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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Sur Charnïa, la confusion était totale. Jamais, l'obscurité ne s'était faite comme ça à cette matinale. Les chats et les fées présageaient déjà de nouvelles aventures.
Un responsable de la planète vint en urgence visiter Pépère.
- Pépère, gloire céleste de l'univers, que se passe-t-il pour que la nuit soit tombée subitement comme cela.
Turbo, fort heureusement était guidé dans ses réponses par télépathie et la fée Liettuje le faisait formidablement. Le brave matou était exactement la réplique de Pépère.
- Hé bien, je ne peux pas le dire pour le moment. Praxtor et Régor vont préparer leur soucoupe et je m'en fais de ce pas dans l'espace avec mon fidèle serviteur Un-œil et Isidore s'en va avec l'un de mes assistants. Il est probable qu'une pluie de météorites se soit abattue sur nos trois soleils. Il y a peu, la ceinture de Kypron qui gravite autour de Franïadus à été percutée par un astéroïde et il est probable que des météores soient arrivés jusqu'à nos trois soleils. Régor et Praxtor veuillez démarrer nos soucoupes nous partons de cette patte voir ce qu'il en retourne.
Les fées partirent vers les soucoupes et chacune prit place dedans. Isidore embarqua avec Un-œil et Liettuje, Turbo avec Leïlanne. Les deux vaisseaux partir en direction de l'univers sans que les Charnïens n'en virent le décollage tellement l'obscurité était profonde.
Il fallait une bonne vingtaine de minute pour arriver jusqu'à la stratosphère et chacun travaillait sur le guidage de sa soucoupe en interaction avec l'autre.
- Allô, ici, Isidore, tu me reçois Turbo, mets tes réacteurs à une vitesse de treize miles seconde. Un-œil t'envoie la fréquence radio, Liettuje garde le cap et surveille le guidage.
- Allô, ici Turbo, je te reçois, Leïlanne cale la fréquence sur quatre cent trente-trois mégahertz. Je suis ton écho radar, Isidore, fin de conversation, prochain contact dans treize minutes.
- Allô, ici, Isidore, bien reçu, contact dans treize minutes. Fin d'appel, merci, Turbo.
Isidore et Un-œil en profitèrent pour se reposer un peu et Liettuje par télépathie regardait ce que faisait Tigrou.
Leïlanne était sereine et confiante en l'avenir et Turbo était ravi de pouvoir vivre de nouveaux évènements qu'il pourrait relater à sa cousine.
Malgré qu'il fut résolu à ne pas s'endormir, il tomba comme une masse. Leïlanne le regardait dormir, il avait encore un peu de temps en automatique.
Il se mit à rêver et vit le poète qui arrivait sur un char d'assaut sur son terrain et Cookie était sur le canon avec un lance rocket. C'était dément, il partit se cacher derrière la cabane à bibou et il tremblait. Bientôt, il vit arrivé Elchatponne qui était habillé en curé. Il se mit à bénir le char et dit à haute voix.
- Au nom de Dieu Lolo et Cookie, je vous bénis d'avoir osé traquer le pire des terroristes Turbo.
Il sortit apeuré de derrière la cabane à Bibou et implora Leïlanne de venir le secourir.
- Leïlanne vient me sauver, on veut m'assassiner.
Chouânne apparut et fit disparaître le char. Il resta seul avec elle et ils partirent vers Franïadus et il se réveilla en sursaut dans la soucoupe.
- Leïlanne, où est le char ?
- Quel char mon loulou, tu as dû rêver, tu faisais de drôles de grimaces en dormant.
- Ha, oui, tu as raison Leïlanne, j'ai fait un cauchemar.
Turbo raconta le rêve qu'il venait de faire et tous les deux se mirent à en rire.
Il restait quelques minutes avant d'arriver au point de rendez-vous pour de nouvelles instructions.
Devant la maison des Juments, Cookie n'en pouvait plus d'écouter Chatdore et elle partit à l'intérieur se reposer et se boucha les oreilles avec de la paille. Elle trouvait ses histoires complètement farfelues et se demandait comment Lucie pouvait les croire.
Chatdore lui était heureux et revoyait dans sa tête toutes les histoires du Pépère.
- Hii, c'est qui Adélaïde et Isidore mon méga love Chatdore ?
- C'est des alcooliques qui visitent régulièrement l'Africain mohican qui habite en face. L'homme que tu as vu est un ami de ses deux personnages qui trafiquent avec la gendarme du soûlard. La dernière fois, ils sont tous venus ici en car avec des visiteurs chinois pour faire visiter la forêt d'arbre à bouteilles du rabougri irlandais qui boit du vingt ans d'âge.
- HI, mon méga love Chatdore, c'est une drôle d'histoire. Si nous avions pu prendre des photos pour Pépère, hii, il ne nous croira peut-être pas.
- C'est moi qui l'ai inventé, pour Pépère. Si il sait que je dis toujours la vérité vraie qu'elle n'est pas fausse.
- Tu as inventé le car ?
- Mais non l'appareil photo pour Pépère.
- Ha, bon, mon méga love Chatdore, raconte moi ça.
- Oui, j'avais fait cette invention pour les hippopotames du pôle Nord.
- Des hippopotames au pôle Nord, hii, tu es sûr mon méga love héros.
- Oui, à l'époque, il y avait des panneaux chauffant au plafond du pôle Nord que Pépère avait installés pour ne pas attraper le colza le temps de finir les travaux de fabrication de la glace chaude.
- Ha bon ; répondit naïvement Lucie.
- Oui et j'étais là-bas en mission de reconnaissance pour faire le recensement des mammouths pour mettre en place avec Danny Boom une cartographie de leurs adresses pour le portage de leur courrier. Les Mammouths étaient de fervents admirateurs de Danny et je m'en suis occupé. Pépère était à notre époque en train de résoudre un problème d'explosion. L'épicerie en face de chez la soûlarde avait été victime d'une beuverie qui avait mal tournée et de l'un d'eux qui avait fini sa colère en posant un pain de TNT.
Il faut savoir que les hippopotames pour la plupart à cette époque pour divertir et diriger les hommes de Néandertal étaient des vedettes de cinéma où des animaux politiques. Les journaux relataient sans arrêt leurs activités et les bestioles étaient frustrées qu'on ne les voit pas. Un soir le président hippopotame est venu me voir et me dit Chatdore vous gloire du cinéma fantastique ami de Florent Palui, parolier de Engy Jailtrac nous sommes tellement frustré de ces événements que pouvez vous faire pour nous. Alors pour eux, j'ai inventé l'appareil photo. Voilà Lucie maintenant, tu sais comment ça a été créé.
- Hii, tu es aussi génial que Pépère.
À la brasserie, Fripouille était fatigué et le repas l'avait un peu assommé. Il dit à Pépère en regardant la télévision.
- Mon copain, les images sont en 3D comment ça ce fait.
- C'est parce que tu es flemmard et tu fatigues pour un rien contrairement à Pépère.
Le président lui répondit, il a peut-être besoin de lunettes votre ami.
- Je les ai inventées pour Jules César.
- Comment, ça vous avez inventé des lunettes pour Jules César ? Lui demanda le président
- Oui, parfaitement pour le sauver du déshonneur.
- Ha bon Pépère, tu l'as connu où ? S'inquiéta Fripouille.
- J'ai été son enseignant à l'ENA.
- Ha bon mon copain, mais ça veux dire quoi, l'ENA ?
- Hé bien, à l'origine, c'était l'école des névrosés Athèniens et je lui ai appris la politique, car il était sans cesse sur Wikipedia pour telle ou telle chose pour se tenir au courant. D'ailleurs à ce propos Freud, m'a dit un jour que je m'y étais mal pris, bref. Donc, à cette époque, on écrivait sur la pierre avec un burin. Il recevait des éclats dans les yeux et quand, il repartait avec son char que j'ai motorisé avec des panneaux solaires. Oui, c'était encore une idée de Nicolas, bref. Donc, à cause de la poussière, il roulait dans tous les sens. Les gens le traitaient d'alcoolique et il était complètement dépassé. Il vient me voir un jour où je travaillais sur la création du Denier ( bien qu'il voulait imposer l'euro, bref) il me dit pépère, que pouvons-nous faire. J'ai inventé les lunettes de protection et par la suite les lunettes de vue, car il avait une cirrhose de l'œil gauche. Voilà mon copain et les lunettes existent toujours.

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