'il va là-bas pour vénérer un pont à mon effigie. Oui, vous avez bien entendu le pont Dieu. Je suis Pépère le chat Dieu et j'ai emprunté ce pont de centaines de fois quand j'étais à Lourdes. Je faisais une enquête sur le vol des cierges par des ecclésiastiques et je me déguisais en bougie. C'est alors qu'à plusieurs reprises Bernadette Soubirous a essayé de me rôtir les moustaches en m'allumant. C'est ainsi qu'elle m'a vu apparaître sous forme d'une lumière à plusieurs reprise et m'a confondu avec la Vierge à cause de sa myopie. Je suis venu après dans la région et c'est naturellement qu'elle m'a suivi jusqu'à Nevers voilà. Quant au pont Dieu, il a été baptisté ainsi au souvenir de mon passage et de mes apparitions en Vierge.
- Toc toc toc, ce n'est pas du bidon, toc toc toc.
- Fle fle fle, je préfère quand même sainte gendarme des petits oiseaux, fle fle fle.
- Hé bien Pépère, tu en as fait de la route.
L'homme partit vers sa voiture l'air complètement décontenancé et dit à sa femme.
- Tu avais raison, une fois, c'est une arnaque. La Soubirous, c'est de son chat qu'elle a vu les moustaches en feu. Inutile d'aller à Nevers on s'est bien fait avoir, une fois.
- Ce n'est pas grave, nous ferrons un demi-tour plus loin, une fois. Passe moi donc une gaufrette et n'y pensons plus, une fois.
