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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Sur Charnïa, les chats et les deux fées reprirent le chemin de la pyramide. Turbo était un peu triste, car malgré tout ce qu'il avait vécu comme aventures, sa cousine lui manquait. Il en parla avec la fée Leïlanne et celle-ci lui promit qu'il pourrait l'appeler de la pyramide grâce à sa magie. Isidore et Un-œil étaient quant à eux très heureux des événements qu'ils venaient de vivre. Les fées aussi étaient beaucoup plus sereines, car Pépère ne courait pas de danger sur terre. Les robots Énarpilodiens étaient tous anéantis, enfin sauf quelques-uns qui avaient réussis à échapper à la terrible bataille aux abords de Franïadus. Ceux-ci s'étaient réfugiés sur un satellite voisin de cette planète et étaient déjà en train de déployer leur ingéniosité à construire d'autres robots pour reformer un arsenal.
Arrivés dans la pyramide, Un-œil et Isidore partirent se reposer. Liettuje partit dans un coin de la pyramide et s'installa dans un fauteuil qui trônait là et se mit à lire.
Chouânne, s'approcha de Turbo et lui tendit un chatmsung pour qu'il puisse appeler sa cousine. Il était fou de joie à l'idée de lui parler. La communication avec la terre mit un moment à s'établir, mais cela fonctionnait à merveille. Mieux que ça, le numéro qui n'était pas inscrit sur le répertoire à Sybage s'inscrit automatiquement, Turbo, et elle prit l'appel de suite.
- Allô, ici, Sybage, ça va mon cousin ?
- Oui ma cousine, je suis toujours dans l'espace et je rentre bientôt. Je dois combattre des chats robots qui ont kidnappé mes amis Isidore et Un-œil. Les deux fées aussi ont été prises en otage et je vais les libérer. Grâce à mes pattes surpuissantes, j'ai pu échapper à ces robots qui me poursuivaient.
- Fait attention à toi mon cousin, mais où es-tu exactement dans l'espace.
- J'ai fui une planète du nom d'Énarpilode et grâce à mes pattes surpuissantes, j'ai couru d'étoile en étoile et ils ont lâché derrière moi un énorme monstre. Un chien robot que j'ai terrassé déguisé en Fripouille pour ne pas être reconnu par mes ennemis. Je me suis arrêté sur Mars et j'ai dérobé une soucoupe volante. C'est de là que je t'appelle ma cousine. Ne t'inquiète pas, je rentre bientôt.
- Fait attention à toi mon cousin, ce n'est pas dangereux ce que tu projettes de faire.
- Pas du tout ma cousine, j'ai un énorme avantage sur les autres, mes pattes hypers puissantes pour m'enfuir au cas où. Je t'aime ma cousine ne t'inquiète pas. Passe le bonjour à Lolo.
- Chatlut, mon cousin, prend soin de toi.
Turbo était heureux d'avoir pu parler avec sa cousine et fit comme ses deux amis, il partit se reposer.
Dans la maison du poète, Momo se rendormit et à peine au pays de Morphée, il fut réveillé par Mimine.
- Regarde sur la table qu'est-ce que c'est ?
- Diantre que fait cet animal sur la table !
Juste devant eux, Flash le berger allemand de leur voisin les regardait fixement. L'animal se mit à tourner en rond et devint une sorte de toile noire. Celle-ci se transforma progressivement en un papillon avec la tête de Pépère et deux pattes avant avec les Nike de Pépère. Il fit le tour de la pièce en volant et se reposa devant Mimine et Momo. Il redevint une toile noire à l'intérieur de laquelle la forme d'un chat coiffé d'un némès réapparu. Il prit dans une besace qui pendait sur sa hanche une poignée de sable qu'il lança devant ses pattes. La toile se mit à faire des tourbillons avant de passer par l'apparence de Flash, Pépère, Chatdore avant de devenir des grains de sable. Ceux-ci se rependirent sur la tâche de sable. Puis de nouveau un tourbillon s'éleva et apparu un étrange animal. Le haut du corps avait l'apparence de Chatdore et le bas celui de Pépère chaussé de ses Nike. L'animal avait en plus à la place d'une queue de chat celle de Flash.
- Diantre, qu'est ce que c'est que cette bestiole, Mimine, je viens d'en rêver à l'instant et il est là en vrai à présent. Qui êtes-vous méprisable blasphème ?
- Momo, c'est impossible, tu viens à peine de te rendormir, que pouvons nous faire ?
- Bonjour, je suis Chatdo Père, tu n'as pas rêvé, je suis Dieu et à ma guise, je me transforme en ce que je veux.
L'animal devant les pauvres Momo et Mimine prit l'apparence de multiples animaux et les paysages derrière lui changeait en fonction de l'animal qui apparaissait.
- Assez de se moquer de Chatdo Père, manant, fait ta prière. Vénère-moi pendant que j'exécute un moon walk comme j'ai enseigné à Michael, allez faquin, danse, vénère moi, allez Momo encore une prière à ton Dieu.
- Momo, que se passe-t-il, qu'est-ce que c'est de la sorcellerie ? Momo, Momo, tu rêves encore.
Le pauvre se réveilla en sursaut et vit Mimine à côté de lui. Tout était normal à présent.
- Diantre, tous ces événements ont bouleversés ma raison. Ma brave Mimine, je vais rester éveillé un peu de façon à ne pas retomber dans ce vilain rêve, c'est horrible.
Le pauvre animal resta un long moment à bavarder avec Mimine avant de tomber de sommeil, mais cette fois, ce vilain rêve ne revint pas.
Le poète en avait assez entendu à l'auberge des moines et repartit vers le canal avec sa xsara. Il passa devant la brasserie du cul roux et le Pépère le vit passé et s'exclama.
-Tiens min ivrogne saturnien de Colombie occidentale trafiqué à la peinture d'Irak, est sorti de la taverne des moines pour aller voir si ce sont ses hallucinations qui le reprennent ou si les événements sont réels. Il n'a toujours pas compris qu'un monstre à voler le canal. Tu ferais mieux de t'occuper de celui que tu caches dans ton capharnaüm espèce d'ivrogne.
Le président fut étonné des paroles du Pépère et lui dit. Votre maître élève des monstres.
- Hé bien oui et le dernier monstre que mon marteau-piqueur israélien casseur d'œuf de fourmis japonaises à fabriquer est né dans l'acide de batterie et sa soûlarde en a eu une overdose.
- Ha bon, qu'est ce que c'est que cette histoire ?
- Hé bien voilà monsieur le président, sa comparse, qui avait préparé le ragoût de métaux pour le monstre, a voulu en manger à toute force, car elle en raffole et à cause des saloperies chimiques qu'ils avaient mis dedans, il lui est arrivé une mésaventure. Voilà l'histoire monsieur le président. Donc, elle a mangé le ragoût de métaux, étonnement sans boire d'alcool, mais de l'acide de batterie, car elle disait que ça faisait ressortir le goût de la préparation dans le palais. Donc mon soûlard en a profité pour vider le seize litres de vinasse qu'elle avait ramené pour eux deux. Elle est ensuite repartie et c'est le lendemain que les ennuis ont commencé. Je précise que le retour s'était fait la veille sans l'appel de sos harnais. Donc, le matin, elle se lève et déjeune. Elle se prépare et se brosse les dents sans même se rendre compte que la brosse en avait perdu tout ses poils. Elle s'en va en bus avec sa copine strasbourgeoise conductrice. Je m'étais déguisé en moteur, c'est comme ça que je l'ai su. J'étais ballonné et avais le hoquet, elle se plaignait que je faisais des à-coups, mais je n'ai pas été repéré. Donc sa copine conductrice lui dit, c'est bizarre, tu as les yeux verts. Ce à quoi, elle lui a répondu, et toi, tu t'es bu quand t'as vu, ivrognesse, occupe toi de ton volant. Arrivée à la brigade ses collègues la regardaient d'un air bizarre et l'un d'eux lui dit. Excuse moi, c'est normal que tes yeux soient verts et que tu aies des dents en titane. Elle est allée se regarder dans le fond d'un verre à bourbon qui était sur son bureau. C'est ainsi qu'elle a dû se faire opérer à deux reprises par un chirurgien polonais, spécialiste des dents en titane. Oui à deux reprises, car avant la première opération, ils avaient bu ensemble le somnifère anesthésiant qui était de la vodka à quatre-vingts degrés et il lui avait greffé des dents de cheval. C'est en rentrant à la brigade qu'elle s'en est aperçue, du moins un de ses collègues, car elle ne faisait que de manger des carottes et des sachets d'avoine à l'apéritif. Le chirurgien l'a donc opérer le lendemain et lui a greffé de vraies dents humaines. Voilà monsieur le président. Ha, Fripouille arrive.
Tu étais où mon loulou ?
- Hé bien, voilà, j'ai été raccompagné ma Siamoise chez elle et elle habite au bout de commune. En revenant vers la brasserie, je suis tombé sur les chatdarmes qui avait besoin d'aide pour l'arrestation d'un chat bandit muni d'armes de guerre. Le brigand était dans une maison abandonnée et était en train de jeter des grenades sur les forces de l'ordre et je les ai renvoyées dans l'espace avec mes pattes. Puis, je suis entré dans la maison et j'ai neutralisé le malfrat à coup de queue. Je suis revenu ici rapidement, mais en route, j'ai dû renseigner un mille-pattes alcoolisé qui tournait en rond et cherchait un marchand de chaussures. Je suis ensuite passé chez moi charger mon téléphone et me voilà les amis. Ha oui, j'oubliais, j'ai croisé en bas de la rue sœur Mathilde et le pape.
- Fle fle fle, il t'en arrive aussi des aventures, fle fle fle.
- Toc toc toc, comme Pépère, toc toc toc, et le soûlard, toc toc toc.
- Hé la gendarme poète, fle fle fle.


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Cortisone

Maître Poète
#2
Sur Charnïa, les chats et les deux fées reprirent le chemin de la pyramide. Turbo était un peu triste, car malgré tout ce qu'il avait vécu comme aventures, sa cousine lui manquait. Il en parla avec la fée Leïlanne et celle-ci lui promit qu'il pourrait l'appeler de la pyramide grâce à sa magie. Isidore et Un-œil étaient quant à eux très heureux des événements qu'ils venaient de vivre. Les fées aussi étaient beaucoup plus sereines, car Pépère ne courait pas de danger sur terre. Les robots Énarpilodiens étaient tous anéantis, enfin sauf quelques-uns qui avaient réussis à échapper à la terrible bataille aux abords de Franïadus. Ceux-ci s'étaient réfugiés sur un satellite voisin de cette planète et étaient déjà en train de déployer leur ingéniosité à construire d'autres robots pour reformer un arsenal.
Arrivés dans la pyramide, Un-œil et Isidore partirent se reposer. Liettuje partit dans un coin de la pyramide et s'installa dans un fauteuil qui trônait là et se mit à lire.
Chouânne, s'approcha de Turbo et lui tendit un chatmsung pour qu'il puisse appeler sa cousine. Il était fou de joie à l'idée de lui parler. La communication avec la terre mit un moment à s'établir, mais cela fonctionnait à merveille. Mieux que ça, le numéro qui n'était pas inscrit sur le répertoire à Sybage s'inscrit automatiquement, Turbo, et elle prit l'appel de suite.
- Allô, ici, Sybage, ça va mon cousin ?
- Oui ma cousine, je suis toujours dans l'espace et je rentre bientôt. Je dois combattre des chats robots qui ont kidnappé mes amis Isidore et Un-œil. Les deux fées aussi ont été prises en otage et je vais les libérer. Grâce à mes pattes surpuissantes, j'ai pu échapper à ces robots qui me poursuivaient.
- Fait attention à toi mon cousin, mais où es-tu exactement dans l'espace.
- J'ai fui une planète du nom d'Énarpilode et grâce à mes pattes surpuissantes, j'ai couru d'étoile en étoile et ils ont lâché derrière moi un énorme monstre. Un chien robot que j'ai terrassé déguisé en Fripouille pour ne pas être reconnu par mes ennemis. Je me suis arrêté sur Mars et j'ai dérobé une soucoupe volante. C'est de là que je t'appelle ma cousine. Ne t'inquiète pas, je rentre bientôt.
- Fait attention à toi mon cousin, ce n'est pas dangereux ce que tu projettes de faire.
- Pas du tout ma cousine, j'ai un énorme avantage sur les autres, mes pattes hypers puissantes pour m'enfuir au cas où. Je t'aime ma cousine ne t'inquiète pas. Passe le bonjour à Lolo.
- Chatlut, mon cousin, prend soin de toi.
Turbo était heureux d'avoir pu parler avec sa cousine et fit comme ses deux amis, il partit se reposer.
Dans la maison du poète, Momo se rendormit et à peine au pays de Morphée, il fut réveillé par Mimine.
- Regarde sur la table qu'est-ce que c'est ?
- Diantre que fait cet animal sur la table !
Juste devant eux, Flash le berger allemand de leur voisin les regardait fixement. L'animal se mit à tourner en rond et devint une sorte de toile noire. Celle-ci se transforma progressivement en un papillon avec la tête de Pépère et deux pattes avant avec les Nike de Pépère. Il fit le tour de la pièce en volant et se reposa devant Mimine et Momo. Il redevint une toile noire à l'intérieur de laquelle la forme d'un chat coiffé d'un némès réapparu. Il prit dans une besace qui pendait sur sa hanche une poignée de sable qu'il lança devant ses pattes. La toile se mit à faire des tourbillons avant de passer par l'apparence de Flash, Pépère, Chatdore avant de devenir des grains de sable. Ceux-ci se rependirent sur la tâche de sable. Puis de nouveau un tourbillon s'éleva et apparu un étrange animal. Le haut du corps avait l'apparence de Chatdore et le bas celui de Pépère chaussé de ses Nike. L'animal avait en plus à la place d'une queue de chat celle de Flash.
- Diantre, qu'est ce que c'est que cette bestiole, Mimine, je viens d'en rêver à l'instant et il est là en vrai à présent. Qui êtes-vous méprisable blasphème ?
- Momo, c'est impossible, tu viens à peine de te rendormir, que pouvons nous faire ?
- Bonjour, je suis Chatdo Père, tu n'as pas rêvé, je suis Dieu et à ma guise, je me transforme en ce que je veux.
L'animal devant les pauvres Momo et Mimine prit l'apparence de multiples animaux et les paysages derrière lui changeait en fonction de l'animal qui apparaissait.
- Assez de se moquer de Chatdo Père, manant, fait ta prière. Vénère-moi pendant que j'exécute un moon walk comme j'ai enseigné à Michael, allez faquin, danse, vénère moi, allez Momo encore une prière à ton Dieu.
- Momo, que se passe-t-il, qu'est-ce que c'est de la sorcellerie ? Momo, Momo, tu rêves encore.
Le pauvre se réveilla en sursaut et vit Mimine à côté de lui. Tout était normal à présent.
- Diantre, tous ces événements ont bouleversés ma raison. Ma brave Mimine, je vais rester éveillé un peu de façon à ne pas retomber dans ce vilain rêve, c'est horrible.
Le pauvre animal resta un long moment à bavarder avec Mimine avant de tomber de sommeil, mais cette fois, ce vilain rêve ne revint pas.
Le poète en avait assez entendu à l'auberge des moines et repartit vers le canal avec sa xsara. Il passa devant la brasserie du cul roux et le Pépère le vit passé et s'exclama.
-Tiens min ivrogne saturnien de Colombie occidentale trafiqué à la peinture d'Irak, est sorti de la taverne des moines pour aller voir si ce sont ses hallucinations qui le reprennent ou si les événements sont réels. Il n'a toujours pas compris qu'un monstre à voler le canal. Tu ferais mieux de t'occuper de celui que tu caches dans ton capharnaüm espèce d'ivrogne.
Le président fut étonné des paroles du Pépère et lui dit. Votre maître élève des monstres.
- Hé bien oui et le dernier monstre que mon marteau-piqueur israélien casseur d'œuf de fourmis japonaises à fabriquer est né dans l'acide de batterie et sa soûlarde en a eu une overdose.
- Ha bon, qu'est ce que c'est que cette histoire ?
- Hé bien voilà monsieur le président, sa comparse, qui avait préparé le ragoût de métaux pour le monstre, a voulu en manger à toute force, car elle en raffole et à cause des saloperies chimiques qu'ils avaient mis dedans, il lui est arrivé une mésaventure. Voilà l'histoire monsieur le président. Donc, elle a mangé le ragoût de métaux, étonnement sans boire d'alcool, mais de l'acide de batterie, car elle disait que ça faisait ressortir le goût de la préparation dans le palais. Donc mon soûlard en a profité pour vider le seize litres de vinasse qu'elle avait ramené pour eux deux. Elle est ensuite repartie et c'est le lendemain que les ennuis ont commencé. Je précise que le retour s'était fait la veille sans l'appel de sos harnais. Donc, le matin, elle se lève et déjeune. Elle se prépare et se brosse les dents sans même se rendre compte que la brosse en avait perdu tout ses poils. Elle s'en va en bus avec sa copine strasbourgeoise conductrice. Je m'étais déguisé en moteur, c'est comme ça que je l'ai su. J'étais ballonné et avais le hoquet, elle se plaignait que je faisais des à-coups, mais je n'ai pas été repéré. Donc sa copine conductrice lui dit, c'est bizarre, tu as les yeux verts. Ce à quoi, elle lui a répondu, et toi, tu t'es bu quand t'as vu, ivrognesse, occupe toi de ton volant. Arrivée à la brigade ses collègues la regardaient d'un air bizarre et l'un d'eux lui dit. Excuse moi, c'est normal que tes yeux soient verts et que tu aies des dents en titane. Elle est allée se regarder dans le fond d'un verre à bourbon qui était sur son bureau. C'est ainsi qu'elle a dû se faire opérer à deux reprises par un chirurgien polonais, spécialiste des dents en titane. Oui à deux reprises, car avant la première opération, ils avaient bu ensemble le somnifère anesthésiant qui était de la vodka à quatre-vingts degrés et il lui avait greffé des dents de cheval. C'est en rentrant à la brigade qu'elle s'en est aperçue, du moins un de ses collègues, car elle ne faisait que de manger des carottes et des sachets d'avoine à l'apéritif. Le chirurgien l'a donc opérer le lendemain et lui a greffé de vraies dents humaines. Voilà monsieur le président. Ha, Fripouille arrive.
Tu étais où mon loulou ?
- Hé bien, voilà, j'ai été raccompagné ma Siamoise chez elle et elle habite au bout de commune. En revenant vers la brasserie, je suis tombé sur les chatdarmes qui avait besoin d'aide pour l'arrestation d'un chat bandit muni d'armes de guerre. Le brigand était dans une maison abandonnée et était en train de jeter des grenades sur les forces de l'ordre et je les ai renvoyées dans l'espace avec mes pattes. Puis, je suis entré dans la maison et j'ai neutralisé le malfrat à coup de queue. Je suis revenu ici rapidement, mais en route, j'ai dû renseigner un mille-pattes alcoolisé qui tournait en rond et cherchait un marchand de chaussures. Je suis ensuite passé chez moi charger mon téléphone et me voilà les amis. Ha oui, j'oubliais, j'ai croisé en bas de la rue sœur Mathilde et le pape.
- Fle fle fle, il t'en arrive aussi des aventures, fle fle fle.
- Toc toc toc, comme Pépère, toc toc toc, et le soûlard, toc toc toc.
- Hé la gendarme poète, fle fle fle.


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Désolée Daniel je n'aurai pas le temps de lire tranquillement ce soir. Je le ferai demain matin.