Dans la cabane, Cookie dormait tranquillement quand elle fut réveillée par un bruit étrange. C'était sa maîtresse qui était devant elle avec le bas du corps à Pépère. Malgré la loufoquerie de la situation, Cookie trouvait ça normal.
- Cookie, il faut de lever que je peigne tes ailes avant d'aller dans l'univers.
- Ha bon maîtresse, mais où allons nous ? Où sont, Chatdore, Lucie, Ainos et Sybage ?
- Il sont partis en fasse dans la cabane du poète faire du tricot pour la soûlarde et son comparse.
C'est à ce moment-là dont arriva Chatdore avec une paire d'aiguilles en patte.
- Chalut, Ambrepère, tu ne sais pas où je peux trouver du fil de fer en quatre carrés pour finir mes tricots.
- Mais, qui as-tu cité, je ne comprends pas Chatdore qui est Ambrepère ?
- Hé bien ta nouvelle maîtresse qui est un humanoïde avec l'intelligence de Pépère et de Chatdore.
- C'est, difficile, hiii, mais où allons nous ma maîtresse.
- Nous avons des cargaisons de plutonium à aller jeter sur le soleil. Le terrain d'à côté en est rempli et la radio-activité fait poussé les arbres de la forêt qui vont s'enflammer au contact du soleil si ça continue.
Cookie leva les yeux vers la forêt et vit que les sapins faisaient au moins des kilomètres de hauteur.
- Qu'est-ce que c'est que cette diablerie, hiii, qu'est-ce qui se passe hii.
- Ne t'inquiète pas Cookie écoute Ambrepère, c'est à cause du plutonium. Bon, ce n'est pas tout ça, mais il faut que l'on finisse les tricots pour le soûlard.
- Hiiii, qu'est ce que c'est que cette histoire de tricot, hiii.
- Hé bien voilà que je t'explique Cookie le soûlard et sa soûlarde sont victimes d'une attaque des bouteilles par des corbeaux armés de fusils-mitrailleurs et ils tirent sur les bouteilles de vin nucléaire. Alors, ils nous a demandé de tricoter des pulls à bouteilles avec du fil de fer pour les rendre incassables.
- Hiii, je ne te crois pas, hiii, tu es Pépère et Ambrepère est Lolo ou Turbo.
Dehors, Chatdore était toujours en train de raconter ses histoires quand il entendit cookie murmurer et donner des violents coups de sabots dans la paroi de la cabane.
- Hé bien qu'a-t-elle la bougresse elle va faire tomber la cabane sur le chien.
Tout le monde entra et ils virent Cookie qui venait à peine d'ouvrir les yeux et elle comprenait seulement qu'elle venait de faire un vilain rêve.
Chatdore regarda son téléphone et s'écria.
- Il faut que j'envoie un message à Pépère sur un fait d'actualité qui va l'intéresser.
Cookie raconta son rêve aux chats et à Lucie. Chatdore écoutait avec attention et lui répondit.
- Hé bien figure toi, que l'on a déjà fait du tricot avec Pépère. Oui, et même avec des aiguilles à coudre une loupe et du micro fil pour pulls à fourmis.
- Ha bon mon méga love Chatdore raconte nous ça, pourquoi avez-vous fait ça.
- Hé bien, ma copine écoute l'histoire. Voilà que je te raconte l'histoire. Comme tu le sais, l'homme qui habite en face est un gargantua et mange tout ce qui lui passe sous les yeux. C'est simple, une fois, il voulait manger une cuisse à Pépère, le pauvre doit son salut au fait que son sang est létale suite à une mission au Koweït. C'est lui qui me l'a raconté, comprenant qu'il n'était pas comestible, il s'est rabattu sur une choucroute de dix-sept kilos, un cochon entier et vingt crêpes. D'ailleurs, il en avait promis une au pauvre Pépère qui n'a même pas eu les miettes. À ce moment-là, la soûlarde est arrivée avec un aspirateur électrique en main et rentre dans le gourbi. Elle dit au ciseaux italien pour chauve du Venezuela, de s'en servir pour ramasser les miettes et les lui donner à présent. Le Pépère, s'est dit, hé bien, c'est vraiment la misère ici, moi, je mange des cailloux et elle mange des miettes. Pendant ce temps, l'autre gargantua mange un cochon entier en entrée. Puis, elle s'en va et le soûlard s'exécute en ramassant les miettes. C'est ainsi que mangeant tout le temps, il lui donnait un sac de miettes par jour. Le Pépère pensait que c'était pour ses croquettes. Puis l'hiver est arrivé et un jour, la soûlarde arrive en larmes. Le Pépère s'est dit, sûrement qu'il y a une rupture de vinasse à l'épicerie en face du commissariat. Puis écoutant attentivement, il écoute ceci. J'en ai encore perdu treize, qu'est ce que je peux faire. Pépère se disait, treize bouteilles en moins, hé bien, tu boiras de l'eau. Puis c'est là qu'il est venu me trouver pour me dire qu'il fallait que l'on tricote des pulls microscopiques. Voilà maintenant, tu sais l'histoire Lucie.
- Oui, mais c'était pourquoi faire ces pulls, mon méga love Chatdore.
- Ha oui, que je t'explique. Voilà sa soûlarde récupérait les miettes non pas pour se nourrir, mais pour un élevage de limaces ailées avec bec d'oiseau. C'est une espèce qui est née sur les salades nucléaires du soûlard à cause justement de l'engrais enrichi de plutonium qu'il mettait dessus. Voilà ce à quoi étaient destinées les miettes pour nourrir les bestioles. Comme elle n'a plus de fenêtres chez elle, les bêtes avaient froid et c'est Pépère et moi qui avons tricoté les pulls.
- Hé bien, mon méga love Chatdore, c'est une drôle d'histoire, et pourquoi n'a telle plus de fenêtres ?
- Hé bien, c'est parce qu'un jour, elle a fait manger à Pépère un cassoulet avec des haricots nucléaires et le pauvre a eu des gaz et a exploser les fenêtres avec les haricots qui étaient toujours aussi durs une fois cuits.
- Hiii, quelle aventure.
- Oui, ma copine et c'est la vérité vraie qu'elle est réelle, pas fausse et authentiquement vraie.
Pendant ce temps à Nevers, Christophe Castaner était toujours bloqué par le groupe écologiste, cetelem dont s'était rejoint à eux le célèbre Pastis Laplane. Il voulait à toute force faire chanter la chanson des ronds-points au ministre. Celui-ci n'était pas de cet avis malgré que ce tube de la chanson française s'était déjà écoulé à un chiffre vertigineux de treize exemplaires sur toute la France. L'homme était agacé et la police mettait du temps à arrivée.
Pendant ce temps à Nevers, Christophe Castaner était toujours bloqué par le groupe écologiste, cetelem dont s'était rejoint à eux le célèbre Pastis Laplane. Il voulait à toute force faire chanter la chanson des ronds-points au ministre. Celui-ci n'était pas de cet avis malgré que ce tube de la chanson française se fût déjà écoulé à un chiffre vertigineux de treize exemplaires sur toute la France. L'homme était agacé et la police mettait du temps à arrivée.
En fait, les policiers avaient été pris à partie par une hystérique qui les avait bloqués sur la route qui venait de Moulins, une certaine Lady Fessier membre des foies jaunes auvergnats. Elle voulait les sensibiliser sur l'extinction de la race des foies jaunes qui étaient victimes selon elle d'empoisonnement le l'air au-dessus des ronds-points par un puissant gaz qui était envoyer depuis le vaisseau d'un Martien payé par le président de la République pour se débarrasser d'eux.
Le Pépère qui arrivait vers les foies jaunes reçu le message de Chatdore et stoppa le temps en face de lui.
- Mais, comment faites vous ça, Pépère ?
- Hé bien, Monsieur le Président, je suis Dieu voilà tout. Dans l'empressement, nous avons oublié Fripouille à la brasserie au fait, le salopard doit dormir. Quelle équipe de pattes cassées. Je dois me remettre, figurez vous que mon tricératops berrichon coloré à l'éosine, à fait des siennes et ça confirme ce que je disais tout à l'heure sur les crêpes de la soûlarde, ça fait un peu beaucoup pour une seule personne.
- Mais de quoi parlez-vous Pépère ? S'étonnait le chef d'état.
- Vous vous souvenez que je l'avais pris la main dans le sac avec un casier de bouteilles de rhum. Hé bien, figurez-vous que mes chirurgiens esthétiques du bouchon de liège, en ont vidé un conteneur entier. Hé, pauvre de moi, j'ai été le chercher en camion aux caraïbes avec mon hélicoptère. Voilà, un soir, mon triphasé du smartphone chinois, était dans son gourbi et il m'appelle pour me demander si mon hélicoptère pourrait transporter un bidon de cocktail de fruits. Il organisait sur son terrain une sorte de dîner pour fêter sa plantation de raisin nucléaire. Bizarrement, il me dit que la gendarmerie va me donner les papiers pour l'autorisation de vol. Le soir même, sa soûlarde passe dans le capharnaüm et lui dis avoir été cherché deux cent kilos de croquettes. J'ai trouvé ça bizarre, en même temps, on me demande de prendre un convoi exceptionnel pour ramener de Paris le conteneur de croquettes. Je pars donc le lendemain aux caraïbes et arrivé sur place je me suis fait arrêter et c'est la soûlarde qui a arrangé les choses. J'ai donc ramené le conteneur sur son terrain et comme par hasard, il n'y a jamais eu de dîner pour fêter la vigne. Le soûlard était tout le temps vers le conteneur sous prétexte de vérifier s'il ne fuyait pas. Un soir, je lui ai dit, hé tu me prends pour un chat lunaire qui se nourri d'ozone ! Soûlard va, j'ai compris ton manège, c'est une barrique de rhum et tu es en train de la siffler oui. Je l'ai ensuite ramené sur Paris avec le convois exceptionnel, soit disant pour les croquettes. Mais, revenu vers la soûlarde, je m'aperçois que les croquettes sont déjà dans la cours. Regardez ce que m'envoie Chatdore.
Il montra l'article au président et lui dit.
- Non seulement, on me fait manger des cailloux, mais on comptait me faire ingurgiter sept cent quarante kilos de croquettes remplies de cocaïne, une honte. Et l'autre dégarni de la tonsure s'en descendu plus de trois cents litres de rhum alors je comprends que sa soûlarde puisse en boire huit bouteilles en une seule soirée, c'est lamentable.
- Cookie, il faut de lever que je peigne tes ailes avant d'aller dans l'univers.
- Ha bon maîtresse, mais où allons nous ? Où sont, Chatdore, Lucie, Ainos et Sybage ?
- Il sont partis en fasse dans la cabane du poète faire du tricot pour la soûlarde et son comparse.
C'est à ce moment-là dont arriva Chatdore avec une paire d'aiguilles en patte.
- Chalut, Ambrepère, tu ne sais pas où je peux trouver du fil de fer en quatre carrés pour finir mes tricots.
- Mais, qui as-tu cité, je ne comprends pas Chatdore qui est Ambrepère ?
- Hé bien ta nouvelle maîtresse qui est un humanoïde avec l'intelligence de Pépère et de Chatdore.
- C'est, difficile, hiii, mais où allons nous ma maîtresse.
- Nous avons des cargaisons de plutonium à aller jeter sur le soleil. Le terrain d'à côté en est rempli et la radio-activité fait poussé les arbres de la forêt qui vont s'enflammer au contact du soleil si ça continue.
Cookie leva les yeux vers la forêt et vit que les sapins faisaient au moins des kilomètres de hauteur.
- Qu'est-ce que c'est que cette diablerie, hiii, qu'est-ce qui se passe hii.
- Ne t'inquiète pas Cookie écoute Ambrepère, c'est à cause du plutonium. Bon, ce n'est pas tout ça, mais il faut que l'on finisse les tricots pour le soûlard.
- Hiiii, qu'est ce que c'est que cette histoire de tricot, hiii.
- Hé bien voilà que je t'explique Cookie le soûlard et sa soûlarde sont victimes d'une attaque des bouteilles par des corbeaux armés de fusils-mitrailleurs et ils tirent sur les bouteilles de vin nucléaire. Alors, ils nous a demandé de tricoter des pulls à bouteilles avec du fil de fer pour les rendre incassables.
- Hiii, je ne te crois pas, hiii, tu es Pépère et Ambrepère est Lolo ou Turbo.
Dehors, Chatdore était toujours en train de raconter ses histoires quand il entendit cookie murmurer et donner des violents coups de sabots dans la paroi de la cabane.
- Hé bien qu'a-t-elle la bougresse elle va faire tomber la cabane sur le chien.
Tout le monde entra et ils virent Cookie qui venait à peine d'ouvrir les yeux et elle comprenait seulement qu'elle venait de faire un vilain rêve.
Chatdore regarda son téléphone et s'écria.
- Il faut que j'envoie un message à Pépère sur un fait d'actualité qui va l'intéresser.
Cookie raconta son rêve aux chats et à Lucie. Chatdore écoutait avec attention et lui répondit.
- Hé bien figure toi, que l'on a déjà fait du tricot avec Pépère. Oui, et même avec des aiguilles à coudre une loupe et du micro fil pour pulls à fourmis.
- Ha bon mon méga love Chatdore raconte nous ça, pourquoi avez-vous fait ça.
- Hé bien, ma copine écoute l'histoire. Voilà que je te raconte l'histoire. Comme tu le sais, l'homme qui habite en face est un gargantua et mange tout ce qui lui passe sous les yeux. C'est simple, une fois, il voulait manger une cuisse à Pépère, le pauvre doit son salut au fait que son sang est létale suite à une mission au Koweït. C'est lui qui me l'a raconté, comprenant qu'il n'était pas comestible, il s'est rabattu sur une choucroute de dix-sept kilos, un cochon entier et vingt crêpes. D'ailleurs, il en avait promis une au pauvre Pépère qui n'a même pas eu les miettes. À ce moment-là, la soûlarde est arrivée avec un aspirateur électrique en main et rentre dans le gourbi. Elle dit au ciseaux italien pour chauve du Venezuela, de s'en servir pour ramasser les miettes et les lui donner à présent. Le Pépère, s'est dit, hé bien, c'est vraiment la misère ici, moi, je mange des cailloux et elle mange des miettes. Pendant ce temps, l'autre gargantua mange un cochon entier en entrée. Puis, elle s'en va et le soûlard s'exécute en ramassant les miettes. C'est ainsi que mangeant tout le temps, il lui donnait un sac de miettes par jour. Le Pépère pensait que c'était pour ses croquettes. Puis l'hiver est arrivé et un jour, la soûlarde arrive en larmes. Le Pépère s'est dit, sûrement qu'il y a une rupture de vinasse à l'épicerie en face du commissariat. Puis écoutant attentivement, il écoute ceci. J'en ai encore perdu treize, qu'est ce que je peux faire. Pépère se disait, treize bouteilles en moins, hé bien, tu boiras de l'eau. Puis c'est là qu'il est venu me trouver pour me dire qu'il fallait que l'on tricote des pulls microscopiques. Voilà maintenant, tu sais l'histoire Lucie.
- Oui, mais c'était pourquoi faire ces pulls, mon méga love Chatdore.
- Ha oui, que je t'explique. Voilà sa soûlarde récupérait les miettes non pas pour se nourrir, mais pour un élevage de limaces ailées avec bec d'oiseau. C'est une espèce qui est née sur les salades nucléaires du soûlard à cause justement de l'engrais enrichi de plutonium qu'il mettait dessus. Voilà ce à quoi étaient destinées les miettes pour nourrir les bestioles. Comme elle n'a plus de fenêtres chez elle, les bêtes avaient froid et c'est Pépère et moi qui avons tricoté les pulls.
- Hé bien, mon méga love Chatdore, c'est une drôle d'histoire, et pourquoi n'a telle plus de fenêtres ?
- Hé bien, c'est parce qu'un jour, elle a fait manger à Pépère un cassoulet avec des haricots nucléaires et le pauvre a eu des gaz et a exploser les fenêtres avec les haricots qui étaient toujours aussi durs une fois cuits.
- Hiii, quelle aventure.
- Oui, ma copine et c'est la vérité vraie qu'elle est réelle, pas fausse et authentiquement vraie.
Pendant ce temps à Nevers, Christophe Castaner était toujours bloqué par le groupe écologiste, cetelem dont s'était rejoint à eux le célèbre Pastis Laplane. Il voulait à toute force faire chanter la chanson des ronds-points au ministre. Celui-ci n'était pas de cet avis malgré que ce tube de la chanson française s'était déjà écoulé à un chiffre vertigineux de treize exemplaires sur toute la France. L'homme était agacé et la police mettait du temps à arrivée.
Pendant ce temps à Nevers, Christophe Castaner était toujours bloqué par le groupe écologiste, cetelem dont s'était rejoint à eux le célèbre Pastis Laplane. Il voulait à toute force faire chanter la chanson des ronds-points au ministre. Celui-ci n'était pas de cet avis malgré que ce tube de la chanson française se fût déjà écoulé à un chiffre vertigineux de treize exemplaires sur toute la France. L'homme était agacé et la police mettait du temps à arrivée.
En fait, les policiers avaient été pris à partie par une hystérique qui les avait bloqués sur la route qui venait de Moulins, une certaine Lady Fessier membre des foies jaunes auvergnats. Elle voulait les sensibiliser sur l'extinction de la race des foies jaunes qui étaient victimes selon elle d'empoisonnement le l'air au-dessus des ronds-points par un puissant gaz qui était envoyer depuis le vaisseau d'un Martien payé par le président de la République pour se débarrasser d'eux.
Le Pépère qui arrivait vers les foies jaunes reçu le message de Chatdore et stoppa le temps en face de lui.
- Mais, comment faites vous ça, Pépère ?
- Hé bien, Monsieur le Président, je suis Dieu voilà tout. Dans l'empressement, nous avons oublié Fripouille à la brasserie au fait, le salopard doit dormir. Quelle équipe de pattes cassées. Je dois me remettre, figurez vous que mon tricératops berrichon coloré à l'éosine, à fait des siennes et ça confirme ce que je disais tout à l'heure sur les crêpes de la soûlarde, ça fait un peu beaucoup pour une seule personne.
- Mais de quoi parlez-vous Pépère ? S'étonnait le chef d'état.
- Vous vous souvenez que je l'avais pris la main dans le sac avec un casier de bouteilles de rhum. Hé bien, figurez-vous que mes chirurgiens esthétiques du bouchon de liège, en ont vidé un conteneur entier. Hé, pauvre de moi, j'ai été le chercher en camion aux caraïbes avec mon hélicoptère. Voilà, un soir, mon triphasé du smartphone chinois, était dans son gourbi et il m'appelle pour me demander si mon hélicoptère pourrait transporter un bidon de cocktail de fruits. Il organisait sur son terrain une sorte de dîner pour fêter sa plantation de raisin nucléaire. Bizarrement, il me dit que la gendarmerie va me donner les papiers pour l'autorisation de vol. Le soir même, sa soûlarde passe dans le capharnaüm et lui dis avoir été cherché deux cent kilos de croquettes. J'ai trouvé ça bizarre, en même temps, on me demande de prendre un convoi exceptionnel pour ramener de Paris le conteneur de croquettes. Je pars donc le lendemain aux caraïbes et arrivé sur place je me suis fait arrêter et c'est la soûlarde qui a arrangé les choses. J'ai donc ramené le conteneur sur son terrain et comme par hasard, il n'y a jamais eu de dîner pour fêter la vigne. Le soûlard était tout le temps vers le conteneur sous prétexte de vérifier s'il ne fuyait pas. Un soir, je lui ai dit, hé tu me prends pour un chat lunaire qui se nourri d'ozone ! Soûlard va, j'ai compris ton manège, c'est une barrique de rhum et tu es en train de la siffler oui. Je l'ai ensuite ramené sur Paris avec le convois exceptionnel, soit disant pour les croquettes. Mais, revenu vers la soûlarde, je m'aperçois que les croquettes sont déjà dans la cours. Regardez ce que m'envoie Chatdore.
Il montra l'article au président et lui dit.
- Non seulement, on me fait manger des cailloux, mais on comptait me faire ingurgiter sept cent quarante kilos de croquettes remplies de cocaïne, une honte. Et l'autre dégarni de la tonsure s'en descendu plus de trois cents litres de rhum alors je comprends que sa soûlarde puisse en boire huit bouteilles en une seule soirée, c'est lamentable.
