Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Dans l'espace intersidéral, la soucoupe filait vers Charnïa. Les Énarpilodiens n'avaient pas perdu de temps et s'étaient déjà rassembler en formation juste derrière Franïadus. Ils n'attendaient que l'ordre d'Aketok leur chef suprême pour foncer sur Charnïa. Malgré la magie des deux fées les vaisseaux avaient quand même repris une activité au ralenti. Certainement que ceux-ci fussent munis d'un système de couverture contre les phénomènes magiques qui d'ailleurs peuplent l'univers. Liettuje s'en aperçut en regardant sur ses écrans de contrôle. Malgré tout la lenteur dont ils faisaient preuve ne leur permettrait pas d'attaquer.
Turbo était heureux, grâce à la magie de Leïlanne, il avait pu envoyer des messages à sa cousine. Celle-ci était rassurée d'avoir pu lui parler, mais elle était anxieuse, car il allait devoir combattre des robots dans l'espace. En même temps, elle était fière, car enfin, il vivait de vraies aventures. Le brave minet décida de se reposer un peu tandis qu'Isidore parlait avec Un-œil. Celui-ci lui racontait l'histoire de ma siamoise love le film à Fripouille. Les deux chats décidèrent de regarder la suite dans le deuxième opus que leur avait conseillé Fripouille. Isidore ne connaissait pas ce film et il fut enchanté de le regarder. Il trouvait la siamoise magnifique et en devint comme Un-œil secrètement chat love.
Les fées arrivaient à proximité de la soucoupe des Charnïens qui était toujours en sommeil. La bataille avec les Énarpilodiens était très proche. Les fées accostèrent contre la soucoupe et mirent leur plan en action. Un-œil fut déguisé en Pépère et prit place dans la soucoupe des Charnïens avec Isidore. Liettuje s'installa avec eux comme soit disant co-pilote, en fait les chats penseraient piloter, mais c'est elle qui le ferait avec sa magie. Ainsi, les deux Loulou allaient être encore plus fiers de leurs aventures. Turbo prit place dans la soucoupe à Leïlanne et mit sa ceinture. Les deux soucoupes prirent de la vitesse et les fées remirent l'univers en marche.
- ici, Isidore, je suis au poste de pilotage, Un-œil répond à mes messages, Liettuje coordine les action. Turbo prend le cap à dix degrés nord de Franïadus.
- Allô, ici Turbo, je te reçois Isidore, je fonce sur Franïadus, fait gaffe ton vaisseau est trois degrés au-dessous de la couverture radar de Charnïa.
- Allô ici Isidore, bien reçu Turbo, Un-œil vient de corriger l'assiette du vaisseau.
Les trois chats étaient heureux malgré la terrible bataille qu'ils allaient mener.
Dans le pré, Lolo continuait son bavardage avec Lucie. Il avait trouvé en elle une formidable spectatrice qui l'écoutait avec grande attention. Cookie était avec Chatdore qui venait de lui annoncer la venu d'extraterrestres sur la terre. Il lui apprit aussi que les Américains derrière sa cabane étaient là pour les rechercher sur terre. La pauvre jument comprit pourquoi ils en avaient après elle. Ils devaient la prendre pour un Martien assurément. Rookie était quant à lui devant le noyer avec son cousin et la conversation avait l'air sérieuse. Lolo entendit de la musique et se demandait ce que c'était.
- C'est qui Adélaïde ?
- De quoi tu me parles Lucie ?
- Écoute, dans la forêt, Adélaïde vous êtes belle !
La jument qui avait l'ouïe plus fine que Lolo écoutait parfaitement les paroles.
- C'est une soûlarde qui vient assez souvent ici pour fournir en armement le soûlard qui la paie en bouteille de villageoise. Je l'ai appris par Pépère, son vrai nom, c'est Josiane et elle fait aussi le tour des cabanes de rond-point pour se fournir en vinasse.
Pépère m'envoie en message, figure toi que Pêcheur et Coin ont mis en fuite le cochon jaune et le flan ridé.
- Ha, bon, et comment va mon méga love héros Pépère ?
- Pépère m'a raconté l'histoire en message écoute ça ma copine. Le cochon jaune et le flan ridé ont attaqué la gendarmerie. La soûlarde à Pépère y a été pour essayer de les stopper en leur offrant de la vinasse. Les bougres se sont énervés. Fripouille était avec Pépère et ils ont soulevé le camion en l'air pendant que Coin-coin crevait les pneus et le réservoir à coup de bec Pêcheur à détruit le pare-brise avec son grand bec. Les deux salopards sont repartis avec un camion avec les pneus en guenilles et sont tombés en panne de gasoil à la sortie de Sancoins. Pépère y a été et les a corrigés à coups de moustache et de queue tandis que Fripouille a mis une correction à la mère du cochon jaune qui était là pour les filmer dans leurs actions. C'est une victoire totale, tv-chachat vient d'annoncer que le cochon jaune abandonne. Je suis content, ils n'embêteront plus les gendarmes et les soûlards. Le poète est bien gentil, car il me donne de la pâtée pour chat, après il put la vinasse, mais je m'y suis fait.
Chat chat où t'es où est-ce que tu as mis ton chat chat, chat chat où t'es...
Les deux animaux étaient heureux et rigolaient. Pendant ce temps le voisin du poète, François, déambulait dans le bois avec une enceinte Bluetooth. C'est lui qui diffusait la musique qu'avaient écoutée les animaux.
Dans les bois à Mornay, le long de la nationale, les Américains étaient toujours à la recherche de la soucoupe. Ils finirent par la trouver au milieu de la forêt. Elle était de couleur argent, circulaire et surplombée d'un dôme en verre. Les hommes mirent un périmètre de sécurité. Ils devaient repartir s'équiper de tenues contre les radiations au cas où. Dans l'empressement, ils avaient pensé à tout sauf au principal.
À la brasserie, le président était resté avec le reste des convives. Thomas, la sœur et le pape mangeaient en silence. Ils étaient assez secoués de l'événement du jour. Notre Dame était partiellement détruite et personne ne pouvait plus rien faire pour le moment.
- Dit moi espèce de vieux rhinocéros, j'espère que tu as une pince à épiler le mammouth ?
- Pourquoi, dites-vous ça ma sœur ?
- Oui, ta question est bizarre et je me pose la même que monsieur Macron, pourquoi une pince à épiler.
- Hé bien Thomas, je vais te le dire, pour répondre aussi à monsieur le président. Ce cher bon pape, ne le savez-vous pas, a un porte-monnaie en poil de hérisson et il se pique les doigts dessus quand il met la main à la poche. Alors, s'il veut faire un don, il va être obligé de retirer les épines dessus.
- Écoute moi vielle chenille irradiée par la vinasse juste bonne à faire un papillon aux ailes en plomb. Je vais faire quelque chose, et même, quelque chose de grand. Juste après le repas, je vais aller prier pour Notre-dame le long du canal. Après nous ferons la quête et le fruit de cette messe ira à Notre-dame. Je ne garderai que quelques euros pour le péage quand je vais reprendre la route. Alors, tu ferais mieux de fermer ton moulin à poivre qui pue l'ail breton.
Le président de la République n'en revenait pas, le Vatican n'allait même pas faire un don, il était outré.
Elchatponne emmenait tranquillement le brigadier vers le canal quand celui-ci s'écria.
- Au diable, la messe, attend moi joli minet. Je vois mon cousin et il me doit une bouteille de vin du pari que nous avons fait à Mornay au barbecue des foies jaunes.
Le brigadier partit dans la cour d'une maison proche du canal et le pauvre Elchatponne se retrouva tout seul. Du coup de colère, il répartit vers la mare à Coin-coin et envoya un message à Pépère. Ensuite, il monta dans la soucoupe à Chouânne et prit contact avec Leïlanne et Liettuje. Il apprit la bataille vers laquelle ils se dirigeaient.
Le Pépère n'était plus très loin de la brasserie et dit à ses amis.
- Coin-coin, Elchatponne garde ta mare, tu peux être rassuré maintenant. Je me demande où a bien pu disparaître mon sac à vinasse pour prêtre alcoolique. Je suis fier de vous les copains.
- Toc toc toc, on les a bien corrigés les malfaisants, toc toc toc, le cochon jaune abandonne toc toc toc.
- Fle fle fle, j'aurais, dû leur tailler la barbe, fle fle fle pour leur apprendre à embêter madame gendarme poète, fle fle fle.
- Dis, Pépère, ce n'est pas la voiture de ton maître qui passe dans la rue.
Effectivement, s'était bien le maître à Pépère qui passait le long de la brasserie et redescendait vers la boulangerie. Il passa doucement en regardant le Pépère. Dans sa tête, il se fit une réflexion.
- C'est bizarre, on dirait mon chat Pépère. Je me demande bien quelle sorte d'aventure est encore en train d'écrire son auteur. Hé, l'écrivain au lieu de raconter ta vie, tu ferais mieux d'écrire, ils y en a qui attendent pour lire, bref.
Le poète passa dans la rue en regardant le Pépère. Celui-ci regarda son téléphone et s'écria.
- Hé, poivrot, il est midi et tu n'as encore pas été cherché le pain. Si nous devions t'attendre pour manger nous te dirions, nous avons faim nous autres, soûlard.
- Toc toc toc, que faut ton maître près de la brasserie, toc toc toc.
- Fle fle fle, il n'est plus au canal, fle fle fle. Il faut que tu le répares le canal Pépère, fle fle fle, pendant qu'il n'y est plus.
- Oui Pépère, c'est bizarre qu'il soit parti de là-bas.
- Hé bien, c'est parce qu'il a récupéré ses saloperies chimiques dans le lit du canal. Je parle en même temps à Lolo par SMS et le camion de sable de mon géant du lever de coude à disparu. Une certaine Adélaïde, une amie poivrote à sa comparse est venue le récupérer figurez vous.
- Toc toc toc, tu es sûr de ça, toc toc toc, c'est qui Adélaïde.
- Fle fle fle, tu ne nous en as jamais parlé fle fle fle.
- Oui, Pépère, c'est quoi cette histoire ?
- C'est une collègue gendarme de sa soûlarde qui se serre du camion pour la remplacer pendant qu'elle est là en train de faire semblant d'enquêter. C'est grâce à mon génie que je l'ai retrouvé. Un soir, une femme vient avec la soûlarde le visiter. Je me souviens, elle avait les cheveux rouge et j'ai trouvé ça bizarre. En fait, c'est que ses cheveux avaient cette couleur pour brouiller les radars. Elle met dessus un réactif qui absorbe la lumière du flash. J'ai su l'histoire en pénétrant dans la cabane discrètement. J'ai fait la route avec elle sans qu'elle ne s'aperçoive de rien. Elle était venue chercher le camion pour faire le tour des ronds-points et ainsi faire disparaître les armes de destructions massives. C'est moi qui ait chargé les caisses. Mes alcooliques m'ont fait croire que c'étaient des déguisements pour le bal de la police. Ce a quoi, j'ai répondu, et vous en quoi êtes-vous déguisés en alcooliques. J'ai donc chargé les caisses et eux y allaient de bon train, vas-y Pépère encore un petit effort, vas-y Pépère, encore une et c'est fini, vas-y Pépère. Ensuite mon soûlard Norvègien né au Mozambique un jour de pluie diluvienne m'a emmener à la maison. Sous prétexte qu'un poulet m'y attendait. Je ne l'ai pas cru et je me suis déguisé. Il n'a rien vu du tout et je suis parti avec Adélaïde la poivrote Alsacienne qui est la cousine de la conductrice de car strasbourgeoise, bref. C'est là que j'ai constaté le prétexte du camion. La bougresse a fait le tour de la France et c'est du Havre que je suis revenu avec une moto que j'ai fabriqué sur place. Grâce à mon déguisement, je n'ai pas été repéré.
-Toc toc toc, comment a-t-elle fait pour ne pas te voir, toc toc toc.
- Fle fle fle, tu étais déguisé en madame gendarme poète, fle fle fle.
- Ha oui, Pépère, tu as fait ça ?
- Pas du tout les copains, je me suis déguisé en bouteille de vinasse et je suis demeuré inaperçu. Nous arrivons à la brasserie les amis.
Le Pépère entra dans la brasserie du cul roux et fut accueilli par le Président.
- Pépère, non est-ce possible, Coin-coin et Pêcheur et ce cher Fripouille, venez vous joindre à nous.


hqdefault (1).jpg 35.jpg Screenshot_20190424_191729.jpg IMG_20190424_192007.jpg
 

Cortisone

Maître Poète
#2
Wouahhhhhh super Pépère
Je me suis régalée encore une fois.
Vivement demain pour la suite.
Amicalement
Gaby